Cocu en cage

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il y a 1 an

Elle commence toujours comme ça. Un petit tour, le nez au vent, par les rues. Des rues très fréquentées de préférence. D’un pas tranquille. Il la suit. Les regards des mâles s’accrochent à elle, la déshabillent, s’attardent. Elle les ignore. Elle passe, en apparence souverainement indifférente. Elle repasse. Elle prolonge. Pour le plaisir de se sentir encore et encore désirée.

Au retour, il lui fait aussitôt couler un bain. Assis sur le tabouret, à côté de la penderie, il la regarde s’y prélasser longuement. De temps à autre, sa queue tente de s’élancer vers elle, mais la cage la maintient, la contraint à rester sage. Quand elle sort de la baignoire, c’est nue qu’elle se lave les cheveux au-dessus du lavabo. C’est nue qu’elle se les sèche. C’est encore nue qu’elle se maquille. Avec le plus grand soin. Et c’est également avec le plus grand soin qu’elle choisit ses sous-vêtements. Sa robe. Son collier. Ses bracelets.

Avant de s’en aller, elle se lance, dans la grande glace en pied de l’entrée, un long dernier regard sans complaisance. Rajuste une mèche ici. Lisse un pli là. Elle est prête.

Il part toujours le premier. Pour être là quand elle arrive. Pour la voir faire son entrée. Tous les regards convergent vers elle, les conversations s’interrompent. L’admiration qu’elle suscite est physiquement palpable. Ils s’ignorent tous les deux. Ils ne se connaissent pas. Elle ondule jusqu’au bar, se juche sur un tabouret, se commande un whisky qu’elle savoure en tournant le dos à la salle. Et les grandes manœuvres commencent. On se faufile. On s’approche. On tente d’engager la conversation. Elle hausse les épaules. Elle tourne le dos. Elle rabroue quand c’est nécessaire.

Et elle s’aventure sur la piste. Un essaim de mâles se déploie aussitôt autour d’elle. On se déhanche. On fait le beau. On s’efforce de briller de tous ses feux. La musique finit par se vouloir plus lente. Voluptueuse. Les lumières s’assoupissent. Se font plus tendres. Elle danse avec l’un. Elle danse avec l’autre. Un troisième qui lui pose les mains sur les fesses. Contre lequel elle se presse, femelle en chaleur. Elle a fait son choix. Il est temps pour lui de rentrer.

Il s’installe dans la chambre d’amis. Et il attend. C’est quelquefois très long. D’autres fois très court au contraire. Un bruit de moteur. Un deuxième. Des voix en bas dans la cuisine. Des pas dans l’escalier. Les siens. D’autres. Ceux de son amant. La porte de la chambre conjugale. D’abord le silence. Et puis des murmures. Des halètements. Elle entre dans son plaisir. Le sommier crie. Elle gémit. En bas, sa queue à lui se fait douloureuse de ne pas pouvoir se déployer tout à loisir. De venir obstinément buter contre la cage.

Elle gémit plus fort. Elle implore.

  • Ta bite ! Mets-moi ta bite ! Et son plaisir prend son essor.

  • Oh, c’est bon ! Que c’est bon ! Que c’est bon !

Elle proclame sa gratitude. À grandes trilles éperdues. Ça s’apaise. Il y a des baisers claqués. Encore des murmures. Tout se tait. Souvent ils recommencent au cœur de la nuit. Une fois. Deux fois. Et puis, au petit matin, son amant d’un soir s’éclipse discrètement.

Elle descend rarement avant midi. En petite nuisette vaporeuse. Elle se laisse tomber dans le grand fauteuil, près de la fenêtre.

  • Tu me sers un café ?

Qu’il s’empresse d’aller lui chercher.

  • Merci.

Elle tourne longuement sa cuiller dans sa tasse. Et elle raconte.

  • C’était le top, celui-là ! J’ai hésité pourtant au début. Le grand blond aussi, il me plaisait bien. Et quand il bandait contre ma cuisse en dansant, tu sentais qu’il avait un sacré morceau dans le pantalon. Mais bon, je sais pas pourquoi, c’est l’autre que j’ai préféré. Et je m’en suis trouvée bien. Comment il assurait, le bougre ! C’est rare un type qu’assure aussi bien. Qui fait exactement ce qu’il faut au moment où il faut. Et qui ne s’embarrasse pas de tabous ni de préjugés. T’en trouveras, toi, des mecs qui te sodomisent dès la première rencontre. Ce pied que j’ai pris ! Parce qu’il avait la queue faite exactement comme il faut pour ça. Et qu’il maîtrise. De ce côté-là aussi, il maîtrise.

Elle boit. À petites gorgées. Elle se fait songeuse.

  • C’est trop, n’empêche les mecs ! Tu sais jamais à l’avance comment ça va se passer. C’est toujours pareil et, en même temps, c’est toujours différent. Chaque fois t’espères une surprise. Tu sais pas trop laquelle, mais une surprise. Et même quand tu l’as, tu te dis que ça aurait pu en être une autre. Encore mieux. Autrement.

Elle soupire.

  • Finalement, ce qu’il faudrait, c’est pouvoir les avoir tous, les types. Tous ceux qu’existent. Sans exception. Seulement ça, malheureusement, c’est pas possible.

Ça a lieu l’après-midi. Ou le lendemain. Ou le surlendemain. Quelquefois au bout d’une semaine seulement, mais ça finit toujours par avoir lieu.

  • Tu veux voir ? Tu veux voir comment c’était quand il m’a sautée ?

Il déglutit. Et comment qu’il veut voir ! Et comment !

  • Et t’amuser un peu ?

Il ne répond pas. Il s’approche. Il baisse son pantalon. Elle rit.

  • Ah, ça te tient, ça, hein !

Elle lance d’abord la vidéo. Et puis elle retire le cadenas. Elle le libère. Sa queue s’élance hors de son réduit. Sur l’écran, ils sont dans la chambre. Ils s’enlacent. Ils s’embrassent. Les mains du type l’explorent, prennent possession de son corps. Il la dénude. Lui, il ne peut pas attendre. Il n’attend pas. Il regarde. Il regarde et il se branle. Il se branle comme un fou. Comme un furieux. Et il gicle. Elle rit encore.

  • Eh ben, dis donc, ça pressait.

Il regarde. Il continue à regarder. Ils tombent tous les deux sur le lit. Il se fait passionné, le type. Il la caresse. Il lui aspire le bout des seins. Il les mordille. Elle, elle lui pétrit les fesses. Il descend s’occuper d’elle en bas. Elle s’ouvre. Elle le réclame. Il ne se fait pas prier. Il la pilonne. Comment il la pilonne ! Et elle jouit, les yeux mi-clos, la tête renversée en arrière.

  • Tu vois ce que c’est qu’un type qui sait y faire ?

Il voit, oui. Il regarde. Il redurcit. Et il s’empoigne à nouveau. Eux, ils recommencent. C’est elle sur lui, maintenant. Elle s’active sur sa queue. Ses fesses s’ouvrent et se referment en cadence.

  • Tu vois ce que tu perds ?

Il ne répond pas. Il vole à nouveau vers son plaisir. Qui surgit en même temps que le sien. Que le leur.

  • Là ! C’est tout. On ferme.

Il proteste.

  • Oh, ben non ! Non. Et la sodomie ? J’ai pas eu la sodomie.
  • Oui, oh, ben, une autre fois, la sodomie… Peut-être.

Et elle le remet en cage. Si elle ne veut pas coucher avec lui…

  • Ah, non, alors ! T’es vraiment trop nul !

Elle ne veut pas qu’il aille avec d’autres non plus.

Elle enfouit la clef dans son soutien-gorge.

  • Tu peux me voir à l’œuvre. C’est déjà pas si mal, non ?

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Encore un texte rapide, clair, précis, bien écrit, merci beaucoup. J'ai bien la chute avec : c'est déjà pas si mal.
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