Catégories : Cuckold candaulistes cocu
il y a 2 ans
Elle s’était occupée de tout.
- C’est pas plus mal que t’aies la surprise…
Avait choisi le point de chute.
- Tu verras… Au calme. En pleine campagne. Mais à proximité d’une grande ville quand même. Qu’on puisse sortir si on a envie. Aller visiter des trucs.
Et préparé les valises.
- On est opérationnels. Il y a plus qu’à embarquer. Demain matin. Aux aurores. Mais avant… je peux te demander quelque chose ? Seulement te sens pas obligé. Faut que tu me dises carrément. Ça t’embêterait s’il venait Benjamin ?
- Avec nous ? En vacances ?
- Ça, c’est pas possible, non. Il y a sa femme. Et ses enfants. Non. Ici, ce soir. Parce que faut pas trop que j’y compte qu’il réussisse à se libérer quand on sera là-bas, à ce qu’il m’a dit. Et je vais pas le voir d’un moment, du coup.
- Évidemment qu’il peut venir !
Elle m’a sauté au cou.
- T’es un amour !
A tapé un SMS en toute hâte. Et s’est engouffrée dans la salle de bains.
On a attendu tous les deux, lui et moi, de concert, devant une bière, qu’elle en ressorte.
- Ce qui, la connaissant, risque de prendre un certain temps.
Il a reposé son verre.
- C’est pas sûr, mais peut-être qu’elle va appeler.
- Hein ? Qui ça ?
- Séverine. Ma femme. Elle a tiqué ce soir. Pour la première fois, elle a vraiment tiqué. Faut dire aussi qu’il y a de quoi. Parce que c’est bien beau les soi-disant compétitions sportives, à l’autre bout de la France, que je ne voudrais louper pour rien au monde et qui m’obligent à dormir sur place, mais il arrive forcément un moment où ça devient suspect. Et là, j’ai vraiment senti qu’il fallait que j’allume des contre-feux. De toute urgence. Alors j’ai prétendu que j’allais passer la soirée chez un copain. Qu’on avait des choses à régler tous les deux. Pour le club de hand. Le plus rapidement possible. Et je lui ai laissé ton fixe. Au cas où elle aurait besoin de me joindre. Vu que mon portable – ce qui est vrai – est tombé en rade ce matin. Alors si ça sonne, – ce qui m’étonnerait, mais bon, on sait jamais – vaut mieux que ce soit toi qui répondes plutôt qu’Alyssia.
Qui a justement fait son apparition en petite nuisette transparente. Dessous, elle était entièrement nue. Il a souri.
- Décidément, tu fais une allergie aux petites culottes en ce moment.
Elle n’a pas répondu. Elle est allée s’asseoir sur ses genoux. A enfoui sa bouche dans ses cheveux. Je me suis discrètement éclipsé. Pour revenir aussitôt, par-derrière, sans bruit, sur la terrasse. La porte-fenêtre était grande ouverte. La lumière, au-dessus du canapé, allumée. J’avais le son et l’image. Et j’étais à trois mètres d’eux. Il lui a caressé la jambe. La cuisse. Est remonté plus haut. Encore. Elle l’a doucement repoussé.
- Ça va être long un mois.
- On s’appellera.
- Et on se verra.
- J’essaierai.
- Oh, non, me dis pas ça, Benjamin ! Me dis pas ça ! Il faut qu’on se voit. Je pourrai jamais tenir, moi, sinon. J’ai trop envie de toi.
Il s’est réapproprié sa cuisse.
- Mais oui, on se verra.
- Quand ?
- Dès que je pourrai.
- Promis ?
- Mais oui !
Ses lèvres sur elle. Sur son cou. Ses épaules. La nuisette a volé. Sur ses seins. Dont il a englouti l’une après l’autre les pointes. Elle a renversé la tête en arrière. Fermé les yeux. Il est descendu. Sa chatte. Il s’en est approché. Éloigné. Y est revenu. S’y est posé. Elle a gémi.
- Benjamin… Oh, Benjamin…
Le téléphone. Je me suis précipité.
- Allô ! Oui ?
- C’est moi, Claire. Ça va ?
Ça allait, oui.
- On dirait pas. T’as une de ces voix. Je dérange, hein, c’est ça ?
- Un peu, oui.
- Vous étiez en train de baiser, j’parie ! Désolée. Je rappellerai. Amusez-vous bien en attendant !
Et elle a raccroché.
- C’était ta sœur.
- Qu’est-ce qu’elle voulait ?
- Rien. Rien de spécial. Discuter, apparemment.
Elle a haussé les épaules. Et j’ai regagné mon poste d’observation, sur la terrasse.
À elle. À son tour. Elle s’est agenouillée. Penchée sur sa bite dressée. Y a fait courir ses lèvres tout du long. De bas en haut. De haut en bas. A emprisonné la peau des couilles entre ses dents. En a happé une. A décalotté le gland qu’elle a agacé, du bout du pouce. Qu’elle a fini par engloutir. Les mains enfouies dans ses cheveux, il la pressait éperdument contre lui. Elle s’est brusquement interrompue. A relevé la tête.
- Je continue ? T’as envie comme ça ?
Il a fait signe que non. Non.
- Oui. C’est dans ma chatte que tu veux, hein ? Eh ben, viens !
Et elle s’est mise en position. À quatre pattes. Le front sur la moquette. Les fesses en l’air. Il l’a pénétrée d’un coup.
- Oui, Benjamin, oui. Bien à fond. Je suis ta femelle. Je suis ta chatte. Jouis ! Jouis ! Bourre-moi bien !
Ce qu’il a fait dans un grand râle qu’elle a accompagné d’une rafale de petits couinements satisfaits.
Dans le lit, après, quand il a été parti, elle est venue se blottir contre moi.
- Hou là ! J’ai eu ma dose ce soir.
- Comme souvent, non ?
- Plus encore que d’habitude. Peut-être parce que je savais qu’on allait pas se voir d’un moment. Ou bien alors…
- Oui ?
- Parce que tu pouvais voir aujourd’hui. Pas seulement entendre.
- Et je m’en suis pas privé.
- Ça, j’me doute. Mais pourquoi t’es pas resté ? Avec nous ? À côté ?
- Je sais pas, je… Pour pas vous gêner. Je voulais pas m’imposer.
- T’aurais mieux vu de tout près. Et puis moi, j’aurais pu te voir regarder.
2-
Un hôtel enchâssé dans son écrin de verdure. Des arbres, des arbres et encore des arbres. Aucun bruit. Que le chant des oiseaux.
- Je te l’avais dit. Je te l’avais pas dit ? Un vrai petit paradis. Dont on va profiter à fond.
On en profitait. En grasses matinées longuement étirées. En savoureux repas d’huîtres, de crustacés et de ris de veau. En longues heures passées à écumer les alentours. Elle était tombée amoureuse folle de la région.
- Et si on venait s’y installer ? Tu demandes ta mutation. Je demande la mienne. Et puis voilà.
- C’est pas si simple. Il doit y en avoir du monde qui veut y descendre dans ce coin.
- Suffira d’être patients.
- Tu pourras plus voir Benjamin. Ou alors seulement de loin en loin.
- Et pourquoi qu’il demanderait pas sa mutation, lui aussi ?
- Avec sa femme ?
- Faudrait bien !
- Oui, ben le temps que tout le monde ait obtenu gain de cause, il y a toutes les chances qu’on soit à la retraite.
- Ou bien alors… une autre solution : on s’achète quelque chose par ici. Et on y descend dès qu’on peut. Vacances, week-ends, tout ça !
Elle nous voulait, de temps à autre, une petite virée à Nice.
- Oh, ben oui, attends ! On va pas rester confinés là un mois non plus !
Elle marquait de longs temps d’arrêt devant les vitrines des agences immobilières.
- C’est hors de prix ! C’est vraiment hors de prix. Oh, mais on finira bien par trouver une solution.
On errait au hasard. Une boutique. Une autre. Elle entrait, hésitait, essayait, achetait parfois. Un maillot. Ou un petit haut. Et on reprenait notre promenade.
- Un de ces quatre matins, je sens qu’on va tomber dessus. C’est couru.
- Et il sera avec sa femme.
- Oui, ben alors là, merci bien. J’ai pas du tout envie de savoir comment elle est faite celle-là.
Il l’appelait tous les jours.
- Parce que je peux pas, moi ! Comment tu veux que je sache s’il est tout seul ou pas ?
Elle restait là, à mes côtés.
- Pourquoi je m’en irais ? J’ai rien à te cacher. Et puis j’aime bien te sentir penché sur nous, comme ça, à l’affût du moindre de nos mots. Du moindre de nos gestes. Et comme toi, de ton côté, t’adores ça…
Et elle mettait le haut-parleur. Ça allait, oui. Il lui manquait. Elle lui manquait. Ils se manquaient. Et ils avaient envie l’un de l’autre.
- Tellement ! Si tu savais !
- Et moi, donc !
Ils parlaient d’autre chose.
- Parce que ça va nous mettre dans un état sinon !
De ce qu’ils avaient fait la veille. De la façon dont ils allaient occuper leur journée. Elle finissait immanquablement par lui poser la question.
- On va se voir ? Tu vas venir ?
- Évidemment que je vais venir…
- Quand ?
- Je sais pas. Faut que je voie. Que je puisse me libérer sans trop éveiller ses soupçons.
- Tarde pas trop, Benjamin ! Tarde pas trop ! J’en peux plus, moi !
Elle raccrochait en soupirant.
- Tu vas voir qu’il va me mener en bateau comme ça jusqu’à la fin des Vacances… Oh, mais s’il ait ça. Alors là, s’il fait ça !
On passait aussi beaucoup de temps à la piscine.
- Parce que si je rentre pas bronzée, elles vont toutes croire qu’on est allés passer les vacances à Denain ou, pire, qu’on n’a pas pu partir.
Elle s’absorbait dans un livre. Je déployais un journal.
- J’en étais sûre…
- De quoi ?
- Que t’allais pas tarder à te retourner sur le ventre. Depuis le temps que tu la mates en douce la petite en maillot bleu, fallait bien que ça finisse par te donner la trique. Oh, mais vas-y ! Profites-en ! Te gêne surtout pas pour moi. Je serais vraiment mal placée pour te faire des reproches.
Et elle se replongeait dans sa lecture.
- Waouh ! Et l’autre là-bas. Non, là-bas, à gauche. Qu’est en train d’arriver. Il y a du canon, là. Et qui le sait. Et qui fait tout pour que ça se voie. Faut vraiment pas avoir de honte, n’empêche, pour s’exhiber dans un truc pareil. Elle te tente pas ? Non, pas vraiment, on dirait. Tu préfères celle en bleu, hein ! Mais ça, les goûts et les couleurs… T’irais tenter ta chance avec si j’étais pas là ? Oui ? Je te laisse si tu veux. Quoique… ça servirait pas à grand-chose. Tu te prendrais un de ces râteaux ! Ben oui, forcément ! Tu penses bien qu’elle a eu vite fait de repérer qu’on était ensemble. Et puis, de toute façon, faut que tu te fasses une raison : un mec de quarante balais, à moins d’être riche comme Crésus, les petites nanas de vingt ans, il les intéresse pas.
3-
Elle est venue s’accouder à côté de moi, à la fenêtre de la chambre.
- Qu’est-ce tu regardes ?
- Rien. Rien de spécial.
- Tu parles que tu regardes rien. Elle te suffit pas celle en bleu à la piscine ?
Sa main est descendue, s’est posée, d’autorité, sur ma queue.
- Elle te fait sacrément de l’effet en tout cas. À moins que ce soit encore à l’autre que tu penses. Oui, c’est ça, j’parie ! T’en es raide dingue d’envie de celle-là. Tu veux la baiser ? Eh, ben me regarde pas comme ça. Viens alors !
Sur le lit. Où elle m’a dépouillé de mes vêtements. Complètement.
- Là ! Ferme les yeux ! Et pense à elle. À son petit visage d’ange. Ce qui l’empêche pas d’être une vraie petite cochonne, je suis sûre. Quand elle te taille une pipe celle-là, tu dois pas mettre six mois à décharger. Tu la vois ? Tu les vois ses petits seins ? Comment elle aime ça que tu les regardes. Que t’essaies de les deviner sous le maillot. Elle va l’enlever le sous-tif. Elle l’enlève. Holà ! T’as vu ça comment ils pointent ? C’est de la folie. Quoi ? Tu veux voir son cul, c’est ça ? Déjà ! T’es bien pressé. Ah, elle t’a entendu, on dirait ! Elle la baisse sa culotte de maillot. Humm ! Ces petites fesses bien fermes. On en mangerait, non ? Elle se retourne. Ah, ben ça y est ! Tu l’as sa chatte. Tu la vois. Depuis le temps que t’en rêvais ! Que tu pensais plus qu’à ça. Elle te plaît ? Oui, hein ! Eh, ben vas-y ! Fonce ! Enfile-la, qu’est-ce t’attends ? Tu vois pas qu’elle demande que ça ?
Et elle m’a mis en elle.
- Baise-la, Alex ! Vas-y ! Baise-la !
À grands coups de boutoir. Comme un perdu. J’ai ahané. Je me suis répandu. Je suis retombé.
- Eh, ben dis donc ! T’avais sacrément envie d’elle, ça, on peut pas dire.
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