Aux pieds d’une femme comme un chien

Catégories : Aux pieds des femmes Homme soumis, Femdom Domination féminine
il y a 1 an

Autant le dire clairement, je suis totalement jaloux ! Je n’arrive pas à comprendre comment mon crétin de petit frère a réussi à avoir une copine aussi belle, aussi élégante et aussi gentille qu’Amandine. La vie est tout de même franchement injuste !

Un jour, alors que je suis seul, un soir, dans mon appartement quelqu’un frappe à la porte. C’est elle ! Trempée de la pluie qui fait rage dehors.

  • Moi : Salut Amandine, désolé mon frère n’est pas là.
  • Amandine : Ah m e r d e , tu sais quand est ce qu’il va venir ? Je n’arrive pas à le joindre…
  • Moi : Aucune idée…

Mon petit frère ainsi que sa copine sont lycéens. Quant à moi, je possède un appartement en ville. Je les laisse donc parfois dormir sur le canapé pour leur éviter d’avoir à prendre le train pour rentrer lorsqu’ils sortent en ville et rentrent tard le soir.

  • Amandine : Est ce que je peux rester le temps que la pluie s’arrête ?
  • Moi : Bien sûr, retire tes chaussures par contre.

Je constate en effet que ses bottines sont boueuses et je ne veux pas salir la moquette. Elle accepte. Quant à moi, je retourne m’asseoir sur le canapé, mon ordinateur sur les genoux, essayant, tant que faire se peut, de ne pas regarder cette petite déesse brune aux formes généreuses lorsqu’elle retire son manteau et se retrouve en débardeur à côté de moi… C’est peine perdue, Amandine s’allonge sur le canapé posant ses pieds sur ma jambe. Comme tout bon fétichiste qui se respecte, à cette vue, ma respiration s’accélère et je ravale ma salive. Ses chaussettes trempées imprègnent mon pantalon, je me retourne vers elle, constatant qu’elle ne me regarde même pas, son attention étant prise par son portable. Je tousse pour l’avertir de la situation. Elle me regarde l’air surprise :

  • Amandine : Ah désolé, ça te dérange
  • Moi : Bah euh… tes chaussettes sont mouillées au cas où tu ne l’aurais pas remarqué…
  • Amandine : (Retirant ses chaussettes sans s’aider de ses mains et laissant ces dernières tomber dans mon entrejambe) C’est mieux maintenant… ?

Sans attendre ma réponse elle retourne sur son portable sans plus prêter attention à moi. D’avoir les pieds de cette jeune déesse sur ma hanche ne me laisse pas indifférent, j’essaie tant bien que mal de rester concentré sur mon travail, mais ses mouvement d’orteils ainsi que l’odeur de ses pieds mouillés arrivant à mes narines ne me facilitent pas la tâche. Une bosse commence à se former dans mon pantalon, la situation peut devenir gênante. Je ne dois pas laisser les choses escalader, j’attrappe donc les pieds d’Amandine, les pose à côté et m’assois adossé devant le canapé.

  • Amandine : (Souriant en voyant ma gêne) C’est l’odeur qui te gêne autant ?
  • Moi : Non non, mais c’est… inapproprié, je préfère m’asseoir par terre, et puis c’est bon pour le dos.

Amandine pose désormais son pied sur mon épaule collant la plante de son pied sur ma joue, la surprise m’empêche de répondre ! Je reste béat.

  • Amandine : C’est curieux, ton frère m’avait dit que tu kiffais les pieds, il m’aurait menti alors ?

Quel enfoiré ! Je lui avais confié ce secret après une soirée fortement alcoolisée, je ne pensais pas qu’il le répéterait…

  • Moi : (N’osant pas tourner la tête) Amandine, je sais pas ce que mon frère t’as dit mais …
  • Amandine : Ou alors c’est mes pieds qui te plaisent pas ? Je sais pas, pourtant moi je les trouve plutôt beaux non ? C’est vexant…
  • Moi : (Marquant une pause) Ils sont très beaux, arrête ! C’est pas la question !

Amandine me lâche un nouveau sourire presque condescendant.

  • Amandine : Quand j’étais petite j’avais un petit chien, “Titou”. Je l’adorais ! Dès que je rentrais il venait me lécher les pieds, j’adorais cette sensation !
  • Moi : (Bien que l’image m’excite au plus haut point, je me f o r c e à répondre) Je ne suis pas un chien !
  • Amandine : (Regardant la bosse dans mon pantalon) Pourtant tu remues la queue comme lui !

Honteux, j’essaie de couvrir mon érection manifeste avec mes mains. Amandine en profite pour caresser d’un pied mon oreille, tandis qu’elle approche son second pied de ma bouche.

  • Amandine : Allez, Titou, fait bisou !

Ah et puis après tout on ne fait de mal à personne… timidement, j’approche lentement mes lèvres de son pied quand, soudainement, elle me giffle de la plante de son second pied, visiblement insatisfaite.

  • Amandine : Dis donc ! Montre moi que t’en a envie au moins !

Je reste estomaqué ! Amandine retire ses pied de mon épaule, l’a d o l e s c e n t e de 16 ans, et donc de 5 ans ma cadette, se redresse et croise les jambes :

  • Amandine : A genoux, maintenant !

Je m’exécute non sans hésiter, et me tiens à genoux devant elle.

  • Amandine : Alors ? Si t’en a envie demande moi !
  • Moi : (Bredouillant) Amandine, est ce que je peux te…
  • Amandine : (Me giflant du revers de sa main) Déjà, tu vas me vouvoyer, c’est mieux !
  • Moi : (Une larme s’échappant de ma joue) Amandine, laissez moi vous lécher les pieds.

La jeune femme éclate de rire de satisfaction.

  • Amandine : Très bien ! Lèche Titou, lèche les pieds de ta maîtresse !

Emporté par l’euphorie, je me prosterne sur le sol et commence à lécher un de ses pieds tandis qu’elle pose son second pied sur mes cheveux pour me maintenir la tête au sol. Je lèche ses pieds avec passion, commençant par le dessus puis par passer ma langue entre ses orteils, les suçant un par un, malgré le goût d’eau de pluie dont ils sont imprégnés. Ma jeune maîtresse m’indique de passer d’un pied à l’autre par un léger coup de pied sur le bout du nez, en me gratifiant d’un “bon chien”. Lorsqu’au bout de quelques minutes, elle semble s’être lassée de mes coups de langue, elle retire son pied alors profondément enfoncé dans ma bouche.

  • Amandine : Bon ça suffit maintenant, il ne pleut plus, j’y vais ! Vas me chercher mes chaussures.

J’obéis désormais sans discuter, en état de quasi-transe. Je me lève et vais lui chercher ses chaussures. Amandine attr a p e une de ses bottines, me gifle v i o l e m m e n t avec, puis les lances à l’autre bout de l’appartement :

  • Amandine : C’est pas comme ça qu’un chien rapport les chaussures à sa maîtresse ! A quatre pattes et avec les dents !

Je refais le même chemin, à quatre pattes cette fois ci, puis prend dans ma bouche les bottines boueuse de la jeune femme pour les ramener à ses pieds. Ensuite, Amandine m’ordonne de m’allonger à ses pieds, attr a p e une de ses chaussettes trempées d’eau de pluie qu’elle essore dans ma bouche. Le goût est amer et désagréable, mais sans que je ne sache très bien pourquoi, je ne bronche pas. C’est peut être parce que j’ai peur qu’elle répète ce qui venait de se passer, ou que j’espère secrètement que cette scène se reproduise.

Amandine se rechausse et s’apprête à sortir.

  • Amandine : J’ai apprécié, ça m’avait manqué
  • Moi : (Toujours au sol en train de me demander ce qui venait de se passer) J’ai beaucoup aimé aussi, tu reviens quand tu veux, n’hésite surtout pas !
  • Amandine : (constatant la boue sur ses chaussures) Avant de partir, vient là au pied, me dire au revoir.

J’avance à quatre patte vers Amandine m’apprêtant à lui baiser les pieds. Elle en profite pour essuyer la semelle de ses bottines dans mes cheveux comme sur un paillasson. Amandine quitte l’appartement, me laissant là, prosterné au sol, de la boue dans les cheveux, un goût d’eau de pluie et de honte dans la bouche, à me demander si j’aurai l’occasion de revivre ça.

Imego

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Probable, effectivement, qu'il sera amené à revivre cette situation dans la mesure où elle aussi semble y avoir pris un certain plaisir. Reste à savoir comment le frère réagira s'il découvre le pot-aux-roses.
Une très jolie histoire, merci du partage
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