Piégé dans un plan selfbondage infernal avec la honte de sa vie

Catégories : Diaper girl / Little girl Selfbondage auto bondage Enema Lavement / Médical
il y a 1 an
Cela fait longtemps que j’avais envie de me faire un plan de selfbondage cumulant les fétichismes, et celui-là, je ne risque pas de l’oublier.

Commençons par la couche. J’aime bien en mettre de temps en temps, plus par jeu qu’autre chose, disons simplement que je fantasme sur l’idée qu’une Maîtresse me l’impose.

Après, il y a la chasteté, jouer avec les sensations de la frustration génère des sensations torrides. Une fois, je me suis envoyé les deux clés de ma cage de chasteté par la poste. Je les ai postée un vendredi alors que le lundi était férié. J’avais fait un colissimo remis contre signature. Comme le mardi je travaillais, je n’ai pas pu aller chercher mon colis et donc les clés à la poste. Et me voilà donc parti le mercredi après-midi à la poste de mon quartier. Et là, surprise !

La poste de mon quartier est fermée le mercredi après-midi, et ça, je ne le savait pas. J’ai du attendre le samedi matin pour aller chercher mon colis. je ne voulais faire que trois ou quatre jours de chasteté, j’ai trouvé la semaine longue....... Longue mais terriblement excitante ; heureusement que la cage de chasteté Bon45 est solide... et que la toilette est facile, sinon, j’aurai peut-être senti le bouc !

Abordons maintenant le lavement. Comme j’aime jouer avec mon petit trou, j’ai pris l’habitude de me laver avant, c’est mieux pour l’hygiène, le matériel et franchement, cela évite les désagréments que je n’aime pas trop. Quand je dis que j’aime jouer avec mon derrière, j’avoue être devenu gourmand de ce côté. J’arrive à prendre du 60 millimètres quand je suis très chaud.

Ensuite, j’aime le bondage. Regarder des vidéos, des photos de mecs attachés obligés de subir les envies de leurs Maîtresses m’excite énormément. Mon rêve serait d’être à la merci d’une Maîtresse adapte du facesitting et qu’elle se fasse lécher de partout... pendant des heures.

Ne parvenant pas à trouver une Maîtresse, bien que j’ai un contact sympa sur fessestivites qui me laisse à penser qu’un jour ou l’autre, la chance me sourira, je fais donc du selfbondage. Oh rien de bien compliqué, j’ai un peu peur de rester bloqué. C’est d’ailleurs pour ça que je me suis pris un cadenas électronique et un coffre électronique sur ABCplaisir.

Avec le cadenas je peux m’attacher en toute sécurité, et me programmer le temps que je veux. Ensuite, comme dans le coffre j’y place soit les clés de ma cage de chasteté, soit les clés du cadenas qui ferme ma ceinture de chaîne (quand je suis en couche) une fois libéré, je ne peux pas me masturber et je dois encore attendre que le coffre me donne les clés.

La Maîtresse de mes rêves, aimeraient beaucoup l’humiliation. Elle s’amuserait à me transformer en petite fille, ou parfois en salope, et donc, m’obligerait à porter des sous-vêtements ou vêtements féminins. Je joue donc aussi avec ce fétichisme là.

Vous allez me traiter de fou, mais je n’embête personne quand, seul chez moi, je me fais mes petits délires.

Le problème que je rencontre actuellement, c’est que mes parents, qui m’aident beaucoup financièrement, m’ont demandé d’héberger ma soeur pendant ses études à Paris. GRRRR ! Non pas que je n’aime pas ma soeur, bien qu’elle soit une sacrée chipie, mais pendant deux ans, ma liberté en prend un coup. Heureusement qu’elle sort beaucoup et qu’elle passe ses vacances avec une copine. D’ailleurs, je me demande si elle n’est pas lesbienne car je ne l’entends jamais parler de mec. Mais bon, elle mène la vie qu’elle veut, je m’en moque et cela ne me regarde pas. Par contre, cette chipie, sait que j’ai quelques « travers » comme elle se plait à dire. Elle est tombée par deux fois sur des jouets que j’avais oublié de ranger.

Julie ne m’a pas jugé quand elle a découvert une couche dans la poubelle, mon gode et mes menottes sur la table, elle m’a juste martyrisé, c’est tout !

« Alors comme ça tu joues au bébé ? Tu te mets des trucs dans les fesses ? Oh t’es un gros vilain très cochon toi » ! Voilà dans les grandes lignes ce qu’elle me dit de temps en temps. Elle rajoute parfois quand elle part en vacances avec sa copine : « soit sage et ne fait pas trop de bêtises.... »

LA CATASTROPHE !

Les vacances de printemps arrivaient enfin. Elle allait partir et j’allais enfin pouvoir m’éclater en toute sécurité, ou plutôt, tranquillité. Je les attendais ces vacances comme certains ont attendu le Messie. Je m’étais même écrit un scénario de folie cumulant plusieurs fétichismes. Dans ma cantine en fer qui se cadenasse, j’avais tout préparé en rêvant à son déroulement d’une seule main sous la couette.

Julie est passé à la maison comme prévu pour prendre ses affaires. Accompagnée de sa copine Morgane qui fait des études d’infirmière. Je les vois bien ensemble en train de s’amuser.... Mais bon, ça, je n’en sais rien mais leur complicité est telle, que mon imagination ne doit pas être bien loin de la réalité.

Lorsqu’elles ont quitté la maison chargées comme des mules avec leur sac à dos et valises à roulettes, je n’en pouvais plus t’attendre. En effet, j’étais sous cage de chasteté depuis trois jours et la clé était dans le coffre électronique. Trois jours sans soulagement hormis quelques jeux discrets avec un gode, c’est long !

Par la fenêtre je les ai vues prendre le métro. OUF enfin la liberté ! J’ai fermé la porte fermée à clé et foncé dans ma chambre pour sortir mon matériel secret. J’étais, comme le dit Yves Duteil, comme une puce excitée.

  • Un jour, sur un piano,

  • Une puce élut domicile.

  • Elle posa son sac à dos,

  • Ses affaires de ville.

  • Elle avait beaucoup voyagé,

  • Beaucoup sauté, beaucoup piqué

  • Et pour ne pas qu'on la voie,

  • Sur une noire, elle s'installa.

  • Mais soudain, la lumière apparut.

  • Des sons frappèrent son oreille.

  • Une main lui marchait dessus.

  • Sa colère fut sans pareille.

  • Elle suivit ses évolutions

  • Avec des yeux pleins d'attention

  • Pour essayer de grimper

  • Sur la main qui l'avait piétinée.

  • Lorsqu'enfin, elle y parvint,

  • Elle affina son aiguille

  • Et se mit à piquer la main

  • Tout en dansant le quadrille,

  • Mais, soudain, la main s'agita

  • Et son rythme s'accéléra

  • Et la puce tout excitée,

  • De plus belle, se remit à piquer.

  • Dans la douleur et la démangeaison

  • La main se faisait plus rapide,

  • Ne suivait plus la partition

  • Et n'avait plus aucun guide

  • Mais dans la salle on applaudissait

  • Sans deviner que c'était

  • Grâce à une puce énervée

  • Que le jazz était né.

Là ce n’est pas le jazz qui allait naître, mais l’enfer et le mur de la honte pour moi !

J’avais prévu comme matériel :

Une paire de pinces à sein et un body de femme acheté sur net. Les pinces vous savez où elles vont... le body c’était pour bien maintenir la couche qui allait en avoir bien besoin.

Une paire de menottes et une chaîne acheté à Monsieur bricolage. La chaîne pour bloquer mes menottes bras en l’air quand je serai debout sous la mezzanine. Pour aller chercher les clés de mes menottes, il allait me falloir attendre que le cadenas électronique s’ouvre et libère la chaîne maintenant mes menottes.

Sur la barrière de la mezzanine, j’ai accroché ma poche lavement vintage Enema qui contenait un litre d’eau. Pour avoir plus d’aisance et ne pas prendre le risque d’arracher le tuyau, je l’ai rallongé.

Avant de jouer, je me suis fait un petit lavement éclair, si je voulais m’obliger à faire dans la couche, je ne voulais quand même pas que ce soit trop crade.

Deux bières plus tard, bien décidé à délirer à fond, j’ai enfilé des collants après avoir mis une grosse couche et un insert.

ET POUR JOUIR comme un malade, le magic wand massager, que j’allai coincer dans les collants contre la couche. Hummm, le magic sur la couche c’est bon et quand tu es sous cage de chasteté, cela rend dingue.

J’étais donc prêt pour la grande aventure et la honte de ma vie ! Mais ça, je ne le savais pas encore.

J’ai mis mon bâillon bouche ouverte pour augmenter encore les contraintes mais sans risque, le bâillon bouche ouverte ne gêne pas la respiration. J’étais en nage quand j’ai mis les pinces à sein et le body en laissant dépasser la chaînette des pinces pour la frotter un peu contre la poutre verticale. A la suite de quoi, j’ai lié mes chevilles, placé le magic contre la couche sous les collants et le body. Mettre la canule de la poche à lavement m’a demandé un peu de sport mais j’y suis parvenu sans rien déchirer. Une fois le petit robinet ouvert, pour ne pas revenir en arrière, j’ai accélérer les choses. Se préparer pour une séquence de selfbondage est excitant mais là, comme je commençais à m’injecter un litre d’eau dans les fesses avec une couche comme seule protection, j’étais un peu tendu.

Après un dernier regard pour tout vérifier, j’ai programmé deux heures sur le cadenas électronique qui maintenait la chaîne et mes menottes en l’air. Un, deux, trois clic clic clic, j’étais prisonnier à la merci d’une Maîtresse horriblement perverse, hélas imaginaire.

La poche à lavement libérait son contenu dans mes fesses, le magic wand massager appuyait sur ma couche ET sur ma cage de chasteté. Les yeux fermés de plaisir, je savourais les sensations multiples. Un petit pipi en même temps m’a presque conduit à la jouissance.

Un bruit de serrure m’a fait froid dans le dos. Les yeux braqués sur la porte, j’ai vu la poignée s’abaisser et la porte s’ouvrir. J’étais MAL de chez MAL grave quand je les ai vues entrer !

  • Oh putain ! A crier ma soeur.

  • Ah oui, quand même ! A ajouté Morgane en éclatant de rire. Tu as raison, ton frère est vraiment space ! Mais space grave dans son genre.

  • Je te savais barjot, mais pas à ce point là ! M’a dit Julie en posant son sac.

  • Qu’est-ce qu’on fait ? A demandé Morgan.

  • Rien, on le laisse se démerder tout seul, ce con nous fera du spectacle. Tu veux boire un verre ? Lui a demandé ma soeur.

  • Oui, un jus de fruit si tu as.

Dire que j’étais mort de honte est un euphémisme. Que le plaisir n’était plus au rendez-vous, vous vous en doutez aussi. Dans ma tête, mille questions tournaient et s’entrechoquaient en plus de la honte. La principale question était : qu’allait dire ma soeur à mes parents ?

  • Alors comme ça tu es un travesti ? M’a demandé ma soeur au bout d’un moment avant d’ajouter tu es gay ?

J’ai fait non de la tête mais elle n’avait pas trop l’air d’y croire.

  • Je vois que tu aimes aussi avoir le cul sale ! A ajouté Morgane.

  • Pourquoi tu dis ça ? Lui a demandé ma soeur.

  • Ben regarde, il a une couche et tu vois le truc bleu au-dessus, c’est une poche à lavement. d’ailleurs on n’en fait plus des comme ça, à l’hôpital elles sont en plastique. La, il est en train de se faire un lavement et, comme il est attaché, il va tout rejeter dans sa couche.

  • Mais tu es un porc ! S’écrié ma soeur en me regardant. Un porc complètement givré. Mais tu n’es pas fini mon frère, il te manque des cases.

  • Je peux m’amuser un peu avec lui ?

  • Tu peux lui faire ce que tu veux, je n’en ai rien à faire de lui, il me fait trop honte.

  • Oh, oh, Julie, à chacun ses délires, ne le juge pas, tu as aussi les tiens non ?

Et bing, prend ça dans les dents ma soeur. Là j’étais ravi mais aussi inquiet quand Morgane s’est levée pour venir vers moi. Avec un sourire très pervers, elle a décroché la poche à lavement pour aller la remplir ! J’étais blême, elle n’allait quand même pas oser ! Et bien si, elle l’a fait ! Elle l’a remplie et remise en place en reliant la rallonge de mon tuyau à celui de la poche à lavement.

  • Tu reprendras bien un verre avec nous, enfin, une poche quoi ? M’a dit Morgane en me regardant avec des yeux rieurs. Mais c’est quoi ce truc avec un fil qui vivre la dessous ? M’a demandé ensuite Morgane, comme si je pouvais répondre en retirant le magic qu’elle a pris dans ses mains.

  • OH, il est d’enfer ce truc, hummm, cela doit être très jouissif ça. A indiqué Morgane à ma soeur en le frottant comme ma couche.

  • Arrête ça, je ne veux pas en voir plus ! A crié ma soeur.

  • Mais si, aller, on va bien s’amuser ! Lui a répondu Morgane en posant le magic contre son sexe par-dessus sa robe. Je le veux il a l’air torride. Tu me l’offres et je te fais jouir ?

  • Arrête ! A à nouveau dit ma soeur, cela me gêne.

  • Faut pas, si tu savais ce que l’on voit à l’hôpital au service des urgences, tu ne serais plus gênée pour si peu.

  • Oui mais c’est mon frère, quand même ! ! !

  • On ne fait rien de mal, regarde comme il se tortille quand on pose son gros vibro contre sa couche. C’est bon bébé, c’est bon ça ? Aller, dit-le que tu aimes ça ?

Cette garce s’amusait avec le magic contre ma couche sans savoir qu’en plus, j’avais une cage. Si c’était monstrueusement gênant, j’avoue que les sensations, elles, étaient grisantes. Soudain, elle s’est mise à tirer sur la chaînette des pinces à sein,, là c’est devenu du hard pour moi.

  • Regarde comme il se tortille quand on le frotte un peu avec ses jouets !Je suis sûre qu’il bande comme un âne ! A conclu Morgane en plaquant sa main contre ma couche. Mais c’est bien dur là, tu as mis quoi en plus ?

Et là, malgré les « non arrête » de ma soeur elle a tout écarté pour voir ce qu’il y avait dans ma couche.

  • Wouahouuuu ! Il a aussi une cage de chasteté ton frère. C’est toi qui garde les clés ?

  • Mais tu n’as pas fini de dire des bêtises ! Tu me vois jouer avec mon frère ? Cela ne va pas la tête ? Arrête s’il te plait, je suis trop gênée, j’ai honte. Lui a demandé Julie en la suppliant vraiment.

  • D’accord, je le laisse tranquille. On va juste le regarder s’amuser ! Lui a dit Morgane en remettant le magic dans les collants.

Elle m’a planté là pour aller boire son jus de fruits. Je transpirai à grosses gouttes, j’avais honte et le « cul qui poussait ». Me faire dessus devant elles n’était pas quelque chose d’envisageable, mais hélas, quand cela pousse, cela pousse vraiment surtout que j’avais deux litres dans les fesses. Je les serrais comme un malade pour résister, il y avait quelques fuites, mais je tenais le coup malgré le magic et ses vibrations continuant son travail de sape. Le cadenas électronique a fini par afficher le « zéro » de son minuteur, le zéro de ma liberté. C’est là que j’ai pris conscience que cela faisait deux heures que j’étais attaché.

OUI MAIS, si mes bras sont redescendus, je n’étais pas libre pour autant. Il me restait à attraper les clés de menottes et libérer mes chevilles pour pouvoir m’enfuir. Mes seins me faisaient un mal de chien mais je n’ai rien dit. Par contre, me baisser pour libérer mes jambes a été fatal à la lutte désespérée de mon anus tendant de contrôler la situation. C’est parti d’un seul coup, je me suis vidé dans la couche sans rien pouvoir contenir. Elles n’ont rien vu, elles étaient en plain délire OUF. La sensation m’a surpris, j’aurai préféré la vivre seul car là, elle manquait de « saveur » si je peux me permettre d’utiliser ce mot. ^^^

A petits pas, j’ai récupéré les clés des menottes sur la table et je me suis enfui à la salle de bain sous leurs commentaires particulièrement désobligeants. Je vous passerai les détails de mon passage à la salle de bain, ils sont sans intérêt. N’ayant pas prévu d’avoir du monde ..... je n’avais pas prévu non plus de peignoir ni de vêtement dans la salle de bain. C’est avec la serviette autour de la taille que j’ai traversé le salon la tête basse et la queue encagée, entre les jambes pour aller dans ma chambre.

Une demi-heure plus tard, Morgane a tapé à la porte de ma chambre d’où, monstrueusement gêné je n’osais sortir.

  • Allez, vient tu n’en es par mort et puis, il faut que l’on discute.

Lorsque je suis arrivé au salon, rouge comme une tomate trop mure, j’ai vu que mon coffre électronique était ouvert et que les clés de ma cage de chasteté n’étaient plus à l’intérieur. Je me suis immédiatement dit que je n’étais pas encore sorti de l’enfer avec cette garce.

  • Assois-toi avec nous, j’ai un deal à te proposer. M’a indiqué Morgane. Tu me fais voir ta cage de chasteté et me donne ton gros vibro, et je te rends les clés de ta cage de chasteté.

  • Je ne veux pas la voir ! A crié ma soeur ! Tu déconnes grave là. Merde c’est mon frère !

  • Ok, ferme les yeux, je te dirai quand les ouvrir. ET toi, baisse ton short je veux la voir !

Noyé dans le désespoir, sans aucune capacité intellectuelle de résister, je me suis exécuté rapidement. J’ai baissé mon short quelques secondes avant de le remonter à la vitesse grand V. A la suite de quoi, je lui ai donné mon magic, et elle m’a rendu les clés de ma cage.

  • Tu vas jouir comme une folle avec ça ma puce ! A indiqué Morgane à Julie qui s’est figée.

  • Vas y, raconte-lui m’a vie tant que tu y es ! A hurlé ma soeur folle de rage.

  • Oh là, tu te calmes et ne me parles pas sur ce ton. Tu crois que ton frère va parler avec ce que l’on sait sur lui ? Cela m’étonnerait ! Je crois qu’il est temps de faire ton coming out et d’arrêter de vivre en cachette toi aussi, merde.

  • C’est moi que cela regarde ! Tu n’as pas à en parler, et encore moins à mon frère.

  • Cela m’étonnerait que ton frère te juge, il semble avoir une sexualité très débridée et doit s’en taper le coquillard.

  • Bon, ben voilà, je suis lesbienne, maintenant tu sais tout ! Ca change quelque chose pour toi ?

  • Non Julie, pas du tout. Tu peux vivre la vie que tu veux, cela ne me regarde pas. C’est ta vie. Je t’avoue que je m’en doutais un peu mais je ne t’ai jamais rien dit.

  • Comment ça tu t’en doutais ?

  • Je ne t’ai jamais vue avec un mec, tu ne m’as jamais parlé de petit copain, et comme tu as 20 ans, je me doute bien que tu as une sexualité comme tout le monde. Après, laquelle, je m’en moque royalement. Le principal pour moi est que tu sois heureuse. J’en profite pour te dire que je ne suis pas travesti et encore moins gay. J’ai des fantasmes de BDSM et un peu autour de la couche, c’est tout. Tu vois, à chacun ses délires et sa sexualité.

EPILOGUE

Le train les conduisant à Saint-Malo ayant été annulé, ma soeur et son amie avait été obligées de revenir à la maison. C’est grâce à la SNCF que mes relations avec ma soeur ont pris une autre tournure, celle des petites confidences et de la complicité. C’est aussi grâce à la SNCF que j’ai eu la honte de ma vie.

Ce soir là, nous avons discuté tous les trois et abordé divers aspects de la sexualité. Morgane, en dernière année de ses études d’infirmière, nous a éclairé sur les choses et surtout, les anecdotes de l’hôpital. Si nous ne parlons pas de sexe avec ma soeur, elle n’a plus besoin de se cacher pour vivre, au moins avec moi. Nous savons tous deux que nous avons nos jardins secrets et puis c’est tout.

J’ai appris à apprécier Morgane, elle est toujours taquine avec moi, mais en étant respectueuse. Nous nous voyons de temps en temps, et gros gag, lorsqu’elles m’ont invité dans sa maison familiale à Saint-Malo avec ma nouvelle amie que j’ai rencontrée grâce à elle.

  • Ma copine sait pour tes délires, alors je t’ai apporté une couche pour la nuit que j’ai prise pour toi à l’hôpital. Comme ça, ce soir, elle pourra jouer à la nurse et toi au gros bébé. A indiqué Morgane pendant l’apéro.

Mon sang s’est glacé dans mes veines.

  • Quoi, tu lui as tout raconté ? Lui ai-je demandé furax !

  • Tu sais entre filles, on ne parle pas que de la mode.....

Ma chérie, pas gênée du tout m’a embrassé et murmuré : « ce soir bébé, je te fais ta fête ».

Comme quoi, l’enfer peut conduire au bonheur.

TSM

QUELQUES LIENS

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Hummmmm,très belle histoire..!
merci beaucoup pour cette histoire palpitante
Merci pour ce récit!
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