Une Maîtresse particulièrement sévère avec son soumis

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il y a 1 an
MAlice est une jeune Maîtresse âgé de 30 ans, jolie comme un coeur et avec un caractère bien trempé, elle fait tourner la tête des hommes. Hélas pour eux, elle est amoureuse de Henri son mari et soumis. Ne donnant pas dans la pluralité ni le libertinage, SON homme lui suffit amplement.

Henri est également un bel homme, un soumis heureux et comblé même si sa femme est tout sauf tendre avec lui. Etant exclusive de nature, hormis le jour de leur mariage, il est sous cage de chasteté quasiment depuis qu’ils sont ensemble.

Cette cage de chasteté ne les empêche pas de faire l’amour quand Madame a des envies, elle bloque tout simplement la masturbation. Que son mari et soumis puisse se masturber est au dessus de l’entendement pour MAlice. M pour Maîtresse, Alice pour son prénom. Pour elle, son mari n’a droit au plaisir que si elle le désire, et ce plaisir doit toujours être en sa présence.

Le problème de Henri, est qu’avoir une aussi jolie femme est générateur de désir, surtout qu’elle est la patronne d’une boutique de lingerie féminine de grande marque. Autant dire qu’elle ne manque pas de sous-vêtements dont certains sont affriolants. Relecteur et correcteur de livres pour un petit éditeur, ce pauvre soumis travaille parfois sur des histoires BDSM ou fétichistes lui donnant des envies. Sauf que sous cage de chasteté H24, il ne peut pas « soulager la pression » discrètement.

Henri a trouvé un moyen détourné pour se soulager un peu en l’absence de sa femme. Il s’est acheté quelques plugs et sextoys vibrants pour compléter ses selfbondages.

Ce qui devait arriver arriva ! MAlice étant souffrante, elle confia la fermeture du magasin à ses employées pour passer chez le médecin et rentrer chez elle. Et là, trouver son mari entravé dans le salon avec une cagoule BDSM sur la tête, un plug anal vibrant dans les fesses et un magic wand attaché à ses précieuses ne l’a pas amusée du tout !

Pour ce selfbondage, le pauvre Henri s’était entravé dans leur chambre et avait placé les clés des menottes et cadenas dans le salon. Son petit défi était de ramper jusqu’aux clés à l’aveugle pour se libérer. Sauf que sa femme a immédiatement compris ce qu’il faisait. Etant très souffrante, elle a juste récupéré les clés après l’avoir incendié. Ce n’est que trois heures plus tard et après un long bain chaud que MAlice les lui a restitué pour qu’il prépare le repas.

Autant dire que Henri était horriblement gêné d’avoir été pris sur le fait et surtout, qu’elle ne le punisse pas. Cela ne pouvait que cacher quelque chose, le calme avant la tempête comme on dit. Et il ne se trompait pas !

MAlice confisqua évidement le petit matériel de son soumis. Elle lui promit simplement un « Rendez-fesses » qu’il n’oublierait jamais.

QUINZE JOURS PLUS TARD

Le jeudi, MAlice prévient son mari qu’elle a invité des amis pour le thé le samedi. La maison devait donc être encore plus parfaite que les autres jours. Sa mission était de préparer des petits gâteaux et d’assurer le service. Tout devait être prêt pour 16 heures.

Servir sa reine, Henri en a l’habitude, c’est un grand plaisir pour lui, et plus encore quand il y a du monde. Il mit donc son point d’honneur à ce que tout soit parfait.

Vêtu normalement, Henri accueille trois femmes rayonnantes et un homme soumis facile à reconnaître pour cause de collier BDSM. Il découvre rapidement pendant les conversations que les femmes sont des Maîtresses, l’une d’elle, la plus vicieuses est dominatrice professionnelle. Soudain, le glas sonne pour lui lorsqu’elle lui demande devant tout le monde d’aller au coin des réflexions, le coin où il doit aller après sa fessée.

  • Les filles, il faut que je vous raconte ce que mon soumis a osé faire ! Déclare MAlice. Monsieur ose essayer de tricher et prendre du plaisir dans mon dos.

  • Mais il n’est pas sous cage de chasteté demande l’une d’elle !

  • Si bien sûr, mais il n’est pas chaste du cul. Il se met des plugs vibrants, attache des sextoys à sa cage et va jusqu’à s’attacher tout seul. A priori, je ne dois pas m’occuper assez de lui, il doit se faire passer pour un soumis délaissé !

  • Je suppose qu’il fait ça dans ton dos. Franchement, pour moi, c’est une trahison, une faute lourde. Je ne te dis pas ce que je ferai à mon soumis si je découvre ça. Indique la domina professionnelle.

  • Et bien, je vais donc le punir devant vous de deux façons, vous pourrez contribuer si vous le désirez. Cela nous fera un peu de distraction.

En entendant cette discussion, le pauvre Henri s’est décomposé. Son rêve était de pouvoir glisser entre le mur et le papier peint.

- Henri, viens ici pour ta fessée et baisse ton « calbut » j’ai à te parler !

Rouge comme une canette de coca, (pour changer un peu d’expression) Henri s’approche de sa Maîtresse. Elle a reculé sa chaise et posé sur la table un paddle Saku. Il sait qu’il est inutile de supplier, qu’il va recevoir une fessée en public. Pudique de nature, il est aussi horriblement gêné de devoir se déculotter devant du monde et surtout, que l’on voit sa cage de chasteté.

Tant bien que mal, il parvient à baisser son pantalon. Faire ça devant tout le monde est déjà une punition pour lui. Les doigts passés dans l’élastique de son slip, il essaye de soudoyer sa Maîtresse en faisant sa tête de cocker. En guise de réponse, elle l’attrape et le lui baisse jusqu’au genoux.

  • Regardez-moi ça, monsieur fait sa chochotte après avoir osé tromper ma confiance ! Crie MAlice.

Attrapé par le col, il chute presque sur les genoux de sa Maîtresse. La fessée démarre aussitôt, puissante, précise, régulière, elle n’a réellement pas pour but d’être érotique. Quand il tente de mettre la main pour se protéger, elle claque ses cuisses avec la même puissante ce qui est extrêmement douloureux. En voyant qu’il commence à se débattre, la domina professionnelle ordonne a son soumis d’aller lui tenir les pieds. Elle se place devant lui et attrape ses poignets en lui disant qu’un soumis qui a fauté se doit d’assumer. Henri est mort de honte, un mec derrière lui assiste à sa fessée avec une vue imprenable sur sa cage de chasteté.

Face à lui, le regard de la domina lui fait baisser les yeux. Lorsque la fessée reprend avec le paddle Saku, il vit un enfer. Ses fesses déjà bien marquées menacent d’imploser tant la douleur est vive. Il crie, il couine comme une pucelle devant tout le monde.

Lorsque la fessée se termine enfin, on pourrait aisément faire cuire un oeuf sur ses fesses. Sauf que la punition est loin d’être finie comme va le constater Henri. Au lieu de l’envoyer au coin, MAlice l’oblige à se pencher en avant sur la table de la salle à manger. Elle lui ordonne de regarder ses amies en lui interdisant de baisser les yeux.

Henri imagine que c’est pour l’obliger à assumer publiquement sa punition et pour continuer à lui faire honte. Mais ce qui l’attend est bien pire.

  • Mon amour, j’ai découvert il y a peu que tu aimes le plaisir anal, tu sais, quand je t’ai trouvé attaché avec un plug dans le cul ! Et bien à présent, j’ai décidé de te faire un cadeau. Un cadeau ne se refuse pas. Tu n’as pas intérêt à me décevoir devant mes amis.

La chose était préméditée comme le découvre le pauvre Henri en voyant le soumis faire le tour de la table pendant qu’elle lui met des menottes qu’elle relie au pieds de la dite table avec une chaîne.

  • Lève la tête et regarde mes amis, je veux vraiment leur faire découvrir combien tu aimes avoir des choses dans le cul !

  • Pitié Maîtresse, j’ai trop honte, je ne ferai plus jamais rien sans votre permission, je vous en supplie ! Demande Henri en pleurnichant.

  • Ce n’est pas un plug que tu vas avoir dans les fesses ni même une fessée, mais une vraie bite ! Crie presque MAlice furieuse.

  • A non pas ça, je ne veux pas, non Maîtresseeeee ! Dit Henri en sentant un doigt lubrifier son anus.

Le soumis de la domina étant bisexuel, se faire un aussi joli petit cul bien rouge ne lui pose aucun problème, bien au contraire, et si en plus cela fait plaisir à sa Maîtresse, son plaisir en est décuplé. Autant dire qu’il ne tarde pas à mettre un préservatif et à sodomiser Henri cash après lui avoir écarté les fesses. La pénétration ayant été brutale et douloureuse, il couine comme une pucelle en serrant les poings si fort, que ses doigts virent au rouge.

  • Lève la tête et ouvre les yeux, je veux qu’on voit bien que tu prends du plaisir par le cul ! Lui ordonne sa Maîtresse.

Les humiliations sont à leur comble quand les Maîtresses et la domina commentent les expressions de son visage. En voyant la domina chuchoter à l’oreille de sa femme, Henri prend peur, elle ne peut que conspirer, lui donner de très mauvaises idées. Elle se lève pour se rendre sur la terrasse et récupérer le panier des épingles à linge avant de venir vers lui.

  • Tire la langue ! Lui ordonne la domina pendant que dans ses fesses, le marteau piqueur s’acharne à le défoncer.

La domina place deux pinces à linge sur sa langue en indiquant que cela lui évitera de prendre du plaisir de l’autre côté de son tube digestif. Effectivement, les pinces sur la langue sont si douloureuses qu’il en a les yeux qui mouillent. Pire encore, elle demande à son soumis de reculer pour lui en placer sur la peau des couilles.

  • Allez bébé, tu peux lui casser le cul autant que tu veux, mais prend ton temps, c’est un délicieux spectacle que tu nous offres !

Du plaisir, Henri n’en prendra pas, entre la douleur et la honte, cela n’est pas possible même si, il commençait à apprécier d’avoir une bonne bite travailleuse dans les fesses. Mais ça, c’était avant les pinces à linge posées par la diabolique dominatrice.

Bien éduqué, le marteau piqueur demande à sa dominatrice si il peut jouir, la permission lui est accordée, cela fait déjà plus de vingt minutes qu’il burine de bon coeur. Lorsqu’il se bloque profondément enfoncé entre les petites fesses, les femmes se mettent à applaudir, il a été un bon soumis.

Le retrait des pinces par MAlice est un véritable calvaire, si bien qu’en se disant peinée de lui faire mal, elle demande à ses amis de venir lui retirer. Elles ne se font évidemment pas prier et ne manquent pas de commentaires sur le beau petit cul bien rouge qu’elles n’hésitent pas à claquer au passage. Libéré Henri est invité à se rhabiller et assurer la suite du service.

Cette punition là, il ne l’oubliera effectivement jamais !

Fin

TSM

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💖💖💖💖 belle histoire.
Je veux pas dire, mais il l'a bien cherché.
La Dame manifeste in léger deficit de mansuétude, favorablement contrebalancé par un solide sens de ma mise en scène. 😃
trés belle histoire
Merci pour ce récit!
Bonsoir Monsieur TSM. Très beau récit qui donne envie 😻😻👍
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