Premières expériences et engrenages : Chapitre 37 : Reconnaissances et confidences

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il y a 1 an

Chapitre 37 : Reconnaissance et confidences

Maitresse Diane partit se changer, emportant Ben avec elle. La tache de vin était bien visible, malgré la noirceur de la robe. Les efforts de Ben, pour la nettoyer avec une serviette, étaient restés vains, sous le sourire discret de Ladyscar. Elle était maintenant seule avec moi dans le salon. Elle s’approcha de moi et m’enleva les pinces de mes tétons.

  • C’est une récompense pour le vin, me susurra-t-elle à l’oreille en les ôtant, me frottant la zone endolorie pour réactiver le flux sanguin.

  • Pourquoi a-t-elle agi comme cela avec vous ? osai-je demander, tandis qu’elle continuait à me frotter délicatement le tétons.

  • Ce club est plutôt huppé. Il est dirigé par trois membres. Ce sont elles qui votent l’acceptation de nouveaux membres. Je n’y ai été admis qu’avec deux voix.

  • Maitresse Diane a voté contre ?

  • Oui. Selon elle, mon niveau social, ma profession, n’est pas au minimum requis. Je crois surtout qu’elle n’aime pas qu’on lui résiste, qu’on lui tienne tête.

  • Le caractère des dominatrices est parfois difficile à endurer, m’essayai-je au sarcasme.

Elle me sourit.

  • De la fraicheur ! De la naïveté, du sarcasme, une pointe de rébellion mais surtout de la fraicheur ! me rappela-t-elle en souriant. Prends un verre. Tu dois avoir soif maintenant.

Je me servis de l’eau gazeuse, le seul liquide non alcoolisé que je trouvais sur le plateau, posé sur une petite table ancienne aux pieds arrondis. Tout le mobilier était de type ancien, vrai ou faux, je ne saurais le dire. Mais le vin n’avait pas touché que la robe. C’était pourtant sans s’émouvoir pour le tissu de son canapé que la maitresse était montée.

  • Que va-t-il se passer maintenant ? demandai-je.

  • Les surprises, tu n’apprécies pas ?

  • C’est démodé, lui répondis-je, me disant intérieurement que j’en avais eu suffisamment depuis quinze jours.

  • Deux couples de dominatrices et soumis vont nous rejoindre. Nous mangerons et nous jouerons, ajouta-t-elle, avec ce regard de prédatrice. Inutile de me demander qui seront nos jouets.

  • Les deux autres membres ?

  • Oui.

  • Pourquoi vous associer avec ces dominatrices, si elles ne correspondent pas avec votre style de vie, à votre vision ? essayai-je d’exprimer ma question.

  • Elles ont cette demeure, des entrées dans le monde, un réseau, de très jolis jouets aussi et même une certaine protection, si on flirte un peu trop avec la légalité. Partager, échanger avec elles est plaisant, dit-elle. On se sent vite seule dans cette pratique. Je ne pus m’empêcher de pouffer d’amusement.

  • Pourquoi ris-tu ?

  • Madame, je n’ai jamais été aussi entouré que depuis que j’ai été entrainé dans votre jeu. Je n’avais aucun ami dans cette école, dans cette ville. Maintenant dix personnes sont au courant de ma situation et bientôt quatorze.

Nous n’étions pas mathématiciens pour rien. Elle réagit au nombre que je venais de lui annoncer. Elle énonça les noms des deux étudiantes, de l’infirmière, du couple chez qui nous étions, sans s’oublier et enfin celui de Vincent.

  • J’arrive à sept. Qui sont les trois derniers ?

  • Sébastien. L’ami de Valérie, le comique du fond de la classe. Il a découvert un de mes jouets, ajoutai-je devant le regard suspicieux de ma maitresse.

Loin de moi de vouloir mettre Valérie dans l’embarras, même si c’est cette dernière qui avait finalement avoué.

  • Tu aurais du les ranger, commença-t-elle avec la voix particulière qui amenait à la punition.

  • C’est maintenant un adepte. Il a prévu recevoir sa cage volontairement, me défendis-je, espérant lui faire changer d’état d’esprit.

  • Valérie l’a convaincu ?

  • Je crains de n’y avoir que trop participé, en quelques sorte, dis-je heureux d’éviter un probable châtiment.

  • Qui sont les deux autres ?

  • Je voulais vous en parler. Je ne sais pas comment agir. Je souhaitais vos conseils. Il s’agit d’un de mes voisins, un homosexuel et son petit ami. Il a surpris notre séance de mardi dernier. Il a des photos et me fait également chanter, précisai-je en sachant que je ne risquais plus forcément grand-chose d’elle.

  • A qui veut-il les montrer ? me demanda-t-elle.

  • A notre logeuse. Cela se reportera sur mes parents !

  • Et que veulent-ils ?

  • Profiter de moi, physiquement. En tout cas dans un premier temps. Vous savez comment cela fonctionne.

Ladyscar réfléchissait encore lorsque Maitresse Diane redescendit. Elle portait cette fois une tenue de cuir suggestive de sa passion, qui aurait beaucoup plus à la vision stéréotypée de Vincent. Ben, nu comme moi, la suivait ; il portait également une cage, ridiculement petite. De profil, je n’étais pas certain qu’elle dépassait de ses couilles gonflées. Risquai-je la même ?

Il portait également des zébrures sur le dos qu’il n’avait pas en montant peu avant. Il avait été puni pendant que nous discutions. Était-ce à cause de son manque de performance envers Ladyscar ? De ne pas avoir pu la protéger ?

Il était maintenant huit heures et demie à la grande pendule. Nous étions là depuis une heure et je doutais que d’autres invités n’arrivent quand le carillon retentit à nouveau.

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