Premières expériences et engrenages : Chapitre 47 : Derniers mots, derniers maux

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il y a 1 an

Chapitre 47 : Dernier mots, derniers maux

Lady Christine en terminait enfin avec son soumis. Cinquante coups de cravache dans le dos ! Ce dernier prononçait les derniers nombres en expirant dans tous les sens du terme. Je réfléchissais, convaincu que l’attaque de front contre ces deux femmes que menait Ladyscar était vouée à l’échec. J’avais encore deux jours à passer avec elles. Je cherchais une meilleure idée.

Il me fallait les amadouer. A part le verre de vin, je pense que j’aurai déjà pu réussir avec Maitresse Diane. Lady Christine, c’était différent ; elle aimait juste infliger de la douleur. Pour le maso que j’étais, ce ne serait pas un problème, enfin je le croyais encore à ce moment-là.

  • Pouvons-nous les détacher et les nettoyer, demanda sarcastiquement Ladyscar après que Lady Christine eut prolongé au maximum la séance.

  • Maîtresse, sans vouloir m’imposer, pris-je la parole. Je comprends que le sort m’ayant été favorable, et, plus encore, du regret de vos amies de ne pouvoir profiter du tirage, vous siérait-il de m’offrir, à chacune d’elle, pour cinq coups supplémentaires ? Cela diminuera la tension que je ressens entre vous. Le reste de la réjouissance n’en sera que plus serein et amical.

J’avais préparé ma phrase depuis quelques minutes. Je regrettais que ma maîtresse m’ait devancé en demandant mon détachement, la mettant ainsi en porte-à-faux, si elle devait rejeter ma proposition.

Lady Christine ne réagissait pas, probablement à rechercher le piège, comme toute manipulatrice subodorerait. Maîtresse Diane était à nouveau enchantée. Sans la voir, je l’entendais taper des mains.

  • Magnifique idée, je commence, je commence, dit-elle alors que les deux autres étaient encore sous le coup de la surprise.

  • Mettons des règles en place, reprit Lady Christine. Je propose que le choix des armes appartienne à celles qui agissent et celui des zones aux maîtresses de soumis, vu que le vôtre a proposé le nombre de coups. Bien évidemment, pour équilibrer, nos soumis subiront le même sort.

  • Parfait, parfait, valida Maîtresse Diane, n’écoutant qu’à moitié les propositions, ayant juste hâte de me donner la correction que je méritais pour le vin et que le tirage lui avait fait manquer par deux fois.

Dix coups supplémentaires seraient ainsi donnés à Ben et Nathan. Ce n’était pas ce que je voulais. Je me demandais si Lady Christine avait proposé cela dans un juste souci d’équité, ou si elle désirait que les autres soumis m’en veuillent, ce qui s’accordait plus au tempérament que je discernais en elle.

Maîtresse Diane, semblait toujours apprécier. Elle choisit la canne, poussant les autres à faire de même avant que je ne changeasse d’avis. Lady Christine, plus réfléchie, préféra le fouet.

  • Qu’est-ce qui t’a pris ? me chuchota Ladyscar. Elles ne vont pas te rater. Je me suis battue contre Marguerite pour diminuer au maximum ce qui t’attendait et toi tu en redemandes. Pourquoi leur offrir cela ?

Je regrettai déjà mon intervention. J’avais indiqué les coups, mais je ne pensais pas qu’elles changeraient de jouet, d’arme comme avait prononcée Lady Christine. Quand cette petite femme détacha du fond de la salle, devant moi, un long fouet de plus de deux mètres qui ne devait servir qu’aux chevaux, je compris mieux l’utilisation du terme qu’elle avait choisi.

  • Il semblerait que j’eusse présumé un peu de mes forces, avouai-je.

  • Un vrai masochiste, me répondit-elle. Je me demande pourquoi j’ai déployé tant de précautions et de fourberies pour t’amener ici ; Tu t’y serais jeté tout seul, un agneau à l’abattoir, ajouta-t-elle dont l’image semblait correspondre à ce que je deviendrais, une fois mon bourreau passé.

Elle n’avait pas tort. Même si j’angoissais de voir cette arme, le plaisir de la recevoir, me donna un instant de jouissance que ni la cage, ni la pâte, ni le chat à neuf queues ne purent m’ôter. Ma maîtresse s’éloigna rejoindre les deux autres, choisir son propre jouet, son arme, dont je serai le seul à ne pas souffrir.

  • Je suis désolé. Je ne savais pas que cela se retournerait contre vous, lançai-je aux autres soumis, sans porter la voix.

  • Nous sommes là pour obéir à leur ordre, récita Ben, sans émotion, ni semble-t-il de conscience.

  • Ben a raison ! Ce n’est pas ta faute, interpréta Nathan. Nos maîtresses prennent plaisir à nous tourmenter. A ce que j’ai compris, tu dois y passer le weekend. Si tu veux un conseil gratuit, fais-toi discret, tu ne tiendras pas la distance. Elles sont plus fortes que toi, surtout quand elles sont ensemble.

  • Sais-tu ce qui m’attend ?

  • Je dirai, quelles voudront te sortir, t’exhiber. Tu es si jeune. Il y a des centaines de choses qu’elles voudront faire avec toi, que je voudrais faire avec toi, surtout avant que tu ne risques de changer d’avis.

  • Demain, c’est le jour des fenêtres, déclara Ben, sans que nous ne comprenions, ni Nathan, ni moi, ce qu’il voulait dire, comme en transe.

Il ne semblait pas encore remis des coups de paddle et je n’insistai pas.

  • Je devrai avoir une nouvelle cage ce dimanche. Je crains qu’elle ne soit comme la tienne, Ben.

  • Non, me répondit Nathan. Elles diminuent les tailles progressivement, mais comment t’es-tu retrouvé si jeune ainsi ?

  • Je me suis fait manipuler. Ladyscar est douée !

  • Et tu n’as pas peur de son ancien soumis ? Il est plutôt genre jaloux.

  • Son ancien soumis ? Je n’en ai jamais entendu parler !

  • Alors je ne t’ai rien dit, termina Nathan, me laissant sur ma faim, tandis que les maîtresses revenaient sur nous.

Hâte que Nathalie revienne j'aime bien son côté sadique et sans Pitier
Le prochain chapitre est sur https://fessestivites.com/recit/197596
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