Premières expériences et engrenages : Chapitre 48 : Sadisme

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il y a 1 an

Chapitre 48 : Sadisme

Ladyscar ne voulait pas être en reste et, pour ces cinq derniers coups, elle revint de l’étagère d’exposition avec un câble électrique. Maîtresse Diane, regardant coup sur coup le câble et le fouet, regrettait déjà son choix qu’elle jugeait probablement un peu conventionnel ou pas assez sadique.

  • Pour Nathan, dit Lady Christine, cinq coups de canne à l’arrière des cuisses et les cinq coups de câble sur le ventre.

  • Pour Ben, ajouta Maîtresse Diane, il recevra les cinq coups de fouets sur le dos et ceux des câbles sur les fesses.

  • Pour mon soumis, poursuivit Ladyscar, le fouet dans le dos également, et les coups de canne à l’arrière des cuisses.

Au vu du jeu de cartes des emplacements d’anatomie humaine, comprenant plusieurs lieus dans les zones génitales, je soupçonnais que nos maîtresses tenaient secrètement à nous. Elles décidèrent ensuite de procéder soumis par soumis, plutôt que maîtresse par maîtresse et comme ma position convenait toujours aux zones de mon corps, on me garda attaché pendant que Ben, puis Nathan, subiraient les conséquences de mon orgueil.

Lady Christine voulut commencer avec le fouet. Elle fouetta l’air dans la pièce devant moi, cherchant l’ampleur du geste qui serait le plus efficace, me laissant bénéficier du spectacle. Dès le premier coup, elle arriva à faire claquer le bout du fouet dans l’air. Je savais ce que ce bruit voulait dire. Elle arrivait à lui donner la vitesse du son. C’était le bang hypersonique… trois cents mètres par secondes.

Mon corps fut pris par des frissons. Instinctivement je me contractais. Elle me sourit, jouissant, avant même de s’en servir, de la peur qui me tenaillait à la vue de son…arme. Je ne voyais pas Ben, mais je doutais, malgré son expérience, que ce spectacle le laissait froid.

  • Tu vas adorer, me dit-elle, passant près de moi avant de rejoindre le premier à devoir être châtié.

Je secouais la tête, moins en signe de dénégation, que le regret de m’être ainsi exposé, et d’exposer les autres soumis.

  • Maîtresse, implora Ben à notre hôtesse, ce n’est pas nécessaire, je serais un bon soumis. Il est inutile de me fouetter, geignit-il en vain.

  • Je le sais mais cela te servira à te rappeler d’éduquer aussi tes petits camarades de jeux, surtout quand ils sont impolis, railleurs et débutants. Tu comprends, insista Maitresse Diane.

La réponse de Ben se fit en silence. Elle s’éloigna de deux pas, précipitamment, avant que le fouet ne claquât sur le dos de son soumis pour la première fois. Son hurlement me mit les larmes aux yeux. J’étais responsable. J’étais le responsable. Je savais qu’elles voulaient me le faire croire, et cela avait réussi.

Ce fut Lady Christine qui compta elle-même les coups. Elle laissait du temps entre chaque afin que la douleur ait le temps de traverser l’épiderme de Ben, beaucoup de temps. Elle exultait en les prononçant.

  • Ça y est. Je me suis bien échauffée, ajouta-t-elle à mon intention après le dernier coup, au milieu des pleurs de Ben.

Sadique, elle n’aurait pu comprendre que ces cinq premiers coups me feraient plus mal que ceux que je recevrais par la suite, acceptés comme une contrition.

Ma maîtresse lui cingla ensuite les fesses. J’entendis le sifflement presque plus inquiétant, plus animal, plus ophidien, ponctuant chacune de ses frappes. Elle agissait vite, expédiant presque comme une corvée cet inutile tourment, qui n’avait plus aucun sens, après le fouet.

Ce fut ensuite le tour de Nathan. On entendait encore pleurer Ben en arrière-plan, une sorte de musique d’ambiance sadique, quand ma maîtresse enchaîna sur son ventre cinq lacérations bien visibles et distinctes que je pus observer. Lady Christine l’avait fait positionner devant moi pour recevoir son châtiment.

Maîtresse Diane entra à son tour en scène avec sa canne. Cinq coups bien appliqués, à égales distances les uns des autres, laissèrent des traces supplémentaires au niveau de ses cuisses. Son cul, à un mètre de moi, je sentais le courant d’air lorsque la cane frôlait mon visage et l’odeur ferrique du sang qui devait provenir maintenant d’un peu de chacun d’entre nous.

  • A ton tour, me dit Maîtresse Diane en passant derrière moi.

Elle frotta durement sa main sur mes fesses endolories par le fouet aux neuf branches, réactivant cette douleur parmi toutes les autres qui frappaient à la porte de mon esprit pour être prises en compte. Elle prit position, prenant son temps. Elle n’avait le droit qu’à cinq coups, bien maigre récompense de ce que je lui avais fait endurer.

  • Tu voudras bien compter pour moi.

  • Oui, maîtresse, ce sera un plaisir, répondis-je, motivé à être aussi résistant que Nathan qui n’avait pas hurlé lors de sa punition, de sa correction.

Le premier coup me frappa alors que je finissais ma phrase, volontairement, avant que je ne m’y prépare. Je pris une respiration.

  • Un, maîtresse. Merci Maîtresse.

  • Il semble que je ne frappe pas assez fort, pour mériter mon « beaucoup », se vexa-t-elle faussement.

Un second coup frappa, plus puissant. L’arrière de mes cuisses était une zone où je me torturai rarement, parfois quelques punaises ou des orties qui se détournaient de mes fesses. La peau y était plus que sensible.

  • Deux, Maîtresse. Merci beaucoup maîtresse.

Elle avait de la poigne mais je savais que je tiendrai. Je l’avais décidé, je tiendrai. Je repensais à la tache sur sa robe et trouvai même la force de sourire. Lady Christine qui observait chaque détail expressif de mon visage en avertit Maîtresse Diane. Elle cherchait probablement à l’énerver un peu plus et y réussit.

  • Voyons si je peux obtenir un « merci passionnément », ragea-t-elle, en agitant la canne comme un club de golf pour en maitriser le mouvement, persuadée d’arriver en un coup sur le green d’un par cinq.
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