Lucie découvre la vie, l’ABDL et le BDSM 1 sur 3

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il y a 1 an
  • Le seul souvenir que j’ai de quand j’étais petite, ce sont les camions rouges et les lumières bleues puis les pompiers qui courraient partout. Après plus rien. Ensuite, j‘ai été placée dans une famille d’accueil. Là des souvenirs j’en ai plein. C’était horrible. Ils étaient tous méchants avec moi, j’étais surtout une source de revenus et l’esclave de la maison. Il faut dire qu’à cette époque, je ne parlais quasiment pas, cela les énervait.

  • Mais, il n’y avait pas des contrôles, des assistantes sociales qui venaient ?

  • Si, mais ce jour là, ils étaient gentils, même les deux frères pour qui j’étais le souffre douleur. Bien souvent, lors de ces visites, ils avaient le droit de sortir ou des maquettes à monter.

  • Pourquoi tu ne lui en parlais pas ?

  • Parce que la fois où je lui en ai parlé, après son départ j’ai été battue et enfermée dans l’armoire comme quand les frères faisaient des bêtises et disaient que c’était moi.

  • Enfermée dans l’armoire ?

  • Dans ma chambre, il y a une grande armoire ancienne, j’y ai passé des après-midi entières et même des nuits. Au début, c’était horrible, mais après, c’était devenu mon refuge. Quand j’étais dedans, les deux frères me laissaient tranquille, ils venaient juste taper à la porte pour me faire peur ou pour que je ne dorme pas.

  • L’assistante sociale n’a jamais rien vu ?

  • Non, mais il faut dire que je parlais quasiment pas, ce qui les énervait. Pour les visites de l’assistante sociale, ils m’avaient fait une jolie chambre et lors des visites, j’avais des habits de fille.

  • Pourquoi de habits de fille ?

  • Parce que pour faire des économies, Marie m’a toujours fait porter les vêtements de ses garçons, même les culottes avec la poche devant. A part mes deux soutiens-gorge et ma tenue de sortie, je n’ai quasiment pas d’habit.

  • Tu fais quoi de tes journées ?

  • Le ménage, la nounou quand elle garde des bébés, la cuisine quand je ne suis pas à l’école.

  • Cela se passe bien à l’école ?

  • Hormis les professeurs qui sont assez gentils, comme je suis toujours habillée en garçon, les filles se moquent de moi et les garçons m’ignorent ou font la même chose.

  • Qu’est ce que tu aimes faire le plus et comme loisirs ?

  • Des loisirs ? Je n’en ai jamais eu. J’aime bien faire la nounou, comme ça, je peux faire des câlins aux bébés ou aux petits que je garde le soir et le mercredi, eux ils sont gentils. Avec eux, je suis la maman d’amour que je n’ai pas eu. Je joue au grand bébé, cela les amuse quand je leur vole leur tétine ou que je fais semblant de boire leur biberon. C’est trop amusant de voir leurs yeux briller et de les entendre rire. Moi tout ça, je n’ai pas connu, alors je leur fais comme j’aurai aimé qu’on fasse pour m’amuser et s’occuper des moi.

  • Bon écoute, je suis d’accord pour te prendre en stage dans mon entreprise, tu devras répondre au téléphone, gérer les demandes des clients puis reclasser tous les documents par date pour les archives. Après, on verra en fonction de tes compétences.

  • Merci monsieur, je promets de faire au mieux, c’est juré ! Répond Lucie avec les larmes aux yeux.

C’est ainsi qu’à 17 ans et demi, Lucie entre pour un stage en alternance comme secrétaire dans l’entreprise de Jean. Il s’agit d’une belle entreprise de location et de réparation de matériel agricole. Son responsable lui a précisé qu’il n’est pas impossible qu’elle ait un emploi à la clé, si elle travaille bien. Autant dire que pour Lucie, une lueur d’espoir a vu le jour lors de cet entretien.

CHAPITRE DEUX

Les six mois de stage se sont déroulés à merveille. Dévouée et très investie dans son travail, sans le vouloir, Lucie a aussi réussi à charmer son patron. Elle ne l’a jamais dragué et n’a rien fait pour se séduire, elle a été tout simplement elle-même. Habituée à servir, Jean a toujours eu son café de servi, son bureau propre et bien rangé. Jamais elle n’a rechigné à la tache et a même anticipé ses petits soucis de gestion. Autant dire qu’il compte bien embaucher cette perle.

En la voyant fonctionner, avec le temps, Jean a commencé à regarder cette petite autrement qu’une employée. Il est vrai que malgré ses légères rondeurs, avec sa petite taille, ses cheveux blonds et ses yeux bleus, Lucie ressemble à un grand bébé.

Cette secrétaire a donc de quoi émouvoir ce patron coquin adepte du BDSM, mais aussi de l’ABDL depuis qu’il a découvert ce fétichisme sur Abkingdom. Cette découverte l’a perturbé au départ mais voir, grâce aux photos, des filles en couche et en tenue de bébé ou de little a titillé ses sens. Veuf depuis cinq ans, il a eu le loisir d’acheter des couches et de les essayer en secret. Les sensations lui ayant bien plus, de temps en temps il se fait une soirée Diaper solo et dort avec sa protection souvent tachée d’autre chose que de l’urine.

Le jour de ses dix-huit ans, Jean l’a invité au restaurant. Etre servie et manger aussi bien fut une grande première pour Lucie. Lors du déjeuner, Jean lui a fait des avances auxquelles elle a répondu positivement. En effet, même vierge et sans aucune expérience des choses de la vie, Lucie était malgré tout, une jeune femme avec ses petites envies de fille. Hélas, dans sa famille d’accueil et sans droit de sortir, il ne lui avait jamais été possible de réellement explorer son corps hormis aux toilettes, un lieu pas idéal pour éveiller ses sens.

A la fin de la journée, une fois que les employés furent partis, Jean l’a faite venir dans son bureau pour discuter de son contrat de travail. Une fois signé par la petite aux yeux mouillés de bonheur, il est revenu sur la discussion du déjeuner portant sur son attirance. Pour cela, il s’est assis sur le canapé de son bureau et lui a tendu les bras en l’invitant à s’asseoir sur ses genoux.

Comment résister aux bras d’un prince charmant quand on n’a connu que le travail et les raclées ?

Toute émue, elle est venue s’asseoir sur ses genoux avant de se faire happer par des bras câlins.

  • Tu sais Lucie, que j’éprouve de vrais sentiments affectifs pour toi. Je n’ai pas profité de ton contrat de travail pour obtenir tes faveurs. Il est signé et tu peux rentrer chez toi si tu le désires mais j’aimerai beaucoup sortir avec toi et même que tu deviennes ma femme si tout se passe bien entre-nous !

Tout en lui faisant cette déclaration, la main de Jean caressait les cheveux soyeux de Lucie avec une extrême douceur. Lors qu’elle est descendue sur la nuque de Lucie pour la serrer avec douceur pour attirer son visage vers le sien, la petite n’a pas fuit, bien au contraire. Elle se demandait juste si elle ne rêvait pas. La rencontre des lèvres réciproques se fit également avec douceur, Lucie découvrit ce qu’est un baiser en essayant de faire comme lui.

Pendant que les langues s’enroulaient comme des serpents à la saison des amours, la main de Jean a caressé affectueusement la poitrine généreuse à travers les vêtements. A travers se soutien-gorge pas bien épais, il a trouvé un téton dardant qu’il a titillé légèrement. La pauvre Lucie perdit presque la tête lors de ce premier contact charnel. Elle perdit sa retenue pour enrouler ses bras autour du cou de Jean pour le manger de bisous.

Prenant cet excès de fougue affective comme une approbation à aller plus loin, Jean ouvrit les premiers boutons du chemisier pour insérer sa main dans le soutien-gorge. Ce fut comme un bouton magique pour la petite qui commença à avoir chaud de partout. Les réactions de Lucie sous la main devenant plus coquine en investissant son entrejambes à travers le pantalon furent démesurées. Elle se cambra et se mit à gémir avant de revenir sur le plancher des vaches, pour mettre un terme aux agissements du prince charmant envahisseur.

  • Jean je vous aime aussi, mais il faut que je rentre ou je vais me faire gronder et peut-être punir !

  • Gronder parce que ton patron t’a retenue au travail pour signer ton contrat de travail ? Mais ils sont fous dans cette famille d’accueil. Il est temps que l’on mette un terme à ton calvaire, je te raccompagne et je viens les voir pour discuter un peu avec eux. Est-ce que tu veux venir vivre chez moi et avec moi ? Au moins tu ne seras plus grondée ni punie

  • Non monsieur, j’ai trop peur !

En sentant réellement la peur sur son visage, Jean sent monter en lui une colère froide, comment ces gens peuvent-ils être aussi méchants avec une telle perle ? Pour lui, cela doit cesser sur le champ ! Mentalement, il n’est pas dans l’état d’esprit d’un séducteur mais d’un protecteur, prêt à en découdre pour protéger une victime de maltraitance.

  • On ne dit pas « non » à son patron ni à celui qui veut te protéger. Même si tu ne veux pas coucher avec moi ni devenir ma femme, je ne te laisserai pas continuer à vivre comme ça. Bientôt tu auras un vrai salaire et si ma maison ne te plait pas, tu pourras t’envoler si tu le désires. Je ferme l’entreprise et nous allons chez toi, il n’y a pas à discuter !

La pauvre Lucie est en totale perdition. Même si elle sait que Jean est sérieux et honnête dans cette décision de l’enlever de cette famille d’accueil, elle est minée par la peur. Quelques dizaines de minutes plus tard, la grosse Mercedes se gare devant la maison de la famille d’accueil. Jean l’a rassurée et lui a promis que tout allait bien se passer. Sur le trajet, il a préparé son discours et sa stratégie. A peine sont-ils entrés dans la maison, il passe à l’attaque en patron très motivé.

  • Bonsoir, je suis le patron de Lucie, je viens de l’embaucher en CDI, c’est la raison de son retard, vous n’avez pas à la punir pour cela. A cela se rajoute que nous venons chercher ses affaires, car à compter de ce soir, elle va habiter dans la maison de l’entreprise. Je suppose que vous ne trouverez rien à lui reprocher puisqu’elle a trouvé un travail et une maison. Cela vous fera une place pour reprendre un autre e n f a n t. Nous sommes d’accords votre mission s’arrête là puisqu’elle a également dix-huit ans.

Devant la carrure de cet homme fort décidé, le mari maigrelet n’y vit aucun inconvénient. Il demanda juste à ce que Lucie signe quelques papiers, « l’enlèvement » de la proie se fit donc aisément. Ce qui perturba Jean, c’est qu’ils n’étaient nullement affectés par le fait de « perdre » la fille qu’ils avaient élevée pendant près de quinze ans. Cela renforça donc son idée que l’accueil d’e n f a n t s n’était pour eux, qu’une question de fric.

Arrivés chez lui, Lucie n’ayant pas dit un mot pendant le trajet, Jean compris qu’elle s’était mise en mode blocage comme dans sa jeunesse. Pour la ménager, il lui proposa donc de s’installer dans sa chambre d’amis si elle le désirait, sauf si elle voulait venir dormir avec lui. Totalement perdue, Lucie fondit en larme. Pour l’aider à surmonter cette épreuve, il orienta la soirée comme si c’était une soirée de fête en débouchant une excellente bouteille de champagne.

  • Ma petite puce d’amour, ce soir nous fêtons ta majorité, ton contrat de travail en CDI et ta liberté. Trinquons à ton nouveau départ et à ta nouvelle vie de princesse ! Acceptes-tu que je devienne ton prince charmant ?

« Ouiiii » répondit Lucie en larme en se lovant dans ses bras comme pour y trouver refuge.

CHAPITRE TROIS

Le succulent repas « Vivagel » au champagne puis arrosé d’un vin rouge grand cru fait tourner la tête à Lucie. N’ayant quasiment jamais bu d’alcool, elle perd un peu la tête. Si bien que lorsque Jean lui déclare « ce soir, je vais faire de toi une vraie femme et après tu seras une princesse », ses propos deviennent paroles d’évangile.

Il lui propose d’aller prendre une douche pendant qu’il prépare la chambre d’amour. A la sortie de sa douche très rapide, comme dans la famille d’accueil pour économiser l’eau, drapée d’un pyjama usé et rapiécé, Lucie est happée par les bras de son prince charmant. Portée jusqu’à la chambre où il a allumé des bougies, elle est déposée délicatement sur le lit ouvert puis recouverte par les draps et la couverture comme si elle était un bébé fragile. Trop pressé par ses envies d’amour, Jean zappe la douche. Il se dévêtit rapidement pour ne garder que son caleçon avant de la rejoindre dans le lit.

La fête de l’Amour commence par une avalanche de bisous et de « Je t’aime » puis de petites caresses autour du visage de Lucie. Etre ainsi embrassée, caressée, choyée est pour elle, un rêve qui devient réalité. Par peur de briser le rêve, c’est à peine si elle ose toucher son prince charmant. Les mains de Jean se font plus précises sur la poitrine que nul soutien-gorge ne protège. Les bisous dans le cou et sur les épaules se dénudant font fondre la petite de bonheur. Le cumul des sensations physiques, des émotions et les effets du repas arrosé font qu’elle n’a ni retenue, ni crainte. Au contraire, quand les lèvres de Jean happent un de ses tétons dévoilés, elle se met à pousser des gémissements de bonheur.

Dans un moment de lucidité, Lucie se dit que si l’amour c’est toujours comme ça, elle en veut beaucoup. Elle n’est qu’aux premiers pas de ses découvertes. Sentant qu’il n’y a aucune retenue ni crainte, Jean laisse courir sa main entre les cuisses encore protégées par le pyjama. Surpris par le fait qu’elle ne serre pas les jambes par « peur de pucelle », il investit le temple de l’amour en passant sous le vêtement. Lors de la rencontre des doigts avec la tendre féminité, ils lui rapportent aussitôt qu’ils sont dans un marécage d’excitation. Lucie de pâme presque rien qu’avec ces petites caresses bien ciblées.

Après lui avoir dit « je t’aime princesse, je vais te manger toute crue » puis un géant baiser, la tête de Jean entreprend une descente sur la poitrine dénudée puis le ventre de la petite. Arrivé au bas du pyjama, il entreprend de le lui retirer en déposant des bisous doux. Quand soudain sa tête plonge entre les cuisses pour aller lutiner la fleur épanouie, Lucie se rebelle.

  • Arrêtez, c’est sale, c’est là que je fais pipi !

  • Oui et non, princesse, c’est bien par là que tu fais pipi, mais c’est propre puisque tu as pris ta douche. Laisse-moi t’apprendre les choses de l’amour, tu vas adorer et voir que c’est magique et très bon !

Ne connaissant rien aux choses de l’amour, Lucie abdique et se laisse faire à contrecoeur. Ses réfutations ne durent que le temps de ressentir les si agréables sensations générées par une langue agile, lutinant le petit bourgeon de chair émargeant au cœur des pétales épanouis. Lucie se crispe comme si elle avait mal tant les sensations agréables sont fortes. Ses doigts agrippés aux draps innocents les griffent et les martyrisent en même temps qu’elle gémit et que sa respiration s’emballe.

La sentant prête à perdre sa virginité, Jean remonte et se couche entre ses cuisses. Tout en l’embrassant, d’une main il guide sa verge bandée entre les lèvres du puits de la fécondité. Pour tromper l’ennemie « peur » du gland, il titille le petit bouton magique avant de s’insérer dans la fille obstruée par l’hymen. Lentement mais sûrement il s’y introduit jusqu’au moment où la résistance cède accompagné d’un petit cri. La possession de l’âme de sa princesse peut commencer.

Lucie est comme « ravagée » par toutes ses sensations nouvelles, le sentiment de possession puis celles de l’étreinte. Elle ne sait plus où donner de la tête, des mains, du bas… Elle geint, elle crie, sous les asseaux devenant plus virils. Au bout d’un moment, tout son corps se met à trembler. Sans comprendre qu’elle est à la porte de son premier orgasme, elle se met à crier des « ah » jusqu’à l’implosion. Le mot « implosion » est adapté car elle a l’impression d’exploser, que son corps va s’éparpiller façon puzzle.

Jean se bloque profondément enfoncé en elle pour la laisser savourer son premier vaginal orgasme, avant de couvrir de baisers fous le visage de la petite en larme.

  • Te voilà devenue femme princesse, je t’aime !

Sans trop la laisser « redescendre » il se remet à la besogner mais cette fois sans se retenir. Sous la montagne de chair amoureuse et devenue très possessive, Lucie ne peut rien faire pour lui échapper, ni échapper aux agréables sensations qui la dépassent. Elle crie des « non » puis des « oui » sans discontinuer.

Note de l’auteur : comme quoi il ne faut pas toujours écouter ce que disent les femmes dans ces moments là^^^

Ne voulant pas qu’elle soit « grosse » Jean se retire au dernier moment avant de s’avachir sur elle pour libérer sa semence sur le petit ventre à la peau de pèche.

Remis de leurs tendres émotions, puis de cette première chevauchée fantastique, les tourtereaux s’enlacent pour câliner. Entre deux baisers doux, Lucie remercie Jean x fois en lui faisant des bisous.

  • Mais princesse, il n’y a pas de merci à me dire, c’est tout simplement ça l’Amour. Maintenant je te propose de souffler les bougies et de faire un gros dodo.

  • Oui monsieur, je peux rester avec vous ? Demande Lucie.

  • Mais bien sûr princesse, il est même hors de question que tu désertes mes bras.

………………..

Le lendemain, Lucie est comme sur un nuage. Jean n’arrête pas de lui dire des « je t’aime » et de la caresser comme un bébé chaque fois qu’il passe près d’elle. Cet agréable moment d’intimité du premier jour du week-end est gâché par un appel téléphonique. Il s’agit d’un gros client de la société qui a une moissonneuse batteuse en panne, chose assez fréquente.

  • Mais nous sommes samedi monsieur, la société est fermée !

  • Oui je le sais princesse, mais je dois y aller ma puce, c’est un gros client et la moisson ne peut attendre, si il pleuvait ils perdraient beaucoup d’argent. Prends une douche et repose-toi. Si tu as le courage, fouille dans les placards de la cuisine et prépare-nous un repas. J’espère ne pas rentrer trop tard.

Après un énorme bisou, Jean va assurer le dépannage important laissant Lucie seule dans la maison. Le satisfaire étant une priorité pour elle, Lucie entreprend immédiatement de faire la vaisselle, la cuisine avec ce qu’elle trouve dans les placards. Pendant que cela mijote, elle va refaire le lit ressemblant à un champ de bataille et découvre que les draps sont tâchés de s a n g. Celui lui impose de fouiller les placards pour chercher des draps.

C’est ainsi qu’elle découvre des paquets de couches pour adulte de chez France-ABDL, puis des menottes et un martinet. Cette découverte fait tomber la princesse de son nuage de bonheur !

Les couches, elle peut comprendre en s’imaginant que Jean a des soucis d’incontinence, mais les menottes et le martinet ? Cette découverte l’emmène à penser qu’il pourrait, lui aussi, la battre. Elle n’est pas rassurée du tout et se demande qui est réellement Jean.

C’est à ce moment là qu’il entre dans la maison et, de la porte d’entrée, la voit devant son armoire coquine. Lorsque leurs regards se croisent, il constate aussitôt qu’elle est perturbée et se sent comme prise en faute. Ce qui n’est pas réellement le cas puisqu’elle cherchait des draps mais qui peut aussi être interprété comme la fouille de la maison.

  • Je n’ai rien fait de mal monsieur, je cherchais juste des draps, ceux du lit sont tachés.

  • Arrête d’avoir peur ma princesse, tu as eu raison de vouloir les changer s’ils étaient sales. Mais tu as découvert des choses très sympathiques en amour, que je te ferai découvrir un jour et que tu vas adorer. Tu sais, l’amour c’est magique, il y a plein de façons de le faire. Hier soir tu as aimé, je te ferai aussi découvrir et aimer le reste. Et si nous passions à table car là, j’ai faim et cela sent très bon !

…………

Le dimanche se déroule comme dans un livre de conte pour e n f a n t s, restaurant le midi, promenade en voiture l’après-midi, puis une balade à pieds main dans la main sur un GR au bord d’une falaise. Le rêve éveillé pour Lucie. Le soir même, après la douche et le dîner, douche et gros câlins sous la couette. La petite n’étant plus vierge et ayant bien apprécié sa première nuit d’amour, elle fut un peu plus active que la première fois. Elle osa se servir de ses mains pour caresser le buste de son prince charmant puis de ses bras pour le serrer fort contre elle lors de la grande chevauchée.

Le lundi, les obligations refirent surface, dans l’entreprise de Jean, jamais la secrétaire n’avait travaillé avec un si grand sourire.

Habiter à dix minutes de la boutique France ABDL, permit à Jean de s’échapper du travail pour aller y faire quelques achats. Il prit de jolies couches de taille M, un body ABDL, un biberon puis une tétine pour adulte afin de s’offrir sa part de rêve à lui : avoir une AB à choyer.

……………………

  • Tu sais ma puce, quand tu as découvert des choses surprenantes dans mon armoire, je t’ai dit que je te ferai découvrir un jour une autre façon de donner et recevoir de l’amour et que tu vas adorer. Ce soir nous allons jouer à papa, maman et toi, tu seras le bébé. Tu vas pouvoir vivre ce dont tu n’as pas de souvenirs, être un bébé choyé, câliné et surtout aimé d’un amour grand comme ça ! Lui indique Jean en écartant les bras autant qu’il ne le peut.

Les yeux de Lucie brillent aussitôt de bonheur, depuis qu’elle est avec son prince charmant, la vie a littéralement changé, elle n’a aucune crainte.

  • Par contre, à partir de maintenant, tu ne parles plus, tu te laisses faire comme un bébé de un ou deux ans. D’accord ?

  • Tu vas me faire quoi ?

  • Surprise, surprise, tu ne dois pas parler et te laisser faire !

Sans avoir réellement peur, Lucie est quand même un peu inquiète quand Jean l’attrape par la main pour la conduire à la salle de bain. Elle lui demande ce qu’il fait quand il entreprend de la dévêtir, la seule réponse qu’elle obtient est « chut un bébé ne parle pas ». C’est en le voyant ouvrir l’eau et la régler qu’elle commence à comprendre.

  • Tu sais, je peux me laver seule !

  • Chut un bébé ne parle pas !

Un peu gênée d’être lavée, y compris entre les jambes et les fesses, Lucie se laisse faire sans éprouver du plaisir. Et pour cause, la bulle régression lui est encore inconnue. Une fois lavée, quelques vols de bisous furtifs accompagnent la serviette la séchant avec douceur. Attrapée à bras le corps, elle est portée jusqu’à la chambre où elle découvre qu’il a préparé des affaires originales sur le lit grand ouvert.

  • Mais c’est quoi tout ça !

  • Chut un bébé ne parle pas, si tu continues de parler, je vais devoir te gronder !

La peur d’être grondée par son prince charmant coupe net les nombreuses questions courrant dans sa petite tête. Allongée fesses sur la couche, il ne lui faut pas plus d’une seconde pour comprendre qu’il va la langer comme elle l’a souvent fait avec les petits qu’elle gardait. Talquée avec douceur, y compris entre les fesses par un doigt coquin, Lucie se laisse donc faire. A la suite de quoi, il l’a fait asseoir pour lui passer son body avec des dessins de princesse avant de s’installer dans le lit puis de la prendre sur ses genoux pour lui donner son biberon de lait chocolaté.

La tête logée contre la poitrine de Jean, Lucie se demande si elle ne rêve pas. Il l’a traite vraiment comme un bébé ! Pendant qu’elle prend le contenu du biberon malgré son énorme envie de faire pipi, Jean lui caresse la joue avec une extrême douceur quand il ne lui « vole » pas quelques baisers sur le front.

Le biberon terminé, Lucie lui annonce qu’elle a vraiment besoin d’aller faire pipi. « Tu as une couche pour ça bébé, laisse-toi aller » lui répond son nouveau et surtout, premier « Daddy » en lui donnant sa tétine.

Vivre cet instant AB (Adult-baby) la perturbe énormément. En tant qu’adulte, c’est pour elle l’inverse que l’on a fait pour la rendre adulte avant l’âge. A cela se rajoute, qu’elle découvre un monde dont elle n’a aucun souvenir et qu’elle a du vivre, en toute logique. A cela vient s’ajouter que son envie pressante devient géante et que l’idée de faire pipi dans une couche la bloque, encore plus sur les genoux de son prince charmant. En la voyant agiter ses jambes, Jean comprend qu’elle a un blocage. Il essaye de la rassurer, la couche absorbera et elle va découvrir une agréable sensation. Mais en vain, une demi-heure de câlin plus tard, la vessie rebelle refuse d’ouvrir les vannes.

  • Je n’y arrive pas, je suis désolée !

  • Je connais un moyen de te débloquer, mais il ne faudra pas avoir peur, promis ?

  • Tu vas me faire quoi ?

  • Un truc pour grande et vilaine fille !

  • Mais je ne suis pas vilaine !

  • Non, rassure-toi, c’est pour rire, nous somme juste en train de jouer à papa, maman et le vilain bébé qui refuse de faire pipi.

  • D’habitude, les bébés ne refusent pas de faire pipi, c’est même le contraire !

  • Chut, à partir de maintenant tu ne parles pas ou je vais vraiment te gronder ! Lui répond Jean en se levant pour aller chercher des bracelets de bondage et des cordes d’ABCplaisir.

Quelques instants plus tard, Lucie, pas rassurée du tout, est entravée bras et jambes en croix sur le lit, son body a été remonté pour laisser accès à sa poitrine. Armé du puissant Magic-wand de chez ABCplaisir, Jean pose le sextoy au-dessus du sexe de Lucie par-dessus la couche. Surprise elle pousse un petit cri en sentant les vibrations. En même temps, le grand Daddy vicieux se met à téter un de ses seins pendant que d’une main, il titille le téton du sein voisin.

Comment résister à tant de douceurs et de sensations ? Impossible même si, par réflexe, Lucie tire en vain sur ses entraves. Impuissante, cinq minutes plus tard, elle est dans l’incapacité de résister à la jouissance pointant son nez. Malgré l’envie de faire pipi qui commence à lui faire mal, elle sent arriver cette fameuse vague qui vous fait perdre la tête. Ce qui devait arriver arriva. Lors de la première contraction de jouissance, la vessie abdique fasse au CRS vibrant et au contraction de son corps devenu « traître ». C’est un long et surprenant cri de louve aux abois que le grand bébé se met à pousser en urinant pendant qu’elle jouit. L’urine chaude sur ses petites lèvres pendant sa jouissance, décuple les sensations si puissantes qu’elle croit défaillir.

Lorsqu’il retire le magic wand massager de la couche pour la laisser se remettre, Lucie est aussi essoufflée que si elle venait de faire cinquante mètres de nage sous l’eau, sans jamais remonter pour respirer.

  • Ouhou, ma puce, quel pied ! Tu es trop belle à voir quand tu jouis.

  • Pardon monsieur !

  • Il n’y a pas de pardon à dire d’être trop belle et encore moins à son prince charmant ! Je veux que tu m’appelles Daddy, quand on n’est que tous les deux. Je vais devenir aussi ton papa d’adoption. Allez, je te libère mais tu dors avec ta couche et ta tétine. Attend bébé, je referme ton body.

Après quelques bisous, de plus en plus fougueux de la part de Lucie devenant vorace, nos tourteaux s’endorment paisiblement. Enlacée par les gros bras musclés de Jean, Lucie se sent à présent comme un gros bébé protégé par son papa et ça, pour elle, c’est magique !

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Une histoire qui débute bien, vivement la suite.
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