Premières expériences et engrenages :Chapitre 66 : Humiliation ultime

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il y a 1 an

Chapitre 66 : Humiliation ultime

  • Tu as déjà une idée, n’est-ce pas ? demanda Lady Christine.

  • Si tes autres valets déchargeaient dans la figure de ta pute, proposa Tata.

  • Nous avons passé beaucoup de temps à la maquiller, protesta Diane.

  • Alors, juste dans sa bouche. Regarde, il t’en redemande, ajouta-t-elle, alors que sans instruction, je continuai à la garder ouverte.

J’avais l’impression qu’en refroidissant le sperme commençait à me coller à la bouche et aux dents et je n’avais qu’une envie, m’en débarrasser d’un côté ou de l’autre.

  • Vous serez capable de viser, sans en mettre partout, leur demanda leur patronne.

Ayant écouté toute la conversation, tous répondirent par l’affirmative. Aucun n’aurait pris le risque de se voir rejeter de ce jeu qui semblât les amuser grandement. Je dois vous avouer, qu’à ce moment précis, cela ne m’inquiétait, ni ne me dérangeait. Mon esprit était entièrement focalisé sur le mexicain et ce qu’il avait dévoilé un peu plus tôt et je n’étais pas le seul à m’en préoccuper.

  • Ben, vas me chercher des préservatifs, des grandes tailles. Les classiques n’iront pas. Tu vas tous les déchirer ! Tu en as une monstrueuse. Comment m’as-tu caché cela ? s’adressa-t-elle directement à lui.

Je ne doutais pas, qu’en indiquant à voix haute qu’il allait tous les déchirer, l’allusion de Maîtresse Diane ne portait pas que sur les préservatifs, mais également sur mon cul.

  • Je suis plus intéressé par les hommes, répondit-il, usant de mon expression exprimée plus tôt dehors, avec cet accent espagnol très soutenu.

Je supposais même que la plupart des valets les exagéraient volontairement, comme une exigence au rôle qu’on demandait qu’ils jouassent.

  • Plus, mais pas exclusivement ? le titilla-t-elle.

  • Pas exclusivement, confirma-t-il.

  • Maintenant, montre-moi que tu sais t’en servir. Je veux qu’elle couine comme une truie. Je veux qu’elle m’implore pour que tu arrêtes. Tu comprends, elle doit pleurer.

  • Je croyais que vous teniez à son maquillage ? hésita-t-il.

  • Pour la voir pleurer, je suis prêt à le sacrifier.

Ben revint avec la boite tant attendue. J’étais toujours bouche ouverte, attendant un ordre qui ne venait pas et les cinq autres hommes s’étaient maintenant rapprochés, s’astiquant leur membre devant moi. Je confirmai en les voyant tous à côté de moi, que le tirage du mexicain m’avait été défavorable.

Ladyscar s’approcha de moi. Je l’avais trouvée très discrète depuis mon réveil, laissant aux autres dominatrices, le soin de jouer avec moi. Trouvait-elle qu’elles exagéraient ? C’était loin d’être certain, me rappelant la conversation qu’elles avaient eue alors que je prétendais dormir.

  • Avale ! me dit-elle. Tu vas avoir besoin de la place. Alors, qu’en penses-tu ? poursuivit-elle une fois son ordre exécuté et ma bouche vide.

  • Cela n’a plus grand-chose à voir avec le masochisme ? m’évertuai-je de répondre avec l’écarteur dans la bouche.

  • C’est exact. Mais nous voulons te faire connaître toutes les facettes de ce monde, l’obéissance, l’humiliation, la soumission. Tu confirmeras plus tard ce que tu as apprécié ou non. Ce weekend, tu n’es qu’un jouet à nos caprices. Nous décidons totalement de ce que ton corps doit subir, ajouta-t-elle en me déposant un baiser sur la joue.

  • Plus c’est humiliant et plus vous aimez, renonçai-je.

  • Oui. Mais tu n’as pas encore tout vu, ni tout vécu, dit-elle alors qu’on cherchait à me forcer le passage arrière.

Ladyscar s’éloigna pour laisser la place à l’asiatique qui s’avançait déjà vers moi avec une intention évidente. Je sentis, au même moment, entrer le sexe dans mon cul. Il ne me semblait finalement pas si démesuré que cela. La vision du gode d’hier me hantait probablement encore.

Une nouvelle giclée envahit ma bouche à peine l’avait-il enfournée par devant.

  • Nettoie-la ! m’ordonna-t-il.

Je la lui léchai ; ma langue s’enroulait autour de son gland, dans sa fente, le long de son membre, ou, tout du moins, de ce que je pouvais atteindre, lui retirant la plus petite part de semence qui pouvait s’y trouver. Je le fis tellement bien que sa bite durcit à nouveau. Mais déjà, on le poussait pour prendre sa place. Le blond l’enfourna, alors qu’il n’était pas encore prêt à éjaculer, m’obligeant à le sucer. J’avais avalé le liquide du précédant et je m’attelais déjà à l’obtenir de celui-ci.

Un par un, les cinq valets, malheureux au tirage, se vengeaient au polissage. Se succédant, l’italien, la maghrébin et le métis terminèrent la file des donneurs. Je gardais, bouche fermée, le dernier éjaculat au cas où les maîtresses voudraient le voir, juste pour éviter une de leurs punitions injustes et méritées.

A l’arrière, le mouvement s’accélérait, et quelques petits gémissements m’indiquaient que cela se terminerait bientôt. C’était un peu douloureux, mais supportable, beaucoup plus supportable que dans mes appréhensions. Profites-en me soufflait Lassie !

Lady Christine et Maîtresse Diane se remirent devant moi et s’agenouillèrent, maintenant que les autres valets, terminant leur missions, s’étaient reculés et se rhabillaient. Un cours instant au milieu de ces entrelacs de corps, je vis Vincent derrière qui me regardait avec un air de chien battu, comme si c’était lui qui était attaché, que l’on forçait, que l’on prenait.

Allons, nous ne sommes forcées de rien, me parlait à nouveau la voix de Lassie dans ma tête. Tu t’es laissé attacher. Tu savais ce qui allait arriver, tu le voulais depuis que ton voisin est venu te voir, même avant, quand tu t’exhibais sur ta webcam. Oh non ! Lassie le voulait, probablement, sûrement, mais pas moi !

N’empêche que s’en était devenu la faute de Vincent. Il savait ce qui allait arriver et n’a rien dit, au contraire, il y avait contribué. Le fait qu’il en eût suffisamment de remords pour ne pas pouvoir éjaculer n’y changeait rien. Le weekend prochain, nous aurons une discussion et j’attendais de plates excuses de sa part.

A cause du préservatif, je ne sentis pas quand le mexicain éjacula. Il sortit de moi, et j’ai eu l’horreur d’en éprouver un manque. J’avais le trou béant, comme un oisillon ouvrant son bec en attente de toujours plus de nourriture. C’était presque aussi gênant que le sperme encore dans ma bouche. Je devais convenir et Lassie avec moi, pour des raisons différentes et des sentiments divergents, que je me sentais mieux avec une bonne queue me ramonant le cul, qu’ainsi l’avoir vacant.

  • Ouvre la bouche ! m’ordonna Lady Christine.

Je m’exécutai et en montrais l’intérieur.

  • C’est bien Lassie ! Tu peux avaler, me commanda ma maîtresse, fière de moi.

Je me surpris même, commandée par Lassie, à leur sourire. Je savais pourtant qu’elles n’apprécieraient pas. Je n’avais pas pleuré, je n’avais pas couiné, je n’avais même pas protesté. J’avais laissé Lassie profiter de son plaisir. Lady Christine s’acharna sur sa télécommande, comme sa consœur, me brulant le sexe de ses décharges, bien moins sucrées que celles de leurs valets, peu avant.

  • On ne sourit pas, dit Lady Christine, en me crachant au visage, sans respect de mon maquillage.

Je ne pouvais me l’ôter de ma face. Je regardai la pendule. Il était midi passé. Quoiqu’elles eussent prévu maintenant, cette épreuve était terminée. Quand Tata Marguerite me remit le plug en queue de cheval dans le cul, malgré la douleur, je me sentis soudain plus habillée. J’attendis maintenant qu’on me détachât.

  • Au moins son maquillage a tenu ! résuma Ladyscar, devant la déception des autres maîtresses, essuyant le crachat avant de me détacher.

  • Nous allons arriver quand même en retard, dit Maîtresse Diane. Bon, allez me chercher sa robe, demanda-t-elle.

Une robe. J’allai vraiment sortir comme cela ? me demandai-je, alors que la voix de Lassie résonnait en arrière-plan.

  • Chic, chic, chic ! disait-elle dans mon esprit.
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