Premières expériences et engrenages : Chapitre 71 : De retour à la maison

Catégories : Homme soumis, Femdom Domination féminine Chasteté ceinture chasteté hom fem TV trans travesti sissy
il y a 1 an

Chapitre 71 : De retour à la maison

Le retour vers la voiture fut désagréable. Mes maîtresses marchèrent vite et je me tordis la cheville par deux fois avec ces hauts talons qu’elles m’obligeaient à porter. Les poids étirant mes couilles les avaient rendues douloureuses. Le plug se déplaçait me frottant l’intérieur jusqu’à l’irritation. Le corset aussi me devenait insupportable. La position agenouillée, gardée trop longtemps, en était probablement une des raisons. Si les maîtresses ne m’avaient pas menti, je ne devrais plus les supporter que trois heures.

  • J’espère que votre journée répondit à vos attentes, nous reçut poliment le chauffeur italien, alors que nous montions, reprenant nos positions respectives.

Elles ne lui répondirent que pas un large sourire.

  • Quand je vous ai dit qu’il avait un talent à donner du plaisir aux femmes, entama Maîtresse Diane, une fois la voiture fermée, en parlant indubitablement de moi.

  • Un vrai sex-toy aux piles longues durées, me compara Tata. On a envie d’y goûter.

  • Mais attention, si vous ne le tenez pas en laisse, c’est vous qui finirez comme sa chienne, avertit Maîtresse Diane, par expérience.

  • Parfait pour dominer une soumise. Vous lui lâchez ça à la chatte et elle vous mangera dans la main pour que vous récupériez cette chienne, ajouta Lady Christine, en me secouant les cheveux comme on le ferait à un animal domestique ou à un enfant. Sandrine s’en souviendra.

Je supposai qu’elles parlaient de la vendeuse dont je m’étais particulièrement occupée, la rousse au goût fumé. C’est comme cela que je me souviendrais d’elle, plus que par son prénom.

J’avais eu l’occasion, durant cette dernière heure, de voir ces femmes se toucher, se caresser, s’entrelacer. Je ne voulais plus y penser, de peur que ma cage ne me punisse encore ; j’avais déjà profondément souffert. Mais j’avais aimé les voir. Que ce soit le corps des plus jeunes, ou des plus âgés, fines ou voluptueuses, blondes, brunes, rousse ou métissé, fournies ou rasées, cela n’avait que peu d’importance. J’aimais le corps féminin, mais plusieurs entremêlés, s’accouplant, se complétant, se recouvrant, était un vrai plaisir pour les yeux, pour les sens, pour tout l’art de la sensualité.

Non. Je ne pouvais être homosexuel, comme Lassie, qui me contrôlait encore, avait failli me faire croire.

Étais-je bi alors ?

Lorsque nous arrivâmes à la demeure, je me rendis compte, qu’on ne m’avait pas bandé les yeux. D’ailleurs je ne portais pas non plus de bandeau pour partir. Pourquoi alors la première fois ? N’avaient-elles pas encore confiance en moi ? Gagnai-je des échelons, dans la soumission, dans le crédit qu’elles m’accordaient, au fur et à mesure que je passai leurs séances, leurs épreuves. Je ne savais pas ce qui m’attendais maintenant, mais cela m’amènerait à la moitié du weekend, trop tard pour reculer. J’aurai bien dit que j’avais passé le plus dur, mais je soupçonnais toujours quelques nouveautés : fétichismes abscons, cruelle humiliation ou douleur insoutenable…

  • Quelle est ma prochaine épreuve, Maîtresses ? demandai-je sans espérer de réponse.

  • Ta spécialité, répondit ma maîtresse.

Le masochisme, pensai-je immédiatement.

  • Le donjon ?

  • Cela a l’air de te plaire, s’étonnait Tata Marguerite.

  • Oui, Maîtresse, si tel est votre bon plaisir.

  • En l’occurrence, cela ne sera pas le nôtre. Nous devons former deux nouvelles Maîtresses, poursuivit Lady Christine. Mais tu les connais. Ce sont tes camarades de classe, non ?

Nathalie et Valérie. J’avais oublié qu’elles participaient aussi à ce weekend d’intégration. Qu’avaient-elles dit ? Elles seraient là les samedi et dimanche après-midi.

  • Vous ne serez pas là, demandai-je à Ladyscar, me rappelant de la dangerosité de la situation et la substitution.

  • Non. Vous devrez appeler Maîtresse Diane, Ladyscar, pour ne pas me confondre.

  • J’essaierai, dis-je peu sûr de moi.

  • Si tu te trompes, tu seras puni. Et sache que je sais maintenant mieux que toi ce que tu aimes et ce que tu n’aimes pas, ajouta-t-elle sadiquement.

La menace me donna du plaisir, stoppé net par cette cage.

En arrivant, je ne voyais plus de vélo. Vincent avait dû partir. Je craignais que notre prochaine rencontre ne soit pas si facile. Je ne lui en voulais plus. En tout cas, pas de m’avoir foutu sa bite dans la bouche ! Probablement plus de m’avoir trahi, de ne pas m’avoir dit ce qui allait arriver ! J’admettais pourtant que si j’avais été informé abruptement, j’aurai probablement décliné, j’aurai fait ouvrir ma cage par l’ami de Sébastien. Et j’aurai raté ces moments. Ainsi, il avait agi au mieux de mes intérêts, mais l’avait-il fait parce qu’il le pensait ou parce que cela s’avérait aussi être les siens ?

Ladyscar resta dans la voiture. A peine descendue, je remis ma robe en place, sous le métal et mes parties génitales qui réapparaissaient dessous. Bien qu’il n’y eût plus personne à qui le cacher dans l’enclos de cette propriété, supposai-je. J’accompagnai les trois autres dominatrices, déçue de devoir laisser Ladyscar.

Ben nous accueillit à la porte d’entrée.

  • Vos invitées sont bien arrivées, Madame. Conformément à vos ordres, nous les avons fait quérir, récita-t-il à notre hôtesse.

  • N’oublie pas de m’appeler Ladyscar devant elles !

  • Oui, Lady s’adapta-t-il.

Maintenant que ma maîtresse n’était plus avec moi, cela me fit du bien et plaisir de retrouver mes camarades de classe, plutôt que de me retrouver avec des personnes que je ne connaissais pas, il y a encore vingt-quatre heures. Nous enlevâmes nos manteaux. Ben me regardait toujours avidement.

  • Elles vous attendent au salon.

  • Bien, je suis sûr que cela leur fera plaisir de vous voir, me dit Maîtresse Diane.

  • Serez-vous les distinguer ? m’inquiétai-je soudain.

  • Oui. J’ai regardé votre vidéo de la semaine dernière, au moins une bonne dizaine de fois.

La vidéo ! Les vidéos de ce weekend ! J’avais repéré les caméras dans la chambre et dans le salon et même celles dans la boutique et probablement si je cherchais un peu tout à l’heure, je verrais celle du donjon. Mes maîtresses semblaient prendre plaisir à garder des souvenirs de nos séances. J’avouai que je voudrais bien voir ce que cela donnait, persuadé que mon humiliation en serait grandement accrue. Quand je rentrai dans le salon, les filles ne me reconnurent pas. La fausse Ladyscar se présenta ainsi que ses deux amies puis je levai les yeux vers elles. Si Valérie parut horrifiée de ma transformation, Nathalie ne put éviter d’en rire.

  • Cela te va bien comme cela. Cela te dirait de venir en cours ainsi. Je suis sûre que les professeurs apprécieront.

Maîtresse Diane et moi eurent un mouvement de surprise devant sa réflexion. Avait-elle vraiment compris qui était vraiment Ladyscar, comme cette dernière s’en inquiétait ?

OUI ENFIN Nathalie est de retour
Prochain chapitre sur https://fessestivites.com/recit/198333
Publicité en cours de chargement