Premières expériences et engrenages : Chapitre 73 : La fessée

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il y a 1 an

Chapitre 73 : La fessée

Je m’étonnai que le donjon fût si peu insonorisée. Les domestiques devaient profiter pleinement de l’ambiance qui y régnait, d’autant que Ben avait la voix qui portait.

La porte s’ouvrit. Maîtresse Diane, qu’il ne fallait pas que j’oublie d’appeler Ladyscar, entra la première avec la tenue de cuir qu’elle portait déjà hier, après l’histoire de la tache de vin. Pour une partisane de la mode, je fus surpris de la voir la porter deux jours de suite, surtout au vu de l’envergure de sa garde-robe, entraperçue la veille. Je supposai qu’hier cela n’avait été que la conséquence de l’accident. Comme moi, l’histoire du vin devait lui revenir en tête, et ici, dans le donjon, j’eusse préféré qu’elle ne s’en rappelât pas.

En revanche, je compris mieux ce choix quand je vis la concordance avec celles qui suivaient, portées par Valérie et Nathalie. Elles avaient opté pour la même matière et la même couleur, mais avec, comment dirais-je, une surface de recouvrement du corps beaucoup plus réduite.

Nathalie était vêtue de lourdes bottes, montant au-dessus des genoux, recouvertes de pointes métalliques à ses bouts, un string de cuir et un haut si étroit que sa poitrine se distinguait en même temps par-dessus et par-dessous ce dernier. Cela ressemblait plus à un bandeau, une lanière, un vêtement préhistorique, ne cachant finalement que ses tétons.

Valérie c’était pire. Elle avait juste des bottes courtes à bout carré ne dépassant pas la cheville et une sorte de corset toujours en cuir qui relevait ses seins, les dévoilant totalement. Le bas du corset était pourvu de franges espacées, qui permettaient d’entrevoir son sexe et, par derrière, ses fesses comme un store laissé à moitié ouvert. Une sorte de vêtement inversé qui ne cachait le superflu que pour dévoiler l’essentiel.

C’est sur elle que mon regard se figea. C’est elle pour laquelle mon sexe se planta une nouvelle fois dans les pointes de la cage, pour laquelle ma bouche s’ouvrit et mes yeux s’écarquillèrent.

  • Tu crois qu’elle plaira à Sébastien, me demanda-t-elle en faisant un tour sur elle-même. Ladyscar nous les a offertes en remerciement de notre service la semaine dernière. Tu as de la chance d’avoir une Maîtresse aussi aimante et généreuse.

J’étais en un instant devenu jaloux de Sébastien. Ce corps si parfait, exhibé dans ses plus beaux atours ! Je voulais qu’il ne reste dans cette pièce que nous deux, me jurant que ce cunnilingus dont elle avait échappé cette semaine, ne resterait pas un fantasme, que c’était par elle que je voudrais perdre mon pucelage et que pour elle j’abandonnerai bien toute cette recherche de masochisme et de soumission qui m’avait conduit ici. Elle n’aurait qu’à me le demander.

Nathalie ne voulut pas être mise de côté. Elle louvoyait, ondulait autour de moi, mais la tenue indienne de Valérie, comme je la percevais, continuait à retenir toute mon attention.

  • Vous êtes si belles, habillées comme cela, bafouillai-je, voulant englober les deux étudiantes, mais ne pouvant déplacer mon regard.

  • Et toi, tu vas me le payer très chèrement, à baver devant elle, me murmura Nathalie, s’étant approchée de moi.

Elle était énervée. Bien plus que lorsque j’eus pissé dans la douche, qui à mes yeux était déjà fort humiliant. Ses yeux étaient devenus noirs, comme si son esprit avait eu le pouvoir d’en bouleverser la pigmentation à son humeur. L’avais-je ignorée, presque méprisée vis-à-vis de la présence de son amie ? N’était-ce pas là la pire faute que j’avais commise depuis ces quinze derniers jours ? Et cela juste avant une séance de sado-masochisme. J’avais bien choisi mon moment !

Je n’arrivais pas à assimiler tout ce que j’étais en train de vivre. Les femmes se succédaient, les sensations de plaisir et de douleurs également. J’avais l’impression d’avoir vécu une vie durant ces deux dernières semaines, dont la moitié ce dernier jour. Cela allait trop vite ! Seul bémol, cette cage épineuse qui m’empêchait d’en profiter.

  • Qui veux commencer ? demanda Maîtresse Diane.

  • Moi, répondit naturellement Nathalie, plus prompte et motivée.

  • Aujourd’hui nous allons voir la fessée, poursuivit Lady Christine. La façon la plus classique est cul nu sur les genoux de sa Maîtresse.

  • Il faut lui enlever d’abord le plug, je ne voudrais pas que vous vous blessiez à la main, indiqua Maîtresse Diane.

  • Si nous ne l’enlevons pas, cela ne lui fera-t-il pas plus de mal à lui aussi.

  • Oui. Bien sûr.

  • Alors tant pis pour mes mains, dit Nathalie. J’essaierai de faire attention.

Nous nous sommes mis en position. J’avoue qu’être allongé sur ses cuisses m’aurait plu davantage si ce corset ne gâchait à nouveau pas tout. Alors, la position prise, elle m’administra une première fessée, la première d’une longue série.

Nous eûmes droit à une explication sur les différentes fessées, leur utilisation à travers l’histoire et surtout leurs variantes, se déplaçant sur le corps, ainsi que l’utilisation de nouveaux jouets, comme la grande famille des paddles, qu’elles voulaient essayer, mais un autre jour.

J’écoutai. Je me raccrochai à sa voix quand les coups commencèrent à pleuvoir. Je devais les compter à haute voix. Au début cela me chauffait un peu, mais plus mon cul s’enflammait, plus douloureuse, chaque fessée s’avérait être.

Plusieurs fois mes maîtresses demandèrent à Nathalie, si elle n’avait pas mal au bras. Invariablement elle répondait que non, se stimulant probablement grâce à mon regard qui l’avait dédaigné, délaissé, oblitéré, lors de l’entrée de Valérie dans la pièce.

Je sentais que la ferveur des coups s’amenuisait. Je m’arrêtai de compter à quatre-vingts, mais si elle s’arrêta de frapper, il n’en était rien de la douleur. Cette dernière, compagne privilégiée depuis quelques temps, se décochait au rythme de mon flux sanguin. La sensation avait été amplifiée par mon conduit anal, qui devait être, autour des quatre boules, plus qu’hématome et ecchymose.

  • C’est à ton tour, dit Lady Christine à Valérie.

Nathalie se leva, me repoussant. Je m’affalai à quatre pattes, comme un animal, à même le sol bétonneux.

  • A la différence de Nathalie, je préférerai sans le plug, dit Valérie, dont je sentais que la raison en était plus mon cul que ses mains.

  • Alors, enlève-le-lui ! se moqua Nathalie, voyant sa répugnance à m’infliger plus de souffrance.

Valérie s’approcha de moi.

  • Tu ne vas pas me chier dessus, me dit-elle en attrapant la partie extérieure presque invisible caché entre mes fesses.

  • Je ne pense pas…Je ne sais pas.

Elle tira doucement, pas assez fort pour que la première sphère ne sorte. Forçant chaque fois un peu plus, elle jouait avec plus qu’elle ne l’extrayait, me faisant gémir.

  • Lady Christine, je n’y arrive pas, avoua Valérie.

  • Non. Vous n’osez pas, dit-elle. Vous devez tirer plus fort, d’un coup sec.

  • Cela ne va pas lui faire mal ?

  • Est-ce un problème ? demanda Maîtresse Diane à Valérie, étonnée de sa mansuétude.

Cette dernière, faute d’établir son propre verdict, se tourna vers moi et me regarda avec son air interrogateur.

  • Vas-y ! lui autorisai-je en la tutoyant, le lui murmurant avant de serrer les dents.
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