Premières expériences et engrenages : Chapitre 74 : Plusieurs niveaux de sadisme

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il y a 1 an

Chapitre 74 : Plusieurs niveaux de sadisme

Elle attrapa le plug, glissant ses doigts entre mes fesses et l’arrêt et tira comme on débouche une bouteille récalcitrante. La douleur fut fulgurante et j’échappai un cri.

  • Désolé, me dit-elle sincère.

Puis s’asseyant, elle m’invita à la rejoindre, prendre place sur ses genoux. De ma position, concédait entre les franges, la vision d’un sexe récemment épilée. Egoïstement, je m’exhortai à croire que ce fût en mon honneur. Je voulus la rejoindre, mais mon corps me trahit.

Je m’étais laissé tomber et, maintenant, je n’arrivais plus à me relever. Le corset et les hauts talons n’étant pas recommandés pour cette opération, je cherchais à prendre un appui. Mais la chaise, sur laquelle Valérie était assise, était hors de ma portée. Ce fut finalement Nathalie qui m’aida et me conduisit jusqu’aux cuisses de mon amie.

  • Et dire que ce n’est qu’un début. Nous devons encore bien nous amuser ensemble. Si tu ne peux déjà pas te relever…

Nathalie ne disait cela que pour m’inquiéter. Elle n’avait aucun regret à ne pouvoir poursuivre, car ce ne serait pas mon état qui la ferait s’arrêter, pas en cet fin d’après-midi en tout cas. Elle me posa, me lâcha sur les jambes de Valérie, plus franchement.

Sans contestation, au vu de mes critères, Valérie était la plus belle de toutes les femmes que j’avais connues depuis une quinzaine de jours. J’aimais sa peau jeune et tendue comme du latex, ses formes sportives, sveltes, et la tenue sexy qu’elle arborait aujourd’hui n’en gâchait aucune part.

Je regrettai uniquement que la position actuelle m’empêchât de la contempler plus ardemment.

Elle commença à me caresser les fesses. Chauffées à vif, ses gestes attentionnés n’en restaient pas moins des supplices. Maîtresse Diane continua le rôle de Ladyscar en commentant, la conseillant, la dirigeant. J’ignorai que la fessée pouvait s’assimiler à un art et je subissais maintenant les conséquences de mon ingénuité. Je découvris que si une seule fessée n’était pas douloureuse, la succession de celles-ci causait un échauffement qui se suffisait à elle-même, comme un coup de soleil qui persistait. Chaque nouvel impact me brulait un peu plus. J’avais atteint l’impression biscornue de m’être assis sur une rôtissoire.

Elle ne me frappa qu’une vingtaine de fois, beaucoup moins fort que Nathalie. Lady Christine l’encourageait pourtant. Elle ressentait la compassion, la clémence dans le comportement de Valérie. Beaucoup trop pour être une réelle dominatrice, en tout cas réellement sadique. Nous semblions tous d’accord sur ce fait. Valérie, elle-même le reconnaissait. Comme si Nathalie, par une réaction entropique, s’appropriait tout le sadisme de son amie, l’une s’accroissait tandis que l’autre sombrait dans la miséricorde.

En tout cas, si elle n’était clairement pas une dominatrice sadique, portée sur la douleur, elle appréciait néanmoins qu’on lui obéisse. Nous en avions discuté avant ce week-end et le nouveau statut de Sébastien l’avait épanouie. Elle avait hâte de contrôler sa chasteté, de le torturer psychologiquement, de ne lui laisser profiter de sa virilité, que lorsqu’elle en aurait décidé,

Avec moi, elle cherchait à m’attirer, me troubler, m’exciter. Ce qui lui plaisait le plus était cette cage qui me privait de tous mes pouvoirs et de mes attributs masculins. Je pense qu’elle avait pris plus de plaisir à choisir sa tenue, qu’à me mettre ces fessées. De nouveaux vêtements pour m’exciter, tendancieux, sexy qui verraient ma verge marquée par les pointes.

  • Voilà de la crème pour adoucir ses tourments, dit Maîtresse Diane à Valérie en lui donnant un pot qui sentait la pharmacie.

  • Pourquoi ? demanda Nathalie. J’ai l’impression de m’être abîmé les mains pour rien, si c’est pour le soigner. C’est moi qui devrais avoir de la crème, ajouta-t-elle en regardant maintenant sa paume.

  • C’est pour pouvoir le réutiliser plus tôt. Cela cicatrise et évite l’infection, avoua Lady Christine.

  • Mais on ne peut pas attendre, qu’il en profite un peu de sa douleur, insista Nathalie.

  • Bien sûr. Le mieux, après cette séance, serait de l’exposer aux regards, de le laisser fesses nues pour qu’un maximum de monde puissent s’enflammer de ses rougeurs. Mais aujourd’hui, nous avons un programme bien chargé. Il nous faut poursuivre, expliqua Maîtresse Diane.

  • Je crois que ce sera tout pour moi, répondit Valérie, en finissant de mettre la crème sur mes fesses. Vous allez plus loin que je ne suis prête à le faire, avoua-t-elle.

  • Vous la laisseriez seule aux mains de Nathalie. Ce n’est pas une faveur que vous lui faites, répliqua Lady Christine en me féminisant à nouveau. C’est vraiment ce que vous voulez pour elle.

  • Non, admit Valérie.

Elle était en train de se faire manipuler. Je voulais la prévenir. Lui dire de rester sur sa première décision. Mais j’appréciai tant sa présence, plus encore que celle de Nathalie. Qu’elle soit à mes côtés !

  • Non. Je vais rester pour que vous m’appreniez cette autre pratique, confirma-t-elle, comme après un choix difficile entre deux solutions qui ne lui plaisaient pas.

Bien ! Mais de quelle pratique parlait-elle ?

  • Alors, attachons-le maintenant ! décida Maîtresse Diane.

Nathalie et Valérie aidèrent Lady Christine et Maîtresse Diane à me relever, à lever mes bras, me passer une paire de menottes et les glisser dans le crochet suspendu. La position n’était pas si inconfortable car mes bras n’étaient pas totalement tractés. A nouveau, je me laissai faire sans savoir ce qui m’attendait. La crème avait apaisé mes fesses, refroidit la chaleur de mon épiderme, mais pas totalement ôté la désagréable sensation de brulure, qui s’accentua une fois que je fus attaché et étiré. J’eusse aimé plonger dans un bon bain tiède, légèrement froid, espérant que, comme hier, ce fût dans leur programme.

  • La prochaine fois, nous nous essaierons, pour la fessée, d’autres amusements comme le paddle, le fouet ou la canne, commenta Ladyscar que le bras démangeait encore.

  • Elle a déjà bien souffert de ce côté-là hier, déclara Maîtresse Diane. C’est d’une autre torture qu’on voudrait vous faire découvrir.

De quoi parlait-elle donc ?

  • Attachez-lui les chevilles et écartez-lui ses jambes ! poursuivit Maîtresse Diane.

Elles s’attelèrent à la tâche. Des anneaux fixés au sol servirent à faire passer les cordes. Plus mes jambes s’écartaient, plus mes bras s’étiraient. Seule la pointe du talon touchait encore le sol et mon poids était soudain en partie suspendu, dardant dans mes épaules des douleurs fulgurantes, mais fugaces. Je ne tiendrai pas longtemps cette position, sans compter que, pour l’alléger un peu, il fallait que je transmisse une partie de mon poids sur ces talons en équilibre me tordant ainsi les chevilles. Les menottes pourtant recouvertes intérieurement de cuir me mordaient les poignets avec virulence, accroissant le nombre de zones incommodes.

  • Il faut que je t’enlève les poids de tes couilles, dit Lady Christine en m’arrachant, plus qu’en retirant, les trois anneaux qui pesaient depuis ce matin.

Elle me massa les testicules vigoureusement sans que j’en retirasse du plaisir, mais j’appréciai de ne plus sentir ces morceaux de métal.

  • C’est de cela que vous allez vous occuper maintenant, dit Maîtresse Diane en soupesant mes couilles.

  • As-tu entendu parler de ballbusting, me demanda Lady Christine, tandis que je voyais Nathalie lustrer les pointes qu’elle avait au bout de ses bottes.

Je comprenais mieux pourquoi elle avait choisi celles-là… la garce sadique.

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