Premières expériences et engrenages : Chapitre 75 : Bleues et bien cuites à la fois

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il y a 1 an

Chapitre 75 : Bleues et bien cuites à la fois

  • Ses couilles, ses petites noisettes, ses boulettes de viandes, vous allez les maltraiter, avec vos doigts, vos mains, vos poings, vos genoux et vos pieds, expliquait Lady Christine.

Je voyais dans le regard de Nathalie, toutes les opportunités qui fantasmaient dans les profondeurs de son esprit. A nouveau, elle guida mes yeux vers ses bottes aux bouts pointues, souriant de l’effet qu’elles me faisaient.

Elle avait eu connaissance de la suite des activités et avait choisi ces bottes dans cet unique but. Je comprenais mieux la réaction de Valérie, cherchant à me protéger d’elle.

  • On va commencer avec les doigts, dit Maîtresse Diane. Cela tombe bien qu’il ait deux couilles, chacune la sienne.

Il ne faut pas croire que l’usage unique des doigts était plaisant, car la réitération cumulative sur un même morceau de chair était un autre paramètre. Quand je m’auto-infligeais des sévices, j’alternais les zones, réduisant la durée des supplices. En ce moment, les tourments ressentis se limitaient à environ deux zones de quelques centimètres carrés.

Lady Christine me soufflait à l’oreille des mots orduriers, tandis que Maîtresse Diane encourageait les jeunes dominatrices. Elle leur prodiguait des conseils, leur fit passer des doigts aux mains puis aux poings.

L’une après l’autre, elles me frappaient. Après chaque coup, ne pouvant plier les genoux ni serrer les jambes, mon écartèlement étant total, la tension se reportait sur mes poignets. Les collisions devenaient plus dures mais plus espacées, laissant la douleur pénétrer en moi. Je couinai comme un goret entre chaque, aux grands plaisirs de Lady Christine et de Nathalie.

  • Quand elles en auront fini avec toi, il ne restera plus que deux grosses boules bleues et sanguinolentes. Chaque caresse ne sera que douleur. Un courant d’air, le souffle même d’une expiration, tout te fera chouiner. Oh oui ! Cette fois tu pleureras, tu n’y échapperas pas. Et si cela ne te suffisait pas, je les écraserai comme deux tomates trop mûres, jusqu’à en extraire tout le jus.

Je savais la menace exagérée, mais je ne voulais même pas connaître le quart du châtiment promis.

Elles laissèrent, pendant plusieurs minutes, les étudiantes me boxer les couilles. Je distinguais, sans regarder, l’alternance de Nathalie et Valérie, juste par la différence des forces mises en jeu.

Maîtresse Diane et Lady Christine débattaient s’il fallait me délivrer de la cage, Nathalie s’y étant cognée la main. Lady Christine l’emporta et la cage fut juste attachée pour me maintenir le sexe surhaussé, l’éloignant des mains de mes tortionnaires.

L’inconvénient, Nathalie l’avait bien compris, était que les uppercuts qu’elle réalisait à présent, projetaient et pressuraient mes couilles sur l’anneau métallique de la cage. Elle avait conçu ainsi une version perverse d’un Jokari où mes boules rebondissaient entre son poing et la cage.

Je criai maintenant, grommelai, râlai à chaque coup, tandis que Lady Christine me mordait le téton. Sa petite taille la mettait à bonne hauteur. Ses mains me caressaient le corps. L’une d’elle glissa sur mes fesses encore endolories, choisit et attrapa l’une et la frotta, relançant les sensations d’inflammation.

Par le côté, elle écarta ses jambes autour de l’une des miennes, remonta sa robe et pressa dessus sa chatte, qu’aucune culotte ne couvrait. Elle la garda appuyée en se frottant dans un va-et vient, se masturbant sur ma jambe tandis que les étudiantes poursuivaient leur punchingball.

Cette accumulation de sensations divergentes, contradictoires, complémentaires m’amena à une extase prolongée sans précédent, surtout que cette éternelle cage, dernier rempart entre l’aboutissement du plaisir et moi, me condamnait à ne pas y succomber.

Maîtresse Diane donna l’ordre d’arrêter.

  • Pour les coups de genoux et de pied, il est préférable que je t’enlève la cage cette fois.

Lady Christine voulut s’y opposer, mais le regard de Maîtresse Diane ne souffrit d’aucune contestation. Nathalie se releva. Elle colla son visage sur le mien, me le lécha, se dirigea à mon oreille et me susurra.

  • Si elles t’enlèvent ta cage, j’espère que nous pourrons aussi jouer avec ta bite. Tu ne peux pas t’imaginer à quel point j’ai envie d’y laisser mes empreintes dentaires, afin que tu les arbores quelques jours durant, ajouta-t-elle en me mordant le lobe de mon oreille et en tirant dessus.

Je voyais de plus en plus de points communs entre Nathalie et Lady Christine. Le plaisir qu’elles avaient à me faire mal, mais plus encore à me le dire, à m’en inquiéter avant, à me menacer…

Maîtresse Diane m’enleva la cage pointue, libérant mon sexe de ce dernier instrument porté depuis ce matin. Elle ne put s’empêcher de me le caresser un peu, de le branler quelques secondes, lui permettant, comme la veille au soir, de s’exprimer juste un instant. Mais on ne l’écoutait déjà plus.

Quatre femmes autour de mon corps écartelé et pourvu de vêtements féminins. Mes fesses et mes couilles douloureuses ne me gênaient pas pour bander. Mon imagination, mais surtout la tenue de Valérie, avaient immédiatement élargi et agrandi ma verge qui se tenait fièrement au milieu d’elles. Si je devais estimer sa taille dans la moyenne, je ne pus que repenser à celles des valets et promis que je ne m’en vanterai plus. De nouveau, j’étais irrité, pour la seconde fois où cette cage m’était ôtée, d’être encore attaché, et de ne pouvoir m’en servir.

Afin de montrer néanmoins mon envie et la jouissance de cette liberté retrouvée, je la gardai bandante, espérant qu’elles se laissassent tenter, plus facilement que Ladyscar. Mais si Valérie semblait intéressée, Maîtresse Diane, responsable de la séance et de la pendule, nous ramena à la suite de son programme. L’étape suivante, comme elle disait, était de poursuivre la destruction de mes couilles avec leur genou.

Je n’étais pas certain qu’il était nécessaire aux deux Maîtresses de leur faire une démonstration, mais mes deux dominatrices plus âgées, voulurent néanmoins exercer leur prérogative. Maîtresse Diane commença la première. Elle montra la position et exécuta le mouvement au ralenti, disposa ses mains sur mes épaules pour lui assurer de la stabilité et de la puissance. Puis, après plusieurs élans interrompus, comme un joueur de golf maîtrisant son swing, elle frappa.

La douleur était intense, fulgurante. Mes jambes, qui ne tenait que par les talons des chaussures, lâchèrent. Tout mon poids fut instantanément porté par mes poignets, mais ce furent les épaules qui s’avérèrent mon calvaire. Je pendais maintenant, toujours incapable de fermer mes jambes.

Maîtresse Diane fit semblant de me cogner une seconde fois. Mon corps cherchait vainement à se protéger. Mes fesses se reculèrent de quelques centimètres, mes genoux se rapprochèrent également. Insuffisant ! Elle rigola, se moqua.

Lady Christine prit sa place. Elle releva sa robe, dévoilant un genou maigre, cagneux, anguleux…pointu que je connaissais déjà, qui m’inquiétait pour l’application, dont elle comptait en user. J’espérais juste que par sa plus petite taille… Mon appréhension, cette fois, fut prémonitoire. Elle ne fut pas moins brutale, loin de là. Elle avait plié la jambe et levé très haut le genou, visant bien au-delà de mes couilles, me soulevant même du sol par l’entrejambe.

Je ne pleurai point, mais je hurlai. Diane tapa comme à son habitude dans ses mains, quand elle appréciait quelque chose, et Nathalie était avide de commencer.

  • Chacun son tour ! dit-elle, alors que le voile noir qui passait devant mes yeux tardait à s’estomper.
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