Premières expériences et engrenages : Chapitre 105 : Change et changement

Catégories : Diaper boy / Little boy Homme soumis, Femdom Domination féminine Enema Lavement / Médical
Ce récit est la suite de : Premières expériences et engrenages : Chapitre 104 : Départ imprévu
il y a 1 an

Chapitre 105 : Change et changement

  • C’était trop tôt, dit Tata Marguerite, avant que ne nous rejoignissions la voiture.

  • Non. Nous ne l’avons pas assez préparé, corrigea Lady Christine. Il ne savait pas que c’étaient de vrais bébés. Au moins pour les deux hommes.

  • De vrais bébés ? demandai-je, alors que dans la précipitation je sentais que ma crotte bougeait, libérant à nouveau le conduit du plug.

  • Oui. Leur dominatrice les ont fait régressés, m’expliqua Ladyscar.

  • Régressé ?

  • C’est fastidieux, compliqué à expliquer et à réaliser. Cela prend aussi beaucoup de temps. Lydia t’expliquera mieux que nous, dit Maîtresse Diane.

  • Ce n’est pas l’important. Nous avons été bannies, rappela Tata Marguerite en montant dans la voiture.

  • Je suis désolé de vous avoir mis dans l’embarras, dis-je en montant à mon tour dans la voiture.

Dario était surpris de nous voir rentrer si tôt. Il rangea son livre dans la boite à gants, « le rouge et le noir ». Il lisait du classique en français. Je devrais essayer aussi, si j’avais du temps entre mes études et cette nouvelle passion, lobby, activité, …truc.

  • Non. Cela s’est juste mal passé, mal goupillé, mais c’était prévisible, dit Ladyscar.

Tout le monde semblait perturbé, tandis que la voiture repartait. C’est à peine si je sentis en m’asseyant, le plug se décoincer libérant le liquide dans la couche.

  • Les liens sont-ils toujours nécessaires, demandai-je.

  • Tu devrais être puni pour ce que tu as fait, me dit Maîtresse Diane, mais nous verrons plus tard, autorisant, d’un geste de la main, Ladyscar à me libérer.

  • Tu m’as protégée, dit-elle à l’attention des autres dominatrices, tout en me dénouant les attaches.

  • Ces hommes étaient mauvais, répondis-je un peu puérilement, en crachant presque le dernier mot.

Après tout, j’étais habillé d’une grenouillère et d’une couche culotte remplie qui tendait à refroidir. Outre le fait que l’on trempe dans sa merde, le fait qu’elle soit froide, est encore pire. N’était-ce pas normal dans ces conditions que mon langage décroissait, comme mon comportement se faisait plus violent ?

  • Ces hommes et ces femmes sont mauvais, reprit Lady Christine. C’est une bonne chose que nous n’ayons plus de rapport avec eux.

  • Ils connaissent beaucoup de monde, se plaignait toujours Tata Marguerite.

  • Nous aussi, invectiva en se reprenant, dans le ton comme dans l’attitude, Maîtresse Diane. Ouvrons notre propre club ! Après tout, nous sommes déjà quatre maîtresses. Agrandissons-le ! Les pratiques de Lucifer vont trop loin. Je suis sûre que nous ne sommes pas les seules à en être révulsées. Les régressions, les séquestrations. Il y a eu de nombreuses plaintes contre lui. Je sais qu’il a le bras très long, mais nous aussi et nous avons Médor.

  • Je suis sûre qu’une grande partie de leurs adhérents nous rejoindraient, confirmait Ladyscar.

  • Tu seras notre fleuron. Un petit jeune, mignon comme toi, nous apporteraient beaucoup de nouveaux candidats, autant chez les dominatrices que chez les maîtres.

  • Vous avez surtout de beaux valets et de jolies femmes, répondis-je avec modestie en pensant à Lisa, aux vendeuses et à Lydia.

Je ne voulais pas être le centre de cette initiative. Je ne m’étais pas décidé de rester là après dix-neuf heures, de poursuivre dans cette voie. Je ne savais pas encore. Je m’étais inquiété de la présence de Lassie et plus concrètement de celle de Basile, de Lucifer et même de l’ancien soumis de ma maîtresse. Mais cette régression m’effrayait bien plus. Ces adultes étaient redevenus de vrais enfants. Comment ? L’avaient-ils vraiment voulu ?

Une chose était sûre. Je ne voulais jamais revenir chez lui. Cette maison, cette attitude avait une saveur de danger létale. Je ne m’inquiétai pas pour Maîtresse Diane quand elle était chez elle avec tous ses valets. Mais il y avait quelques minutes encore, devant ces dominateurs et dominatrices, dans la maison de Lucifer, j’avais craint pour nos vies. J’espérais que, même les mains attachées, ayant réussir à briser le nez d’un homme du double de mon poids et à mordre l’un des autres convives, je les avais fait reculer, ou juste hésiter à utiliser la force. S’ils avaient su que ce n’étaient que deux accidents que je serai incapable de reproduire volontairement.

  • Comment continue-t-on la journée, demanda maintenant Ladyscar à Maîtresse Diane, rompant le silence édifié par les pierres des réflexions de chacun.

  • On continue chez moi, on en profite déjà pour manger un peu.

  • De toute façon, il faut réchauffer le biberon, ajouta Tata Marguerite, la plus impactée, voulant préserver le programme comme un soutien .

La voiture s’arrêta dans la cour. Marcher dans une grenouillère avec une couche pleine fut un vrai calvaire, d’autant que la voiture s’était arrêtée assez loin de l’entrée, à la demande de notre hôtesse, probablement mon innocente punition. A peine levé le plug repris position mais la couche, humide et pleine, bruitait du son d’un liquide qui n’avait pas été absorbé, juste contenu. Je ne pouvais pas me trouver à la fois humilié et dominé et penser raisonnablement à ce qui était en train de m’arriver.

  • Nous allons te langer au sous-sol. Tu risques de déborder, me dit maîtresse Diane.

  • Cela semble plus qu’un risque, c’est une certitude, reconnus-je.

Le sous-sol était éclairé quand nous descendîmes. Ben avait déjà tout disposé. Une grande table à langer trônait dans une zone libre du donjon.

  • Comment tout peut-être déjà prêt ? m’étonnai-je.

  • Après ton premier changement de couche chez Lucifer, nous t’aurions donné ton biberon et la table était là pour le second changement, m’informa Maîtresse Diane.

  • Est-ce encore nécessaire, le biberon et le second change ?

  • Oui. Nous ne voulons pas que cette histoire te gâche ton intégration, m’informa Tata Marguerite. Tu auras le droit à ton biberon.

  • D’ailleurs Ben va te le réchauffer, dit Maîtresse Diane en le lui donnant. Voyons déjà ce que tu nous as fait, ajouta-t-elle en m’indiquant de m’asseoir sur la table.

Grave erreur ! J’avais oublié le fonctionnement du plug et m’asseyant brutalement, une nouvelle vague de liquide en sortit par le conduit et m’envahit. Voulant me vider avant qu’on ne me change, je gardais la position.

  • Il semblerait que notre gros bébé, commence à apprécier de chier dans sa couche, dit Lady Christine. Allonge-toi, on va te retirer le plug, cela te sera plus facile pour finir.

Les quatre maîtresses enfilèrent des gants de caoutchouc qui leur remontaient jusqu’au-dessus des coudes et m’entourèrent. La table roulante contenait divers produits dont du talc, Des lingettes et un tas de couche de rechange comme les tables à langer. Mais, pourtant, en métal, avec un circuit d’évacuation des liquides qui les conduisait à un seau, elle ressemblait trop à mon goût à une table d’autopsie ou de pompes funèbres. Je ne m’appesantis pas car l’opération délicate allait commencer.

Extraordinairement au vu de ce que j’avais évacué, la couche avait tenu et l’alèse ne s’était pas déchiré. La preuve est que l’odeur immonde ne se dégagea que lorsque, les attaches ayant été enlevées, on déploya la couche.

Même les maîtresses, probablement habituées, eurent un mouvement de recul. Ce n’était en rien comparable avec ma propre réaction et cette envie de vomir. Vomir quoi, me dit Lassie. Tu n’as qu’un bon demi-litre de sécrétions féminines récoltées le matin même dans une boîte de nuit lesbienne. Rien que l’idée, le rappel, la situation, relança ce besoin de régurgiter. J’eus juste le temps de tourner la tête et vomit l’ensemble de ce qu’elles m’avaient fait avaler ainsi que quelques fils de tissus. Elles vont te le faire réavaler, me terrifia Lassie.

  • C’est ma faute, avoua Tata Marguerite. Je n’aurai pas dû le concevoir avec du tissu, le caoutchouc poreux était une bonne idée à elle seule.

  • Pourquoi l’avoir fait ? lui demanda Maîtresse Diane, alors qu’elles se séparèrent la tâche de mon nettoyage.

  • Je ne voulais pas qu’il crève la paroi, à peine dans la bouche. Je pensais que cela protégerait le caoutchouc, commença-t-elle à se justifier, ennuyée.

  • Commettre des erreurs est une bonne chose. Cela permet d’apprendre, de s’améliorer, d’évoluer, rassurais-je Marguerite que, pour je ne sais quelle raison, je cherchais à réconforter.

  • Tu as vraiment un soumis charmant, félicita-t-elle Ladyscar, m’honorant de son compliment.

Lire la suite : Premières expériences et engrenages : Chapitre 106 : Un gros biberon
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