La révélation : 2. Préparation

Catégories : Homme soumis, Femdom Domination féminine Pantyhose collants bas petite culotte corset
Ce récit est la suite de : La révélation : 1. Prélude
il y a 3 mois

La date fatidique du week-end organisé par Alicia et destiné à faire découvrir à Régis sa vraie nature approche. Ce week-end de soumission qui s’appuie les trois piliers, fétichisme autour des grandes chaussettes, abstinence et pratiques sexuelles buccales et anales, excite beaucoup Régis mais lui fait peur.

Un mois avant, Alicia demande à Régis de s'engager à respecter quelques pré-requis. Pour commencer, il doit assurer un bronzage intégral du corps, hormis les mollets qui seront cachés par des grands chaussettes et/ou jambières. Alicia explique que l’absence de bronzage des mollets est destiné à affirmer son fétichisme pour les grandes chaussettes. Les séances de bronzage devront débuter dès avril afin d'être prêt pour le dernier week-end de mai, date retenue par Alicia. Il doit aussi acheter une cage de chasteté et s’habituer à la porter. Alicia le guide dans l’achat et l’appropriation de la cage. Deux semaines avant le grand jour, il doit entamer une abstinence afin de faire monter le désire. Sa cage l’aidera à tenir. Par ailleurs, la veille du jour J, il doit se faire épiler totalement le corps chez une esthéticienne choisie par sa Maîtresse. Il doit de plus voir un médecin choisi aussi par sa Maîtresse. Cette visite médicale étonne Régis mais après réflexion le rassure.

Dès les premiers rayons de soleil, Régis attaque les séances de bronzage intégral, jambières en place. Le bronzage et la perspective d’une épilation totale du corps l’excitent. Il se sent bien dans ce corps lorsqu'il porte grandes chaussettes et jambières. Il y trouve un épanouissement. Il découvre aussi les effets de la cage de chasteté. Il a de la chance de s’y adapter assez rapidement. Il prend goût à porter cette cage de plus en plus régulièrement. Au bout de trois jours de port, ses tétons deviennent hypersensibles. Il peut ainsi entretenir régulièrement un plaisir jouissif sans limite.

L'approche de la date fatidique fait réapparaître en lui une inquiétude voire une angoisse. Il a rendez-vous chez l’esthéticienne à la première séance à huit heures et chez le médecin à douze heures. Les deux se trouvent dans une petite ville de province, à trois heures de route de chez lui. Il doit y être en short court bleu, chaussettes de sport hautes blanches avec des bandes rouges en haut façon rollerskaters des années quatre-vingt. Cela gêne énormément Régis de devoir se présenter ainsi vêtu même s’il aime porter cette tenue. Il essaye de négocier avec Alicia qui reste de marbre. Pour être au rendez-vous de huit heure, Régis part la veille, habillé normalement. Il prend une nuit d’hôtel sur place. Le matin, il s’habille conformément aux directives d’Alicia. Par chance, il trouve une place de voiture juste devant l’institut de beauté. Il n’aura pas à marcher dans la rue, vêtu ainsi.

Arrivé chez l’esthéticienne, il est seul, ce qui le rassure. Elle l’accueille sans broncher. Il s‘agit d’une jolie blonde d’une trentaine d’année, de superbes yeux bleus et un physique élancé et sportif. Elle ne semble pas du tout surprise par la tenue de Régis. Après 5 minutes d’attente assis dans l’entrée, elle le fait rentrer dans la cabine et lui demande de se dévêtir complètement sauf les grandes chaussettes. Elle entame l’épilation qu’elle effectue soigneusement mais avec autorité, sans ménager Régis. Il est très gêné dans cette situation nouvelle pour lui. L’épilation du sillon inter-fessier l’a particulièrement mis mal à l’aise. Lorsqu’il ressort de la cabine, il constate qu’il y a une femme assise dans l’entrée, à attendre son tour. Elle le dévisage. Être ainsi, totalement épilé, en short court et grandes chaussettes, lui fait la même impression qu’être nu. Il rougit devant la femme et quitte sans traîner l’institut.

Le cabinet médical est à cinq cent mètres de l’institut de beauté mais Régis constate qu’il n’y a pas de place disponible pour se stationner. Il va devoir y aller à pied. Il y va d’un bon pas, tête baissée. A chaque personne croisée, il se sent dévisagé. Il est rouge de honte. Arrivé au cabinet médical, la secrétaire l’accueille avec un regard étonné mais malicieux. Elle l’oriente vers la salle d’attente ou il y a déjà trois personnes : un couple de retraités et un homme d’une quarantaine d’année. Régis s’assoit plus que gêné et plonge son regard sur son téléphone portable sans jamais oser lever les yeux. Il sent que les personnes l’observent. Il est à nouveau envahi par une énorme honte. Le médecin vient chercher le couple de retraités. Régis découvre que le médecin est une femme d’une quarantaine d’année, fine et élégante mais sèche. Elle jette un œil à Régis sans surprise.

  • Elle a l’air d’une dominatrice. Elle semble au courant me concernant, pense Régis.

Régis croise le regard de l’homme qui reste dans la salle d’attente. Son regard est sans équivoque. Il n’apprécie pas du tout Régis. Les minutes passées avec lui semblent très longues. Régis a enfin un moment de répit lorsque le médecin vient chercher l’homme. Puis c’est au tour de Régis qui aura passé plus d’une demi-heure dans la salle d’attente. Le médecin le fait rentrer dans son cabinet et avant même d’avoir refermé la porte, elle lui demande sèchement de retirer short et slip. Régis s’exécute. Elle lui demande sa carte vitale et dans la foulée de retirer le haut. Elle pianote son ordinateur pendant 5 longues minutes alors que Régis est debout devant elle, nu en grandes chaussettes et chaussures de sport, les joues rougies par la gêne. Elle lui demande toujours sèchement de s’assoir sur la table d’auscultation et l’examine y compris les parties génitales. Puis elle lui demande de se mettre à quatre pattes sur la table. Elle enfile alors des gants en latex, lui lubrifie l’anus et lui enfonce un spéculum anal sans même le prévenir. Régis se retrouve avec cet instrument dans l’anus avant même d’y penser. Elle commence alors à tourner la vis de réglage pour écarter l’anus. Au début, Régis trouve ça agréable mais arrivé à un moment, la douleur prend le dessus. Régis gémit. Elle continu à écarter encore un peu sous ses gémissements puis s’arrête enfin. Elle l’ausculte longuement puis retourne à son ordinateur, laissant Régis à quatre pattes sur la table, l’anus écartelé. Il sent l’air rafraichir l’intérieur de son rectum. On tape à la porte. La médecin dit d’entrée. C’est la secrétaire qui entre et sourit en voyant Régis dans cette posture.

  • Je pars, dit-elle. Le prochain rendez-vous est à quatorze heures. Bon appétit.

Cette attente dans cette position, l’anus grand ouvert semble interminable pour Régis. Le médecin vient enfin le délivrer et lui demande de se rhabiller et lui précise qu’il est bon pour le service, sans autre explication. Régis s’en va rapidement sans demander son reste. Il fait une halte au Mac Do le plus proche pour manger. Il s’installe sur la terrasse dans le coin le plus discret afin d’être vu par le moins de personnes possible. Puis il prend la route du retour. Il se sent épuisé par cette journée, autant physiquement que nerveusement. Il se dit :

  • Dans quoi je me suis embraqué ! Et le pire, c’est que ce n’est que le début !
Lire la suite : La révélation : 3. Préliminaires
Très intéressant cette belle histoire .
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