Un self-bondage walking mémorable

Catégories : Selfbondage auto bondage Chasteté ceinture chasteté hom fem
il y a 2 mois

Un beau jour de printemps, je décide de m’organiser une « randonu » nocturne d’une heure façon self-bondage walking, comme je le fais de temps en temps quand ma femme est absente. Je choisis un parcours connu en forêt par une nuit claire. Je pratique assez souvent ce parcours lors de mes marches nordiques. Il m’arrive de le faire fesses à l’air lorsque je suis très tôt, les autres promeneurs n’apparaissant pas avant 8h30. Pour les promenades plus osées, je préfère les faire la nuit afin de limiter le risque. Je suis d’une nature prudente.

Au programme, une heure de marche, nu en chaussures de randonnées, grandes chaussettes couvertes de jambières blanches à revers rouge, cage de chasteté, collier de soumis. Je ne me fixe pas les mains car ça peut être dangereux si je tombe. La tenue est complétée d’un plug anal annelé vibrant, long de 16cm et de 3,6cm de diamètre. Il est équipé de 2 vibreurs, un à la base pour exciter le sphincter et l’autre au bout pour exciter la prostate. Ce plug est bloqué par un harnais maison en cordes rouges fixées à une ceinture en cuir verrouillée par un cadenas. Le plug est télécommandable avec 10 choix de vibrations puissantes.

Je pars de chez moi à 5h45 afin de terminer l’heure de promenade juste avant l’arrivée du jour. Je verrouille le harnais et laisse le cadenas à la maison. Le point de départ de la balade est à 15mn de la maison en voiture. J’emporte avec moi un short court. Mais il est destiné à rester dans la voiture au cas où. Malgré mes « folies », je reste d’une nature prudente et prévoyante, enfin, juste ce qu’il faut. Je n’actionne pas les vibrations pendant le trajet. Ce sera déjà une gageure de les supporter pendant 1 heure. Jusqu’ici je n’avais porter ce plug en mode vibrant qu’une demi-heure lors d’un self bondage. Sur le chemin, je me demande si mon scénario est bien raisonnable… Pendant le trajet, je ne peux pas m’empêcher d’imaginer le pire : contrôle de la marée-chaussée, panne, accident de la route… Je suis beaucoup moins inquiet sur la balade en soi compte-tenu de l’heure, mais uniquement sur la durée du vibro, 1 heure tout de même...

Arrivé au point de départ, je mets en marche le vibreur et laisse la télécommande dans la voiture avec le short. Me voilà parti dans la forêt, sur le chemin, par une nuit claire. Très vite, mes pupilles se dilatent ce qui me permet de voir suffisamment dans le noir pour marcher. Un vent tiède me caresse le corps. Les chaussettes et jambières ainsi que le collier me tiennent suffisamment chaud. Le plug vibrant m’excite tout l’anus du sphincter au fond du rectum. Sa base est bien plaquée contre mon anus, serré par le harnais. J’adore me retrouver dans cette situation en pleine nature, sans filet (pas d’habit disponible pour cacher ma pudeur). Je ressens alors une grande liberté et un bien être profond. J’ai l’impression d’être alors enfin moi-même.

Le temps passe à apprécier ce moment d’extase. Vers 6h30, marchant depuis une ½ heure, je commence à sentir mon anus chauffer et à pousser. Le harnais fait son office et le retient bien. Je regarde alors ou je suis afin d’évaluer le chemin parcouru. Mais je ne reconnais pas les lieux dans la pénombre. Je poursuis ma marche plus lentement, recherchant des points de repère. Au bout de 15mn, le verdict tombe. Il faut bien l’admettre, je suis perdu. Je devais tourner à un croisement il y a un moment. D’habitude, de jour, je le fais machinalement. Mais là, parti dans mon nirvana, je n’ai pas fait attention. Je fais donc marche arrière afin de retrouver ce croisement qui pour corser le tout est parmi de nombreux croisements qui quadrillent cette forêt. De jour, je n'ai pas de difficulté pour le repérer, mais de nuit, c’est une autre histoire. Après 2 à 3 allers-retours entre plusieurs croisements, j’ai identifié celui de mes tourments. Je constate que j’ai perdu 20mn à le retrouver. Pendant ce temps, mon cul est en feu et le plug pousse terriblement. Cela fait 50mn qu’il vibre. Je n’en peux plus. Je suis à mi-chemin. « Je suis mal !» me dis-je. Je décide donc de poursuivre d’un bon pas afin d’abréger mon épreuve.

Je fonce tête baissée. Je suis essoufflé par mes pas rapides. Les sollicitations anales qui envahissent tout mon corps me provoquent la chair de poule. J’essaye d’arracher mon harnais. Mais j’ai fait du costaud. Il tient bon ! Le chemin fait plusieurs virages dont je n’ai pas souvenir. Je commence à m’inquiéter. Il est 7h15. Je regarde la lumière du jour qui apparaît et constate que je ne suis pas dans la bonne direction, pire je suis à l’opposé ! Comment ai-je pu me planter autant ! Je suis furieux contre moi-même. Et ce maudit plug qui pousse et me brûle tout l’intérieur. Je ne vais jamais tenir. Comment vais-je faire ? En plus, il commence à faire jour et bientôt des promeneurs vont arriver. Je désespère, pris par un vent de panique. Je suis à l’arrêt pétrifié, envahi par une angoisse forte, incapable de prendre une décision. J’essaye alors de me calmer en respirant bien fort. Il me faut retrouver la voiture au plus vite. Le soleil levant m’aide à repérer la direction de la voiture. Je décide de prendre le chemin le plus court pour la rejoindre en prenant toujours la même direction. Au pire je me retrouverai sur la route et la longerai. Me voilà reparti d’un pas pressant.

La poussée et le feu dans mon anus lié aux vibrations deviennent insoutenables. Je n’arrive plus à marcher. J’ai l’impression que mon anus va exploser tel le mont Saint Hélène ! Tout d’un coup, les vibrations s’arrêtent. C’est un soulagement immense. La batterie du plug est à plat. Ouf ! Je revis. Je regarde l’heure, 7h30. J’ai ainsi supporté ce plug vibrant pendant 1h30, battant tous mes records. Je suis fier, même si je l’ai subi. « Ça c’est du self-bondage ! » me dis-je. Mais il me faut reprendre mes esprits et rejoindre la voiture au plus vite, avant que les promeneurs apparaissent. A la lumière du jour je finis par reconnaître le chemin. Je suis sur la bonne trajectoire mais à 1h de la voiture ! Ça va être chaud ! Il faut vraiment que je force le pas. L’absence de vibrations m’aide beaucoup mais le plug est toujours là. Il pousse toujours, certes moins fort mais il pousse quand même. On est loin de la béatitude du début de balade !

Je marche d’un pas rapide. Je commence à réfléchir aux dispositions à prendre à l’approche des 8h30, début constaté de l’arrivées des autres promeneurs. Je marcherai sur le bord du chemin en scrutant l’horizon, prêt à bondir dans les broussailles si j’aperçois quelqu’un. Tout en réfléchissant, j’aperçois tout d’un coup une tâche bouger à l’horizon du chemin. Merde, quelqu’un arrive ! Déjà ? Je regarde l’heure. Il est à peine 8h. Il est bien tôt celui-là. Il faut comme par hasard que ce soit aujourd’hui ! Il avance vite. Je bondis dans les fourrés et me cache, accroupi. Je sens l’herbe me caresser les fesses. Mais très vite ces caresses se transforment en feu. Je suis accroupi au-dessus d’orties ! Elles me brûlent les cuisses, les fesses et les bourses. L’homme arrive d’un bon pas. Je sers les dents et reste sans bouger pour ne pas qu’il me repère. Ça me brûle. C’est horrible. Heureusement, il passe vite. Il fait de la marche rapide. Je me relève. J’évite de toucher pour ne pas accentuer la douleur. Il me faut tenir ainsi quelques minutes et ça passera. Ces minutes me paraissent interminables. Je reste debout dans les broussailles à attendre que la douleur passe et que le marcheur s’éloigne. Je reprends alors ma marche forcée. La douleur s’estompe petit à petit mais le plug, que j’avais oublié un instant, se rappelle à mes bons souvenirs. Il est plus que temps que j’arrive mais j’avance avec prudence, scrutant l’horizon.

Je pense alors à l’arrivée à la voiture. Elle est garée sur le bord de la route. La nuit il y a peu de passages mais à cette heure, le trafic est plus important. Comment vais-je faire pour monter nu dans ma voiture sans que l’on me voie ? A l’approche, je scrute la route et tend l’oreille. Il y a régulièrement du passage. Tout d’un coup, une voiture s’arrêt à côté de la mienne. Deux personnes en sortent. Je me cache dans les fourrés en prenant soin de ne pas m’accroupir sur des orties ou ronces. Le fait de m’accroupir amplifie la poussée du plug qui devient douloureuse. J’attends, serrant les dents. Ils s’éloignent en prenant mon chemin. Je m’approche de la voiture le plus possible à travers les fourrés et attend un moment propice pour bondir dans la voiture. Ce moment se fait attendre. Il ne me faut pas loin de 10mn pour le trouver. Dans la voiture, je souffle enfin. Le fait d’être assis me soulage un peu l’anus. Je mets mon short question de limiter le risque un jour de galère comme celui-là. J’arrive enfin à la maison et peut me libérer.

Avec le recul, je retiens de cette aventure plutôt un bon souvenir rempli d’émotions fortes. A la plénitude de début de promenade que je connaissais, j’ai pu vivre une expérience anale un peu extrême. J’ai eu l’anus en feu pendant 2 jours. J’ai aussi eu une dose de stress élevée. Mais en fin de compte, ça s’est bien terminé. Et j’ai battu des records : 2h30 de self-bondage walking et 1h30 de vibro anal. Cela-dit, je prendrai plus de précautions la prochaine fois, laissant au hasard le soin m’organiser quelques imprévus mais en nombre limité…

Une expérience mémorable qui, avec le recul doit apparaître de plus en plus jubilatoire.
Cela donne des idées tout ça, merci !
un bien joli récit
Publicité en cours de chargement