Catégories : Homme soumis, Femdom Domination féminine
Ce récit est la suite de : Stage d'amaigrissement pour soumis
il y a 11 ans
Le vendredi est là, la matinée est passée en corvées, à midi, Maîtresse lu donne sa soupe, et le ramène a sa cellule, avant de fermer celle-ci, elle lui dit :
« On est vendredi, et comme je te l'ai dit l'autre jour, ce soir, j'ai quatre amies dominatrices, qui viennent me rendre visite, peut être que certaines viendront avec leur soumis ou soumise, mais c'est toi qui va être l'attraction du jour, donc, cet après midi, ce sera repos pour toi, tu vas rester en cellule et tout à l'heure, je viendrais pour que tu puisse te préparer. »
Sur ce, elle ferme la porte est le laisse à sa méditation.
Elle revient vers le milieu de l'après midi, ouvre la porte de la cellule, et lui ordonne: « Suis moi ! » Il l'a suit, ils ne quitte pas l'annexe, Maîtresse se dirige vers une autre porte, un peu plus loin dans la pièce, elle s'arrête devant tire le verrou, une nouvelle cellule pense t'il, avant d'ouvrir la porte, elle se retourne, se baisse et lui retire les entraves de ses chevilles, puis le ceinturon qui maintien sa couche.
« Voilà, écoute moi bien, je vais t'enfermer dans cette pièce, comme tu vas t'en apercevoir, ce n'est pas une cellule, mais une salle de bain, tu y trouvera tout ce dont tu vas avoir besoin pour te nettoyer correctement, car, les séances du portique, n'était là que pour un nettoyage de surface, je te veux raser de près, le visage et le sexe, et nettoyé de partout, je te laisse tout ton temps, profite en. »
Elle ouvre la porte, le fait renter et la referme aussitôt sur lui. Il croit rêver, le voilà libre de toutes entraves, seul le collier à son cou et la porte close, lui rappelle sa condition, mais en une semaine, il a apprit à obéir et a ne pas se rebiffer, il décide donc de profiter de sa bonne fortune, la salle de bain, est assez spacieuse, avec une douche italienne et une baignoire, un lavabo, une très grand glace dans laquelle il peut se voir en entier, un tabouret, et sur une console, tout un ensemble de produits, bain moussant, sels de bain, shampoing, mousse à raser, rasoir jetable et une pile se serviettes.
Maîtresse lui a dit rasé de près, il commence donc par cela, d'abord, le visage, car depuis le début de son calvaire, les poils de barbe ont poussé, ensuite, il passera au sexe, cela fait, il décide de prendre un bon bain, il a tout son temps alors, pourquoi, ne pas en profiter, il fait couler l'eau, un peu plus que tiède, y rajoute des sels de bains et se glisse avec volupté dans l'eau, que cela est bon ; Il traîne facilement une heure dans le bain, c'est l'eau ayant refroidi, qui l'oblige à sortir, de là, il passe sous la douche, le bain, c'est bien, mais on se lave dans l'eau sale et après presque une semaine sans avoir été savonné, ce n'est pas le top, sous la douche, il se fait un shampoing, puis se savonne à plusieurs reprise, avant de décider à se rincer et sécher, une fois que cela est fait, il ne lui reste plus qu'à attendre le retour de Maîtresse, qui comme par magie arrive sur ces entre-fait, à croire quelle a des yeux partout.
« Allez, viens, suit moi, direction la table, grimpe dessus et assit toi, je vais t'équiper. »
Il fait ce quelle lui a demandé, elle ouvre un tiroir du meuble et en sort ce qui lui semble un amas de s a n g l e s de cuir.
«C'est un harnais de bondage pour femme, tu n'en est pas une, mais cela te siéra à merveilles, d'abord, tu vas enfiler cette cagoule en latex, qui laissera tes yeux et ta bouche libre, mais qui empêcha à quiconque de te reconnaître si jamais on te prend en photo, maintenant, tu vas te laisser harnacher, pas de couche, j'espère que tu saura te retenir. »
Sur ce, elle lui retire le collier d'acier qu'il a depuis son arrivé, elle positionne sur la table le dos du harnais, qui est constitué d'une large plaque de cuir, à laquelle est rivée sur chaque cotés trois boucles de ceinture, une autre est fixée à la base de celle-ci, au niveau du bas du dos, sur le haut est rivée aussi un gros anneaux métallique d’où partent d'autre s a n g l e s, toutes munie de boucles de ceinture, elle le fait se coucher sur le dos, pose sur son ventre l'autre plaque de cuir, qui est viens sur le devant, à laquelle est rivée un anneau d’où partent des s a n g l e s et auquel est rivée un collier, la plaque est taillée de telle manière que les seins soit apparent, trois s a n g l e s y sont rivées sur les cotés, prévue pour aller dans les boucles.
« Rentre le ventre que je puisse fermer le harnais »
il rentre le ventre et elle le s a n g l e dans le harnais, qui maintenant lui enserre la taille.
« Debout, que je puisse finir de t'harnacher »
Il descend de la table, Maîtresse finie d'ajuster les s a n g l e s, une sur chaque épaule, comme des bretelles de soutien-gorges, d'autres, passent sous les bras, pour revenir se fixer sur le devant du corset, une autre pend sur le devant au niveau de l'entre jambe, Maîtresse, s'en saisie et la passe entre ses jambes, pour la fixer à la boucle au bas du dos, tout en vérifiant, que le sexe, disparaît bien, sous le bas du corset et la s a n g l e , elle fixe ensuite deux bracelets de cuir au dessus de ses coude, quelle attache à l'anneau du dos à l'aide de deux attaches à double piston, ce qui lui empêche de tendre les bras devant lui, des menottes de cuir sont aussi fixées à ses poignets.
« Te voilà toute belle, il te manque encore un accessoire, les chaussures, tu vas t’asseoir sur cette chaise, pour que je puisse te chausser. »
Elle retourne vers le meuble à coté de la table, ouvre un nouveau tiroir et revient avec une magnifique paire de bottine à talon haut de verni noir, quelle lui chausse, avant de les lacer et de mettre la double bride de cheville cadenassée.
« Tu es maintenant fin prêt pour accueillir mes invitées, ce qui ne sauraient trop tardé, surtout n'oublie pas toujours poli, serviable et obéissant, de plus, ne les appelle pas Maîtresse, mais Madame lorsque tu t'adresse à elles, vas te placer au niveau de la porte d'entrée et accueille mes visiteuses»
Il se place donc à l'entrée de l'annexe, un bruit de pas dans l'allée, une femme se présente à l'entrée, elle est suivie d'un esclave entièrement féminisée, portant ses sacs.
« Bonsoir Madame, bienvenue, Maîtresse vous attend, permettez moi de vous précéder, pour vous monter le chemin »
Il se dirige, vers une partie de l'annexe, occulté par de grands rideaux, écarte un pan et laisse pénétrer la visiteuse. Derrière les rideaux se trouve un genre de petit salon, meublé d'un canapé et de vaste fauteuil de cuir noir, qui ont l'air d'un moelleux incomparable, d'une table basse bois massif, le sol, est tapissé d'une épaisse moquette d'un rouge vif, plus loin, se trouve une table en fer forgé, dont le plateau est fait d'un verre épais, les chaises sont elles aussi en fer forgé, avec des assises en velours rouge, il laisse sa visiteuse avec Maîtresse et reprend sa faction, pour accueillir les autres visiteuses, le cérémonial de réception est le même, seule, une autre de ces dames est venue accompagnée, cette fois, c'est une soumise, toute vêtue de latex.
Toutes ces dames sont toutes de magnifiques femmes dans la fleur de l'âge, tout comme Maîtresse. La première arrivée est une structurale blonde, vêtue d'une combinaison de cuir noir, la seconde est une frêle Asiatique, au charme ravageur, vêtue, d'un corsage lacé sur le devant, d'une mini jupe de cuir rouge et chaussée de cuissarde de même couleur, la troisième une petite rousse à la poitrine opulente, elle aussi vêtue de cuir, la dernière, détonne des autres, c'est une grande Africaine, habillé d'un tailleur de couleur beige, qui rehausse sont teint d'ébène.
Maintenant, toutes sont installées autour de la petite table de salon, sur laquelle est posé des assiettes d'amuse-gueule pour l'apéritif. Maîtresse lui fait signe de se rendre dans la petite kitchenette attenante, là, le soumis et la soumise, prépare le repas, celle-ci, lui place entre les mains, un plateau, c'est la seule chose qu'il puisse faire, vu les entraves qui l'empêche de tendre les bras plus en avant, et dépose dessus, les verres rempli de ce que ces dames ont commandées comme boisson.
« Vas servir ces dames, et attention de ne rien renverser », il se dirige donc pour les servir, marchand difficilement sur la moquette avec ses chaussures à talons.
« Ah, voici ta perle rare ! » dit l'une d'elle.
« Oui ! », répond Maîtresse, « Depuis que j'ai trouvé cette idée de stage d'amaigrissement, c'est vraiment le premier vanille, qui réagit et apprend si vite, il a l'air aussi assez endurant, c'est vrai, que pour l'instant, on n'en est qu'aux prémices, vu qu'il n'a eut pour l'instant que quelques gifles et punitions au martinet, rien, n'est encore décidé pour la spécification que je pourrais lui donner, une chose est sure, c'est un piètre cuisinier, mais cela aussi s'apprend, un bébé AB-DL, il s'est bien habitué à la couche, bien qu'il a du mal à faire la grosse commission à l'intérieur, depuis lundi, il n'a pas fait grand chose, malgré sa nourriture, un pony, il est assez réactif pour cela, c'est la raison, pour laquelle je vous est invité aujourd'hui, chacune de vous à une spécialité, vous allez pouvoir le tester à votre grès. »
Il circule entre ces dames avec son plateau, se baissant afin quelles puissent prendre leur verre, l'une d'elle, au moment ou il se penche devant l'asiatique, le bouscule légèrement et ce qui devait arriver, ce produit, déséquilibrait par la légère poussé, un des verres se renverse et éclabousse généreusement la dame, qui sursaute.
« Maladroit !, tu commence bien la soirée. » lui dit Maîtresse.
« Mesdames, pour le punir, je vous propose une fessée à quatre mains. »
«Très bonne idée, mes mains commencé à me démanger. »
Elles se lèvent toutes dans un ensemble presque parfait, prennent les chaises qui se trouve autour de la table et les placent en face l'une de l'autre et s’installent dessus genoux contre genoux, Maîtresse elle se met en bout et ordonne :
« Viens ici, couche toi en travers des genoux de ces dames, tes fesses bien au centre. »
Il avance et ce positionne comme demandé, Maîtresse s'avance, afin que sa tête repose entre ses genoux et pose ses mains sur ses épaules, pour le maintenir.
« Voilà mesdames à vous, en avant la musique. »
La fessé commence, d'abord à une rythme léger, avant que la cadence augmente, pour lui, la douleur du début, devint picotement, ses gémissements, sont étouffé dans les cuisse de Maîtresse, par contre, ses fesses, rosissent avant de prendre une teinte cramoisi,
« Il marque bien, une joie de travailler ce postérieur, je pense que l'on vas avoir beaucoup de plaisir avec lui. »
« Oui, je pense que vous y prendrez du plaisir, allons, finissons notre apéritif, avant de passer à table, vos soumis et soumises, vont s'occuper de nous, lui, on vas le réserver pour plus tard. »
Elle le relève, lui relit les poignets par ses menottes de puis, l'installe à genoux en bout de table, et fixe aux anneaux de son collier les chaînes qui sont soudées aux pieds de la table, il lui est ainsi impossible de se relever, ou de bouger de droite à gauche, sa tête dépasse juste au dessus du plateau, un masque de sommeil, est passé sur ses yeux, afin de lui occulter la vue. Il peut ainsi entendre ou deviner ce qui se passe autour de lui.
Un bruit d'assiette et de couvert, les deux soumis, sont en train de dresser la table, puis, un bruit de cuir, comme un frottement, ces dames doivent se préparer à se mettre à table, il essaye de tendre l'oreille, pour mieux entendre, clac, un coup de cravache claque sur une de ses fesses.
Il entend le bruit des couverts et des des discussions, sans vraiment arriver à en suivre la conversation, l'Africaine, se pense tout à coup, et murmure à l'adresse de Maîtresse.
« Tout à l'heure, tu disais qu'il était du genre constipé, malgré son régime, il me vient une idée, pourquoi, ne pas lui donner du laxatif ? »
Maîtresse lui répond : «Très bonne idée, je crois avoir ce qu'il faut, il doit me rester un pot de Tamarine, on en trouve plus en pharmacie, mais elle doit être encore bonne, j'y vais de ce pas. »
Elle se lève, et par dans la maison principale, et revient avec le précieux produit.
« Oui, elle n'est pas périmée, tiens, puisque l'idée viens de toi, à toi l'honneur. »
L'Africaine, se lève, prend le pot, une cuillère à soupe et se dirige vers le bout de la table.
«Tu as de la chance, je vais te donner la becquée, ouvre grand la bouche, pas besoin de mâcher, tu n'a juste qu'à avaler, combien on lui en donne, ils disent une cuillère, aller, pour que cela soit plus efficace, on va lui en donner trois. »
Il a ouvert la bouche comme demandé, elle rempli la cuillère d'une bonne dose de confiture et lui enfile dans la bouche, il avale, déjà la deuxième cuillère arrive, il sent sa pression sur sa bouche, qu'il ouvre, il avale une fois de plus la troisième suit,
«Espérons que cela soit bien efficace, mais que çà n'agisse pas trop vite, que l'on puisse profiter de lui ce soir, par contre, je pense que ce soir, il te serait judicieux de le mettre dans un box à chevaux, nu et enchaîné, pour éviter tout accident. »
« Oui, tu as raison, il pourra ensuite nettoyer le box. »
Le repas terminé, ces dames, repassent au salon, après l'avoir délivré,
« Ah, on vas pouvoir enfin jouer, pour lui, tout vas être une première pour lui, ou presque. »
La rousse, commence à lui triturer les mamelons, il se pince les lèvres pour ne pas gémir.
« Wahoo, il est très réactif, ils durcissent déjà, je crois que je vais lui mettre des pinces. » Elle vas à son sac et en revient avec des genres de baguettes, des pinces japonaise, cela est constitué d'un genre de bambou d'une quinzaine de centimètre, fendue en son milieu, avec un petit anneau de réglage à chaque extrémité, la pose est facile, il suffit de laissé les anneaux aux extrémités, d'écarter les deux parties et de placer le mamelon entre les deux, ensuite, il suffit de faire coulisser les anneaux vers le mamelon, pour une pression, plus ou moins forte sur celui-ci.
Pendant que la rousse lui pose les baguettes, la blonde s’occupe de ses fesses, les caressants d'un mouvement circulaire avant de tout à tout, les claquer, et recommencer, le chaud et froid, la claque pique, mais la caresse est apaisante.
Les autres, jouent avec le soumis et la soumise.
« C'est bien joli tout çà, mais avec son harnais, nous ne pouvons jouer qu'avec ses fesses et ses tétons, personnellement, j'aimerais passer à autre chose. » dit la rousse
« Tu as raison, débarrassons le de sa carapace ; » Rajoute la blonde.
Chose aussitôt dite, aussitôt faite, le harnais, lui est retiré, par contre, le masque reste en place, il est toujours aveugle, un collier de cuir est fermé à son cou, avec sa laisse, que se saisi rapidement la blonde, pour le conduire sur un chevalet, où il est aussitôt entravé.
«Joli petit cul et vierge en plus. », dit l'Africiane, en mettant une paire de gants en latex. « Je crois que je vais me faire le plaisir de lui enlever sa petite rondelle ; » dit elle en mettant du gel sur ses doigts, avant de les introduire doucement dans son fondement, faisant de léger aller retour, en tournant de temps en autre.
« Il est étonnant, il a l'air très élastique de ce coté, je crois que je vais aller plus loin. »
Elle arrête donc et part chercher un gode ceinture dans son sac, dont elle se ceint aussitôt, la rousse fait de même et dit.
« Moi, je vais m’occuper du devant, on changera après »
L'Africaine se place donc derrière, après avoir mis un préservatif sur le phallus, et pose le bout de celui-ci au niveau de la rosette, poussant doucement pour faire pénétrer l'engin, dans cet étroit conduit, il rentre doucement, sans trop d’effort, lorsque la moitié à disparu, elle le saisi de chaque mains au niveau de l'aine et pousse d'un coup de rein pour entrer complètement, sous le coup de la surprise, il ouvre la bouche pour prendre de l'air, la rousse en profite et lui engouffre le siens dans la bouche, le voilà farci des deux coté, chacune maintenant, font des aller retour.
Pendant ce temps, la blonde, pour ne pas être en reste, allume une bougie de couleur et commence à tracer des arabesques sur son dos, au contact de la cire chaude, il se contracte, mais entravé comme il est sur le chevalet, il ne peut rien faire que subir.
La rousse se retire, il respire un peu, mais c'est de courte durée, ils sent à nouveau un sexe essayer d'obliger sa bouche de s'ouvrir, il résiste un peu, un coup de martinet sur ses reins, brise sa rébellion, ce sexe dans sa bouche lui semble d'une consistance autre que le précédent, il n'a pas ce goût de plastique, on dirait un vrai, dans sa tête, il se dit, mais il n'y avait pas d'homme a part le soumis et je ne pense pas que ce soit lui, une autre personne un homme est donc arrivé pour rejoindre ces dames.
A ce moment, le masque lui est enlevé, il cligne des yeux, aveuglé par l'accès de lumière, peut à peut, ils s'accoutument et là, il se rend compte que ce n'est pas un homme, mais l'Asiatique, qui est en fait une transsexuelle, un être du troisième sexe, dont celui-ci lui laboure la bouche, d'un lent vas et viens.
« C'est bien ma poulette, vas y doucement, salive bien, occupe toi bien de mon petit bijou, lèche le, titille le de ta langue, c'est bien, tu apprend vite. »
Et le sexe gonflé continue son vas et viens, d'un coup, l'Asiatique, lui prend la tête à deux pour le maintenir, sa semence jaillit et inonde sa bouche et sa gorge, il ne peut que déglutir pour avaler le nectar aigre et sucré de l'Asiatique, qui se retire satisfaite.
L'Africaine s'était retirée et la rousse avait pris sa place, martelant son anus à coup de butoir, elle aussi se retire, une sensation de manque se fait sentir tout à coup, il est las.
Ces dames discutent de leurs sensations et avis.
« Ma belle, je crois que là, tu as vraiment trouvé la perle rare, ouvert à tout, assez résistant, à la longue, il sera parfait, on finira de se forger une opinion demain, je crois que là, il est inutile d'essayer d'aller plus loin, une bonne nuit de repos lui sera profitable.»
Maîtresse, lui retire les bottines, le détache et l'aide a se relever du chevalet, il titube, ses jambes ne le portent pratiquement plus, cela est dût à la tension nerveuse qu'il vient de subir, sur un signe de leur maîtresse distincte le soumis et la soumise, se ruent à son aide pour le soutenir.
Maîtresse « ordonne suivez moi ! » et elle sort, suivi par le trio, un, soutenu par les deux autres, et ces dames, Maîtresse se dirige, vers les box, elle en désigne un du doigt « Mettez le là », le soutenant toujours, ils pénètrent dans le box et le laisse doucement s'affaler dans la litière faite de paille, ils sortent le laissant au sol, Maîtresse rentre dans le box, se saisi d'une chaîne scellé dans le mur et fixe celle-ci au collier de cuir, avec un cadenas, passé dans la chaîne et l'aiguillon de la boucle du collier, qui est pourvu d'une boucle prévue à cet effet.
Elle sort, referme la porte cavalière du box et enclenche les deux targettes, qui maintiennent les deux parties de la porte fermées.
« Voilà qui est fait, allons maintenant profiter d'un repos bien mérité, demain, nous viendront voir, dans quel état il est et si la tamarine a agit. »
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