Cela se passe en Afrique où j’ai vécu quelques années et où j’ai pu réaliser de nombreux fantasmes. Un soir où j’étais sorti en boite de nuit, après quelques verres une très jolie black me proposa de finir la nuit avec elle. Ayant pas mal bu, je refusais mais elle insista lourdement alors pour m’en débarrasser je lui dis que j’avais des goûts très particuliers qu’elle n’aimerait surement pas. Qu’avais-je dis ! Au lieu de cela elle a lourdement insisté pour en savoir plus, les boissons fortes aidant je me suis dévoilé à cette fille « facile », cette parfaite inconnue.

J'osais lui dire que j’aimerais me travestir pour elle, puis qu’elle me domine avec une de ses amies, me maltraitent, me fistent et même m’urinent dessus et dans la bouche. Au lieu de fuir, elle me dit que tout a un prix et que pour 100€ elle vient chez toi avec sa cousine et que je serais leur petite salope à toutes les deux. Très excité à cette idée je lui donnais RDV un soir et lui laissais mon numéro de téléphone. Le jour J je n’étais plus très chaud et j’espérais qu’elle m’oublie, mais bien vite elle me confirma le RDV.

Elle avait prévu de passer la fin d’après midi dans un bar avec sa cousine en attendant 19h, elle me dit qu’elles allaient boire beaucoup pour moi et qu’elle rajouterait le prix des consommations sur ma note. Puis elles ont commencé à m’envoyer des SMS humiliants et insultants mais aussi très excitants car c’était une occasion unique de réaliser mes fantasmes les plus pervers. Vers 18h, j’étais dans tous mes états, je donnais congés à mes gardiens et allais vite me préparer pour les accueillir dignement. En ¾ d’heure j’étais devenue une jolie travestie, sexy, épilée, maquillée et prête à recevoir mes maitresses un joli plug planté dans mon cul comme elles l’avaient exigé. Vers 19h15 la sonnette me fit sursauter, je ne pouvais plus reculer, en sortant ouvrir le portail je les entendais déjà rire et mon cœur battait de plus en plus fort. Quand elles me virent elles me traitèrent de jolie petite salope. On entra dans la maison, je reçu alors une superbe gifle de la part de celle qui allait devenir ma maitresse.

• Ça c’est pour m’avoir refusé l’autre soir, tu vas le regretter petite salope ! Alors qu’attends tu pour nous récompenser!

Je leur donnais les billets prévus, Sonia (ma maitresse) en donnant sa part à Christel (la cousine) lui dit qu'elle avaient trouvé là leur pute aux œufs d’or! Je compris à ses mots que je ne m'appardiendrais plus.

• Bon passons aux choses sérieuses! Christel a faillit faire pipi dans le taxi, elle n’en peut plus alors suis là aux toilettes elle va te donner à boire ! Allez ! Allez ! Plus vite ! Christel était petite, elle m’ordonna de m’agenouiller devant la cuvette et tendre la main sous sa chate; j’ai reçus de gros jets d’urine chaude et blanche dans la main que je portais régulièrement à la bouche. A la fin de son pipi elle m'accrocha un collier et une laisse, se leva, m’enjamba, colla sa chate à ma bouche et d’avant en arrière elle se frotta pour s'essuyer sur ma figure, ma bouche et ma langue. Puis elle me ramena en laisse à 4 pates au séjour. Sonia, superbe, m’y attendait debout les jambes écartées, nue avec seulement une superbe paire de cuissardes et un martinet à la main. Je fus placée à quatre pates sous ses jambes.

• viens là ma petite pute, je veux voir si tu as bien exécuté mes ordres !

Elle m’avait aussi ordonné de ne rien mettre sous ma mini jupe et me raser intégralement. Elle m’infligea alors plusieurs coups avec ses mains et son martinet sur les fesses et entre les jambes ; les lanières frappaient mes couilles et mon sexe et me faisaient sursauter. A chaque coup je devais remercier maitresse. Elle demanda à Christel de me présenter sa croupe à lécher pendant que mon supplice continuait et transformait mes fesses en brasier. Je m’étouffais presque dans la croupe de Christel qui en profitait bien aussi. D’un coup maitresse retira le plug de mon cul, tira sur ma laisse pour sortir ma tête du cul de Christel et l’enfonça dans la gueule en m’ordonnant de le nettoyer. Christel se releva, elle enfila alors un gant de latex et sa main vint remplacer le plug dans mon cul bien ouvert. C’était le première fois que je me faisais fister, heureuse que le plug m’y ait préparée mais malgré ça j’avais mal car sa main ne restait pas inerte, mais je n’osais rien dire. Je la sentais passer ! Surtout quand elle se faisait un plaisir de resserrer son poing et de m’enculer comme ça

Au bout d’un moment, Maitresse voyant ma souffrance dit qu’il était temps qu’elles me finissent. Elles m’ont allongée sur la table basse du salon les jambes relevées et écartées par maitresse qui avait enjambée la table et m’offrait la vue divine de son abricot tout lisse; Christel continua à me fister sérieusement alors que maitresse vint s’assoir mon visage en m’ordonnant de la faire jouir. Elle remuait, se frottait allègrement sur ma bouche, ma langue mon nez appuyait bien fort pour me faire suffoquer comme si elle voulait que ma tête entre dans sa chate. C’est comme ça qu’elle a jouit en gueulant son plaisir sans se soucier du voisinage, puis, complètement vidée, tomba en avant et s’allongea de tout son corps sur moi. Quelques minutes pour reprendre ses esprits pervers :

• maintenant tu vas prendre ton dessert, j’ai envie de me soulager la vessie et tu vas me servir de chiote ! T’as intérêt de déguster le bon champagne de ta maîtresse !! Joignant la parole aux gestes, elle s’accroupit au dessus de ma bouche, écarta sa chate avec les doigts et se mit à me pisser bruyamment et à gros jets dans la gueule.
• allez avale tout ! Régale-toi ! Bien que c’était un fantasme, j’avais encore jamais bu de pisse avant ce soir là, j’en avait des hauts le cœur et j’en recrachais pas mal mais par ma position j’en avalais aussi pas mal à la grande satisfaction de ma maitresse qui m’inondait littéralement et m’arrosait aussi un peu partout. Christel ayant à nouveau une petite envie n’était pas en reste non plus, elle est venue me balancer quelques jets supplémentaires que je dû avaler. Je sentais la pisse et elles m’ont autorisée à me doucher ; je devais revenir leur préparer à manger remaquillée, parfumée avec ma perruque coiffée et juste mes bas et mes talons, le plug à nouveau dans le cul. Pendant qu’elles mangeaient, elles m’insultaient, me tiraient sur la queue ou me claquaient les fesses quand je passais à côté d’elles. Maîtresse me dit que j’avais un très joli cul et que la prochaine fois elle me ferait connaître le « black mamba » et elle a tenu parole mais ça c’est une autre histoire…

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