BDSM la cadence du fouet

Catégories : Femmes soumises SM camisole
il y a 11 ans

Aujourd’hui, il pleut .Maître « S » est dans le bureau à faire des papiers. Pour l’instant aucune demandes de sa part, aucune exigence…Je reste au salon à lire ; la musique classique passe sur ma vielle radio en bois, le son est divin, chaleureux et doux. Mais très vite mon esprit divague, je ne suis plus dans mon livre, le bruit de la bourrasque qui bat son plein au dehors se mêle à la musique.

En un instant mon être tout entier est captivé par la musique de Satie qui passe à la radio. La mélancolie des Gymnopédies fait naître en moi ce désir au plus profond de mon corps. Le désir de se donner entièrement à son Maître. Une soumise parfaite, à genoux à ses pieds, se donnant sans retenues, les fesses rebondies en offrande totale. Pas un mot, pas un bruit, juste le sifflement du fouet qui vient claquer sur ces deux demi sphères rose. La douceur de la musique donne la cadence. Chaque coup est contrôlé et prend le temps de mourir sur mes galbes qui bougent et qui frémissent sous les « claps » Je ne sais plus si c’est la musique ou le fouet qui m’enivre, je ressens une douce chaleur m’envahir le corps tout entier. L’antre rose que je sens dégoulinant de cyprine mouille mes jambes. Je ne suis pas loin de l’extase …

Le fouet s’arrête…Une pose ; est-ce que ça s’arrête ? Mais non ; la main toute entière tombe à plat dans un claquement sourd, je sursaute, je ne m’y attendais pas. Puis un autre et encore et encore.

La cyprine me coule de plus en plus sur les jambes et mon corps tressaille de plaisir atteingnant la plénitude de la jouissance. La musique s’arrête, je vois Maître « S » dans l’encadrement de la porte. Que fais-tu me dit-il, à quoi penses-tu ?... à cet instant je me rends compte que j’étais en plein Fantasme … Heuu…rien, je rêve…Mais ne croyant aucune parole sortant de ma bouche, il me fait lever de mon fauteuil crapaud, prend le livre de mes mains pour le poser sur la table basse, dans un calme absolu, glisse sa main entre mes cuisses. Tu rêves ? Des rêves de chienne me dit-il, d’un air accusateur. Il sent entre mes cuisses mon pistil humide, dois-je dire mouillé !!!

Puisque tes rêves sont si humides, de ces prémices, je vais te conduire là ou tes rêves ne t’ont pas encore amenés. Maître « S » glisse sa main à l’intérieur de cet antre humide, sans difficulté il l’introduit toute entière, pénétrant au plus profond de mon être, caressant les parois de ce gouffre, entrant et sortant pour mieux sentir la chaleur. A chaque passage les parois sont de plus en plus gonflées de désir…Sa main se fait de plus en plus dominatrice, il m’impose de jouir ainsi.

  • Une chienne de ta sorte doit être punie…tu as profité de mon travail pour laisser aller tes pensées, maintenant je vais prendre le temps d’éduquer aussi tes pensées, pour qu’ensuite ce ne soit plus que pour moi que ta fente mouille…

Il m’approche de la porte, attache mes mains à chacun des crochets qu’il a mis au haut du chambranle de la porte, m’écarte les jambes pour les accrocher en bas ; me bande les yeux. Je me sens à sa merci, cette fois plus de rêves, mes attaches me rappelles que je suis bien vivante, que mon cœur tape, que je ne peux plus échapper à la sentence. Maître « S » me demande si je veux bien qu’il fasse mon éducation…et je m’entends dire un « oui » !!! Mais ai-je oublié que mon corps allait sans doute regretter ce que j’ai dit.

Cette fois ce n’est pas le fouet qui tombe sur mes fesses mais un martinet de cuir tressé, chaque coup claque et marque ma chair. Je n’ose pas bouger. Je ne dis rien mais mon visage doit parler à ma place, pour l’instant il ne le voit pas…je sens la respiration de Maitre se faire de plus en plus forte, haletante, j’imagine que la séance le met en émois ; les lanières de cuir tombent encore. Je lui offre ma croupe ne voulant plus penser à la douleur qui m’assaille maintenant. Mes larmes commencent à couler. Maître « S » vient devant moi, se rapproche de mon corps pour que je sente sa verge gonflée, dressée de désir. ..

Il essuie de sa main les larmes qui coulent, sans un mot passe derrière moi attrape fermement mes hanches m’obligeant à m’offrir davantage et sans ménagement s’introduit dans ma tour de reine. Un frisson parcours tout mon corps. Les allez et venues dans ma tour me font monter le plaisir, je me sens bien !!! A cet instant, j’aimerai ressentir sa caresse sur la rondeur de mes seins ; - j’ose une demande, mais un « non » cinglant tombe comme un couperet. Maître « S » ne cessera ses va et vient qu’une fois sa semence lâchée dans ma tour…Il se retire…

Tu as compris, maintenant ? Je ne dois plus te surprendre la fente dégoulinante de plaisir sans y être autorisée !!! Il me détache et me laisse là sans plus de mots. Soumise…

Puisque tes rêves sont si humides, de ces prémices, je vais te conduire là ou tes rêves ne t’ont pas encore amenés. Ca c'est mignon ! Super récit, j'adore.
Oh le rustre ! Il lui dit "Je ne dois plus te surprendre la fente dégoulinante de plaisir sans y être autorisée !!! "" alors qu'il fait tout pour l'exciter. SADIQUE
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