punie pour ..

Catégories : Rencontres BDSM Femmes soumises SM camisole
il y a 11 ans

J’arrive chez Maître OZ avec 10minutes de retards, en cause la circulation. Maître n’est pas content, le retard n’est pas sanctionné car c’est la première fois que cela arrive. Il réclame le cahier de punitions, je le lui tends, pour une fois, il n’y a pas grand-chose. Ensuite, Maître me demande de me déshabiller entièrement et de mettre les bracelets aux poignets et aux chevilles. Pendant ce temps Maître me met un collier en chaîne « oups c’est froid » Maître me bâillonne avec la boule, mais j’ai des hauts cœurs, celui c est remplacé par une corde bien serrée, je ressemble à un canard. Maître rit, moi aussi.

Maître me demande de m’agenouiller face à la banquette et attache mes mains derrière le dos. Maître commence par me fesser avec une branche bien souple fraîchement coupée, sur les fesses. Maître donne un coup trop fort et la branche se casse, mécontent, Maître redouble les coups, sur le dos, les pieds, et bien sur les fesses, Les coups cessent, la branche est morte, Maître me soulage les fesses en les massant, c’est agréable. « J’en ai une deuxième » entends-je. Que Maître prends aussitôt et me frappe les pieds, mes pauvres pieds ne supportent plus les coups. Je supplie, je crie, mais avec la bouche en canard, c’est très difficile, donc il pleut dans mes yeux. Maître me masse le corps, que c’est agréable, je me détends. Puis quelque chose de plus doux vient me frapper le dos. Je reconnais cet instrument, ce sont les brindilles spéciales de Maître OZ. Changement d’instrument, Maître se sert du whip, avec celui la ce sont les pieds prennent plusieurs coups, mais les fesses et le dos en reçoivent aussi. Maître écarte mes fesses et me fouette là bien au milieu. Vlan un grand coup sec, me fait tressauter « hoo que cela fait mal » je serre les dents, afin de ne pas crier difficile avec la bouche en canard car je suis toujours bâillonner avec la corde, et je bave énormément, j’essaye de le signaler à Maître, Mais continue de fouetter, le dos, les fesses, les pieds et les mains. Je cris, je pleurs, je gesticule Lorsque mes fesses ont des superbes couleurs, Maître arrête de fouetter. Merci Maître Enfin Maître me délivre du bâillon, et me détache les mains je m’essuie la bouche. Maître soulage mon dos, mes fesses en les massant .Cela me détend. Maître m’ordonne de m’allonger sur le dos, sur la banquette. Il attache les mains au collier de chaîne, comme cela elles ne peuvent pas se balader. Maître a soif, va chercher une bouteille d’eau dans le frigo, en prends une gorgée et la garde dans sa bouche et viens la cracher sur moi, « c’est froid » dis je. Quelques instants plus tard, c’est le fond de la bouteille que Maître viens vider sur moi. Nous rions ensemble Maître s’assoie sur une chaise, à côté de la banquette, puis me met une pince crocodile sur le sein gauche; prends une corde, la met aux pieds, et me plie la jambe gauche J’ai fière allure dans cette posture, une jambe bien allongée, et l’autre repliée, attachée à la pince crocodile. Maître s’amuse à tirer sur la pince, aie, aïe aïïïïïe que cela fait mal. Maître rajoute des pinces de différentes tailles sur le sexe, sur l’autre sein, sous les bras un peu partout sur tout le corps en tenant la pince crocodile.et Maître s’amuse, à les enlever, les remettre, à tirer sur la pince crocodile. Au moindre mouvement je ressens la pince crocodile qui tire sur le sein Maitre continue son jeu, je ris, je pleurs, je serre les dents, je bouge, je bouge, je bouge énormément, alors Maître installe une boule hérisson, entre mes jambes, les aiguilles m’effleurent la peau, je n’ose plus bouger. Maître se fait plaisir, joue avec les pinces, la boule hérisson, qui les enlève et les remets. J’ai les larmes aux yeux, mais je suis satisfaite de cette séance. Apres avoir bien joué, Maître me laisse quelques instants avec toutes les pinces, la boule hérisson. Maître se lève, va chercher le fouet, et me fouette sur tout le corps. Les coups me font tressaillir, les aiguilles de la boule hérisson, me pénètrent dans la peau « Ouille, aïe, » Que cela fait mal. Les coups cessent, mais sont remplacés par de l’électricité. Maître, varie l’intensité, du faible au plus fort Je ressens bien les pinces car les électrochocs sont placés prés des pinces. Le temps passe. Maître enlève la boule hérisson, et s’amuse avec / « Si, je la fait tomber ici, en indiquant les seins, Ho ! Non Maître cela va faire mal. -Ou bien, là (sur le sexe)

  • non pas là non plus Mais où veux tu que je la mette ? -Nulle part Maître. J’en ai assez avec toutes ces pinces. Maître la fit rouler le long de mon corps afin que je ressente les sensations. Cela chatouille un peu, après quelques secondes, je ressens les pointes qui rentrent légèrement dans la peau J’en déduis qu’il ne faut pas du tout bouger afin d’éviter que les aiguilles de la boule hérisson pénètrent dans la peau. Maître enlève une pince, puis la remets aussitôt, Maître répète ce scenario, jusqu’au moment où je prononce les mots fatidiques « Merci Maître ». Maître retire les pinces une à une à chaque pince enlevée je luis « Merci Maître ». La dernière pince enlevée, Maître me libère de mes chaînes et des bracelets, mais m’ordonne de rester allonger sur la banquette. Je lui obéis. Maître me gifle sur la joue. Il continue puisque j’ai oublié de le remercié pour la paire de gifles « Merci Maître » Maître d’en donne une troisième paire de gifle « Merci claques » oups ma langue à fourchée. A cause de ça j’ai le droit à une série de claques sur les joues.et les seins ; « Merci Maître, merci Maître, merci Maître, je ferais attention à ce que je dis » Le temps passe trop vite. Punition levée. Je me rhabille « N’oublie pas le compte rendu » -oui Maître je le ferais
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