Une nouvelle fois punie

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il y a 12 ans

C’est avec une certaine appréhension que je me rends chez Maître OZ. En effet, n’ayant pas rendu le compte rendu en heure et en temps, je risque gros. De plus, je l’ai envoyé sans le corriger, il restait des erreurs. Cela ne plaît pas du tout au Maître. IL m’attend

Je reste concentrer sur la route. Me voilà arrivée chez Maître OZ.

Après l’avoir salué, Maître me réclame le cahier de punitions, je le lui donne. Maître s’installe sur la banquette. Maître me demande d’exécuter quelques positions : la 5, la 3, la 10, la 1, la 9. Je réfléchis quelques instants et je les exécute devant le Maître, j’ai peur de me tromper. Mais non, je les reproduits correctement.

Maître m’ordonne de me déshabiller complètement. De m’agenouiller face au meuble et devant la télévision de la pièce secondaire. Je vois par reflet dans l'écran de télévision. Je lui obéis.

Auparavant, je dois placer mes attaches aux poignets et aux chevilles. Pour cela je m’assoie sur l'autre canapé puis Maître s’installe à côté de moi, dans sa main, se trouvent deux seringues trafiquées. Maître pompe mes tétons avec et les installes pour les laisser en permanence. Le téton de gauche refuse cette installation, Maître s'acharne dessus. Je crois qu'il provoque bien la situation. Maître insiste prend une seringue plus grosse et voilà le téton de gauche prisonnier aussi. Cela pompe bien les tétons.

Maître installe un coussin devant le meuble pour les genoux. Je me mets à genoux, les mains derrière le dos j’attends la punition.

Maître finit de m’attacher en joignant les poignets entre eux, les chevilles puis à l’aide d’une corde, il relie l’ensemble. Il n’oublie pas le bâillon directement au scotch. Une habitude de Maître maintenant le scotch, car j'ai des grosses lèvres après. Maître me voit encore une possibilité de bouger, il prend un lacet et m'attache les pouces.

Maître prends son whips et commence par le balader sur le corps en disant : « cela ne fait pas mal ce sont des petits pompons ». C’est vrai aucune douleur, cela chatouille un peu. Puis Maître commence à fouetter un peu plus fort, je commence à ressentir la douleur. J’essaie de ne pas bouger, de ne pas crier Maître s’amuse, un peu de chatouille, des coups. Comme j’ai osé juste avant de chatouiller les pieds du Maître, mes pieds reçoivent aussi des chatouilles.

Puis, Maître prend un fouet différent et une salve de coup me fait sursauter, « ça c’est pour le compte rendu. » Maître s’amuse,

1 coup, 2 coups 3 coups, Aïe 4 coups, 5 coups.

Je serre les dents, j’essaie d’esquiver les coups. Maître continue

Aïe, aïe. Et moi, j’essaie de ne pas crier, de ne pas bouger, et de ne pas pleurer. Maître frappe sur tout le corps, y compris les pieds « aïe, aïe, non pas les pieds, cela fait mal. ». Maître continu puis dit :

« Ce n’est pas écris sur la check List, pourquoi ? »

  • non, Maître je ne savais pas que cela faisait mal.
  • Ce n’est pas une raison pour l'ajouter maintenant, trop tard.
  • Maître sait maintenant ma faiblesse.

Maître change à nouveau de fouet, plus long. Celui-ci claque fort, il fait le tour du corps, il fait mal aussi.

Je suis toujours à genoux attachées les mains derrière le dos, reliées aux chevilles. Les coups pleuvent, sur le dos, les seins, ce fouet fait le tour du corps, et vlan, cela claque sur mes seins, je ne résiste plus. Je crie, les larmes commencent à couler. Je m’étais juré de ne pas pleurer, mais les larmes sont parties toutes seules. Je m’en veux. Et Maître continue à me fouetter.

Maître sort le martinet, s’approche de moi et maintien fermement la tête en arrière puis me donne des coups sur les seins, je sens la douleur, les larmes qui coulent, j’essaie de les arrêter. Je tente d’esquiver les coups mais ne peut bouger, je suis tenue fermement par Maître. Puis, Maître lâche ma tête, mais continue à me fouetter le dos, .je crie « aïe aïïïïïe »Mais il continue. Maître sort ensuite le bambou. Maître n’oublie pas les fesses qui jusque maintenant n’ont pas trop soufferts. Je trésaille dés les premiers coups de bambou donnés. Mes larmes coulent de plus belles; j’ai honte de pleurer, Maître me demande de le regarder, je n’ose pas car je suis gênée d’avoir les yeux mouillés. Alors, une nouvelle fois Maître penche ma tête en arrière, et m’oblige à le regarder et m’administre une salve de coups sur mes seins. Je n’en peux plus. J’ai bien envie de crier « stop », mais j’ai peur que Maître continue, pourtant c’est bien le safword. Pendant ce temps, Maître continue les coups de bambou sur les fesses et les seins ; quant un fort coup vient atterrir sur les pieds je crie « stop, Maître ».Maître arrête, me caresse le corps. C’est agréable et cela me détend.

Maître me détache et m’invite à m’allonger, sur la banquette, nue, et sur le dos.

Un besoin se fait sentir, je demande l’autorisation à Maître OZ pour aller aux toilettes, il refuse, je réitère ma demande, « Non », Je me résigne. Toujours nue, allongée sur le dos, Maître me demande de placer les mains derrière la tête. « Je ne t’attache pas, je te fais confiance ».

Maître se sert du martinet et vient me caresser le corps, qui se transforment en coups qui viennent me cingler les seins, les coups parfois viennent sur le sexe, que cela fait mal, je n’ose pas bouger, je ne veux pas trahir sa confiance. Maître s’en donne à cœur joie, Les coups continuent à tomber, c’est tout le corps qui en reçoit, même les pieds, malheureusement je bouge. Je me replace aussitôt. Maître continue sa série de martinet.

Les coups cessent, Maître m’autorise à aller aux toilettes. Lorsque, je reviens, Maître me demande d’écarter les jambes, les mains derrière le dos, Maître assis sur la banquette, tenant dans sa main le bambou, m’administre des coups sur le sexe. Au bout de trois coups, je bouge, Maître continue par petits coups serrés jusqu'à que je reprenne la position initiale. Voilà, j’y suis dans la position du début. Maître reprends le comptage.1, 2, 3, j’essaie d’esquiver les coups en resserrant les jambes mais je reprends la position assez vite, 4, 5,6…. C’est frustrant, de ne pas savoir combien je vais en recevoir. Pourvu que cela soit peu.7, 8, 9, 10 Tu peux te rhabiller.

Merci Maître, j’ai compris la leçon

Le temps a passé trop vite. Il est déjà l’heure de ranger le matériel. Maître signe le cahier de punition..Celle-ci est levée.

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