Fessée 3 En famille

Catégories : Hommes fessés
il y a 9 ans

Lorsque j'avais 17 ans je suis allé passer quinze jours pendant les vacances de Pâques chez mon oncle Philippe, le frère cadet de mon père. J'aimais beaucoup aller chez lui car l'ambiance était beaucoup plus décontractée et "nature" que chez mes parents. J'aimais bien mon oncle qui était un homme costaud et jovial ainsi que ma tante Martine, qui m'aimait beaucoup aussi. Et surtout je m'entendais bien avec mes cousins et en particulier avec ma cousine. Mon oncle et ma tante avaient en effet trois enfants, Hélène qui avait seulement un an de moins que moi, Daniel qui avait 13 ans et le petit dernier Jean-Pierre qui avait 8 ans.

L'ambiance était chaleureuse, beaucoup moins "coincée" que chez moi comme je l'ai dit. Par exemple on pouvait parler de tout, très librement, y compris de sujets qui à la maison étaient "tabou", comme la sexualité. En plus mon oncle et ma tante n'étaient pas du tout pudibonds, alors que chez mes parents c'était le cas. Un jour j'étais dans la salle de bains en train de prendre mon bain avec mes deux cousins (comme il n'y avait qu'une seule salle de bains les garçons étaient priés de l'utiliser en même temps pour que ça aille plus vite). Alors que j'étais en train de sortir de la baignoire, ma tante est entrée et j'ai mis instinctivement ma main sur mon sexe pour le cacher.

Elle a éclaté de rire en disant : "j'ai un mari et deux garçons, sans compter mes patients (en effet elle était infirmière) alors j'en ai vu d'autres !". Et de fait j'ai remarqué plus tard que lorsque nous allions nous baigner dans un lac proche de chez eux,  elle ne s'entortillait pas dans une serviette pour enfiler son maillot de bain ou l'enlever (comme c'était le cas dans ma famille avec mes parents et mes frères et sœurs).

Elle n'était pas du tout exhibitionniste, elle s'habillait ou se déshabillait rapidement, mais sans se cacher et pareil pour mon oncle et mes cousins et ma cousine. Tout ça pour dire que c'était une ambiance super sympa, très cool, et que j'étais ravi de passer mes vacances avec eux. En même temps mon oncle et ma tante étaient un peu "soupe au lait" : quand ils n'étaient pas contents, ça explosait, mais ça ne durait jamais longtemps.

Cela dit ils avaient des principes éducatifs qui étaient  encore courants à l'époque. Ils étaient partisans des châtiments corporels.

Mon oncle disait que la fessée était le seul châtiment "sain et naturel" et qu'il n'y avait pas d'âge pour la recevoir dès lors qu'on l'avait méritée. Chez mes parents aussi la fessée avait cours, mais à 17 ans cela faisait tout de même plusieurs années que je ne la recevais plus. Au contraire mon oncle et ma tante considéraient qu'aussi longtemps que les enfants vivaient chez leurs parents, ils devaient se soumettre à cette discipline s'ils avaient enfreint les règles de la vie en commun. Leur principe était : "une bonne fessée, et on n'en parle plus".

En un sens, c'est vrai que cela vaut sans doute mieux pour la bonne ambiance familiale que les reproches continuels, les privations de dessert, de télé, d'argent de poche ou de sorties. Toujours est-il que quelques jours après mon arrivée, un soir, je chahutais dans la cuisine avec mon petit cousin Jean-Pierre.

Je lui apprenais des prises de judo. Nous faisions pas mal de bruit et à un moment nous avons fait valser des chaises. Mon oncle, qui était là, nous a grondé et nous a dit : "si vous ne vous calmez pas, vous allez vous prendre une bonne fessée tous les deux". J'ai rougi, très vexé à l'idée que moi, à 17 ans, je puisse être mis sur le même plan que mon petit cousin qui en avait 8 et qu'on envisage de nous fesser tous les deux, à tour de rôle, comme si nous étions des gamins du même âge.

Et j'étais d'autant plus vexé que mon oncle avait fait cette remarque devant ma tante, qui était en train de préparer le repas. Or quelques jours plus tard, un après-midi, je chahutais de nouveau avec Jean-Pierre et je lui fis une prise qui le fit malencontreusement se cogner le front contre le coin de la table. Il se mit à saigner abondamment. Ma tante arriva, affolée, et elle le soigna. Ce n'était pas grave, mais les blessures au visage c'est impressionnant parce que cela saigne toujours beaucoup.

Elle lui fit deux ou trois points de suture (comme elle était infirmière, elle savait le faire elle-même) et lorsque ce fut fini elle vint vers moi, toute tremblante de colère, et elle me gifla à toute volée, par trois fois. Je ne fis pas un geste pour me protéger car je comprenais sa colère et je savais que je l'avais mérité.

J'espérais que cela allait en rester là, mais elle me dit : "Tu vas voir, quand ton oncle va rentrer ce soir, ça va barder ! Maintenant, file dans ta chambre. Je ne veux plus te revoir jusqu'au souper". Je filai dans ma chambre sans demander mon reste, puis de là j'allai dans la chambre de ma cousine. Comme nous avions à peu près le même âge et que nous nous entendions très bien, c'est avec elle que j'étais le plus souvent. Je lui demandai comment son père allait réagir à son avis, et elle me répondit : "si c'était moi qui avais fait ça, je ne couperais pas à une bonne fessée". Je lui demandais si elle pensait que mon oncle allait vraiment me donner la fessée et elle me répondit : "s'il n'hésite pas à fesser une fille de 16 ans, je ne vois pas pourquoi il se gênerait pour fesser un garçon de 17 ans !".

Je lui demandai alors s'il allait venir dans ma chambre (c'est-à-dire dans la chambre de mes cousins, que nous partagions, et qu'on appelait "la chambre des garçons") pour me fesser. Et là elle me répondit que chez elle les fessées c'était toujours en public parce que ses parents trouvaient que c'était "plus efficace". Je n'osais pas y croire et nous passâmes toute la fin de l'après-midi ensemble, moi de plus en plus angoissé, tandis qu'elle me racontait les fessées qu'elle avait reçues.

Vers 19 heures j'entendis mon oncle rentrer et parler avec ma tante, mais il ne se passa rien jusqu'à ce que tante Martine nous appelât pour le repas. J'arrivai dans la salle à manger, avec ma cousine, l'air penaud et dans mes petits souliers. Mon oncle me dit : "Alors, tu en as fait de belles ! Tu es content de toi ? Je t'avais pourtant prévenu. Viens ici."

Je m'approchai tandis qu'il écartait une chaise de la table pour s'asseoir dessus. Ma tante, debout, les bras croisés, me dit : "déculotte-toi. Oncle Philippe va te fesser. Je baissai mon pantalon en tremblant, sous les yeux de mes cousins et de ma cousine. Comme j'hésitai, tante Martine me dit : "le slip aussi !". Mortifié je baissai mon slip et me retrouvai à moitié nu devant tout le monde.

Mon oncle s'empara de moi, me coucha en travers de ses genoux et m'immobilisa. Il leva son bras et sa large main s'abattit sur mes fesses nues avec un claquement de tonnerre. Ce fut un déluge de claques qui résonnèrent dans toute la maison. Je sentais mes fesses qui rougissaient et je serrais les dents pour ne pas crier, mais la brûlure était de plus en plus vive et intolérable. La paume de mon oncle s'abattait sur mon derrière avec la régularité d'un métronome. Il était bien décidé à ce qu'il ne restât pas un centimètre carré de peau blanche.

Comme je gigotais sur ses genoux il modifia ma position de telle sorte que mes fesses furent un peu écartées et je compris que tous les spectateurs, qui étaient tout près, pouvaient voir mon anus. Jamais de ma vie je n'avais été aussi humilié : fessé cul nu à 17 ans devant deux garçons plus jeunes que moi, une fille de 16 ans et une femme de 38 ans !

Et la fessée continuait, comme si elle ne devait jamais s'arrêter. Je ne pus retenir des gémissements, puis des sanglots, puis des cris. Mon oncle attendait manifestement ce moment , qui signait ma défaite complète, pour arrêter le châtiment. Il me releva et m'autorisa à me reculotter, ce que je fis, les yeux rouges, autant que les fesses, les joues empourprées et les larmes aux yeux, la voix étranglée de sanglots. Mon oncle me dit "allez, demande pardon à ta tante pour la peur que tu lui as faite".

Je balbutiai des excuses et aussitôt tante Martine me serra dans ses bras et m'embrassa en me disant " allons, c'est tout mon grand. Tu as fait une grosse bêtise et tu as été puni. C'est fini, n'en parlons plus." Là-dessus nous passâmes à table. Au début je baissai la tête, tout honteux, et redoutant de croiser les regards des autres. Il me semblait qu'ils ne pouvaient pas me regarder sans superposer à mon image celle de moi-même déculotté et fessé. Mais au bout d'un moment la bonne humeur communicative de la famille pris le dessus et à mon tour je me mêlai joyeusement à la conversation comme si rien ne s'était passé.

En fait je me rendis compte qu'en me fessant comme il fessait ses propres enfants lorsqu'ils l'avaient mérité, mon oncle m'avait montré que je faisais pleinement partie de la famille. Aujourd'hui encore je lui suis reconnaissant de m'avoir corrigé comme j'avais besoin de l'être.

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