Ardente voisine...

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il y a 12 ans

Ardente voisine...

Ce dimanche de juillet promettait d’être particulièrement torride et à onze heures du matin le soleil dardait ses rayons avec déjà une rare violence, écrasant la ville sous une véritable chape de chaleur étouffante ; comme c’était souvent le cas à Lyon. Guillaume, son sac de sport sur l’épaule rentrait chez lui après les deux heures qu’il s’obligeait chaque dimanche matin à passer à la piscine Garibaldi. La natation lui était devenue nécessaire pour « gommer » les dégâts causés à son corps part son métier de conducteur d’engins sur les chantiers. Grâce à la nage et aux séances de musculation qu’il effectuait une fois par semaine, Guillaume à vingt-deux ans possédait un corps fin et musclé, malgré les heures passées sur les engins du génie civile.

Tout en remontant la rue Garibaldi, Guillaume éprouvait un certain plaisir à observer les jeunes femmes qu’il croisait. Celles-ci en raison de la chaleur qu’il faisait avaient revêtu leurs toilettes les plus légères, qui dévoilaient plus qu’elles ne cachaient leurs affolants appâts féminins. Les croupes rondes, les hanches évasées, les cuisses nerveuses, les seins, ronds ou pointus, gros ou petits, se dessinaient avec une rare précision sous les fines tenues pour la plus grande joie des promeneurs mâles, jeunes ou vieux.

Rentrant des Halles de la Part-Dieu ou elle était allée faire ses courses comme chaque dimanche matin, son panier plein de provisions à la main, Fulvia sentait avec une certaine aversion la sueur lui poisser le dos, les aisselles et le creux des seins. Sa légère robe d’été semblait lui coller à la peau, dessinant avec une netteté presque impudique les rondeurs de son corps ; impression qui se confirmait chaque fois qu’elle croisait le regard un peu trop appuyé d’un homme en direction de sa lourde poitrine qui déformait d’une manière arrogante le devant de sa fine robe.

La nature l’avait en effet doté d’appâts mammaires nettement imposants par rapport à sa taille. Mesurant un mètre cinquante-huit, Fulvia avait toujours éprouvé un certain complexe pour sa petite taille, complexe encore accentué lorsqu’elle avait, à quinze ans, vu grossir ses seins de façon anormale. Par la suite, son quatre-vingt-quinze C ne passa pas inaperçu chez la gente masculine, et si les regards concupiscents avec lesquels les hommes jaugeaient ses volumineux appâts mammaires l’excitaient en général, cela finissait toutefois certains jours par la lasser. Le reste de son corps par contre avait conservé des proportions correctes par rapport à sa taille ; ses hanches agréablement arrondies et ses fesses rondes et fermes donnaient des allures d’adolescente à sa silhouette pour qui la détaillait de dos.

Ce matin particulièrement caniculaire, la jeune femme pestait intérieurement contre cette chaleur qui la liquéfiait littéralement : la sueur lui ruisselait dans le dos, trempant sa fine robe imprimée, collant le mince tissus à ses hanches évasées et à sa croupe rebondie. Tout en marchant, elle sentait la transpiration suinter entre ses seins et ses fesses, imbibant désagréablement son anus. Pressant le pas, elle songea à la douche ravigotante qu’elle allait s’empresser de prendre sitôt arrivée chez elle.

Avançant d’un pas nonchalant, Guillaume laissait errer son regard sur les jeunes femmes qu’il croisait ; admirant au passage les longues jambes fuselées de celle-ci, la cambrure de reins de celle-là, le déhanchement lascif de cette autre ; l’arrogance d’une poitrine, la finesse d’une taille. Le corps féminin songea-t-il, était une parfaite réussite de la création. Rien dans la nature ne pouvait rivaliser avec cette beauté féminine, faite de tant de grâce, de charme, de courbes, de fluidité et de rondeurs sensuelles. Ce merveilleux corps féminin qui avait inspiré tans de peintres et de sculpteurs célèbres à travers les âges. Déjà les hommes de Cro-magnon sculptaient des représentations de la déesse Mère. La femme, paraissant si fragile au premier abord et pourtant si résistante devant les aléas de la vie. La femme, qui pareil au roseau, plie sous les orages de la destiné, mais toujours sait se redresser, contrairement à beaucoup d’hommes présomptueux qu’un simple coup du sort suffit à mettre à terre. Inversement aux idées reçues, pour Guillaume le sexe fort n’était pas celui de l’homme, mais bien celui de la femme : la femme berceau de la vie, havre de tendresse, engendrant, portant et mettant au monde une nouvelle existence, dans la douleur mais aussi dans la joie de donner le jour à une nouvelle vie. La femme qui dans un avenir plus si lointain gouvernera, non seulement les pays, mais le monde entier. Avec « Elle » s’établira un monde d’Affection d’Amour et de Tolérance ou toute tyrannie et atrocité sera bannies. Si nos descendants veulent sauver notre planète avant qu’il ne soit trop tard, ils devront accepter le matriarcat.

Ayant atteint la rue Servient où il habitait un modeste F2 dans un ancien immeuble, Guillaume fut soudain tiré de ses pensées philosophiques par une silhouette qui le devançait de quelques mètres. A la taille de l’inconnue ; à sa chevelure mi-longue d’un noir éclatant, et aux rondeurs sensuelles qu’une simple robe imprimée ne parvenait pas à entièrement dissimuler, il crut reconnaître une voisine d’immeuble dont le corps aux formes généreuses le faisait fantasmer depuis longtemps. Pressant le pas il se porta à la hauteur de la femme. Son cœur s’accéléra légèrement en constatant qu’il ne s’était pas trompé :

-- Madame Pertini ! interpella-t-il… Vous me paraissez bien chargée, laissez moi vous aider ! -- Oh ! Monsieur Merval, s’exclama Fulvia en reconnaissant le jeune homme. -- Permettez que je porte votre panier, proposa Guillaume chevaleresque. Il m’a l’air bien trop lourd pour vous. -- Mais non, je vous assure, tenta de protester Fulvia, tout heureuse au fond d’elle-même de cette rencontre.

Ne tenant aucunement compte des protestations, bien faibles de la jeune femme, Guillaume se saisit du cabas, libérant Fulvia de son fardeau. Le reste du chemin qui les conduisit jusqu’à l’immeuble où ils résidaient l’un et l’autre fut pour Guillaume un enchantement. Oubliant tous ces appâts féminins qui un instant plus tôt l’accaparaient tant, il s’ingénia à faire rire sa compagne, désirant se faire adopter par elle. C’était la première fois qu’il se trouvait ainsi en tête-à-tête avec elle et l’émoi qui l’étreignait le rendait presque maladroit. Cependant malgré le trouble qui l’habitait, il ne pouvait s’empêcher de temps à autre de jeter un furtif coup d’œil en direction des attrayantes protubérances que faisaient les volumineux seins qui l’affolaient tant. Malgré la différence d’âge qui les séparait : Fulvia devait avoir la quarantaine, Guillaume avait éprouvé, dès qu’il l’avait croisé dans l’escalier pour la première fois, un irrésistible désir pour son corps aux courbes si sensuelles : ses énormes seins, ses hanches évasées et bien en chair, et sa croupe rebondie n’avaient alors cessé de l’obséder, aussi bien le jour lorsqu’il se trouvait sur son tracteur, que la nuit, seul dans son lit. Que de fois s’était-il imaginé dénudant ce corps plein d’attrait, refermant ses mains sur les énormes mamelles pour les presser fiévreusement, avant d’enfoncer son visage dans le profond sillon qui les séparait, afin d’en humer les capiteuses odeurs qui s’en dégageaient. Comme beaucoup d’hommes Guillaume éprouvait une véritable attirance pour les femmes aux grosses poitrines.

De son coté, Fulvia sentait son cœur battre follement, car elle aussi, lors de leur première rencontre, avait ressenti une certaine attirance pour ce jeune homme aux yeux étonnamment bleus, au sourire enjôleur et à la carrure impressionnante. Mais vu l’âge du garçon, tellement plus jeune qu’elle, elle avait, malgré le désir qu’elle avait ressenti, rejeté de son esprit toute idée d’aventure amoureuse avec ce merveilleux mais trop jeune Adonis. Pourtant à quarante-deux ans, elle éprouvait encore de fréquents désirs charnels qu’elle devait dans la plupart des cas calmer à l’aide d’une douche froide ; et lorsque cela ne suffisait pas, employer des artifices qui la laissaient le plus souvent plus frustrée que comblée. Pour cela elle possédait, bien caché au fond d’un tiroir de sa commode, toute une collection de godemichés ; elle en avait de toutes tailles et de toutes formes, qu’elle s’était procurés par correspondance. Toujours célibataire par obligation familial, elle avait bien eut quelques amants du temps de sa jeunesse, mais la présence de son père impotent à ses cotés les avait fait rapidement fuir ; aucun ne voulant assumer un beau-père infirme. Au fil des années les occasions pour Fulvia d’avoir des rapports sexuels s’étaient espacés, pour devenir même tellement rare qu’elle devait de plus en plus souvent utiliser ses artifices de plastique pour calmer ses désirs sexuels, et cela depuis qu’un jour elle avait croisé dans l’escalier ce séduisant jeune homme qui aujourd’hui lui servait de chevalier servant. Cependant, tout en plaisantant, le couple se trouva bientôt devant l’immeuble où il résidait.

Et alors que Guillaume, d’un geste galant lui ouvrait la porte, Fulvia ressentit un sentiment d’angoisse à l’idée qu’elle allait se retrouver seule chez elle avec son père cloué sur son fauteuil ; son merveilleux prince charmant allait disparaître et Dieu sait quand elle allait avoir l’occasion de le revoir… Elle ne pouvait le laisser partir ainsi ! Le peu de temps qu’elle avait passé prés de lui avait suffit pour faire naître en elle un incontrôlable désir, et la moiteur qu’elle sentait à la fourche de ses cuisses n’était pas entièrement due à la transpiration. Comprenant que si elle voulait garder prés d’elle le jeune homme, elle devait s’y employer rapidement, car ce dernier n’oserait certainement pas faire le premier pas. -- Vous ne désirez pas boire une boisson fraîche ? demanda-t-elle angoissée à l’idée que Guillaume refuse son offre… Je vous dois bien ça, avec cette chaleur !… Guillaume qui de son coté, ne savait comment prolonger ce tête à tête délicieux, mais n’osait proposer à la jeune femme de venir un instant chez lui, s’empressa d’accepter l’invitation :

-- Je ne voudrai pas vous déranger, tenta-t-il de protester pour la forme. -- Non seulement vous ne me dérangerez pas, mais vous me feriez un immense plaisir, insista lourdement Fulvia. Dans l’étroit escalier qui desservait les trois étages de l’immeuble, Fulvia, le cœur battant à tout va dans sa poitrine, s’empressa de gravir les marches devant son compagnon, offrant à ce dernier, sans s’en douter, le spectacle hallucinant de sa croupe ronde et musclée qui ondulait d’une manière terriblement suggestive à chaque pas qu’elle faisait. Guillaume qui éprouvait un réel plaisir à se trouver en compagnie de cette femme qui le faisait tellement fantasmer, sentit soudainement une bouffée de désir l’envahir à la vision des rondeurs fessières qui roulaient sensuellement à quelques centimètres de ses yeux. Avec émoi il sentit son sexe se gonfler inexorablement dans son slip. Affolé devant le spectacle de ces deux masses mouvantes, il crut même discerner sous le mince tissu de la robe les contours en relief de la culotte de la femme. Ce dernier détail vestimentaire terriblement affolant pour ses sens en éveils, lui donna l’envie de palper cette croupe superbe de ses deux mains, de la pétrir sauvagement, de l’ouvrir afin d’aller découvrir le merveilleux orifice qui s’y cachait. Heureusement l’arrivée sur le palier du premier étage où logeait Fulvia freina ses convoitises luxurieuses.

Suivant son hôtesse comme son ombre, Guillaume pénétra dans le logis de celle-ci quelque peu intimidé. L’un derrière l’autre ils longèrent d’abord un long couloir au bout duquel plusieurs portes donnaient accès à différentes pièces de l’appartement. Fulvia poussa celle de droite pour disparaître dans ce qui sembla à Guillaume la salle à manger d’où lui provenait le son d’une télévision. -- C’est moi Papa, entendit Guillaume. Monsieur Merval, notre voisin du dessus est là. Il a eu la gentillesse de m’aider à porter mon panier. A ces mots, Guillaume avança dans la salle. Un homme d’une soixantaine d’année s’y trouvait, assis sur un fauteuil, une couverture sur les jambes, occupé à regarder la télé. De visage il ressemblait étonnamment à sa fille, les même singuliers yeux gris tirant sur le vert. Ses cheveux étaient aussi blancs que la neige. Guillaume avait entendu dire dans l’immeuble que madame Pertini vivait avec son père handicapé, mais jamais personne n’avait rencontré celui-ci et pour cause. Il perçut un sentiment de gêne sous le regard inquisiteur que lui lança l’homme cloué sur son fauteuil.

Comprenant le sentiment de malaise qui préoccupait son invité, Fulvia entraîna vivement celui-ci de l’autre coté du couloir, dans une cuisine spacieuse judicieusement meublée et largement éclairée par une fenêtre orientée Sud-Est. Au centre de la pièce se trouvait l’incontournable table de cuisine rectangulaire, en bois blanc recouvert de carreaux de faïence bleutés, entourée de quatre chaises métalliques de couleur blanche et au siège de plastique bleu. Sur le rebord de la fenêtre, dans une minuscule cage, un canari jaune orangé, pauvre oiseau prisonnier de la cruauté humaine, privé d’espace, s’égosillait en trilles vibrantes, marquant ainsi son territoire et tentant vainement d’attirer une hypothétique femelle.

-- Mes parents ont eu un accident de voiture lorsque j’étais encore enfant, tenta d’expliquer Fulvia… Ma mère en est morte tandis que mon père est resté handicapé… et depuis je m’occupe de lui… Mais comme Guillaume posait le cabas de légumes à même le sol, la jeune femme s’excusa : -- Je vous laisse deux minutes, le temps de me changer, car je suis en nage… Mais faite comme chez vous. Les boissons sont dans le bas du meuble là, désigna-t-elle… Servez-nous en m’attendant... Pour moi ce sera un Martini blanc… Puis elle s’éclipsa par une des portes donnant dans le couloir. A peine enfermée dans la salle d’eau, Fulvia retira vivement sa robe légère trempée aux aisselles et dans le dos ; puis constatant que ses sous-vêtements étaient eux aussi tout aussi humides de transpiration, elle décida de les ôter également, en commençant par son soutien-gorge qu’elle dégrafa en se contorsionnant, libérant ses seins volumineux moites de sueur, qui privés de leurs soutiens s’affaissèrent mollement sur son torse. Puis ce fut au tour de sa culotte, qu’elle repoussa sur ses cuisses charnues, puis le long de ses jambes robustes, jusqu’au sol carrelé de la salle d’eau.

Entièrement nue, magnifique dans sa nudité sculpturale, Fulvia dans un réflexe tout féminin examina l’entrejambe de son vêtement intime. La large tache humide qui humidifiait la bande de nylon ne la surprit qu’à demi et comme pour s’en assurer elle porta son slip souillé à ses narines pour le humer avec curiosité. Immédiatement elle reconnut l’odorant fumet qui s’en dégageait pour l’avoir plusieurs fois flairés sur ses doigts lors de folles séances de masturbations, lorsque le désir se faisant par trop insistant elle était obligé pour retrouver son calme de se branler d’un doigt habile et habitué. Inquisitrice elle glissa une main exploratrice entre ses cuisses et force lui fut de constater combien sa longue vulve, au centre de son abondante fourrure, était dilatée et fort mouillée. Affolée par ce constat, la jeune femme, dont les sens la travaillaient depuis sa rencontre fortuite avec son si séduisant voisin, songea à ce dernier qui l’attendait à quelques mètres de là. Certaine que le jeune homme serait apte à éteindre le brasier qui lui consumait les entrailles à condition qui le veuille, elle décida qu’il ne quitterait pas son appartement avant d’avoir calmé l’embrasement de ses sens, dont il était en quelque sorte responsable. Et pour qu’il se décide, Fulvia se sentait prête à toutes les audaces pour attiré le jeune homme dans ses filets ou plutôt entre ses cuisses frémissantes ; persuadée qu’elle était, que ce dernier n’oserait faire le moindre geste déplacé envers une femme de son âge, même si comme elle s’en était aperçue il était, comme tous les hommes qu’elle avait rencontré ultérieurement, follement attiré par ses appâts mammaires au volume peu impressionnant du fait de sa petite taille. Rejetant sa lingerie intime à l’entrejambe largement imbibé de ses secrétions vaginales dans le lavabo qu’elle avait rempli d’eau, elle décrocha du porte-manteau mural la blouse qu’elle mettait habituellement pour vaquer à ses travaux ménagers. Mais alors qu’elle s’apprêtait à l’enfiler, une bouffée de chaleur l’envahit en constatant qu’elle n’avait pas de sous-vêtement de rechange à sa disposition, ceux-ci se trouvant dans sa chambre. Réfléchissant rapidement à ce qu’il convenait de faire : ou demeurer nue sous sa blouse ou aller finir de s’habiller dans sa chambre ? L’intense désir qui lui tenaillait les entrailles lui alors fit choisir la première solution, et c’est le cœur battant et la gorge soudainement nouée qu’elle boutonna sa blouse sur son corps nu, moite d’émotion. Lorsqu’elle arriva au dernier bouton, une idée soudaine lui traversa l’esprit, et avec un petit sourire pervers elle laissa la boutonnière libre, sachant qu’ainsi elle allait dévoiler une bonne partie de ses cuisses à son admirateur, et peut-être un peu plus.

Guillaume finissait de remplir les verres, comme son hôtesse le lui avait demandé lorsque cette dernière fit son apparition dans la cuisine. -- Me voilà ! Excusez-moi de vous avoir laissé seul, se justifia Fulvia… Avez-vous tout trouvé ? Immédiatement, Guillaume s’aperçut d’un changement dans la silhouette de sa sensuelle voisine. Sa poitrine qui quelques instants plus tôt paraissait si arrogante sous la légère robe d’été, semblait étrangement moins importante sous la blouse ; moins considérable mais toujours aussi volumineuse et aux doux balancements qui agitaient le tissu du vêtement, il comprit avec émoi que la jeune femme avait retiré son soutien-gorge, laissant son opulente poitrine libre. Le désir qui s’était quelque peu assoupi durant l’absence de son hôtesse, retrouva aussitôt sa vigueur initiale, engendrant une nouvelle érection au bas de son ventre, tandis que tout son visage s’empourprait : signe de son intense excitation. Fulvia, à qui le trouble de son invité n’avait pas échappé en conçue une formidable joie et un encouragement pour la réussite de son projet. S’asseyant à coté de sa jeune victime, elle s’arrangea en prenant son verre à ce que le bas de sa blouse s’écarte suffisamment pour offrir à son invité la vision d’une bonne partie de ses cuisses. -- A votre santé, lança-t-elle en poussant son verre en direction de celui de son invité… Et à la réalisation de tous vos vœux, continua-t-elle perverse en écartant légèrement ses jambes. Amenant son verre à ses lèvres, Guillaume ne put éviter de porter son regard sur les deux cuisses à demi-dénudées que son hôtesse lui offrait généreusement : deux fuseaux larges et blancs entre lesquelles il avait si souvent rêvé de glisser son visage afin d’aller coller ses lèvres à la faille qui s’y cachait et de s’abreuver la source divine qui s’en échappait. Tachant de cacher le trouble que lui inspirait la vision des cuisses dénudées, le malheureux vida d’un trait son verre de whisky sous le regard ravi de son hôtesse. -- Resservez-vous, si vous le désirez, l’invita-t-elle perverse. La gorge nouée, le sexe gonflé à l’extrême, Guillaume s’empressa de se verser une seconde rasade de whisky qu’il absorba par petites gorgées le regard toujours attiré par cette chair nue que lui dévoilait la blouse écartée : véritable supplice de Tantale pour sa libido exacerbée.

Fulvia qui s’était rendue compte de l’émotion que le spectacle de ses cuisses occasionnait à son jeune compagnon, décida, ravie, de continuer sans en avoir l’air d’affoler un peu plus ce dernier afin de l’amener o{u elle voulait, c’est à dire à ce qu’il lui fasse l’amour. Tout en discutant normalement de tout et de rien, de la chaleur anormale pour la saison, de la vie dans l’immeuble, et même de la hausse de la vie, elle porta sa main gauche au bouton qui tenait fermé le haut de sa blouse ; et innocemment elle le tripota d’un geste naturel, le tritura jusqu'à le faire sauter de sa boutonnière. Sentant alors le haut de sa blouse s’écarter imperceptiblement, elle s’arrangea pour baisser légèrement son torse de manière tout à fait naturelle face à son vis-à-vis. Dans ce mouvement le haut de son vêtement, libéré de sa fermeture bailla plus largement, offrant au jeune homme qui lui faisait face, l’affolant spectacle de ses volumineux seins libres de toutes entraves. Médusé, Guillaume demeura un instant sans voix en découvrant la partie supérieure des lourdes mamelles, objets de ses fantasmes les plus fous, tanguer sensuellement à quelques centimètres de ses yeux. Ne sachant quoi penser de l’attitude de sa sensuelle voisine, mais se doutant quand même que celle-ci était consciente du spectacle terriblement aguichant qu’elle lui offrait aussi généreusement, il décida de profiter du panorama qui s’étalait devant son regard ; puisque la femme lui dévoilait si généreusement ses appâts, il aurait eu tord de ne pas en profiter. Mais très vite un dilemme se présenta à lui : que contempler ? les cuisses longues et fortes, véritables colonnes de chair ou les magnifiques gros seins aux balancements si érotiques ? L’esprit complètement embrumé par l’intense désir qui le tenaillait et par l’alcool bu, il osa alors un geste en direction de sa si sensuelle voisine. Avançant une main frémissante, il referma ses doigts sur le genou largement découvert de son hôtesse, éprouvant un véritable délice à sentir cette chair féminine si douce et si ferme à la fois, chaude et veloutée. Comme la jeune femme n’avait pas bronché sous cet attouchement indiscret, il laissa alors sa main remonter insensiblement le long de la cuisse moelleuse et duvetée. Le corps soudain parcouru par un long frisson de volupté, la respiration bloquée, Fulvia éprouva un bref sentiment de plaisir : son si séduisant voisin était enfin tombé dans ses filets ! Malgré l’intense désir qu’elle ressentait à sentir cette main masculine remonter le long de ses cuisses pour atteindre sa source intime, de percevoir les doigts s’enfoncer au cœur de ses chairs vaginales liquéfiées, lui fouiller la vulve ; elle décida à regret de repousser cette main pourtant si alléchante afin d’exacerber encore un peu plus le désir du jeune homme.

-- Chut, soyez sage, murmura-t-elle d’une voix néanmoins complice. Dépité, Guillaume vida son verre de whisky pour la seconde fois. Jugeant sa jeune victime à point, Fulvia décida de s’assurer que son père ne risquerait pas de la déranger pendant la demi-heure qui allait suivre. Se levant de sa chaise elle s’arrangea pour que sa blouse s’écarte largement sur ses jambes nues ; et dédiant son sourire le plus enjôleur à son invité, elle quitta la cuisine pour se rendre d’une démarche chaloupée dans la pièce voisine. Resté seul, Guillaume s’empressa de se resservir un troisième verre de whisky qu’il avala d’un trait, tant ce qui lui avait semblé apercevoir l’avait retourné… Lorsque la femme s’était redressée de sa chaise, sa blouse s’était largement écartée et il avait semblé au jeune homme apercevoir une tache sombre à la jointure des cuisses féminines, lui donnant à penser que sa sensuelle compagne ne portait pas plus de culotte qu’elle n’avait de soutien-gorge. A l’idée que la femme était entièrement nue sous sa blouse, une bouffée de chaleur l’avait submergée. Tendant l’oreille en direction de la pièce où Fulvia avait disparue, il surprit la conversation qu’échangeaient le père et la fille. << -- Ca va Papa ? disait Fulvia.>> << -- ….. …. >> << -- Tu es bien ? Tu n’as besoin de rien ? … C’est bon, je te laisse regarder la télé ! Tu m’appelles si tu as besoin de quelque chose ! Je suis à la cuisine !… Comment ? … … Oui, Monsieur Merval est encore là ! >> Guillaume dont l’intense désir lui vrillait le bas-ventre, le faisant bander comme un âne, surveillait d’un œil allumé la porte derrière laquelle son égérie avait disparu. Lorsque enfin il la vit réapparaître, son cœur s’emballa : Fulvia, avec un air complice tira derrière elle la porte de la salle de séjour, sans la fermer tout à fait. Puis pénétrant dans la cuisine, elle en fit autant, repoussant la porte derrière elle, sans non plus la fermer complètement. Posant un doigt sur ses lèvres, pour lui intimer le silence, elle s’avança rapidement jusqu’à lui.

Arrivée prés du jeune homme dont la mâle beauté avait mis le feu à ses sens, le jour ou elle l’avait rencontré, Fulvia rejetant toute pudeur, se jeta plus qu’elle ne s’assit sur ses genoux, à la grande surprise du garçon. Saisissant à deux mains le visage de sa victime, elle s’empara goulûment de ses lèvres entre lesquelles elle infiltra sa langue souple et agile avec laquelle elle entama un ballet terriblement sensuel, recherchant celle du jeune homme. Telle une affamée, elle mit dans son baiser toute sa soif sexuelle, sa hargne de jouir, tandis que ses mamelons se gonflaient douloureusement et qu’entre ses cuisses le débit de sa fontaine intime s’amplifiait considérablement. Cela faisait plus d’un an qu’elle n’avait pas eu de rapport sexuel ; et encore, cela s’était passé de manière rapide, contre le mur du corridor. Ce jour là, elle s’était offerte à un représentant Antillais qui était venu lui proposer des statuettes en faux bois d’ébène. Elle avait tellement aguiché le malheureux, par ses avances sexuelles, ses poses provocantes, que ce dernier complètement affolé l’avait prise debout, à même le mur du couloir ; et son vagin s’était souvenu longtemps de l’organe masculin qui l’avait pénétré. Doté d’un membre viril d’une impressionnante longueur, l’homme l’avait littéralement perforée de son pal de chair monstrueux. Du fait de son un mètre quatre-vingt l’Antillais l’avait brutalement soulevé du sol en la pénétrant et elle s’était retrouvée les pieds battant l’air à dix centimètres du sol. Profondément empalée sur l’incroyable pal de chair rigide, la seule solution qu’il lui était restée pour apprécier au mieux cette fougueuse pénétration avait été de s’accrocher de ses bras au cou de l’homme et de lui ceinturer les hanches de ses cuisses. Ainsi accrochée au mâle, telle une liane à un tronc d’arbre, elle avait pu goûter pleinement le va-et-vient de l’immense verge dans son vagin enflammé. Mais du fait de la longueur effarante de ce membre, chaque coup de boutoir que l’Antillais lui avait dispensé l’avait transpercé si profondément que le choc brutal du gland colossal lui avait meurtri l’utérus. Il lui avait même semblé que la totalité de ses organes génitaux étaient ébranlés par les chocs sourds dispensés par la longue colonne de chair.

Mais sous ces heurts brutaux et douloureux qui lui broyaient le fond du vagin, Fulvia avait pour la première fois de sa vie ressentie un début de plaisir sado-masochiste ; surtout que l’homme la maintenant fermement par les fesses, lui meurtrissait allègrement celles-ci ; a tel point qu’elle en avait garder des bleus pendant plus d’une semaine. Cependant ces fulgurants coups de boutoir qui lui remontaient douloureusement les organes génitaux, avaient quand même réussis à déclencher en elle de longs spasmes voluptueux qui lui avaient irradié tout le corps. Jamais auparavant elle n’avait ressenti un plaisir si intense, si fulgurant que ce jour là !

Toutefois, au bout d’un quart d’heure d’une pénétration sauvage, l’Antillais trop excité pour se contenir davantage, avait eu une éjaculation d’une telle violence que sa vulve avait été copieusement emplie par le sperme chaud et abondant. Et lorsque l’homme, soufflant comme une forge, avait retiré son fabuleux membre de son ventre meurtri, un véritable flot avait jailli de sa chatte dilatée ; un flot impétueux ou se mêlaient l’abondante semence de l’homme et ses propres sécrétions vaginales qui n’avaient jamais été si copieuses, et qui lui avaient aspergé l’intérieur des cuisses avant de souiller le carrelage du sol d’une large flaque blanchâtre.

Après cette folle séance amoureuse, ses sens apaisés l’avaient alors laissé tranquille quelque temps ; jusqu’au jour ou ce nouveau voisin était apparu dans sa vie. Son corps d’athlète, sa chevelure blonde et bouclée, ses immenses yeux bleus et surtout son sourire ravageur découvrant sa dentition d’une blancheur éclatante avaient fait renaître dans son corps un afflux de désir dévastateur. Revenu de sa surprise, Guillaume entreprit alors de répondre au bouillant baiser de sa chaude hôtesse ; sa langue repoussa celle de la femme pour aller fouiller à son tour la bouche accueillante de sa sensuelle voisine. Habilement il accrocha la langue agile de celle-ci pour la sucer avec délice, s’enivrant du goût de la chaude salive parfumée dans un baiser plein de fougue et de passion. Ses lèvres aspirèrent celles de Fulvia pour les lécher avec gourmandise, éprouvant un délicieux plaisir à les mordiller délicatement, comme il l’aurait fait avec un fruit juteux pour en extraire son suc rafraîchissant. Sentant la jeune femme mollir dans ses bras sous son baiser plein d’exaltation, Guillaume se laissa alors guider par ses désirs.

Maintenant sa chaude partenaire contre lui de son bras gauche, il osa partir à la découverte de ce corps aux courbes si sensuelles qui le faisait tellement fantasmer depuis quelque temps déjà. Immédiatement il lança ses doigts en direction des volumineuses saillies qui déformaient le devant de la blouse à hauteur de la poitrine. A travers le tissu du vêtement il palpa avec ivresse les lourdes masses mammaires, augmentant encore son excitation à frôler les fruits de chair gonflés. Aussitôt, il sentit Fulvia se trémousser sous cet attouchement, comme si elle était prise d’une soudaine démangeaison. Laissant ses doigts courir sur les lourds appâts si proches Guillaume ne tarda pas à rencontrer le premier bouton qui maintenait la blouse fermée. Ne pouvant résister au désir de palper enfin cette abondante poitrine qu’il sentait si proche, il le fit sauter de sa boutonnière, ouvrant un peu plus le vêtement. Comme Fulvia ne semblait pas s’offusquer de son audace, peut-être ne s’en était-elle pas réellement rendue compte, Guillaume, la gorge nouée, laissa descendre sa main jusqu’à ce qu’il trouve le second bouton qu’il fit sauter à son tour, sans obtenir plus de réaction de la femme, qui se contenta de se trémousser un peu plus sur sa cuisse. Encouragé par le comportement complice de sa volcanique voisine, il s’attaqua alors aux autres boutons, les faisant sauter de leurs boutonnières les uns après les autres, ne prenant plus aucune précaution. Lorsque la blouse fut enfin complètement défaite, Guillaume s’empressa de remonter sa main jusqu’à cette gorge au volume impressionnant qui l’obsédait tant. Ecartant le vêtement qu’il venait de déboutonner, il referma sa main sur la masse chaude et élastique d’un sein qu’aucun soutient-gorge ne protégeait, comme il l’avait deviné, éprouvant un indicible émoi à sentir cette lourde mamelle à la texture si douce frémir sous ses doigts. Enfin il avait en main ce merveilleux fruit de chair étonnamment gonflé qui lui attirait le regard chaque fois qu’il croisait sa propriétaire dans l’escalier. Que de fois avait-il souhaité palper cette gorge au relief surprenant. Ivre de volupté, il empauma avec passion le globe charnu, le malaxant avec ivresse, le pressant sensuellement tout en agaçant habilement de son pouce le téton qui se dressait fièrement au centre de son aréole granuleuse.

Sous cet attouchement précis et terriblement voluptueux, Fulvia sentit un long frisson de plaisir lui irradier les reins, tandis que son bas-ventre se crispait douloureusement et que de sa chatte affolée une source brûlante s’échappait. S’accrochant frénétiquement au cou de son compagnon, elle agita éperdument sa langue dans la bouche de ce dernier en un baiser plein d’une fougue érotique qui la fit saliver avec abondance. De ses lèvres, pourtant étroitement unies à celles de son complice, un sourd gémissement ou se mêlaient plaisir et impatience s’échappa. Ses sens affamés par un trop long jeun se firent soudain pressant dans son corps torturé par le désir. Chaque frôlement du pouce masculin contre son téton douloureusement dressé déclenchait en elle de longs frissons voluptueux qui lui irradiaient les reins et le bas-ventre. Devant l’affluence de ses secrétions vaginales, dues aux sensuels attouchements dont étaient l’objet ses seins gonflés elle resserra vigoureusement ses cuisses l’une contre l’autre, tentant par ce biais de refermer sa vulve dégoulinante pour bloquer cet afflux d’écume sexuelle sourdant des profondeurs de son sexe liquéfié. Comme les ondes voluptueuses se faisaient de plus en plus suaves dans sa poitrine gonflée outrageusement, Fulvia éprouva le désir de caresses plus délicates. Abandonnant son baiser, elle recula son torse de son compagnon aux lèvres luisante de sa salive et saisissant celui-ci par le cou, elle attira son visage contre son sein douloureux à force d’être malaxé : -- Embrasse-le, grogna-t-elle impatiente.

Ne se faisant pas prier ; puisque l’invite de la jeune femme allait dans le sens de ses désirs, Guillaume referma sa bouche autour du mamelon granuleux et tel un nourrisson affamé se mit à téter avec passion l’opulente mamelle à la douceur de satin. Tout en pressant la large aréole boursouflée entre ses lèvres humides, il titilla le téton érigé d’une langue habile, l’agaçant, le rendant encore plus sensible, arrachant de petits gémissements de plaisir à sa chaude partenaire qui se mit à se contorsionner convulsivement, agitant sensuellement sa croupe sur sa cuisse ou elle était assise. Heureux de constater combien la jeune femme semblait apprécier les attouchements mammaires qu’il lui dispensait, Guillaume entreprit alors de refermer ses dents sur le bourgeon de chair qui se dressait insolemment au centre de son aréole bouffie. Il le mordilla tendrement, appuyant à peine sa morsure afin de ne pas blesser le fragile appendice mais serrant suffisamment ses dents afin de déclencher une réaction dans le corps frémissant de son hôtesse abandonnée. Aussitôt les gémissements langoureux qui s’échappaient de la gorge de Fulvia se transformèrent en plaintes amoureuse. Les reins arqués, tendant frénétiquement sa lourde poitrine aux voluptueuses morsures dont elle était l’objet, la jeune femme referma sa main sur la nuque de son partenaire, lui écrasant le visage contre son sein douloureux. -- Oh oui ! Grogna-t-elle d’une voix soudain enrouée… Encore…

Comprenant qu’il venait de découvrir un des centres érotiques de sa sensuelle hôtesse, et que cette dernière avait l’air d’apprécier au plus haut point ce qu’il faisait subir à ses mamelons, Guillaume décida alors de poursuivre ses sensuelles morsures. Refermant plus durement ses dents sur le tétons meurtri, il le mordit plus franchement. La réaction de la jeune femme fut alors aussi soudaine qu’inattendue : tressautant violemment elle poussa un petit cri où douleur et plaisir se mêlaient, tandis que ses doigts aux ongles effilés labouraient le crane de son tortionnaire.

Tout le corps agité par d’innombrables frissons voluptueux dus aux attouchements sauvages dont était l’objet l’extrémité de son sein, Fulvia dont les mamelons avaient toujours été une zone érogène extrêmement sensible, accompagna chaque ondes de plaisir qui naissant depuis son téton douloureusement maltraité se propageaient jusqu’à son bas-ventre frémissant pour exploser violemment dans les profondeurs de son sexe liquéfié par une série de petits cris de bonheur. Incapable de se contenir sous l’affolant plaisir que lui procurait la morsure de ses bourgeons de chair, s’abandonnant entièrement à ce ravissement dont elle avait été privé depuis si longtemps, elle en oublia tout ce qui l’entourait ; oubliant son père qui depuis la salle à manger où il se trouvait devait certainement entendre ses cris de volupté. Une seule chose comptait maintenant pour elle et la rendait impatiente ; que le garçon qui lui procurait un tel plaisir la prenne le plus vite possible, qu’il vienne, à l’aide de sa puissante lance sexuelle, éteindre l’incendie qu’il avait allumé dans son vagin. Elle aurait voulu lui crier qu’il lui fasse l’amour, qu’il la prenne, là, immédiatement : son vagin dilaté et débordant de sécrétion amoureuse réclamait un organe masculin… Ne désirant cependant pas passer aux yeux de son jeune compagnon pour une femme par trop dévergondée elle se força à attendre que le jeune homme décide par lui même le moment ou il planterait son membre gonflé dans la faille de sa vulve.

Envoûté par les plaintes amoureuses émises par sa sensuelle compagne, Guillaume continua de mordiller le téton maintenant exagérément dilaté, devinant combien la jeune femme accrochée à son cou appréciait cette caresse. Songeant soudain au second sein momentanément abandonné, le jeune homme y porta sa main gauche pour saisir l’excroissance gonflée qu’il entreprit de presser, d’abord délicatement, puis de plus en plus fortement, en le vrillant entre son pouce et son index, le transformant rapidement en une véritable petite bite, raide et dure. Le chant amoureux de sa chaude partenaire grimpa aussitôt d’un octave dans l’aigu, déclenchant les trilles vibrantes du canari dans sa cage.

Guillaume ne put s’empêcher de songer que dans la salle à manger voisine, le père de son ardente voisine ne pouvait ne pas entendre les plaintes amoureuses de sa fille : comment celle-ci allait-elle pouvoir expliquer ses gémissements de plaisir à son géniteur. Rejetant de son esprit ce problème qui en fait ne le regardait pas, il décida qu’il était temps d’aller se rendre compte de l’état d’excitation de sa compagne en glissant une main curieuse entre les cuisses de cette dernière. Aussitôt les jambes féminines s’écartèrent largement l’une de l’autre pour lui faciliter son exploration et il n’eut pas à tâtonner beaucoup pour trouver la longue fente sexuelle aux grandes lèvres gorgées d’un suc chaud et onctueux. Immédiatement il enfonça son majeur dans la merveilleuse grotte charnelle aux parois moelleuses : l’antre luxurieuse ainsi découvert lui parut alors si vaste et si accueillante qu’il joignit son index à son majeur déjà fiché dans les chairs vaginales.

Sous cette pénétration tant espérée, Fulvia lança son bas-ventre en avant à la rencontre de ces doigts dispensateurs d’une volupté telle, que jamais elle n’avait atteint lorsqu’elle se branlait elle-même les soirs d’intense désir. Le corps arqué, les jambes largement ouverte sur sa chatte affamée, les seins douloureusement gonflés, le bas-ventre frémissant de mille frissons sensuels, elle encouragea son jeune compagnon à la fouiller plus profondément dans un long râle de plaisir. : -- Oh oui ! Continue !… Plus loin !…

Encouragé par les plaintes lascives que la jeune femme installée sur ses genoux émettait, Guillaume accéléra alors le mouvement de va et vient de ses doigts accolés à l’intérieur de la chatte emplie de jus vaginal brûlant, faisant tressaillir de plus belle sa sensuelle compagne. Comme son index et son majeur réunis coulissaient avec une réelle aisance dans cet océan de cyprine onctueuse, il décida d’y joindre son annulaire. Même si ce dernier força quelque peu pour pénétrer dans la grotte sexuelle, dilatant un peu plus l’orifice suintant, il ne sembla pas à Guillaume que Fulvia ne ressente une quelconque souffrance sous cette volumineuse pénétration digitale. Les trois doigts centraux de sa main droite fouillant et explorant avec adresse le vagin palpitant de la jeune femme à demi-pâmée dans son cou, il glissa son auriculaire dans le profond sillon qui séparait les deux fesses pleines et encore fermes, pour aller frôler l’anus qui s’y cachait, tandis que du pouce il tentait de titiller avec ferveur le bouton magique qui avait jailli à la commissure des grandes lèvres sexuelles ruisselantes.

Sous ces différents attouchements, tous plus affolants les uns que les autres, Fulvia s’abandonna alors entièrement au désir qui l’avait saisi lors de sa rencontre avec son séduisant voisin et qui depuis une demi-heure lui taraudait cruellement les entrailles. Décidant d’abandonner son rôle passif, elle projeta vivement sa main en direction de l’entrejambe de son compagnon. Se doutant de ce qu’elle allait y trouver, elle ressentit quand même un immense émoi lorsque ses doigts se refermèrent sur l’énorme protubérance que faisait le membre viril bandé de son compagnon. Cette constatation balaya ses dernières retenues. Rejetant alors toutes fausses pudeurs, elle s’abandonna à ses pulsions sexuelles : -- Donne-moi ta queue ! Grogna-t-elle à l’adresse de son partenaire d’une voix rendue rauque par le désir… Mets-la moi !… Vite, prends-moi ! Là ! Maintenant ! J’en ai trop envie !… Et comme pour mieux se faire comprendre par le garçon quelque peu abasourdi par ce changement d’attitude, elle entreprit de repousser d’une main impatiente le pantalon de survêtement qui lui cachait l’objet de ses désirs. Soudainement aussi pressé que sa partenaire, Guillaume afin d’ aider cette dernière à réaliser ses envies releva ses fesses de son siège afin que Fulvia puisse descendre son pantalon le long de ses cuisses. Véritable femelle affamée sexuellement, la jeune femme se jeta littéralement sur le slip boursouflé, dernier rempart faisant obstacle à sa convoitise, qu’elle tira vers le sol, mettant enfin à jour ce sexe masculin tant convoité par ses sens enflammés. Devant la vision de ce pal de chair orgueilleusement dressé et oscillant doucement dans une invitation terriblement érotique, Fulvia dont les organes génitaux impatients d’être enfin comblés la torturaient lascivement referma sa main autour de la puissante verge bandée. Lentement elle fit coulisser ses doigts le long de l’imposante virilité qu’elle décalotta délicatement, faisant apparaître le gland bouffi qu’elle fixa d’un œil concupiscent. Le bourgeon de chair dilaté à la peau cramoisie la fascina ; un étrange envoûtement la saisit, comme à chaque fois qu’elle découvrait le gland gonflé de sève d’un mâle en érection. Le minuscule orifice qui pareil à un cratère s’ouvrait au centre du dôme charnu l’hypnotisait sensuellement : que de cette minuscule ouverture puisse jaillir, pareil à un geyser flamboyant une telle quantité de lave l’étonnait et la troublait toujours. Prise d’un désir incontrôlable, elle grogna d’une voix sourde en fixant avec avidité le mandrin de chair :

-- Oh quel morceau ! … Je le veux !… Je veux le sentir dans mon ventre !… Et sans attendre l’acceptation de Guillaume qui assit sur sa chaise, le bas-ventre dénudé la fixait avec envie, elle décida d’assouvir immédiatement son besoin sexuel. Elle s’avança d’un pas, les jambes largement écartées afin de chevaucher les cuisses musclées du garçon. Lançant sa main droite en direction du bas-ventre masculin elle s’empara en frissonnant du long dard dressé qu’elle maintint verticalement au-dessous de sa chatte béante. Puis lorsqu’elle sentit l’énorme gland turgide frôler ses grandes lèvres sexuelles elle se laissa tomber de tout son poids, s’empalant profondément sur le pieu de chair dur et tendre à la fois, dans un long râle de bonheur… Enfin un membre viril la pénétrait lui emplissant entièrement le vagin. Combien de fois en avait-elle rêvé, lorsque d’un doigt rageur elle se branlait telle une adolescente, seule dans son immense lit trop grand pour son corps fiévreux à la recherche de cette orgasme qui la délivrerait de ses pulsations amoureuses. Même ses godemichés avec lesquels elle se pistonnait les entrailles ne pouvaient être comparées avec cette merveilleuse bite agréable et chaude sur laquelle elle s’était laissé tomber et qui lui emplissait si complètement la vulve d’une présence chaleureuse. Rien ne pouvait remplacer un membre masculin bandé dans le sexe d’une femme en chaleur ; et elle savait de quoi elle parlait pour avoir essayé toutes sortes d’artifices pour palier à ce manque d’organe masculin : depuis la bougie de cire à la courgette en passant par la banane, épluchée ou non. Même les vibromasseurs bruyant qu’elle utilisait quelque fois et dont elle avait tout une collection, cachée sous son linge intime dans le tiroir de sa commode, ne pouvaient, malgré leurs oscillations mécaniques, lui apporter l’extase que lui procurait l’imposante bite de Guillaume plantée dans sa chatte en fusion.

-- Oh comme tu es gros ! Bredouilla-t-elle comblée à l’intention du jeune homme. Tu me remplis toute… Je sens ton gros bout jusqu’au milieu du ventre… C’est terrible… De son coté, Guillaume percevait avec émotion la chaleur des muqueuses féminines autour de sa verge gonflée, comme si son membre se trouvait plongé au cœur même d’une fournaise. C’était la première fois songea-t-il qu’il se trouvait ainsi enfoncé dans un sexe féminin aussi torride. Jamais encore il n’avait connu de femme au vagin aussi incandescent. Un étrange bien être sexuel l’envahit ; bien être qui s’accentua lorsque la jeune femme impatiente d’être labouré par son soc charnel commença à agiter sa croupe rebondie entamant une lente et sensuelle chevauchée, faisant coulisser les muqueuses gorgées de suc de sa vulve enflammée le long de son membre viril prisonnier. Laissant son hôtesse s’empaler à son allure sur son dard raidi, Guillaume en profita pour contempler le spectacle affolant que cette dernière lui offrait.

Les yeux brillants d’un éclat particulier, s’étaient sous le plaisir irisés de reflets verts, donnant au regard de la jeune femme un chatoiement insolite et plein de mystère. Fulvia le fixait d’un regard pâmé, les ailes fines de ses narines palpitaient doucement sous l’effet d’une respiration saccadée ; sa bouche aux larges lèvres sensuelles, mis en valeur par un rouge à lèvres d’un ton brillant demeurait entrouverte sur de doux gémissements de plaisir. La jeune femme possédait une bouche à faire des pipes songea Guillaume en fixant les lèvres pulpeuses bien en chair. Le torse féminin, fin et étroit paraissait presque malingre par rapport aux lourdes mamelles qu’il supportait et qui tressautaient allégrement de bas en haut au rythme de la chevauchée amoureuse entamée par leur volcanique propriétaire. Laissant descendre son regard sur le corps féminin gigotant sur ses cuisses, Guillaume constata que son ardente hôtesse commençait avec l’âge, à prendre du ventre, mais ce léger embonpoint ne l’empêcha pas de contempler l’abondante toison brune qui lui tapissait le bas-ventre ; fourrure crépue qui venait se mêler à ses propres poils pubiens chaque fois que l’ardente cavalière se laissait retomber sur ses cuisses pour s’empaler avec une rage hystérique. Après un moment passé à admirer ce corps féminin encore terriblement sensuel qui se démenait avec de plus en plus de fougue sur sa verge dressée, Guillaume dont le regard était attiré par la danse érotique des seins volumineux, avança les mains pour les saisir, les immobilisant dans leurs tressautements en les empaumant délicatement, comme deux objets fragiles. Puis les pressant fiévreusement et avec passion, il remonta ses mains jusqu’aux mamelons gonflés de désir qu’il frotta doucement de ses paumes, agaçant habilement les tétons déjà fort érigés, les faisant ce durcir encore un peu plus. Sous cette palpation précise, Fulvia ressentit un long frisson de plaisir lui parcourir l’échine, et comme à chaque fois que ses seins étaient l’objet d’attouchements, une bouffée de chaleur prenant naissance depuis la surface granuleuse de ses mamelons se propagea jusqu’à son bas-ventre qu’il irradia de milles élancements voluptueux. Affolée par les réactions de son corps, dus aux frôlements que lui prodiguait son habile compagnon, la jeune femme, les reins arqués afin de mieux offrir son opulente poitrine aux mains expertes qui la comblaient, activa la cadence de sa chevauchée, s’empalant sur le pieu de chair avec de plus en plus de frénésie. Avec un réel enchantement elle sentait la puissante verge coulisser dans son sexe liquéfié, repoussant et comprimant les chairs juteuses de sa vulve. L’énorme gland dilaté en venant s’écraser dans le fond de son vagin en fusion lui procurait un plaisir extraordinaire qui se répercutait jusqu’au plus profond de ses entrailles forcées. Incapable de contenir ses émotions, oubliant tout, jusqu’à la présence de son père handicapé dans la pièce voisine, elle laissa échapper ses cris de jouissance qui résonnèrent dans la cuisine, couvrant les trilles mélodieuses du canari dans sa cage, qui vexé monta d’un octave dans les aigus son chant.

Véritable amazone lubrique Fulvia agita fiévreusement sa croupe nerveuse à la recherche de ce plaisir dont elle avait été privé depuis si longtemps. Se mêlant aux cris de jouissance de la jeune femme, un affolant bruit de clapotis s’éleva d’entre les cuisses de cette dernière, excitant un peu plus Guillaume qui sentait un chaud liquide s’infiltrer entre ses jambes et lui tremper les couilles. Ivre de volupté, le membre viril plongé dans un magma incandescent, Guillaume se rendit compte qu’à l’allure à laquelle Fulvia le chevauchait il ne pourrait contenir longtemps le plaisir qu’il sentait monter de ses entrailles. Abandonnant les volumineux seins qu’il malaxait avec fièvre depuis cinq minutes, il crocheta ses doigts dans les hanches rebondies de sa sensuelle écuyère afin de tenter de ralentir les mouvements désordonnés de cette dernière : -- Doucement ! grogna-t-il dans l’espoir que le jeune femme ralentirait sa danse amoureuse. M ais trop préoccupée d’atteindre elle-même l’orgasme final qu’elle sentait naître au fond de ses entrailles enflammées, Fulvia continua sa folle cavalcade en poussant de véritables râle de jouissance : -- Oh oui !… C’est bon !… Oui… oui ! … Ooohh oui !… Aaahhh ! … Chériiii ! Je vais jouir… Ça vient !… Ouuiii !…

Affolé par les cris de volupté que son ardente partenaire poussait et songeant au père de cette dernière, qui depuis la salle à manger ne devait rien perdre de la jouissance de sa fille, Guillaume songea un instant à bâillonner de sa main sa trop démonstrative compagne. Mais avant qu’il ait pu réaliser son idée, la jouissance le cambra soudainement sur sa chaise. Tressautant violemment son membre lâcha sa lave dans le vagin torride de sa volcanique partenaire : -- Je jouis ! Grogna-t-il à son tour d’une voix enrouée… Rrrhhaaaaa ! Emporté par la jouissance il en oublia lui aussi la présence proche du géniteur de sa partenaire qui ne devait certainement rien perdre du récital amoureux que sa fille et lui exécutaient de concert. -- Moi aussi ! Hurla Fulvia en se cambrant frénétiquement... Aaaahhhh !… Ouuuiiiiii !… Oh ouiii, oui…Aaahh !…

Tétanisés les deux amants s’immobilisèrent, se déversant l’un dans l’autre ; pétrifiés dans la posture où l’orgasme les avait saisis, haletants, tandis que dans la cuisine où un semblant de silence était revenu, le canari entamait un chant modulé comme pour apaiser les deux amants intimement liés. Reprenant conscience la première Fulvia déposa tendrement ses lèvres sur celle de son partenaire : -- C’était merveilleux, lui souffla-t-elle… Il y avait longtemps que je n’avais autant joui… Et toi ? Tu étais bien ? Tu as aimé ? -- C’était divin, la rassura Guillaume en lui bécotant amoureusement les lèvres… Tu es une amante parfaite, tu m’as complètement vidé… -- C’est vrai s’exclama Fulvia amusé par l’affirmation ?… Fais voir ! Perverse, la jeune femme s’empressa de glisser une main curieuse entre leur deux corps encore unis par leurs sexes afin d’aller tâter les bourses velues du jeune homme. Mais pour y parvenir elle dut reculer son bas-ventre et dans ce mouvement le membre viril quelque peu ramolli s’échappa de sa vulve inondée. Aussitôt un flot brûlant jaillit des profondeurs de son sexe, lui engluant l’intérieur des cuisses.

-- Oh ça déborde, s’exclama-t-elle alarmée en plaquant vivement sa main à sa chatte ruisselante… Qu’est-ce que tu m’as mis !… Tu en avais une sacré réserve… Guillaume songea qu’en effet cela faisait plus de trois mois qu’il n’avait eu de rapports sexuels, et à part quelques éjaculations nocturnes il n’avait pas eut l’occasion de vraiment se vider les couilles ces derniers temps ; cela expliquait peut-être la quantité de sperme qu’il venait de déverser dans les entrailles de sa nouvelle maîtresse.

La paume plaquée contre l’ouverture de son ventre, Fulvia se redressa, libérant complètement la verge redevenue à des dimensions plus normales. Fixant cette virilité qui venait de lui dispenser autant de plaisir, la jeune femme éprouva le besoin tout féminin de la remercier. Aussi s’agenouilla-t-elle pour l’embrasser tendrement, la prenant délicatement dans sa bouche pour la sucer : -- Pouah, s’exclama-t-elle en lâchant le gland luisant. Elle est toute salée ! Puis comme prise d’un désir soudain, elle retira sa main d’entre ses cuisses pour fixer sa paume souillée par une large tache blanchâtre composée de ses propres secrétions vaginales mêlées à la liqueur séminale de son partenaire. Portant sa main maculée à sa bouche elle la lécha avec gourmandise recueillant de la langue cette écume sexuelle.

-- Hum, ce serait dommage de perdre ça, plaisanta-t-elle en regardant amoureusement celui qui venait de l’amener si rapidement au septième ciel. -- Foulvia !… Foulviaaa ! Un appel impératif venant de la salle à manger ramena les deux amants à la réalité. -- Mon Dieu, je l’avais oublié, s’exclama la jeune femme en se redressant vivement… Tu crois qu’il nous a entendu ? -- Il aurait vraiment fallu être sourd pour ne pas t’entendre, confirma Guillaume. -- C’est vrai ?… Je vais avoir droit à une sacré leçon de morale !… Mais ça ne fait rien, ça valait le coup, tu m’as vraiment rendue heureuse et je suis prête à recommencer quand tu voudras… Boutonnant rapidement sa blouse sur son corps nu et encore moite de ses ébats sexuels, elle se hasarda à émettre le désir qui lui venait à l’esprit : -- Tu voudrais recommencer ? Tu pourrais revenir me voir si tu le désires … A moins que tu es déjà quelqu’un… J’aimerais refaire l’amour avec toi, tu es un amant formidable… -- Je n’osais te le demander, mentit Guillaume à qui l’idée n’était pas venue, mais qui trouvait l’occasion trop belle pour refuser... Non je n’ai personne… Avoir une maîtresse pratiquement à domicile, même si celle-ci était plus âgée que lui, pouvait pendant le temps où il était célibataire l’aider à calmer ses sens. Surtout que la femme semblait particulièrement sensuelle et possédait un tempérament amoureux hors du commun. Il était sur de pouvoir avec elle assouvir ses penchants érotiques les plus fous, ce qu’il n’avait jamais osé demander aux jeunes filles qu’il avait fréquenté jusqu’à maintenant. Arrivé à la porte d’entrée ou Fulvia l’avait raccompagné, la jeune femme s’accrocha frénétiquement à son cou pour coller ses lèvres brûlantes aux siennes, dans un baiser plein de passion. Leurs langues se cherchèrent dans un ballet plein de sensualité, pour finalement se frôler, se caresser, se nouer étroitement. Haussée sur la pointe des pieds, Fulvia avait plaqué son corps sensuel au sien, et dans un déhanchement lascif elle frotta vicieusement son pubis bombé à son bas-ventre, dans un balancement des hanches plein d’érotisme. Encouragé par ce comportement voluptueux, Guillaume referma ses deux mains sur la croupe rebondie qu’il malaxa fermement, pressant les chairs élastiques des fesses avec passion.

-- Foulvia ! De nouveau l’appel retentit dans le silence de l’appartement, brisant la magie du tête à tête amoureux. -- Va-t-en maintenant, haleta Fulvia, les yeux brillants. Sinon je ne sais pas si je pourrais me retenir… J’ai de nouveau envie de ta grosse queue… -- Moi aussi, j’ai envie de ta chatte, lui répliqua Guillaume qui avait senti son membre se redresser lentement sous le frôlement affolant du bas-ventre féminin. -- C’est vrai ? s’exclama Fulvia surprise et ravie en même temps. Voulant se rendre compte de la véracité de l’affirmation de son compagnon la jeune femme lança sa main droite en direction du bas-ventre de ce dernier : -- Oh mais c’est vrai !… Tu bandes de nouveau ! S’exclama-t-elle sidérée en sentant la dure colonne sous ses doigts… Tu m’avais pourtant bien dit que je t’avais vidé les couilles. Il t’en reste encore ?… Quel dommage qu’il faille déjà se séparer. Il faut que j’aille voir ce que me veux mon père. Tu reviendras me voir ? -- Je te le promets, affirma Guillaume dans un dernier baiser. -- Cette fois ci je te promets que je saurais te vider complètement les couilles ! -- J’ai hâte de voir ça, lança Guillaume en se jetant dans l’escalier qui le mènerait à son domicile


Une fois son jeune amant parti, Fulvia se rendit près de son père installé sur son fauteuil dans la salle à manger, résignée à subir les remontrances que ce dernier allait lui administrer, et qu’elle savait avoir mérité. -- Ah, te voilà enfin, grogna le vieil homme, l’œil mauvais… Tu es sourde ou quoi ? Cela fait bien dix minutes que je t’appelle ! -- Tu oublie que j’avais un invité, tenta de se défendre sans beaucoup de conviction Fulvia. -- Parlons-en de ton invité ! s’emporta l’homme sur son fauteuil. Tu crois que je ne sais pas ce que vous fabriquiez tout les deux dans la cuisine… Il aurait fallu être complètement sourd pour ne pas entendre tes cris de chienne en chaleur !… Tu n’est qu’une traînée toujours prête à se faire sauter par le premier inconnu qui passe… Si ta pauvre mère voyait comment tu te conduis… Sous les paroles cinglantes que lui administrait son père, même si elle s’avait qu’il avait raison, Fulvia tenta de se défendre. -- Est-ce ma faute si j’ai besoin de temps à autre de vivre comme une femme, répliqua-t-elle, d’avoir des rapports sexuels auxquels j’ai droit. A mon âge j’ai bien le droit de connaître de temps en temps ce que les autres connaissent chaque jour avec leur mari.

-- Ce n’est pas une raison pour te faire sauter par le premier venu, répliqua le bonhomme handicapé en colère…et en plus dans la cuisine… Il y a des hôtels pour ça… Si tu voulais avoir une vie sexuelle normale comme tu le dis il fallait te marier et pas te conduire comme la dernière des putains ! Heureusement que ta pauvre mère n’est plus là pour voir comme tu te conduis ! Le mot « putain » suivi du rappel de la mort de sa mère, fit naître chez Fulvia un sentiment de colère :

-- Pourquoi crois-tu qu’à quarante-deux ans je sois toujours célibataire, répliqua-t-elle avec hostilité ! Crois-tu que j’ai choisis de rester vieille fille ?… Aucun des hommes que j’ai connu lorsque j’étais plus jeune et qui aurait pu m’épouser n’a accepter de s’embarrasser d’un beau-père handicapé. Et si maman était toujours de ce monde je ne serais pas obligée aujourd’hui de mendier un peu d’amour auprès d’hommes qui ne voient là qu’une bonne occasion de tirer un coup... Si je suis devenue ce que je suis, tu en es quelque peu responsable !

A peine eut-elle prononcée sa phrase de rancune que Fulvia la regretta, comprenant immédiatement en voyant le visage de son père se contracter douloureusement combien ses paroles avaient offusqué ce dernier. Sa colère tomba instantanément. Soudain le comportement de son père lui parut plus claire ; en fait ce dernier venait de lui faire une scène de jalousie. Depuis son accident à l’âge de quarante ans qui l’avait privé de l’usage de ses jambes, son père avait complètement été à sa charge, elle qui à l’époque venait d’atteindre ses vingt ans. Elle s’était alors entièrement investie dans les soins à apporter à son malheureux père, jouant auprès de lui le rôle de fille aimante, d’infirmière dévouée et de femme de compagnie ; et cela au détriment de sa vie sexuelle. Alors que ses amies de son âge sortaient au bal pour y rencontrer des garçons, Fulvia passait ses soirées et ses week-end auprès de son père handicapé à répondre à ses besoins, les devançant même. Bouleversée d’avoir accablé de la sorte son géniteur, Fulvia se laissa tomber aux pieds de ce dernier, et posant son visage sur ses cuisses éclata en longs sanglots douloureux :

-- Pardonne-moi papa, implora-t-elle, je ne pensais pas ce que je disais… Tu sais bien que mon bonheur c’est de m’occuper de toi, et que je serais toujours près de toi… Aucun homme ne pourra me séparer de toi…

D’abord douloureusement mortifié par la réaction de sa fille, le sexagénaire, lorsque Fulvia lui présenta ses excuses en pleurant, sentit la tendresse l’envahir pour cette fille qui depuis vingt ans s’occupait de lui sans jamais lui avoir reproché d’avoir raté sa vie de femme. Attristé de voir sa fille sangloter amèrement il tenta de la consoler en posant une main apaisante sur sa tête, lui caressant doucement le crane, passant avec un certain plaisir ses doigts dans l’opulente chevelure soyeuse.

Sous cette affectueuse caresse paternelle, Fulvia sentit son chagrin s’atténuer peu à peu. Appréciant le tendre ballet des doigts affectionnés dans ses cheveux elle demeura immobile, songeant à l’époque heureuse où sa mère trop tôt disparue la caressait ainsi en la prenant sur ses genoux. Longtemps le père et la fille demeurèrent ainsi, sans parler se contentant d’être près l’un de l’autre, de communier en silence, de se rapprocher par la pensée de celle qui vingt ans plus tôt les avait quitté et qui leur manquait toujours aussi intensément ; celle dont la présence aurait certainement changé leur vie. Comme une crampe soudaine lui meurtrissait le coté droit, Fulvia remua légèrement pour trouver une position plus confortable, et dans ce mouvement sa tempe vint frôler une raideur qui déformait légèrement le pantalon de son père. Sachant immédiatement la cause de cette rigidité, la jeune femme interpréta instantanément le malaise dont souffrait son géniteur. Depuis vingt ans qu’elle soignait l’auteur de ses jours lourdement diminué, qu’elle le surveillait, le protégeait avec amour, ses soins médicaux du début étaient devenus peu à peu plus intimes, plus sexuels. Des soins particuliers que la morale aurait certainement réprouvé mais que la jeune femme dispensait au malheureux handicapé sans se poser de questions et sans songer que cela était mal. Le bonheur de son père cloué sur un fauteuil dans la force de l’âge passait en priorité pour la jeune femme, avant même son propre bien être et nul n’aurait pu lui faire admettre que les attouchements sexuels dont elle gratifiait son géniteur étaient condamnables. Pour elle cela faisait partie intégrante de l’amour qu’elle portait à celui qui était responsable de sa naissance et qui souffrait dans sa chair.

Comprenant que le malheureux handicapé était victime d’une érection instinctive ; érection dont elle en était certainement responsable par ses cris de plaisir lors de sa voluptueuse chevauché sur les genoux de son trop séduisant voisin, Fulvia décida pour se faire pardonner d’apporter ses soins au sexagénaire excité, comme elle avait pris l’habitude de le faire depuis vingt ans, chaque fois que le malheureux était victime de ses sens. Posant sa tête sur le bas-ventre de son géniteur, elle frotta tendrement sa joue contre le disgracieux renflement créé par le membre viril gonflé, le caressant avec amour : -- Tu vois toi aussi tu as besoin d’amour de temps en temps, murmura-t-elle compatissante… Nous sommes identiques… Sur ce plan je te ressemble, je tiens de toi…

Se redressant légèrement, elle entreprit alors de déboutonner le pantalon de son père, mettant à jour un membre court et trapu, qu’elle connaissait parfaitement pour l’avoir si souvent calmer. Refermant ses doigts en anneaux autour de la verge paternelle fièrement bandée et au gland mafflu largement décalotté, elle agita doucement sa main, la faisant coulisser de bas en haut le long de la colonne de chair en érection :

-- Est-ce que maman était comme moi ? interrogea Fulvia branlant délicatement d’une manière extrêmement douce le membre gonflé. -- Quand je t’entendais crier de plaisir tout à l’heure, j’avais l’impression de l’entendre elle, murmura le malheureux handicapé, parlant plus pour lui même que pour répondre à sa fille… Comme toi, elle était très démonstrative lors de nos ébats amoureux… -- Avec des parents pareils, il n’est pas étonnant que j’ai hérité de ce tempérament, reconnue Fulvia, continuant sa lente masturbation. Le visage reposant sur la cuisse de son père et à quelques centimètres de la virilité tendue autour de laquelle ses doigts refermés coulissaient allègrement, Fulvia se remémora avec émotion comment avait débuté ces séances de masturbations paternelles.

« Lorsque son père était revenu à la maison, suite à sa longue hospitalisation, après son terrible » « accident où sa mère avait trouvé la mort, ce dernier avait dû garder encore le lit pendant de longues semaines sans » « bouger avant de pouvoir se servir d’un fauteuil roulant. Pendant tout ce temps, Fulvia qui avait alors à peine vingt » « ans s’était s’occupé de lui pour tout, cumulant les rôles d’aide soignante et de garde malade et pour cela, elle avait » « pris un congé sans solde de la durée de l’immobilisation de son père. Lorsque elle avait dû, pour la première fois » « faire la toilette intime de son père, elle s’y attela avec cependant un affreux sentiment de gêne, sentiment partagé » « par le malheureux handicapé qui éprouva une honte extrême lorsqu’il sentit sa fille se saisir de son membre viril » « pour le savonner, avant de glisser le gant savonneux entre ses cuisses pour lui frotter les bourses. Pendant tout le » « temps que dura cette toilette avilissante, le pauvre homme demeura les yeux fermés afin de ne pas voir ce qui se » « passait au niveau de son bas-ventre, ne les rouvrant que lorsqu’il sentit le drap recouvrir enfin sa nudité. »

« Si cette première épreuve fut terriblement pénible et désagréable pour Fulvia et son père, les » « suivantes se passèrent un peu mieux, car l’être humain c’est bien connu s’adapte et s’habitue aux situations les plus » « déroutantes comme les plus dramatiques. Chacun des deux protagonistes décida sans même en faire part à l’autre » « de dédramatiser cette corvée pour la rendre le plus agréable possible, en l’accompagnant de plaisanteries. » « Or pour le malade, à mesure que les forces lui revenaient, renaissait en lui certaines sensations » « qu’il avait cru perdues à jamais après son terrible accident. Tout ce déclencha un matin comme les autres, alors » « que toute souriante Fulvia avait repoussé les draps et couvertures, puis le pantalon du pyjama de son géniteur » « immobilisé sur sa couche pour la séance de nettoyage journalière. Sa gêne du début l’ayant abandonnée depuis » « quelque temps déjà, la jeune femme saisit le membre viril de son père de la main droite pour le laver à l’aide d’un » « gant de toilette savonneux, comme elle le faisait chaque jour depuis trois semaines, avant de s’occuper des deux » « bourses énormes et particulièrement velues. Dans ces moment là, le malade toujours un peu embarrassé d’être » « ainsi touché par sa propre fille tachait d’oublier son embarras en blaguant ».

« Souriant aux bons mots de son père, Fulvia s’activait le long de la verge courtaude, passant le » « gant couvert de mousse à plusieurs reprise sur le gland qu’elle avait délicatement décalotté pour en nettoyer le » « prépuce. Lorsqu’elle perçut entre ses doigts qui maintenaient le membre mou redressé, de légères pulsations qui » « parcouraient la verge recouverte de savon, elle n’y prit pas spécialement garde, étant à cent lieu de se douter de se » « qui se passait dans le corps abîmé du malheureux handicapé. Elle n’en continua pas moins son labeur hygiénique, » « y mettant tout son cœur. Mais soudain, totalement effarée, elle se rendit compte que le membre viril qu’elle » « maintenait redressé, pouvait se tenir droit tout seul, sans l’aide de sa main. La surprise fut telle qu’elle » « s’immobilisa incrédule et complètement abasourdie par cette érection à laquelle elle ne s’attendait pas : » « -- Papa ! S’exclama-t-elle quelque peu outré que ce dernier se mette à bander ainsi, alors » « qu’elle le lavait… Qu’est-ce qui t’arrive !… » « -- Excuse-moi, gémit l’handicapé terriblement perturbé par ce qui lui arrivait… Je ne sais » « pas ce qui m’arrive. Je t’assure que je n’y suis pour rien. »

« -- Encore heureux, ce serait le comble !… Tache de te calmer, répliqua Fulvia de mauvaise » « humeur en rangeant le matériel nécessaire à la toilette du malade. » « Laissant son père seul dans son lit en tête à tête avec son malaise sexuel, la jeune femme » « s’occupa à différents travaux ménagers, l’esprit troublé par ce qu’elle venait de vivre : l’érection soudaine de son » « père handicapé la surprenait énormément vu l’état du malade, et en même temps lui faisait prendre conscience que » « ce dernier, à quarante ans était encore dans la force de l’âge, et qu’il n’y avait rien d’étonnant à ce que ses sens se » « réveillant peu à peu après son terrible accident, se révèlent à un moment donné. Qu’aurait pu faire le malheureux » « pour éviter cette résurrection sexuelle ? Pour avoir déjà eu quelques flirts avec des garçons de son âge, Fulvia » « savait pertinemment qu’il était difficile pour un homme de combattre une érection soudaine. Un sentiment de » « tendresse, accompagné d’un brin de pitié s’empara alors de la jeune femme en songeant au calvaire qu’allait » « obligatoirement subir son père dans les mois et les années à venir ; mais comment pouvait-elle lui venir en aide » « pour résoudre ce problème ?… »

« Lorsque le lendemain, vint le moment de la toilette, Fulvia la pratiqua avec une certaine » « appréhension, craignant de se retrouver de nouveau confrontée à une situation terriblement gênante pour elle, mais » « surtout pour son père. Mais contrairement à ses craintes l’opération se déroula sans problème pour sa plus grande » « satisfaction, et celle de son géniteur songea-t-elle. Les jours qui suivirent se passèrent aussi sans plus de » « complications, si bien que la jeune femme finit par penser que l’incident qui avait eu lieu quelques jours plus tôt » « était le fait du hasard et qu’il ne se reproduirait pas de sitôt, ou tout du moins pas pendant le moment de la toilette. » « Aussi c’est d’un cœur léger et débordant de bonne humeur que ce jour là Fulvia entreprit la » « toilette de son malade. Comme à l’habitude, elle savonna copieusement la membre paternel, avant de le soulever et » « de le maintenir à la verticale afin d’aller savonner les bourses abondamment fournies en poils noirs. Mais alors » « qu’elle frottait consciencieusement les couilles gonflées, les pressant peut-être un peu trop involontairement, elle » « entendit son père l’appeler d’une drôle de voix ; une voix qu’elle ne lui connaissait pas. »

« -- Oui ? Qu’y a-t-il ? se renseigna-t-elle sans ralentir son labeur. » « -- Arrête, geignit le malade de sa drôle de voix. » « Ne comprenant pas pourquoi son père désirait qu’elle cesse sa toilette, Fulvia qui était penchée » « sur sa besogne tourna la tête vers ce dernier. A découvrir l’expression tendu du visage du blessé, la jeune femme » « comprit immédiatement qu’il se passait quelque chose d’anormal : » « -- Tu as mal ? s’ inquiéta-t-elle soudainement alarmée. » « -- Noon, bégaya le malade, en tentant de tirer les draps sur son bas-ventre dénudé. »

« Reportant son regard sur ce que son père tentait de cacher à sa vue, Fulvia découvrit alors la » « cause du malaise de son géniteur. Le membre viril paternel se dressait orgueilleusement, exposant fièrement son » « gland rose largement décalotté. Contrairement à la première fois où ayant été surprise par l’érection soudaine de » « son père elle s’était enfuie outrée de la chambre, cette fois-ci la jeune femme ne détourna pas les yeux du spectacle » « effarant que son géniteur lui offrait bien malgré lui. Mais ce qui surpris Fulvia et attira plus particulièrement son » « attention, ce fut la grosseur de la verge. Certes à vingt ans elle ne possédait pas une grande expérience des » « hommes, n’ayant eut que quatre ou cinq flirts, qu’elle avait dû branler, soit dans les salles obscures d’un cinéma, » « soit dans l’habitacle d’une voiture sur un parking désert ; mais elle ne se souvenait pas d’avoir eue en main une » « bite aussi grosse. Fixant incrédule l’énorme membre viril paternel raidi, elle s’interrogea sur la conduite à tenir » « vis à vis de son père. » « -- Va-t-en ! Laisse-moi seul ! entendit-elle. »

« Indécise, la jeune femme abandonna sa contemplation pour se tourner vers son père dont elle» « ne reconnaissait pas la voix. Découvrant le visage de son géniteur bouleversé par la honte, un immense chagrin la » « submergea, chagrin mêlé de pitié pour le pauvre homme marqué cruellement dans sa chair, mais dont les sens ne » « cesseraient de le tourmenter le reste de sa vie. Elle ne pouvait se résigner à abandonner l’auteur de ses jours à ses » « malheurs, de le laisser seul avec sa détresse sexuelle. Il fallait qu’elle fasse quelque chose pour lui venir en aide ; » « mais que pouvait-elle entreprendre pour soulager cette détresse particulière. Soudain, le souvenir des moments » « passés avec ses flirts, où elle prenait plaisir à calmer leurs ardeurs amoureuses en les branlant jusqu’à » « l’éjaculation finale lui revint en mémoire. Pourquoi n’emploierait-elle pas cette caresse dans laquelle elle » « excellait d’après ses amoureux, pour calmer le malaise du malade. »

« -- Je ne peux quand même pas te laisser comme ça ! décréta-t-elle s’adressant à son père . » « Et avant que ce dernier ne réagisse et comprenne ce qu’elle avait décidé de faire, elle se » « pencha sur le bas-ventre dénudé, au bas duquel tel un mât de cocagne, la verge courte mais trapue se dressait » « orgueilleusement, comme fière de prouver qu’elle avait retrouvée toute sa rigidité. Refermant vivement ses doigts » « autour de la colonne de chair, Fulvia entreprit de branler son père d’une main souple. »

« -- Qu’est-ce que tu fais ! s’affola le malheureux handicapé en comprenant ce qu’avait décidé » « sa fille… Non arrête !… Laisse-moi !… Foulvia arrête !… » « Faisant la sourde oreille la jeune femme continua à agiter lentement sa main le long de la verge » « bandée, faisant voluptueusement coulisser le prépuce mobile sur le gland cramoisi au centre duquel le méat » « urinaire semblait lui sourire, complice. » « -- Laisse-moi faire, papa, murmura-t-elle doucement… Tu ne peux rester dans cet état… » « C’est mon rôle de te soigner, je l’ai promis aux médecins, ainsi que sur la tombe de maman !… » « -- Non, ce n’est pas bien, tenta de protester le malade immobilisé… Je suis ton père… » « -- Eh alors ? N’est-ce pas le rôle d’une fille de venir en aide à son père lorsque celui-ci est » « dans la peine ? » « -- Mais là c’est différend. Si ça se savait, essaya une dernière fois le malheureux handicapé. » « -- Qui veux-tu qui l’apprenne, le rassura Fulvia, s’appliquant à sa sensuelle masturbation…» « Ce sera notre secret… »

« Vaincu le malade s’abandonna alors aux caresses incestueuses de sa fille, reconnaissant à part» « lui, que celle-ci pratiquait une masturbation des plus voluptueuse, lui procurant un indicible plaisir. Ou avait-elle» « pu apprendre à branler ainsi les hommes ? »

 Se rendant compte que son père avait cessé ses protestations, s’abandonnant à ses décisions,» « Fulvia se concentra alors sur sa tâche sexuelle, tachant de se souvenir de la méthode qu’elle pratiquait avec ses » « flirt de jeunesse. Penchée sur le bas-ventre dénudé du blessé, elle affina sa caresse, la rendant plus fluide, plus » « sensuelle. Sa main pressant à peine la dure colonne de chair glissa de bas en haut, faisant coulisser la peau mobile » « du prépuce, décalottant largement le gland mafflu pour aussitôt le recouvrir presque entièrement. Contemplant son » « œuvre, Fulvia dut admettre que jamais ses flirts de jeunesse ne lui avaient présenté un pénis aussi imposant en » « grosseur ; comment songea-t-elle une femme pouvait-elle recevoir en elle un organe aussi considérable. Bien » « qu’ayant été dépucelée à l’age de seize ans par un gamin de son âge trop impatient, et qui n’avait pas réussi à la » « faire jouir, elle n’avait eu par la suite que très peu d’aventures sexuelles qui se soient terminé par une réelle » « pénétration, ses amoureux se contentant bien souvent d’une séance de masturbation ou quelque fois d’une fellation. » « Aussi la jeune femme se trouvait fort surprise en constatant de visu qu’un homme, en l’occurrence son propre père, » « pouvait posséder un membre si gros. Par association d’idée elle songea à sa mère qui avait reçu en elle ce » « monumental organe ; avait-elle souffert la première fois qu’il s’était enfoncé dans son ventre ? »

« Sur sa couche, le blessé qui s’était abandonné à contre-cœur aux attouchements incestueux de » « sa fille, ne tarda pas à ressentir les prémices du plaisir. S’il ne percevait plus rien aux niveau des jambes, ses » « organes sexuels par contre continuaient à fonctionner comme aux meilleurs temps. De longs frémissements » « parcouraient son bas-ventre, lui agaçant sensuellement la verge et les couilles. Soudain, trahi par ses sens trop » « longtemps endormis, il sentit la jouissance l’envahir inexorablement. Affolé à l’idée que sa fille allait être la victime » « de son éjaculation imminente, il tenta de la prévenir de l’ arrivée des salves qui allaient jaillir de sa verge » « frémissante. Mais seul un grognement indistinct ne réussit à sortir de sa gorge nouée. »

« S’appliquant à branler du mieux qu’elle le pouvait son malheureux géniteur immobilisé à vie » « sur son lit de douleur, agitant sa main le long de la puissante bite, en variant adroitement de rythme, Fulvia, encore » « trop innocente pour décrypter les réactions masculines à l’approche de l’orgasme libérateur, ne vit pas venir la » « délivrance de son père. Surprise, ne s’y attendant vraiment pas, elle vit jaillir un premier jet blanchâtre du méat » « urinaire, puis un second aussi copieux et encore quelques uns de plus en plus fins. Tels des geysers miniatures » « surgissant des entrailles de l’homme étendu, les jaillissements lactescents après une parabole de quelques » « centimètres dans l’air retombèrent sur sa main refermée autour de la verge agitée de secousses sismiques, la » « souillant d’un jus gras et épais. » « Maintenant fermement le membre viril paternel pendant toute l’éjaculation, Fulvia fut fort » « surprise de constater qu’elle avait éprouvé un étrange plaisir à suivre le jaillissement du sperme épais du méat » « urinaire dilaté. Et alors qu’elle contemplait avec ravissement les taches blanchâtres étalées sur sa main, elle sentit, » « affolée une douce tiédeur lui humidifier la vulve.

Heureuse d’avoir menée à bien son entreprise sexuelle et » « sanitaire, elle jeta un regard de curiosité en direction de son père, et ce qu’elle découvrit alors la combla de » « bonheur. Le blessé reposait sur ses oreillers, les traits détendus, un sourire radieux aux lèvres. Cet air de bonheur » « sur le visage de son géniteur la conforta alors dans sa décision d’être toujours disponible pour apaiser les malaises » « sexuels de ce dernier. » Perdue dans ses souvenirs, Fulvia n’en n’avait pas néanmoins cesser de branler son père d’une main quelque peu nonchalante, lui procurant quand même un certain plaisir, car c’est un grognement rauque de ce dernier qui la ramena à la réalité. Redressant vivement la tête, elle découvrit le visage bien connu maintenant du responsable de ses jours, lorsque le plaisir le submergeait. -- C’est bon ? Lui demanda-t-elle vicieusement, car depuis vingt ans elle avait appris à lire sur son visage comme dans un livre ouvert. Voyant le blessé se tendre sur sa chaise, elle comprit que celui-ci n’allait pas tarder à exploser. Précipitamment pour ne pas louper ce jaillissement qu’elle savait sur le point de se produire, elle goba le gland frémissant dans sa bouche, referma étroitement ses lèvres autour de la puissante colonne de chair, tandis qu’elle activait le mouvement de va-et-vient de sa main le long de la partie de la verge qui n’avait pas été engloutie.

Ce fut alors rapide et puissant : dans un grognement d’animal blessé, son père se libéra, ouvrant les vannes qui retenaient son abondante semence au fond de ses entrailles. Le sperme épais et au goût salé empli la bouche de Fulvia, qui le récupéra sur sa langue attendant le dernier jet pour avaler avec gourmandise le liquide séminal dense et gluant. Puis ayant dégluti une dernière fois, elle relâcha la verge apaisée, qu’elle lécha d’une langue agile, recueillant les dernières traces blanchâtres. La jeune femme éprouvait un véritable attrait pour la laitance masculine, le fait de la sentir s’écouler dans son gosier lui apportait un énorme plaisir : -- Ca va mieux ? Questionna-t-elle toujours intéressée par le bien être de son père. Encore haletant, le malade lui sourit tendrement : -- Tu es bien comme ta mère, lui murmura-t-il… Elle aussi aimait avaler mon jus… -- Bon eh bien puisque te voilà calmé, je vais aller nous faire à manger, car je ne sais pas pour toi, mais moi ça m’a ouvert l’appétit, décréta Fulvia en se redressant et en réajustant sa blouse.


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