Ne pas aller dans les bois

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il y a 12 ans

Je porte un uniforme d'écolière avec une jupe à carreaux rouges. Elle est si courte que, quoique quand je me suis regardé dans le miroir avant je ne puisse pas voir ma culotte de satin blanc, j'ai senti quelqu'un me regarder. Ma blouse est un chemisier blanc à col typique comme vous vous attendez à le voir sur une écolière. Mais, les boutons du haut sont suffisamment ouverts pour laisser voir un peu de mon soutien-gorge noir en dentelle. Les manches sont de trois quarts. J'ai des d'écolière blanc avec une jarretière en dentelle (ils provenaient d'un site adulte d'achat par correspondance) montaient le long de mes jambes lisses et nues comme un serpent rampant vers sa proie.

La mise en scène de mon look est complétée par un visage bien poudré, une fine ligne noire sur mes paupières et des boucles d'oreilles en argent. Cela constitue la toile de fond pour mon rouge à lèvres "Jolie en Rose" et un parfum qui s'appelait tout simplement "Jeune fille".

J'avais moi-même acheté tous ces articles.

Mes ongles sont manucurés, ainsi que mes ongles de pieds et bien sûr ils sont " Rose vif ". Je n'ai pas choisi ces couleurs, mais ils étaient dans mon kit de maquillage.

Mes cheveux sont châtain clair et au cours des trois derniers mois, ils ont poussés suffisant pour s'adapter à de nombreux types de coiffures. Ë l'heure actuelle ils sont en queue de cheval avec, vous l'avez deviné, un gros nÏud rose attaché à un chouchou.

Je porte des talons aiguilles de 12 centimètres, ce qui m'a pris plus d'un mois pour apprendre à marche avec. Avec eux je fais 1m72 de hauteur.

Mon esprit a divagué pendant que je regardais le coussin de mousse muni d'un collier pour mon cou tandis que Dick était en train d'ajuster un bâillon en cuir rouge muni d'un anneau pour maintenir ma bouche ouverte. Il m'avait expliqué comment je devais apprendre à étirer mon corps pour que mon cul soit bien en l'air tout en étant couché sur le coussin de mousse. Et comment serait "rassurante" cette position. Il ri au mot "rassurante".

Il a également passé deux cordes à travers deux anneaux fixés dans le mur et dit qu'avec mes chevilles bien attachées par ces cordes, cela m'aiderai à rester en position et en plus garderait mes jambes un peu écartées, cela m'aiderai aussi à tenir mes genoux au-dessus de ma tête et me rendrait la tâche plus facile. Bien sûr, cela voulait dire que mon cul serait orienté vers le plafond.

"Si l'un des hommes vous dit de vous mettre en position, cela signifie que vous devez vous exécuter immédiatement et qu'il faudra y rester jusqu'à ce que vous soyez pardonné, a déclaré Dick dans la même voix calme qu'il avait utilisés pendant des semaines.

"Est ce que tu comprends, dit-il plus près de mon visage. J'étais tout près de pleurer. Ces dernières semaines ont été un calvaire.

"Oui, Monsieur, répondis-je modestement comme je l'avais appris.

Dick était très excité en attendant que les autres hommes arrivent. Presque toute ma formation au cours de ces dernières semaines s'était déroulée comme si je voulais être la fille qui se tenait là. Dick m'avait tellement lavé le cerveau que je finissais par penser qu'une fessée était un exercice d'apprentissage et non une punition.

ƒtonnamment, bien que tout cela me révulsait à l'intérieur de moi, j'obéissais maintenant à tous ses ordres.

Les larmes dans mes yeux ont été éclipsées par le bruit d'un véhicule, la première fois en un mois. J'espérais que c'était quelqu'un qui venait me sauver. Mais Je savais que c'était exactement le contraire. J'avais peur, j'étais nerveux, inquiet, et soumis à ce qui pourrait advenir.

"Voici les hommes. Allez ouvrir la porte, dit-il.

Je marchais docilement vers la porte et bien que le plug n'était pas trop gros, je le sentais à chaque pas. Entre les leçons de marche pour apprendre à faire de courtes enjambées les pieds l'un devant l'autre et le plug je me sentais en train de rouler les hanches pour aller jusqu'à la porte. J'ai entendu les portières s'ouvrir et des voix étouffées de sexe masculin. Avec appréhension j'ai tourné le vieux bouton de porte rustique et la porte grinça en s'ouvrant.

Emergeant d'une grande SUV noir immatriculée dans le Yukon, avec des pneus plein de boue, il y avait sept hommes, aucun d'entre eux n'étaient plus jeunes ou moins imposant que Dick. Je frémis de peur tandis que je les regardais avec le sourire figé qu'on m'avait appris à fixer sur mon visage malgré mes réticences.

Même si j'étais devenu docile extérieurement et apprivoisé à l'intérieur que je n'avais pas atteint le point d'être d'accord avec ce qui se passait pour moi.

Ces hommes étaient des hommes murs, des chasseurs robustes et buveurs de bière. Tous avaient un énorme ventre qui débordait de leur pantalon. Certains avaient de la barbe et que je pus bientôt m'apercevoir que le mot " hygiène " ne faisait pas partie de leur vocabulaire. J'ai aussi appris un peu plus tard qu'il chiquaient tous du tabac à chiquer et avaient les dents jaunes. Certains étaient un peu édentés. Mais ils m'on tous semblé impitoyables.

Un couple d'entre se dirigeait vers le coffre de la voiture, mais l'un d'eux m'a regardé directement et dit aux autres: "Qu'elle jolie chatte nous avons ici."

Mais, peut-être faut-il que je vous ramène au début de mon histoire, mon kidnapping d'il y a trois mois.

Chapitre 2

Les Bois hostiles

"Bonjour ma chérie," la grosse voix masculine retentit derrière moi. J'étais toujours accroupi et venait de terminer de faire pipi quand cette voix profonde de baryton à l'accent rugueux et tranchant m'a fait sursauter et a fait battre mon cÏur plus vite que le son d'une alarme d'incendie.

"Levez-vous et tournez-vous," a-t-il ordonné.

J'ai commencé à remonter ma culotte mais il m'a dit qu'il pointait une arme à feu sur moi et me demanda de me " retourner pour que je puisse voir votre chatte."

Des tremblements nerveux ont parcourus mon corps tandis que je me retournais complètement envahit par la peur et que j'ai vu son fusil.

"Je n'ai pas de chatte, mais s'il vous plaît laissez-moi vous expliquer, ais-je faiblement répondu, en espérant que cela se terminerait rapidement.

J'ai toujours aimé mon séjour annuel de camping au fond des bois de la Virginie-Occidentale. Au cours des 3 dernières années, j'avais eu seulement un visiteur autour de mon camp aussi je passais mes six nuit seul et habillé en femme. Et à ce moment là, ce visiteur me fit juste un signe amical de l'autre côté du grand fleuve. J'ai été un peu choqué, puis, mais j'ai pris sur moi et j'ai continuai ma randonnée annuelle en m'enfonçant en profondeur dans les bois, jusqu'à une quinzaine miles vers un petit camping isolé sur des terres privées que j'avais loué chaque année.

Cette zone dans les bois que j'avais loué englobait quelques centaines d'acres et s'adossait à trente mille hectares de forêts de l'Etat et plusieurs milliers d'autres hectares de terres fédérales.

Il ya trois ans, j'avais vu une annonce en ligne pour un site de camping isolé. La pensée de m'y rendre et enduite de louer ce camping m'ouvrait la possibilité de découvrir mon côté féminin. Un côté j'avais cachés pendant les 23 années de ma vie. Je m'étais toujours senti plus fille que garçon, mais je n'avais jamais rien fait de plus que de porter une culotte jusqu'à ce que ces voyages aient commencés.

L'annonce disait: "campings refuge complet pour 150 $ pour une semaine sans vis-à-vis "et tout ce qu'il fallait faire, c'était faire un simple clic PayPal. Bien sûr, j'avais vérifié avec le propriétaire cette question de vis-à-vis et que je voulais être sûr que celui qui louerait avant ou après moi ne serait pas là quand je serais arrivé. Il m'a assuré que personne ne louait à ce moment de l'année, et que ma compète tranquillité serait une certitude.

J'avais commencé à écrire des romans d'amour érotique quand j'avais 18 ans et maintenant que j'en avais 20, je vivais des revenus qu'ils me procuraient. Je n'avais pas de famille puisque mes parents avaient été tués dans un terrible accident de voiture moment où je venais d'avoir 18 ans. Je suis parti de la petite ville j'avais été élevé pour m'installer à New York. Je me sentais plus à l'aise depuis que j'écrivais sous mon nom de plume Gloria Summers. Même sur ma boîte aux lettres figurait à la fois mon vrai nom et mon pseudo depuis que je recevais un peu de courrier à ce nom. Comment ils ont eu mon adresse, je ne le saurais jamais, mais j'ai pensé que je devais avoir les deux.

Je vivais dans un très grand immeuble et mon courrier est toujours transmis à mon agent, car elle payait toutes mes factures régulièrement. Je n'étais pas riche, mais c'était beaucoup mieux d'être mon propre patron. Parfois je m'enfermais dans mon appartement ou tout simplement disparaissais pour écrire pendant des mois, seul. Une fois j'étais allé au Mexique et avais loué une villa pendant que j'écrivais mon troisième roman. Je n'avais pas d'amis, sauf peut-être, mon éditeur, et elle était bien au courant de mes manies.

Et, dans la crainte d'être découvert, je n'ai jamais parlé d'aller dans l'Ouest de la Virginie. Les quelques personnes qui me connaissaient pensaient que je me rendais dans le Maine chaque année.

Me tournant pour faire face à cette intrusion je pouvais voir sa main tenant ce qui ressemblait à une arme à feu. Il ressemblait à ces armes dans les films. J'en avais même utilisé un dans une de mes histoires, le célèbre Glock. Naturellement, je levai les mains et quand je l'ai fait mon short et ma culotte sont tombés autour de mes genoux. J'étais complètement exposé.

J'avais un de ces shorts féminins de randonnée avec un ourlet. Hé, le printemps était déjà bien avancé, et la température pendant la journée était de 32¡ et la nuit, elle retombait à environ 21. En outre, si mes testicules n'étaient pas visibles, j'aurais pu passer une femme. Le chemisier que je portais me faisait sembler avoir des seins à cause du soutien gorge matelassé et des faux seins en gel que je portais en dessous. A ce moment là j'ai pensé : "C'est peut-être mieux avec moi d'être debout, nu, à partir de la taille jusqu'aux pieds, car ainsi il ne voudras pas me baiser quand il verra que je suis un gars. Et plus probablement, il sera alors dégoutté et il se contentait de me dire de partir. Peut-être prendra-t-il mon argent, mais c'était tout.

Mes lèvres tremblaient, mais il me fit signe de me taire tandis que ses yeux se fixaient sur mes parties, puis moqueur il dit: "Alors ce que nous avons ici est une de ces filles "Tapette". Exact? "

Ces mots sortirent de la bouche d'un homme au gros ventre adipeux de buveur de bière. Il était difficile de mesurer combien il était grand, mais sa corpulence était très importante. Il portait une chemise de bucheron à carreaux et une salopette sale. Tout ce que je savais c'est que mon 1m72 faisait pâle figure à côté de lui.

Mon sac à dos était encore fixé à mes épaules car je n'avais pas encore mis en place le camp pour le moment. Tout ce que je transportais était pour un campeur féminin. Dans ma voiture j'avais des vêtements de rechange. J'étais devenu plus audacieuse chaque année et cette année, j'avais décidé d'aller jusqu'au bout. J'avais même une robe d'été emballé, ainsi qu'une semaine de culottes de rechange. Il y avait un kit de maquillage. Et, je ne sais pas pourquoi mais j'avais apporté une boîte de tampons.

"Remontez votre culotte et votre short, connasse," a-t-il commandé.

J'ai commencé à remonter ma culotte et mon short, mais il a dit: "Attendez, tournez-vous et laissez-moi voir votre cul en premier. "

Il n'y avait pas grand-chose que je pouvais faire avec une arme braquée sur moi.

"Jolie joues, il siffla. Et bientôt nous étions loin de du chemin randonnée, à travers les bois. Mais pas sur un chemin. Nous devons avoir erré sur les terres fédérales, car la végétation était très dense. Toutefois, il semblait connaître chaque tournant de notre tracé ce qui nous empêchait d'être pris dans les ronces ou arrêté par d'autres obstacles naturels.

Enfin nous sommes entrés dans une petite clairière complètement entourée par les arbres, au milieu de laquelle il y avait un chalet. Il avait l'air très mignon de l'extérieur. Le genre que vous voyez sur de vieilles photos et je me demandais: "Qui pouvait vivre là-dedans? "

Chapitre 3

Le Chalet

L'intérieur sentait la fumée refroidie et était très sale, mais ne semblait pas être une habitation si provisoire qu'il le semblait vu de l'extérieur. Quand on entrait, il y avait une très grande chambre avec une cuisine dans le coin le plus éloigné. Une porte du placard était portée disparu et un autre pendait à partir d'une charnière brisée. Tout était peint d'une peinture à bas prix imitant le bois. Le plancher était fait de larges lattes de chêne dégrossi d'un arbre.

L'évier était en acier inoxydable et la vaisselle sale, casseroles et poêles était toute empilée. Le plan de travail était en Formica tout blanc, maintenant fanées et ébréchée.

Une table ronde faisait séparation entre la cuisine / salle à manger du reste de la chambre avec huit fauteuils qui l'entourait. Au-dessus de la table il y avait une lumière au plafond avec ventilateur couvert de poussière. L'une des ampoules avait grillée. Sur la table il y avait un cendrier rempli de mégots. Il y avait aussi un pot avec ce qui semblait à du tabac à chiquer.

Toutefois, l'intérieur de la maison semble avoir été préparé pour toutes les saisons car il y avait à la fois une grande cheminée dans le salon et un climatiseur fixé à travers le mur à gauche de la cheminée.

Dick me demanda d'enlever mon sac à dos et me mit alors une de ces menottes en plastique que vous voyez dans les reportages sur la police. Une fois que mes poignets furent passé dans la boucle et j'ai tiré sur le bout de plastique pour le serrer avec deux doigts Dick a vérifié avec une main, alors qu'il tenait le fusil de l'autre afin de s'assurer le bracelet en plastique était bien serré. Ensuite, il m'a fait m'allonger sur le sol et rouler sur mon dos. Il s'agenouilla sur moi et posa le pistolet.

Je désirais tellement m'échapper, mais je n'étais pas en mesure de le faire ou d'atteindre l'arme à feu, qui était hors de ma portée. De quelque part, il a sortit un collier en métal qui était doublée à l'intérieur avec un rembourrage doux. Il l'a fixé autour de mon cou, puis il l'a refermé. Il le tourna sur le côté.

Lorsque je me suis levé, il m'a parlé du collier.

"Tapette", a-t-il dit, "il y a un anneau sur le devant et sur le dessus pour une laisse mais le plus important est l'endroit où je l'ai verrouillé car il y a un petit cylindre de la taille d'un inhalateur Vick. "

Dick expliqué que c'était rempli d'un explosif.

"Si le cylindre sur votre collier explose, il soufflera votre cou et vous décapitera. N'essayez pas de l'enlever. N'essayez pas de fuir, dit-il.

Après cela, il me montra le périmètre de la propriété en m'indiquant que ses frontières avaient été bien marquées par un ruban de plastique rouge qui pendait à des troncs d'arbres comme les marques que vous voyez dans les bois.

"Maintenant, regardez attentivement ma fille, dit-il en jetant un cylindre comme celui attaché à mon col au delà du ruban rouge.

BOOOOM ! Il a explosé

"Une fois que votre collier a été mis en place, il ne peut pas être enlevé par un autre que moi. Il est contrôlé de l'extérieur du périmètre, aussi toute tentative d'évasion est vaine, dit-il.

D'une voix plus douce, il continua: "Maintenant, vous allez apprendre à bien comprendre votre rôle et vous serez dressée au cours de ces prochaines semaines à obéir à mes ordres avec une obéissance totale et immédiate. Je n'aurai pas besoin de lever la voix, bien au contraire, car vous allez apprendre que votre mission auprès des hommes va être d'obéir aux hommes et à leurs désirs. "

A partir de ce moment-là j'étais en cours de dressage et pour moi, cela consistait tout simplement à faire ce qu'on me dirait. Outre le nettoyage de la maison et le lavage des vêtements sales, il m'a donné de nombreux d'autres fonctions, que Dick appelait "travaux féminins" et d'autres rôles féminisé de soumission.

Dick m'a rappelé à plusieurs reprises qu'il ne voulait pas hurler ou crier et qu'il préférait une maison calme et une fille docile et il a fait bouger le collier pour e le rappeler.

"Cependant, dit Dick," une fessée peut advenir à tout moment en fonction de mon humeur, et même dans quelques temps, vous apprendrez à savoir quand et peut même vous aurez le désir d'être fessé. "

Je ne pouvais pas comprendre comment je désirerais un jour recevoir une fessée.

Et la première fois que Dick m'a fessé, cela n'avait rien à voir avec une de mes erreurs. Au contraire ce fut une leçon. Il m'a fait venir sur le vieux canapé bleu délavé et il me donna une petite secousse sur le devant de mon collier et me fit courber jusqu'à ce que ma tête soit aussi basse que le niveau du coussin du canapé. Il redressa une petite plaque de métal sur le sol à laquelle il y avait un oeilleton dans lequel il a passé l'autre bout de la laisse.

Puis il a enroulé de manière très serrée une sorte de chose Velcro autour de mes jambes, en faisant une sorte de 8 renversé, m'empêchant d'écarter mes jambes de plus de 45 centimètres. Ensuite, il a attaché mes chevilles aux pieds du canapé.

"Maintenant, pour cette leçon que je veux que vous baissiez votre culotte jusqu'au raz des fesses de façon que votre cul soit nu et ensuite que vous mainteniez votre jupe avec vos deux mains. Avec le temps vous n'aurez plus besoin d'être attaché, mais il vous faudra du temps pour apprendre à tenir cette position. "

J'avais déjà eu des cours d'obéissance et bien sûr j'avais réalisés qu'il était plus facile d'être obéissant que l'inverse (comme d'essayer de s'enfuir), donc j'obéis à ses ordres.

Chapitre 4

Il était assis sur le canapé, les jambes entre mes bras et entourant mes jambes quand soudain, je sentis sa grosse main claquer mes fesses. Instinctivement, j'hurlai.

"Ma fille, il ne doit pas y avoir de cris, ni d'appels au secours. Vous pouvez garder le silence, vous pouvez gémir ou vous pouvez pleurer. Mais si vous décidez de pleurnicher ou de pleurer assurez-vous que c'est bien réel et non pas une comédie ou alors vous le regretterez. "

Je pouvais sentir à la fois le parfum que je portais et la forte odeur de sa sueur. Ma fesse a brulée, puis il a tapé l'autre joue. Sa main recouvrait la presque totalité de mes joues fessières. J'ai poussé un cri douloureux en moi. Pas un bruit ne sortait de moi, sauf celui de ma respiration.

Dick ne donnait pas des gifles rapides. C'était plus une gifle lente et douloureuse et puis un temps d'arrêt. Pendant les quelques premières claques, je me taisais. Dick s'est arrêté à environ la septième gifle et il dit: "Maintenant, laissez-vous aller dans votre passé, et rappelez-vous comment vous pouviez. Revenez en arrière et retrouvez cette fille allumeuse que vous êtes et vous aurez fait un grand pas en avant dans votre nouvelle vie. "

Arrivé à la quinzième gifle j'ai senti une petite plainte m'échapper. Dick me consolait en disant: "Bonne fille", et en même temps il me frottait le cul. Il attendit un peu avant de frapper à nouveau mon cul.

Quelque part, après la cinquantième gifle de sa pleine main dure, j'ai commencé légèrement à pleurnicher. Toute cette fessée a pris beaucoup de temps et mon esprit dérivait quelque part dans le passé. Une fille pleurait et je ne savais pas qui elle était. Il n'y avait pas d'urgence pour Dick. Et, à un moment donné, j'ai commencé à m'entendre pleurer comme la fille dans mon esprit. J'étais cette fille. Peu après, il cessé de me donner la fessée. Il a défait les cordes, puis me dit de remettre ma culotte en place.

"Ne pas toucher ou frotter le cul après la fessée, ma fille, a-t-il dit. "Retournez à votre travail. Avez-vous aimé ça? "

Me tournant vers lui en pleurant, j'ai obligé les règles et répondit: "Oui Monsieur. "

"Et ", dit-il en me câlinant.

Bien sûr, je fis la révérence comme je l'avais appris dès le premier jour. Avec mon pouce et deux doigts je m'emparait de l'ourlet de ma jupe, puis, me penchant sur le genou droit

du genou je dit, "Merci Monsieur," tandis que je me relevai.

Dick m'avait dit que la veille, "je veux que vous appreniez ceci. A compter d'aujourd'hui, vous aurez seulement trois mots dans votre vocabulaire et ils peuvent être utilisés que dans deux phrases. Vous ne pouvez pas m'appeler Dick ", dit-il.

"Les trois mots sont: "Monsieur, oui, merci"

"Vos seules deux phrases seront" Oui, Monsieur" et" Merci monsieur ". Quelle que soit la question posée, vous répondez "Oui, Monsieur." Et, vous aurez à apprendre quand le "Merci monsieur" est appropriée. "Oui, Monsieur", sera votre réponse à toute question qu'ile vous sera posé, indépendamment de la façon dont vous voudriez répondre.

Vous avez vous demandez sans doute pourquoi j'ai été si facilement subjugués. Mais, je pense, il ya plusieurs raisons. Bien sûr, j'ai déjà été soumis avant tout ce qui s'est passé. Les vidéos que j'avais regardé m'avait certainement poussé dans l'obéissance, mais je pense que c'est aussi la façon dont Dick a conduit mon dressage. C'est difficile à avouer mais je me sentais m'enfoncer de plus en plus profondément dans ce vers quoi il m'entrainait. J'étais de plus en plus la fille qu'il voulait que je sois. Je suis devenu cette fille.

Quelques jours plus tard, j'étais dans la cuisine en train de laver les assiettes en pleurant à cause de la fessée que Dick m'avait administré pour mes "erreurs" de la journée. Mon cul était si douloureux. J'avais passé l'après-midi à nettoyer la maison et j'avais été fessé car j'avais dit quelque chose dans un souffle. Mais, ce ne serait pas la dernière fois que je pleurais après une fessée. Je pleurerais pendant toute la fessée qui allait suivre dans le salon.

Une autre instruction que j'avais reçu plus tôt aujourd'hui (Il y en avait beaucoup de nouvelles chaque jour et la nuit je devais les écrire. Si j'en avais oublié une, alors je serais puni pour cela) m'avait mis dans une situation complètement soumise.

Dick m'avait appelé dans le salon en début d'après midi et m'a demandé d'insérer un disque dans le lecteur DVD. Avant qu'il commence, il m'a demandé de m'asseoir à ses pieds.

Il a démarré le DVD et j'ai regardé. C'était au même endroit, dans le chalet où nous étions et il y avait un homme habillé en femme. Ses traits étaient loin d'être aussi féminins que les miens. Cependant, il portait une robe d'intérieur similaires à celle que j'avais et ourlée juste au-dessus du genou comme la mienne. Il y avait une pile de vêtements pour femmes dans un petit placard dans l'une des 5 chambres. Mais cet homme était assez trapu de sorte que la robe ne tombait pas bien sur lui, mais au contraire était étirée par sa carrure sur son cadre. Cette robe me va d'une manière très féminine depuis que je suis arrivé à maintenir mon poids à soixante kilos livres bien avant et je pense que j'ai déjà perdu du poids depuis mon arrivée ici.

Ce fut la première fois que j'ai réalisé qu'il devait y avoir des caméras d'enregistrement dans les différentes pièces et à l'extérieur. Il marchait à l'extérieur et il a commencé à marcher vers le périmètre. Mes yeux étaient rivés sur l'écran tandis qu'il approchait des marques rouges accrochées aux arbres.

Le mec / fille a continué à marcher et comme il passait les arbres après les marques, la vidéo est devenu horrible. Il n'y avait pas de piste son, mais soudainement on pouvait voir une lueur autour de son cou avec une forte émission de fumée et on a finalement vu sa tête se détacher de son corps. Il volait dans les airs et se retourna vers la caméra avant de retomber hors de vue.

Le reste de son corps vient de s'effondrer et le DVD ne montrait plus que de la neige.

"Voilà votre choix ma fille. Voulez-vous être une bonne fille et faire ce qu'on vous dit de faire? " A demandé Dick." Ou bien souhaitez-vous vous enfuit comme lui? "

Je tremblais à l'intérieur. Un homme avait été tué. Je ne voulais pas mourir. C'était accablant et j'ai humblement répondu: "Oui, Monsieur."

Chapitre 5

Le lendemain, il m'avait fait bronzer en bikini. Le soutien-gorge avait des trous découpés au niveau des mamelons et je pourrais dire que cela me faisait sembler avoir des aréoles. Le bas de bikini était un bas de bikini typique. Le bikini était de couleur noire. La partie soutien-gorge comportait un noeud au milieu de l'avant et deux petits bonnets étaient soutenus par une fine lanière spaghetti qui s'enroulait autour de mon dos et étaient attachée par un noeud. Les deux autres courroies étaient fixées chacune sur le haut d'un bonnet de vente et s'attachaient avec un autre noeud derrière mon cou.

Il a aussi utilisé trois tatouages à l'eau. Vous savez le genre que vous pouvez appliquer avec un chiffon humide et qui durera environ 10 jours. Au-dessus du centre du soutien-gorge a été tatoué le mot "fille" et au-dessus du centre de la base du bikini il y en avait un légèrement plus grand "Connasse".

Je ne voyais pas ce qu'il avait collé sur mes fesses, mais j'ai découvert plus tard que cela disait : "Fessez Moi"

Pendant les dix jours qui suivirent, je pris un bain de soleil deux fois par jour pendant environ 30 minutes chaque fois. Le dernier jour de bronzage a eu lieu la veille de l'arrivée d'autres hommes. A cette époque, les tatouages ont commencé à se délaver et de la place, j'ai eu la peau bronzée, sauf à l'emplacement des tatouages. Les mots, une fille, Connasse, et Fessez Moi se voyaient été très lisiblement sur le bronzage.

Mais il y avait toujours plus de règles dans mon dressage. J'ai dû pratiquer la révérence plusieurs fois par jour avec le "Oui Monsieur" et "Merci Monsieur", jusqu'à ce que cela soit devenu automatique.

Quand on me demandait si je voulais une fessée, j'avais appris à faire une révérence et bien sûr à dire: "Oui, Monsieur." C'était humiliant, mais mieux que la mort. Et certaines de mes fessées n'étaient pas toutes pour mauvaise conduite. D'autres survenaient tout simplement parce que quand on me demandait si je voulais une fessée, je devais répondre "Oui, Monsieur."

Une fin de journée typique se déroulait comme cela. Je devais venir vers Dick et me faisait soulever ma jupe et baisser ma culotte. Il était assis sur le canapé et il saisissait mon bras et me faisait me pencher.

"Pensez-vous vous être mal conduite aujourd'hui ma fille?" me demandait-il.

Bien sûr, je répondais, "Oui, Monsieur."

"Vous avez oublié de dire" Merci Monsieur " après je vous ai donné la permission de faire pipi. Exact? "

"Oui, Monsieur ", je lui répondais.

(Oh, j'ai oublié de vous dire. Je devais demander la permission d'utiliser les toilettes à chaque fois. Au fil du temps cela a changé. Je vais vous expliquer cela plus tard.)

Après quoi, il m'était donné une fessée avec dix fortes claques de la main et je devais dire, "Merci Monsieur", quand cela était fini.

Parfois, je pouvais subir de plus nombreuses claques et j'étais inévitablement amenée à pleurer, et bien sûr mes joues étaient inondées de larmes. Mes erreurs étaient principalement le fait d'oublier de dire "Merci Monsieur" mais il y avait d'autres comme ne pas nettoyer un plat correctement ou bien s'il trouvait un poil pubien sur la cuvette des toilettes. Parfois, la fessée, non seulement me faisait pleurer pendant que je la subissais, mais aussi longtemps après, surtout quand je devais aller au lit avec mon cul encore en feu. Même dans mon lit j'avais peur de toucher mes fesses depuis que je pensais qu'il pourrait peut être s'en apercevoir à cause de la vidéo.

Un jour, Dick me montra ce qui avait été un endroit inoccupé dans le salon. Il avait mis un tableau sur un chevalet et une dizaine de centimètres en avant il y avait un morceau de ruban adhésif qui adhérait au plancher en parallèle au tableau et qui constituait la ligne où je devait placer la pointe de mes pieds, en regardant le tableau, le nez à une dizaine de centimètres de celui-ci.

"Rappelez-vous ce que je vous ai dit sur vous un jour pour demander une fessée?" demanda Dick avec un sourire malicieux.

"Oui, Monsieur, répondis-je en repensant à la fessée qu'il venait de me donner un court instant avant.

"Eh bien, je suis sûr que vous vous rappelez de votre fessée de tout à l'heure. Exact ?"

"Oui, Monsieur!"

"Bientôt il y aura un groupe d'autres hommes ici et si vous faites des erreurs cela pourrait vous conduire à subir des fessées bien pire. Donc, c'est une occasion pour vous de peut-être réduire le nombre de claques sur votre cul ...

"Aussi, je vous assure que ceci sera votre meilleur choix, dit-il, puis il m'a expliqué que si je faisais une erreur, je devais venir au début de l'heure suivante et écrire mon erreur sur le tableau. Je devais aussi baisser ma culotte, me pencher et relever ma jupe et attendre que quelqu'un vienne me donner une sanction appropriée, après quoi je serais libérée du piquet et je savais maintenant que je devrais dire mon "Merci et oui Monsieur".

"Comprenez-vous maintenant que vous devrez demander votre fessée dans l'espoir de atténuer votre peine, " a interrogé Dick.

"Oui, Monsieur ", lui dis-je d'une voix tremblante. Je savais que c'était un autre changement de comportement. Et ensuite je suis retournée à ma tâche en cours qui consistait à recoudre un trou dans un de ses slips qui était si vieux qu'il y avait encore des taches jaunes que le lavage n'avait pu enlever.

Puis, un soir, je portais un mince déshabillé de satin que Dick avait pris pour moi. Le déshabillé se frottait de manière excitante contre ma bite. En fait, la sensation du satin contre mon corps a été l'une des premières grandes excitations pour moi. Je pouvais facilement me faire jouir en me frotter à travers la culotte en satin, avant cela. Je venais de terminer de laver ses slips quand je l'ai entendu m'appeler.

"Tapette, avez vous presque fini? Dick m'a appelé de la salle de séjour.

"Oui, Monsieur, répondis-je avec inquiétude.

"Dépêchez-vous si vous ne voulez pas une autre fessée, a-t-il déclaré ironiquement.

Je courus aussi vite que je le pouvais mais je n'étais pas autorisé à courir ou à marcher d'une façon normale. Je ne voulais pas une autre fessée, aussi j'ai du marcher lentement tout en remuant mon fessier. Comme Dick me l'avait appris, "Faites en sorte, avec votre trou de la chatte, que lorsque vous marchez, cela incite un homme à pousser sa queue, là-dedans. "

Je voulais juste rentrer à la maison. Aussi vite que j'ai pu je me suis rapproché du canapé. Je me sentais tellement nu dans le fragile déshabillé.

Comme je l'ai déjà dit, Dick était un grand type. Le canapé a été en retrait et lui était assis dessus. Il devait peser plus de 130 kilos, pensais-je, tandis qu'il me tendit un DVD.

"Allez mettre cela dans le lecteur de DVD et venez vous asseoir près de moi, dit Dick.

J'ai pris le DVD et me suis avancé pour le mettre dans le lecteur. Bien sûr, j'espérais qu'il n'était pas comme le précédent DVD. J'avais tellement peur.

Le disque était noir avec une impression jaune au centre. Tout ce qui y était écrit était " Leçons ". Ensuite je me suis retourné et j'ai commencé à revenir vers le canapé. Je ne voulais pas le regarder dans les yeux, au lieu de cela j'observais cet homme dégoûtant et gras avec sa chemise à carreaux dégoutante tandis que sa main caressa l'endroit où je devais m'asseoir. Je pensais que je savais ce qui allait se passer mais je ne voulais pas encore y croire.

Jusqu'à ce moment là, j'avais seulement été fessé et dressé, mais comme je me retournai pour m'asseoir, de sa main il me caressa le dos de ma jambe. Je sentais ses doigts passant sous la jupe et toucher mon cul. Je ne pouvais pas m'assoir tout de suite pendant qu'il me touchait et me pelotait. Enfin, il me fit asseoir. Je me sentais si petit à côté de lui et je me sentais si féminine, alors qu'il émettait une mâle et forte odeur de testostérone.

Le film avait commencé et Dick a mis son bras autour de moi. "Vous ferez tout ce que vous verrez dans ce film et bien plus encore et vous le ferez toujours avec un doux sourire et un "oui monsieur ". Il sourit en parlant.

Le film a commencé et bien que le gars dans le film fût un peu plus jeune et pas aussi gros que Dick, il était encore plus sale. Juste comme j'ai vu le gars dans le film commencer à doigter la fille, Dick a mis sa main entre mes jambes.

"Eh bien ma petite chatte, comprenez-vous que vous ferez tout ce que je demande ou tout ce que n'importe quel homme demandera, immédiatement, sans hésitation et sans se plaindre? " A demandé Dick.

"Oui, Monsieur, lui dis-je la gorge sèche.

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