Mon premier gangbang

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il y a 12 ans

Mon premier gangbang

J'ai osé en parler à mes amis libertins qui m'avaient garanti qu'avec mon physique et mon âge, cela ne serait pas trop difficile de me faire..... Comme nous avions abusé du champagne avant et après les câlins en trio, je leur ai avoué que j'avais comme fantasme de me faire violer.

Violer mais évidement sans risque pour ma vie, avec des préservatifs et sans violence. Mon fantasme était juste d'être forcée par un groupe de mecs avec qui j'aurai très bien pu baiser lors d'une soirée libertine. Ces cons que j'adore mon fait réaliser mon rêve au-delà de mes espérances.....

LA SURPRISE

C'était un vendredi soir, cette garce de Kiki, m'a entrainée dans la salle de bain pour me préparer pour une petite soirée coquine avec un couple. En guise de préparation, nous avons pris un bain très câlin entre filles..... A peine séchée, elle m'a attachée les mains et m'a posé un bandeau sur les yeux puis un collier de chien avec une laisse en m'indiquant que puisque je voulais être forcée j'allais l'être pour de bon. Je leur avais dit que si je résistais il faudrait qu'il me force pour m'aider à commencer sauf qu'au ton de sa voix, j'ai compris que la soirée « viol » aurait lieu ce soir là.

J'étais blême ! Mon fantasme d'être livrée en pâture à un groupe d'hommes qui useraient et abuseraient de moi m'a toujours rendue folle, mes draps peuvent témoigner que dans mes moments solitaire j'ai plus que de raison joué avec des godes mais à ce moment là, j'ai eu peur. Je ne voulais plus y aller. Elle a ouvert la porte de la salle de bain et m'en entrainée de force dans le couloir en me guidant pour m'éviter de tomber tout en appelant son mari à la rescousse. Il m'a soulevée et portée jusqu'à leur canapé pour m'y déposer sans trop de précaution en indiquant : « voilà la bête ».

Plusieurs mecs se sont mis à me tripoter, l'un d'eux m'a écarté les jambes de force en indiquant que cela allait être ma fête. Devant mes « non » de plus en plus insistant, j'ai bien senti qu'ils n'osaient pas vraiment me forcer et que ce n'étaient pas de vrais violeurs, mais cette salope de Kiki les a rassurés puis m'a incendiée avant de me rouler une pelle devant eux. En même temps qu'elle m'embrassait et titillait mes tétons, une main s'est mise à claquer ma chatte avant de la forcer d'un doigt plutôt « viril » qui me fit tressaillir.

  • Tu voulais passer à la casserole, tu vas être servi ma belle, je vais même te les faire bander à mort pour qu'ils te baisent au-delà de tes rêves les plus fous. Dit Kiki d'une voix décidée ne me laissant plus aucune échappatoire.

Quelques secondes plus tard, soulevée comme un pantin de chair, je me suis retrouvée à cheval sur le canapé. Un doigt chargé de lubrifiant ma à nouveau forcée la chatte me permettant de comprendre que la « fête » allait vraiment commencer. Lorsque le premier ma forcée, j'ai eu mal tant j'étais contractée, lui a trouvé que j'étais « bonne » et étroite à souhait mais que cela n'allait pas durer. Pendant qu'il me baisait, un autre a présenté sa bite contre mes lèvres en m'ordonnant d'ouvrir la bouche. Emmanchée de part et d'autre avec des mains flattant mon corps et mes seins, sous les entraves m'interdisant toute défense et tout contact j'ai commencé à éprouver des sensations bizarres, troublantes. Mon corps m'échappait, c'était fou mais terriblement troublant. La bite s'acharnant en moi devenait franchement « bonne » tout comme celle forçant ma bouche.

Kiki entrepris de me « beurrer » le cul, expression propre de mon amie qui se complait à dire qu'un cul « beurré » est toujours plus accueillant. Ils se mirent à « échanger » les « trous à bite » pour « y gouter » à tour de rôle. Hormis me laisser prendre et traiter de grosse gourmande par Kiki, je ne pouvais rien faire pour leur échapper mais de vous à moi, je n'en avais pas vraiment envie.... C'est lorsque le troisième mec m'a prise comme un dératé que je me suis envolée pour la première fois. La deuxième pointait son nez lorsqu'ils ont décidé de m'enculer, chose qui ne me déplait pas (je sais je suis gourmande) mais là, sans voir la « chose » je n'étais pas très rassurée.

Même si je suis libertine et un brin salope, me faire enculer comme ça devant un certains nombre de personnes inconnues est quand même gênant et fut difficile pour moi. Je n'ai pas eu trop mal, la bite n'était pas trop grosse ni sauvage, ce qui m'a permis d'éprouver rapidement du plaisir et de m'offrir à la sodomie en cambrant mes reins. Alors que je commençais à être bien bien « chaude » le mec me forçant ma bouche comme un malade s'est mis à jouir sans se retirer. Je l'ai incendié ce qui m'a valu deux claques sur les fesses accompagnées par une engueulade de cette salope de Kiki qui m'a rappelée qu'on ne laisse pas le choix aux filles violées. La garce ! (Depuis je me suis vengée d'amitié en lui bourrant le cul avec du gingembre lors d'une soirée avec d'autres amis)

Forcée de me lever et maintenue pour ne pas que je m'écroule tant j'étais dans les vapes, je me suis retrouvée assise sur Jean et rapidement embrochée. Plaquée conte lui de sa poigne plutôt ferme, j'ai voulu l'embrasser mais il a refusé ma bouche, la trouvant trop « spermée » à son goût, l'enfoiré ! Et là, quand j'ai senti l'un d'eux contre mes fesses, j'ai compris que j'allais enfin vivre mon second fantasme, le double pénétration. Le seul problème c'est que le mec avait une queue d'âne et que j'ai eu du mal à la prendre. Sous mes mouvements, j'ai même « expulsé » Jean qui m'a donné une gifle de principe et s'est me repris aussitôt en se callant un peu mieux avant de me bloquer de ses bras viril. Mon enculeur m'a pourfendue en faite crier pendant qu'un autre me collait sa bite dans la bouche. Kiki est venue à la rescousse et s'est occupée de mes seins comme une sauvage. Trois minutes plus tard, sous les asseaux de mon enculeur je me suis pris un pied d'enfer !!!!!!!!!!!

Je voulais fuir, j'en voulais encore, c'était trop fort mais en même temps titanesque, c'est trop difficile de décrire ce que l'on ressent dans ce moment là. Bon bandeau a glissé, j'ai pu les cinq mecs et Kiki qui taillait une pipe à l'un d'eux comme une gloutonne. Ces sauvages m'on libéré des menottes qui commençaient à me faire mal because elles s'étaient serrées et me broyaient les poignets. Ce n'est pas parce qu'ils me les ont retirées que les choses se sont arrêtée ! ! ! Au contraire ! ! En plus de me sodomiser à tour de rôle à grand coup de lubrifiant et de se faire sucer, ils voulaient que mes mains « servent » à leur donner du plaisir.

J'étais tellement dans les alléluias que j'ai fait tout ce qu'ils ont voulu. Le pire (et le plus fort) a été quand ils m'ont couchée sur le dos avant de relever mes jambes pour les mettre derrière ma tête. Les fesses en l'air, mon intimité n'était plus, non elle était offerte comme jamais. Ils se sont marrés en disant que je restais « ouverte » et je les ai détestés même s'ils m'ont faites jouir à me rendre folle. Mes insultes ne leur ont pas plus, après quelques claques sévères sur les fesses, ils se sont amusés à me prendre comme ça, fesses en l'air, jusqu'au final organisé par mon amie que j'ai détestée pendant au moins deux minutes.

  • Carte blanche les mecs, vous pouvez vous servir d'elle comme vous voulez, mais cette fois vous pouvez jouir quand vous voulez. Leur à t'elle dit.

Ce fut la curée, je suis à nouveau passée à la casserole mais puissance 10. J'ai compris qu'ils avaient comme consigne de jouir en moi (avec présa) ou dans ma bouche sans présa et de me forcer si je résistais. Résister ? Pour cela il m'aurait fallu de l'énergie ! J'ai bu deux fois, je me suis faite enculer deux fois en ahanant parait-il comme une truie en chaleur, le troisième est venu à peine entré dans ma chatte, mais je ne lui en ai pas voulu tant j'étais épuisée.

Une larve, comme une vraie larve étendue sur le canapé sous une couverture donnée par Kiki venue me faire un câlin, nous avons fêté mon « viol » et mon premier gangbang au champagne avec des sourires complices.

Je ne remercierai jamais assez Jean et Kiki du réseau fessestivites de m'avoir permis de vivre ça.

Axel

 

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