Ma nouvelle vie de soumission et régression

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il y a 12 ans

C’est au mois d’Avril dernier, un lundi après-midi, je mets ma musique et un casque sur mes oreilles histoire d’être dans une magnifique bulle. Tranquillement mais surement, mes errements sur le net m’amène à ABKingdom. De plus en plus, ces images de couple, de femmes ou d’hommes (tiens, bizarre, je ne suis pas bi, ni Gay) en couches m’excite. Presque machinalement, je sors mon sexe pour me masturber. C’est incroyable, un plaisir rare pour une simple masturbation. Heureusement, ma femme travailel et n’est pas prête de rentrer. Tranquillement, je poursuis mes inquisitions et mes ardeurs ne sont pas calmées. Je continu a me masturber en ayant toujours ma musique sur les oreilles.

Quel bonheur, je me dis que ce couple, dont je regarde les images avec une attention toute particulière, me fascine a un point inimaginable. Ce couple pratique un mélange de domination, soumission avec ceinture de chasteté et couches. Je ne sais pas expliquer ce qui me plais le plus entre la relation D/S et les couches. Surement le mix justement et au moment ou je retiens ma deuxième éjaculation, une main se pose sur mon épaule droite et l’autre me fais lâcher mon sexe afin de libérer mon plaisir qui fini par couler sur mon siège de bureau et par terre. Horreur, c’est ma femme qui est rentrée. Je ne peux pas la voir arriver car mon bureau tourne le dos à la porte de cette pièce. Je tente vainement une explication, le fameux « Ce n’est pas ce que tu crois ». Sans dire un mot, elle regarde toutes les images que j’ai vues sur ce site. Elle a mis 30 bonnes minutes et prenant même le temps de détailler certaines images plus explicites que d’autres. Puis toujours sans rien me dire, elle quitte la maison. J’ai passé 4 heures à essayer de l’appeler, sans succès.

Il est maintenant 20H17 quand elle rentre enfin. Je suis tellement inquiet pour elle et aussi pour moi, enfin, pour nous (notre couple), qu’a son arrivée, j’ai regardé l’horloge du décodeur. Elle est souriante mais ne dit toujours pas un mot. Elle tient un grand sac à courses bien rempli à la main puis elle va à l’étage dans notre chambre. Je veux m’expliquer et donc, je la suis, mais elle s’est enfermé dans la chambre ou j’entends qu’elle déballe le contenu de son sac. Tout ce que j’essaye de lui dire reste sans réponses. Les minutes défiles et je me résous à descendre pour attendre au salon. Presque 40 minutes plus tard, elle redescend avec un bruit de pas que je ne connais pas. Elle m’apparait vêtue d’une tenue digne des clichés Femmes Dominante. Elle porte un body en cuir noir avec une paire de collant noir et des cuissardes qui donne à sa démarche une fermeté solennelle. Son visage a perdu son sourire, il est maintenant fermé et décidé et a sa main droite, elle a une cravache. Je la trouve magnifique comme ça mais j’ai vraiment peur. Sa première phrase me donne raison.

« - Tu m’as énormément déçue, écœurée même. Je ne suis pas prête de te pardonner tes plaisirs solitaires. Je ne veux pas entendre un seul mot de ta part jusqu'à Dimanche soir. Chaque mot que tu diras te sera rendu en coup de cravache supplémentaire à ceux de ta punition que je vais t’infliger. Ta seule façon de communiquer avec moi sera un « oui-non » de la tête et rien d’autre. Tu m’as bien comprise ? » Elle me fait vraiment peur, mais la peur de la perdre l’emporte et je fais un « oui » de la tête qui la laisse de marbre. Je ne la reconnais pas, elle qui est plutôt calme et douce. Pour le moment, c’est une furie et je sais qu’il est fortement conseillé de lui obéir sans réfléchir. « - Déshabille-toi intégralement » La voila qui remonte d’un pas ferme et décidé. De mon coté, j’obéis et je commence à enlever mes vêtements. Très vite de retour, elle ne tarde pas a élever la voix. « - T’es pas encore prêt? Tu n’arranges pas ton cas, Magne toi d’enlever tout ca ! » J’ai fait au plus vite mais ca ne lui plait pas. Une fois nu, elle ouvre un petit sac qu’elle est allée chercher pendant mon effeuillage. Je suis nu au milieu du salon et elle passe derrière moi. « - Mets tes main derrière ta nuque. » Toujours sans rien dire, j’ai vraiment peur mais je fais ce qu’elle m’ordonne, un bruit métallique attire mon attention mais elle ne m’autorise pas à regarder ou a tourner la tête. C’est donc frustré que je comprends qu’elle me menotte les mains derrière la nuque et sans ménagement. Ensuite elle m’ordonne d’ouvrir la bouche et elle y place un bâillon boule qu’elle serre sans se soucier de mes râles de douleur. Elle continue mon équipement avec un collier type « chien » mais sans la laisse. Pour terminer sa première phase, elle m’ordonne de me mettre à genoux mais droit, pas les fesses sur les talons. Puis elle revient devant moi.

« - Tu vas souffrir maintenant. J’en ai marre que tu te branle comme un puceau en chaleur. Je ne suis pas naïve, ca fait 1 mois que je remonte l’historique de tes connections internet, et a chaque fois, tu vas où ? QUE SUR DES SITES DE CUL !!! T’es pathétique. Alors oui, je t’aime, mais trop, c’est trop. Y a 15 jours je me suis même demandée si je devais divorcer mais mes amies m’ont convaincue de ne pas faire ce que je pourrai regretter plus tard. Et oui, tu as l’air étonné, mais mes amies savent ce que je fais en ce moment. Elles m’ont donné les idées et d’ailleurs, on va les remercier. »

Elle va vers la porte, l’ouvre et triple Horreur, trois amies et leurs compagnons entrent en rigolant. Ma femme me présente comme sa nouvelle lopette et les invités prennent place sur le canapé derrière moi. Ma femme reprend place devant moi et sans tenir compte des hôtes, elle poursuit son monologue. « - Avec mes amies, nous avons cherché la meilleur façon de te calmer pour qu’enfin, cette maison retrouve la sérénité que je cherche et nous l’avons trouvé. Saches que je suis en vacances cette semaine et donc, je savais très bien que j’allais te tombé dessus sur tes sites de merde. Visiblement, l’historique montre que tu as un penchant pour la Domination/Soumission, les couches et le cocufiage. Qu’à cela ne tienne, tu vas être servi!

1- Tu veux être dominé? D’accord, pour une période qui reste à définir, je ne suis plus ta femme, mais ta MAITRESSE et tu auras plus qu’intérêt a bien obéir car âpres ta première punition que tu vas recevoir juste la, tu sauras ce que le mot « REPRIMANDES » veut dire. 2- Tu aimes les couches? Quel idée, mais bon, si ca te fait plaisir, ca ne me pose pas de soucis. J’ai ramassé tous tes sous vêtements sous clés. Apres ta correction direction notre chambre pour ton retour en couches 24/24 et 7/7. Et pour éviter que tu les enlèves au travail ou derrière mon dos, tu auras par-dessus une magnifique culotte en plastique qui ferme avec un cadenas. En plus, ca évitera les fuites. Pratique non? Comme pour la domination, la durée de ton retour en couches reste à fixer. 3- Et pour la pire des choses qui t’excite, j’ai vraiment hésité. Et figure toi, que cet après-midi, ca a fait tilt dans ma tête âpres t’avoir vu te tripoter devant le PC. Tu m’as tellement énervée que je vais t’offrir ce « vice » la sur un plateau. Tu te souviens de celui que tu traites de tête de crapaud. Oui, je parle bien du vigile du magasin qui me fait les yeux doux depuis plus de 5 ans. »

Elle va vers la porte, l’ouvre et fait rentrer ce mec que je considère d’une laideur extrême et ma femme le sait mieux que quiconque.

  • Je te présente mon amant. Il ne cherche pas de relation durable et ça m’arrange bien. Mais pour le coup, pour son plus grand plaisir, il va te remplacer pendant un très long moment. Et oui, tu n’es pas prêt de me retoucher, puisque tu préfères ton plaisir solitaire, tu continueras à le faire quand je t’autoriserai. Mais maintenant, c’est l’heure de ta punition. Voici 2 dés à 12 faces. Je comptais les lancer une fois chacun et additionner le tout pour fixer le nombre de coups que je vais t’infliger, mais devant ta lenteur à te déshabiller, je vais les lancer 2 fois.

Elle a lancé le premier dé qui a affiché un 7 puis le second a affiché un 3. C’est « l’autre » (l’amant) qui a lancé les dés pour le deuxième tour et ils ont affiché 5 et 9. Les 24 coups n’ont pas tardé à faire rougir mes fesses sous les coups grandissant d’intensité et a m’excité de plus en plus bien malgré moi. Le dernier coup a été si fort que je n’ai pas réussis à rester droit. « - Je ne t’ai pas autorisé à reposer ton cul. Redresses toi ! »

Ma maitresse à relancer les dés et un 12 et 10 très applaudit a sanctionné ma douleur. Maitresse a passé la cravache aux convives et chacun m’ont assené 2 coups puis ne se sont plus arrêter âpres les 10 autres. Pendant que je recevais les coups, un autre coup m’a fait mal, ma femme embrasse a pleine bouche cet horrible type et lui ne se gêne absolument pas pour lui caresser le bas ventre. Du coup, ma femme ne se gêne pas plus d’aller lui caresser le sexe par-dessus son jean’s et elle lâche un « OH » qui me fais penser « ben oui, je reçois trop de coups ». En faite, elle s’extasie devant la taille du sexe que lui promet cet amant. Elle descend sur ses genoux et je me dis qu’elle ne va pas oser, pas devant tout le monde. Et si, elle sort ce sexe de belle taille en effet et le prend à pleine bouche sans aucune retenue. Elle me fixe très régulièrement avec ce sexe en bouche pendant que je reçois des coups qui me font moins mal que cette fellation. Les coups cessent enfin quand ma maitresse s’approche de moi et me dit. « - enfin un sexe bien raide, bien dur qui va me rendre heureuse. Tu te branlais tellement que les rares fois ou tu me faisais l’amour, je ne sentais rien. Bon maintenant à toi (elle me retire le bâillon), souviens-toi, pas un mot. » Quoi a moi, que veut-elle dire ? Très vite, j’ai compris quand cet horrible mec a présenté son sexe devant ma bouche.

  • Ah oui, je ne t’ai pas dit, il y a un point 4, ta féminisation. Ca fait partie intégrante de tes connexion internet et pas qu’une fois. Donc, j’en conclue que tu veux te faire prendre comme une petite femme. Et figure toi, comme j’en ai parlé a mon nouveau chéri, il s’est gentiment proposé car il m’a avoué sa bisexualité active. C’est quand même bien fait non ? Du coup, tu vas te faire sodomiser comme une petite lopette. Mais pour le moment, SUCES LE ET DEPECHES TOI! »

Je ne pouvais pas cacher une très forte excitation tout en étant dégouté. Mais j’ai commencé à le sucer. Il n’a pas mauvais gout et pour une première, je n’ai aucune idée si je m’y prends bien. C’est lui qui imprime le rythme puisque mes mains sont menottées derrière ma nuque. Ma femme monte à nouveau pour redescendre avec les bras bien chargés. J’ai du mal à regarder ce qu’elle a descendu. L’homme se retire, ma femme me libère les bras et m’ordonne de mettre des bas, un porte-jarretelles, des faux seins, un soutien gorge, une perruque de la couleur de mes cheveux mais en long puis des talons hauts. Puis l’objet promit, elle sort une couche qu’elle me met elle-même devant tout le monde. J’ai très mal au dos et aux fesses avec les coups reçus et la couche n’aide franchement pas. Quelle humiliation, être en couche devant tout ce monde. Je n’aurai jamais cru le matin même pouvoir avoir ca sur moi le soir venu. Malgré tout, le contact n’est pas désagréable et mon excitation est vraiment à son comble.

  • Bien maintenant que tu as les mains libres, sois une bonne lopette et suces le bien pour qu’il te sodomise parfaitement âpres. (Alors que j’allais dire un mot) Ah ! Tu n’as pas assez mal comme ca ? Concentres toi sur ta pipe et montre-nous que tu es une bonne lopette. Appliques toi comme une vraie femme (elle pose sa main sur ma couche), car visiblement, ca t’excite vraiment et donc, je ne me suis pas trompée». Cette dernière phrase provoque un fou rire général qui sonne comme un piège qui se referme sur moi.

Je ne pensais plus qu’à une chose, cette pipe que je faisais et je n’en revenais pas moi-même. Certes je suis pris dans un piège par ma faute, mais j’aime ca, je prenais un plaisir démesuré. Je suçais de tout mon cœur et j’oubliais que je le faisais à l’homme crapaud. Mais je suis retombé sur terre quand ma maitresse a dit.

  • Ca suffit, c’est l’heure, encule la lopette. Défonce-la ! »

Maitresse m’a rattaché les mains derrière la nuque et m’a remis mon bâillon. J’ai entendu claquer un préservatif sur le sexe de l’amant. Puis un tube plastique comme le bruit d’un bouchon de ketchup, c’est en fait du gel intime. On m’allonge le ventre sur la table basse les jambes bien écarté. Puis c’est la couche, seul rempart de mon intimité déjà bafoué, qui a été écartée. Et voila le sexe de cet homme qui se présente a l’entrée de mon œillet. Je tremble de tout mon corps, j’ai une peur horrible et ma Maitresse vient face à moi pour me parler.

  • T’inquiètes pas, tu es prête et tu vas prendre ton pieds. Tu sais, les salopes de ton genre sont faites pour se faire mettre bien profond. (Elle lève les yeux pour fixer son amant) Vas-y pousse, encule-le! »

Très lentement, il pousse et m’ouvre. Certes il reste respectueux, mais ca fait mal, très mal car je n’ai pas été préparé avant mais je ne peux pas parler a cause du bâillon. Sous les applaudissements des convives, mon œillet fini par céder et me voila sodomisé jusqu'à la garde ou presque. La première parole de ma maitresse ne me réconforte pas du tout.

  • Te voila dépucelée, tu es une bonne lopette. Maintenant je te conseille d’y prendre gouts et vite car tu seras sodomisé tous les soirs. Et si ce n’est pas lui, (en sortant du sac un gros gode-ceinture) ca sera moi. (Puis elle regarde son amant) Vas-y élargit le, et fais toi plaisir. »

Avec nettement moins de douceur, il me « lime » l’anus jusqu'à remplir sa capote. Maitresse la lui retire et me la verse dans la bouche avec ordre d’avaler. J’ai beaucoup de mal mais je réussis. Maitresse me libère les mains puis elle me tend un tablier.

  • Mets ça et tu as exactement 20 minutes pour nous faire à manger, pas une de plus sinon c’est 20 coups en bonus par minutes. Rassures toi, c’est rapide a cuisiner. Tu prépares 8 assiettes, toi, tu mangeras âpres, tu n’es pas digne de notre table.

En moins de 20 minutes, les 8 assiettes étaient servies. Debout près de la table a coté de ma Maitresse, j’attends les ordres dans une tenue que je trouve vraiment ridicule maintenant que mon excitation est retombée. Je trouve que ce repas est vraiment très long. Tous mettent un temps fou pour manger ce repas si léger et si simple. Mais je ne veux pas aggraver mon cas de peur de la cravache. Maitresse m’ordonne de servir le fromage, et donc, je me dirige, sans dire un mot, vers le réfrigérateur. Je suis stoppé dans mon déplacement par l’amant de ma femme. Je reçois de sa part une magistrale gifle qui a tellement raisonné que plus personne n’ose parler. Très posément, il me fait remarquer qu’on ne sert pas le fromage sur une table non débarrassé et surtout qu’ils n’ont pas l’intention de manger ce fromage dans des assiettes sales. Je retourne donc débarrasser cette table pour revenir avec des assiettes propres et l’avant dessert de leur repas. Suit le dessert en lui-même et je n’attends pas la remarque pour faire table nette et assiettes propres pour un magnifique gâteau (mon préférer) que je dois couper en 8 parts et servir. Ma Femme a vraiment pensé à tout pour me signifier sa colère. Il est clair que je n’en aurai pas, et tous finissent leurs assiettes sans laisser une miette. Il presque 23H30 quand le repas se termine et qu’une envie d’uriner comme a se faire sentir. Je suis perdu, je n’ose pas trop bouger et pourtant, si je ne bouge pas, je vais me faire déçu, quel dilemme. Ca n’échappe à personne et certainement pas à ma Maitresse. Très naturellement, elle relève mon tablier, et elle me tend un verre rempli d’eau.

  • Avec tout ça, je n’ai même pas prit le temps de t’offrir un verre. Il ne faut pas que tu te déshydrate, alors vas-y, bois ce verre. »

Devant mon hésitation, elle me parle sur un ton très autoritaire et m’ordonne de le boire en entier d’une traite. J’obéis et ça devient très compliqué de me retenir. Elle me tend un 2ème verre, puis un 3ème verre et toujours d’une traite, ils finissent de vaincre ma résistance et je me lâche dans la couche. Ce jeu ne m’amuse vraiment plus et je me sens honteux d’avoir souillé une couche devant tant de monde. La tête basse, j’entends un bruit qui me glace. Tout le monde me prend en photo avec les portables. Je suis en talons, bas, porte-jarretelles, faux seins et soutien gorge caché par un tablier, perruque type femme et surtout avec la couche souillée. Dans la pièce, c’est l’hilarité générale devant ma déconvenue. J’ai tellement honte que je lâche des larmes qui n’arrange pas mes affaires. Ma Maitresse quitte momentanément la pièce et revient avec une feuille.

Pour la première fois de la soirée, je suis autorisé à parler, mais juste pour lire a voix haute cette feuille qui fini de m’humilier. Sur cette feuille, il est notifié que je reconnais mes torts quand a mes plaisirs solitaires, que j’ai cherché sur internet des sites en rapports avec mes désirs les plus profonds, et que je demande officiellement a ma femme de réaliser tous mes désirs sans lui en tenir rigueur aussi longtemps qu’elle le désirera. Sur cette feuille, elle n’a rien oublié, des couches à ma féminisation, de ma soumission à mon cocufiage, tout y est. Elle à même écrit que j’abandonnais sexuellement provisoirement ma femme a cette homme et que de part mon nouveau statut de soumis, je refusais de la « salir » en voulant lui faire l’amour. En bas de page, il écrit, « cette demande est valable….mois sans interruptions»

Elle a signé sa partie qui dit qu’elle accepte cette demande et me dit de signer ma partie qui officialise ma demande. J’hésite longuement à signer cette feuille, puis je me dis qu’elle ne tiendra pas bien longtemps de toutes façons alors je signe la feuille. Une fois ma signature posée, elle me tend un de ses dés 12 faces et elle me dit de décider moi-même de la durée de mon sort. Tous les convives frappent des mains et scandes « un 12, un 12, un 12 ». Je prends conscience que je vais peut être passé une drôle d’année. Je lance ce dit en priant que le chiffre 1 sorte mais c’est un « 9 » qui s’affiche. Je lis de la déception sur le visage de tout le monde. Je lève la main comme pour parler.

  • tu as quelque chose à dire la lopette ?
  • je fais un « oui » de la tete
  • Je t’autorise à parler.
  • Merci Maitresse. Je peux voir votre déception à tous devant ce 9. Il est clair que vous souhaitiez un 12. Je sais aussi que cette situation, je l’ai bien cherchée et peut être indirectement voulu.
  • FAIS VITE LA LOPETTE.
  • Pardon Maitresse. Je mérite le 12 et si vous le voulez, je l’accepte.
  • La, tu m’impressionne. Mais te rends tu comptes que tu ne va plus me toucher pendant ta soumission? Que tu vas être le larbin ici et que tu seras humilié sans états d’âmes tout comme tu m’as humiliée?
  • Oui Maitresse j’en suis bien conscient, mais je ne vois pas une très grande différence entre 9 mois et 12 mois. Si je peux vous servir 9 mois, je tiendrai bien 3 mois de plus.
  • Tu n’as pas l’air de bien comprendre. JE NE JOUE PAS! JE NE PENSE QU’A TE FAIRE VRAIMENT SOUFFRIR POUR LE MOMENT. TU M’ECOEURE ET SI CA NE TENAIS QU’A MOI, JE SERAIS PARTIE A TE LAISSER TE BRANLER COMME UNE MERDE. Mais visiblement ca t’amuse, très bien. Ca ne sera pas 9 mois, 12 mois où je ne sais combien de temps. Je suis proche du divorce et ce que tu viens de dire n’est pas fait pour me calmer. Crois-moi, si tu ne veux pas tout perde, tu as intérêt à être la meilleure lavette du monde et ça ne sera pas encore assez. Devant témoins, je jure que tu vas porter tes couches en toutes circonstances et je me fiche des explications que tu donneras. Vu que tu les aimes tant, tu ne pourras plus t’en passer. Tu quittes le lit conjugal, il n’est plus question de te savoir près de moi. J’ai besoin d’un homme qui bande vraiment pour moi, pas d’une demie nouille mollassonne d’un type qui préfère se branler. Dans cette maison, tu devras tout faire, ménage, vaisselle, lessive, repassage, préparer les repas et faire l’entretien de l’intérieur de la maison et de l’extérieur. Tu ne décideras pas des tenues que tu porteras et encore moins des circonstances ou des lieux. Et pour finir, car ca m’écœure de te voir te « tripoter », je t’ai commandé une ceinture de chasteté. A son arrivée, je te mets en cage et comme ca, tu seras une bonne lavette à nos pieds. Plus question de chérie, c’est Maitresse et Maitre. Maintenant, tu débarrasses la table, tu vide le contenu du lave-vaisselle, et tu fais TOUTE LA VAISSELLE A LA MAIN, TU L’ESSUIE ET LA RANGE. Et dernière chose, approches… »

Elle m’a remis mon bâillon boule et elle l’a fermé avec un cadenas.

  • Ca t’éviteras de dire des conneries et de m’énerver encore plus ».

J’ai donc commencé à débarrasser la table et à obéir en me disant que je suis vraiment un con. Je donne le bâton pour me faire battre et je n’ai pas compris la gravitée de la situation dans laquelle je me trouve. Et comme je suis stupide, en pensant que ma femme joue, je réussis qu’à l’envoyer dans les bras d’un autre au risque de perdre le peu qu’il me reste. Cette fois, je pleure vraiment car j’ai mal au cœur. Comment suis-je arrivé la, a ca? Que va-t-il arrivé maintenant? Je décide donc de faire profil ultra bas pendant le reste de la semaine et je verrais bien ce qui va ce passé.

Pendant que je fais la vaisselle, Maitresse prend congé de ses invités. Une fois ma tache accomplie, elle me tend une véritable gamelle à chien avec de l’eau a gauche et un peu de nourriture a droite. Elle attache une laisse à mon collier de chien que je n’ai pas quitté depuis le début et l’attache au pied d’un meuble m’obligeant à être à 4 pattes. « - Manges et sans les mains. Les chiens n’ont pas de mains. »

Une fois fini ce repas qui a du mal à passer, je dois laver ma gamelle et nous montons a l’étage pour aller enfin se coucher. Avec Stupeur, je découvre un panier à chien à la porte de la chambre et Maitresse fixe ma laisse par-dessous la porte au pied de l’armoire. Toujours dans la tenue de femme, le tablier en moins, j’ai cette couche qui fait office de sanitaire. « - Je te réveillerais demain matin pour ton travail. Il te reste pas beaucoup de sommeil, alors un conseil, ne traine pas a t’endormir.»

Mais comment dormir à la porte d’une chambre ou l’activité ne laissait planer aucun doute. Ma Maitresse criait si fort son plaisir que je ne pouvais pas essayer de me reposer un peu. Sans horloge, je ne voyais pas l’heure et cette peur de ne pas me réveillé m’a presque maintenu éveillé toute la nuit. Au petit matin, je me réveille en sursaut, Maitresse prend à nouveau du plaisir, décidément, elle m’en veut. Je ne retiens plus mes larmes, car je prends vraiment conscience de ma situation.

Une fois leur relation finie, Maitresse me donne un petit coup de pied aux fesses en me disant « debout le toutou ». Elle me traine par ma laisse et mes bras engourdit ne peuvent tenter quoi que ce soit. En même temps, je n’en ai pas envie, il ne faut pas aggraver ma situation. Direction la salle de bain ou elle me fait enlever ma couche, mes vêtements mais pas le reste. Elle me dit de me mettre dans la douche et elle m’arrose copieusement. Elle m’ordonne de me savonner, puis me rince à nouveau. Enfin, je dois me sécher très vite et l’attendre. A son retour, elle me tend 2 couches et deux inserts. Je dois bien évidement les mettre. Puis c’est au tour de la culotte plastique que j’enfile et comme je le craignais, elle ferme la culotte par une chaine autour de la taille et un cadenas.

Une fois bien emmailloté, elle m’a jeté des bas et porte-jarretelles à mettre puis un soutien gorge sous une tenue normale. J’ai eu beaucoup de mal a travailler ainsi vêtu, mais ma dure journée n’étais pas finie. Elle est venue me chercher au travail à l’occasion du repas de midi pour aller faire des achats avec mon compte. Elle s’est offert plusieurs ensembles très affriolants en me précisant bien qu’elle veut être désirable pour son amant. La vendeuse qui l’aide dans ses achats a dit à un moment que j’étais chanceux d’avoir une femme si coquette mais ma Maitresse a dit que ce n’était pas pour un pisseu comme moi mais pour son amant. J’avais honte et je voulais partir mais c’est elle qui a les clés.

Puis Maitresse demande des sous vêtements pour moi. La vendeuse est surprise, mais fait des propositions et une fois deux ensembles choisis, m’invite à les essayer. Une fois les ensembles mis, la vendeuse a voulu apporter son regard et quel ne fut pas sa surprise de me voir avec mes couches. Comme tout me va bien, je n’ai pas trainé plus longtemps et après avoir réglé les emplettes, nous partons pour un repas. Je n’ai toujours pas mots à dire et je laisse Maitresse décidé de mon repas qui tourne autour d’un maigre menu. Une fois fini, elle me redépose au travail pour l’après midi. Le soir, je rentre avec mon véhicule et sans perdre de temps, je dois préparer le repas pour ma Maitresse et son amant.

Je note des nouveautés a mon arrivé. Une forte odeur de colle, de la poussière sur le pas de la porte de la chambre du bas qui sert de bureau d’habitude. Une fois dans ma tenue de lopette, je m’attèle a préparer le repas de mes maitres. Ils mangent très lentement en se faisant des léchouillent et des caresses sans pudeur pendant que je suis debout à attendre un geste de leur part. Leurs caresses se terminent en pénétration et je suis spectateur de l’horreur. Ma femme est donc pénétrée par un autre que moi et même si la veille je l’ai entendu, cette fois, je le vois et ce n’est pas pareil. Comble de l’humiliation, il la sodomise ce qu’elle m’a toujours refusé. Je veux partir fuir la maison de l’horreur. J’ai mal au cœur mais si je pars, c’est pour faire quoi et aller ou… ? Je constate qu’il n’a pas mis de préservatif et ma surprise ne tarde pas à être repérée par mes maitres. Maitre me précise rapidement sans arrêter ses va et vient dans l’anus de ma femme qu’il a fait un test HIV dans la matinée et que les résultats n’ont pas trainé. Maitresse lui offre dans son corps sans « plastique ».

Les jours suivants ont été aussi durs que ce Lundi soir, la ceinture de chasteté en plus. Mes Maitres s’en sont donnés sans retenus ni pudeur et j’ai souffert de cette vision si cruelle. Je n’ai pas échappé non plus a ma pénétration quotidienne qui au fur et a mesure des jours m’a véritablement élargi l’anus pour n’être que plaisir (au moins un dans cette dure semaine). Le reste de la semaine ne variera pas de ce Lundi.

Le week-end suivant, j’ai le droit a une monstrueuse surprise. Samedi, Ma Maitresse m’indique que ma nouvelle chambre est prête. Lorsque Maitre me l’ouvre, je découvre une pièce avec plein de crochets, et liens aux murs et plafond. Une véritable salle de supplice uniquement destiné à me maltraiter. Sans perdre de temps, Maitre veut tout tester, et ma journée et ma soirée est un calvaire de plus surtout a l’arrivée de nos mêmes invités que dimanche dernier. La soirée finira très tard et pour couronner le tout, je vais être sodomisé par Maitre et un des convives avant que ca ne tourne a l’orgie sans moi. J’ai juste reçu toutes les éjaculations avec interdiction d’en perdre une goutte. Pour la nuit, je dois la passer totalement attaché sur une croix de saint André avec 3 couches, un bâillon boule et un bandeau sur les yeux.

Le dimanche, je suis libéré très tard. Il plus de 12H00 quand Maitre me détache de ma croix. Je m’attends à devoir préparer le repas en extrême urgence, mais il n’en n’est rien. Maitre quitte même la maison dès 13H00 non sans avoir vivement embrassé ma femme. J’avoue que je suis déboussolé, que ce passe t’il ? Maitresse m’ordonne de me diriger vers la salle de bain. Elle m’a « douché » de la même façon que d’habitude puis une fois propre, elle a retiré ma ceinture de chasteté. Puis elle quitte la salle de bain. Patient, j’attends sans bouger, mais rien ne ce passe. Elle ne revient pas. Je suis la, nu, sans cage, ni couches et ma Maitresse me laisse toute liberté. Je me sèche calmement, puis je prends l’initiative d’aller voir dans la chambre de ma Maitresse.

Elle est sur le lit, se caresse tout en me regardant. Que ce passe t’il ? Mon excitation est à son comble, et Maitresse ne peu pas le louper. Elle se lève, se dirige vers moi et m’ordonne de m’allonger sur le lit. J’obéis, inquiet mais aussi curieux de cette situation inédite. Le naturelle revient vite quand elle m’attache au lit, me bâillonne et me bande les yeux. Mais très vite je constate que j’ai le sexe à l’air et qu’il est vigueur et prêt à honorer une femme. Mais je ne me fais pas de fausses idées. Maitresse commence d’ailleurs par me fouetter les cuisses puis le sexe. Les douleurs sont bien la et elle continue de s’en donner à cœur joie sans y mettre trop d’intensité. Puis elle l’empoigne, commence des mouvements qui sont bels et bien des va et vient. Je suis plus que surpris et mon excitation ne tarde pas à s’échapper. Malgré tout, Maitresse n’arrête pas et elle me prodigue une fellation Je bande comme jamais

  • Tu vois quand tu veux, tu peux être bien dur et me rendre heureuse. »

Et toujours sans rêver, elle s’installe sur moi, je la pénètre. Je profite de chaque instant sans en perdre une miette. C’est tellement inespéré depuis le début de la semaine que j’essaye de me retenir le plus possible. Mais vient le moment où je me libère une deuxième fois dans ma Maitresse. Elle s’assoie sur mon ventre, m’enlève mon bâillon puis elle m’assène le coup final.

  • Alors mon chéri, tu as aimé ta semaine de soumis ?
  • Ben c’était dur, mais à certains moments, c’était bien oui.
  • C’est bien ca que tu veux vivre si j’en crois les sites que tu regardes.
  • Ben, regarder ne veut pas dire que je veux absolument le faire, mais pour le coup, j’ai été agréablement surpris par cette semaine même si il y a un point qui m’a fait mal.
  • Lequel ?
  • L’amant. Pourquoi lui ? Tu sais bien ce que j’en pense pourtant.
  • Justement. Tu es soumis et donc, je dois trouver la meilleure façon de t’humilier et Je pense que c’est LA MEILLEURE personne pour bien t’humilier.
  • C’est, c’est sur.
  • Ca te plait tout ça ?
  • Oui bien sur, mais tu n’es pas fâchée ?
  • Non. Je trouvais que la mise en scène était géniale pour commencer ta nouvelle vie.
  • C’est gagné. Bravo pour tout ca »

Des applaudissements ont remplis la pièce et ma femme m’a ôté mon bandeau. J’ai pu voir le même groupe que dimanche dernier tout sourire.

Cette fois je suis moi-même, un véritable soumis, fier de servir mon maitre et ma Maitresse, Soumis a l’abstinence sexuel selon les choix de mes Maitres, mais pas interdit de sexe avec ma femme. Par contre, je n’ai pas le droit de sodomiser mon épouse, c’est réservé à son amant mais qu’importe, je croyais perdre ma femme, j’ai surtout trouvé une formidable Maitresse.

« Je t’aime ma femme, Ma Maitresse et respecte mon engagement de soumis a tes pieds tant que tu le décideras. » Les sites ? Quels sites ? Ah oui ceux du début, ils servent à fournir des idées à Mes Maitres pour notre plus grand plaisir, bien sur.

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Ah ben là, la domination ne fait pas rire
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