Une journée chez la Reine du sud

Catégories : Homme soumis, Femdom Domination féminine
il y a 12 ans

Hier, j’avais rendez vous chez Madame Reine du sud, un premier rendez vous devais avoir lieu bien plus tôt, mais suite à un empêchement médical, j’avais dût me décommander au dernier moment.

Le matin de notre rendez-vous, je contactais Madame, afin de lui confirmer ma venue, lui disant que je viendrais avec des bracelets cadenassés aux poignets et aux chevilles, ainsi que collier et laisse au cou.

Avant de partir, je me préparais donc, prenant soin de mettre un polaire à col montant, pour cacher le collier à mon cou, je pris ensuite le tram, pour me rendre chez elle, ne sachant exactement le temps de trajet, je pris de la marge, je savais où Madame résidait car j’avais pris la peine quelques temps avant de faire un repérage du quartier.

A onze heures précise, je sonnais à l’interphone pour m’annoncer, Madame me répondit et me demanda si ma tenue n’était pas des plus voyante, je la rassurais et je pénétrais dans le bâtiment, prenant l’ascenseur pour atteindre le bon étage, dans celui-ci, j’ouvrais mon blouson, le col de mon polaire et je fixais la laisse à mon collier, que je cachais sous mon blouson au cas ou, je croiserais une personne dans le couloir avant d’atteindre la porte de Madame, mais ce ne fut point le cas.

La porte était entre-ouverte, je laissais donc apparaitre la laisse et toqué à la porte, derrière celle-ci Madame me dit d’entrer. Je pénétrais pour la première dans l’antre de Madame.

Après lui avoir baisé la main, Madame, pris la laisse en main et m’ordonna de me mettre à genoux et de la suivre, (pas très pratique de marcher sur les genoux, j’aurais préféré à quatre patte), elle me fit faire le tour de son appartement, me montrant les travaux de nettoyage que je devais faire et ou était rangés les produits et autres accessoires dont j’aurais besoin, elle me ramena ensuite dans la pièce principale, m’ordonnant de me mettre nu, ce que je fis.

Elle me dit, « Tu vas être punie et tu en sais la raison ».

« Oui Madame, pour avoir écris sur fessestivité sans votre autorisation ».

« Prosterne-toi ! » je me prosternais donc, « mieux que cela, que ta tête touche le sol ! » Madame me donna trois coups avec différent objet.

 « Exceptionnellement je te laisse choisir, lequel préfère-tu ?»

« Le premier Madame ! »

« Bien, tu vas recevoir dix coups, les compter et me remercier après chacun ! »

Les dix coups me furent donc administrés, et ensuite, je me mis à la tache, poussière des meubles, nettoyage du tapis.

Vint l’heure du repas, je servis Madame et j’eu l’autorisation de manger à la cuisine, une fois son repas fini, je lui servi de repose pieds le temps quelle répondit à un appel téléphonique, puis elle se mit à son bureau, me demandant de me prosterner en lui présentant mes fesses, sur lesquelles, elle inscrivit « BAVARD » au feutre indélébile, (c’est vrai que je suis bavard et peut être aurais une surprise, la prochaine fois que j’irais chez Madame, si elle désire que je la serve, mais cela est sa décision).

Je repris ensuite mes tâches ménagères, passage de l’aspirateur et lavage du sol, ensuite, je passais au nettoyage de la salle de bain.

Madame, avait un meuble en kit à monter, je m’étais proposé à lui monter, je commençais à ouvrir l’emballage lorsque Madame me demanda de la suivre à genoux, elle m’amena jusqu’à sa chambre, me fis mettre au pied du lit, me banda les yeux, et voulu me mettre un bâillon boule, mais celui-ci étant trop gros, pour ma bouche, elle dut donc y renoncer, elle me fixa mes poignets aux barres du lit, me disant « Je vais faire des courses » et elle me laissa ainsi, sans avoir au préalable téléphoné à une personne de sa connaissance, pour lui signaler que quelqu'un était attaché dans sa chambre, pour le cas « ou ».

J’entendis la porte se fermer et la clé tourner dans la serrure, je restais ainsi, guettant le moindre bruit et surtout celui de la clé m’annonçant le retour de Madame, je n’osais trop bouger, étant attaché assez lâche, il m’aurait été facile de me détacher ou même de lever le foulard qui m’occultait les yeux, mais, je ne fis point, Madame aurait pu me faire croire a son départ et être revenue me surveiller sans bruit, afin de voir ce que j’allais faire et ainsi, si j’avais fauté, pouvoir me châtier vertement, mais ce ne fut point le cas.

A son retour, Madame me détacha et j’entrepris de monter son meuble. Il fut ensuite l’heure de nous séparer.

Madame me demanda de lui envoyer un message afin de savoir si je désirais continuer à la servir, si bien entendu, elle décide que je sois son soumis.

Je rentais donc chez moi, me laissant la soirée et la nuit pour réfléchir, pesant le pour et le contre, mon plus grand désir étant d’appartenir à une Maîtresse, mais j’ai aussi besoin de me sentir esclave, d’être entravé, pas obligatoirement libre de mes mouvements.

Voilà, j’ai pris ma décision, je vais tenter ma chance et accepter de devenir le soumis de la Reine du sud, si bien entendu Madame a pris la décision de m’accepter comme tel.

Montpellier le 31 Octobre 2011

sacherm

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