Dimanche soir petite surprise

Catégories : Homme soumis, Femdom Domination féminine
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il y a 12 ans

Dimanche soir

Ce soir la, nous étions seuls, Géraldine et moi, je regardais une émission de télé insipide, Géraldine me jeta un regard mutin me disant: «Je vais prendre une douche, il fait trop chaud et je reviens te faire un bisou, tu m'attends ?» Je poussais un vague grognement approbateur, voire indifférent, abrutit devant ma télévision jouant le rôle du beauf, du berurier ou du gros dégueulasse a la perfection. Le temps passant, a moitié endormi, je me préparais a aller me coucher. Lorsqu'elle revint. Elle qui a de beaux cheveux châtain frisés, avait tiré ceux-ci en un chignon. Elle avait repris son maquillage, souligné ses yeux en amande a l'air si doux de noir lui donnant le regard ténébreux d'une gitane. Elle me regardaient d'un air conquérant que je ne lui connaissait pas, sur sa bouche souligné de rouge carmin pointé un sourire ironique. Elle avait passé une mini jupe en cuir, des bas, la guêpière que je lui avait acheté et qu'elle n'avait jamais mise a ce jour. Je dégluti, elle se tenait debout devant moi, les poings sur les hanches, elle était superbe. Telle une de ces femmes qui me faisaient fantasmer.

Je n'avait jamais osé pensé qu'elle puisse se transformer après 20 ans de mariage.(j'avais même renoncer a mes fantasmes) Et se elle tenait devant moi, Telle une amazone, hyper féminine. Désirable. Peu être était-ce un rêve?

  • « que...bafouillais je »
  • « tais toi , c'est moi qui commande ce soir »
  • « retournes toi »

Je la regardait stupéfiais

  • « retournes toi »

Je lui obéis, elle s 'approcha de moi et me passa un bandeau sur les yeux.

  • « mais... » dis-je
  • « tais-toi et obéis moi et tu te rappellera de cette soirée toute ta vie »
  • «déshabille toi maintenant »

Je m'exécutai.

Elle prit mes bras me les fit croiser derrière mon dos et les lia. Et me passa un bandeau sur les yeux. Elle me fit retourner, j'étais un érection. Auparavant, il m'était arrivé bien des fois de jouer le rôle passif en amour, je trouve ça très excitant, et ma femme ne l'ignore pas. Mais la j'étais au summum de l'excitation. Elle pris ma bite en main. la caressa. la serra très fort, me faisant gémir. la pinça, me faisant crier et sursauter puis la titilla doucement du bout de la langue. Ce n'était pas une vraie fellation, mais c'était très bandant. Surtout que je ne savais pas si j'allais avoir du plaisir ou de la souffrance.

  • « Ce soir, mon chéri, tu m'appartiens, ce n'est plus toi le chef, si tenté que tu l'es jamais été. Je vais t'éduquer et tu vas m'aimer comme une femme comme moi le mérite. « 

  • « A partir d'aujourd'hui une nouvelle relation s'établit entre nous.  Je vais réaliser tes fantasmes les plus sombres, ceux dont tu as le plus honte, ceux que même toi et moi ignorons ou n'osons avouer. Je vais faire de toi un homme parfait, aimant.  Je vais me venger de tes maitresses réelles ou imaginaires. Ce soir il n'y a plus de Géraldine, mais de maitresse Géraldine. »  Et dorénavant lorsque tu te lèveras le matin. Lorsque tu rentreras du travail. Lorsque je m'approcherais de toi, tu m'embrasseras et tu me dira je t'aimes maitresse. Tout au long de tes journées tu ne penseras qu'a moi et que par moi. Je vais te rendre dépendant de moi comme on est dépendant a une boisson forte, a une potion. »

Je la sentis s'approcher de moi, elle posa sa bouche sur la mienne je senti le goût de son rouge a lèvre en premier, elle enfonça sa langue dans ma bouche très profondément, longtemps et elle me serrait le sexe de plus en plus fort au fur et a mesure qu'elle m'embrassait. Elle se recula, j'entendis ses talons claquer sur le carrelage, un bruit de chaine, elle revint vers moi et me passa un collier autour du cou un autre autour du pénis et des testicules, une chaine les reliant.

  • « Vient, mon esclave »

Elle tira sur la chaine, me forçant, angoissé, a avancer dans le noir, dans notre salon, je butais aux fauteuils. Elle s'approcha de mon oreille la mordilla doucement, enfonça sa langue dans mon oreille, j'essaie d'échapper aux chatouilles par réflexe elle me saisit par les cheveux

- Je ne veux pas que tu bouges , compris» - oui » - oui comment? » - oui maitresse Géraldine»

Elle recommença alternant caresse, mordillement doux et fort me faisant gémir de plaisir ou crier de douleur et j'aimais de plus en plus se sentiment d'être impuissant, a sa merci, obliger a lui obéir.

- Je vais te rendre dépendant de moi comme on est dépendant a une boisson forte, a un breuvage. Et tu sais pourquoi? » Me murmura t elle a l'oreille - Non » - Non comment? » - Non maitresse Géraldine » - Parce que je veux être excité, lorsque je vois que tu me regardes que je vois ton désir, ton regard s'allumer ? Parce que c'est excitant lorsque tu es complètement excité par moi, parce que j'aime sentir lorsque nous avons eu d’excellentes relations, et que je te rend totalement dingue. Je veux sentir le pouvoir que j'ai sur toi, et te revoir amoureux, tendre et prêt a exhausser mes désirs. »

Elle me fit monter l'escalier menant a l'étage et me conduisit dans notre chambre

- Reste la »

Je l'entendis déplacer des meubles, elle revint vers moi.

- penche toi, pli les jambes, met toi a genoux »

Elle me tira en avant avec la chaîne, et je me retrouvais le torse appuyé sur deux tabourés. Elle me retira le bandeau, j'étais devant le miroir de notre chambre. Je la regardais stupéfait elle poussa un petit rire, devant mon air stupéfait. Me fit « shut » d'un doigt devant sa bouche.

- il ne faut pas faire de bruit, pour les voisins » dit elle d'un air malicieux.

Je la vis prendre un martinet et une badine sur le lit. Elle se tint derrière moi, elle était superbe, terrible dans sa tenue de cuir et de soie, avec un air de petite fille qui fait une bonne blague. Mon cœur battait la chamade, je savais ce qu'elle allait faire, n'y croyait pas et en avait viscéralement envie. Mon sexe était tendue.

« Ce soir cela sera ta première séance, première punition pour les fois ou tu m'as tromper. tout ce paye et je vais te faire payer, tu sais que tu le mérites. Je vais te faire rougir les fesses de telle façon que tu te rappelleras la séance et a chaque fois que tu bougera, t'assiéra tu penseras a moi, je vais occuper tes pensées, t'accompagner toute la semaine, chez chacun de tes clients je serais avec toi et tu auras envie de moi et du plaisir que je vais te donner »

- je vais commencer avec le martinet, sur tes fesses»

Géraldine prit l'instrument et frappa un premier coup très doux. Puis Géraldine frappa avec plus de vigueur. Au quatrième, aucun coup ne m'avait fait gémir ! Les coups de Géraldine devinrent alors francs et durs.

- C'est excitant de frapper " dit-elle, et comme elle se prenait au jeu elle me donna plusieurs coups très puissants. Je gémissais cette fois.

- oui tu aimes ça dis moi » me demanda telle en me caressant les fesses - je gémis, oui maitresse Géraldine j'aime ça »

Mon dieu qu'elle était belle. Comme je regrettais de ne pas l'avoir assez aimé Elle vit que je la regardais avec désir et me sourit

- je t'aimes mon amour » me dit elle et toi tu m'aimes? » - Je t'aimes Géraldine » - Maitresse Géraldine » dit elle en me donnant un petit coup de martinet

Elle prit la cravache.

Et la fit claquer sur mes fesses, mais doucement au début car c'est un instrument très douloureux. Géraldine, qui était visiblement excitée, frappa durement et me fit crier deux fois. Elle s'arrêta pris un foulard en soie et me caressa avec. - si tu es prêt à m'offrir 10 coups sévères, dis le moi. » - Maitresse Géraldine , je suis prêt à recevoir tes coups, frappes fort » dis-je alors, très excité et heureux de m'offrir à elle. - Avant, il faut t'empêcher de crier trop fort, je vais donc te bâillonner »

Maitresse Géraldine s'approcha de moi et me bâillonna avec un chiffon.

- Avec ce bâillon, on ne t'entendra pas crier. J'espace bien mes coups pour que tu profiter de la douleur que je t' infliges. Je serais progressive, chaque coup un peu plus fort que le précédent », ce que Maitresse Géraldine s'empressa d'exécuter en appuyant chacun de ses coups.

Je passais le seuil de la douleur mon corps était devenue d'une sensibilité extrême et les caresses du foulard de soie était amplifié par mon épiderme exacerbé.

Maitresse Géraldine me releva lorsqu'elle eut finit, je tremblais, de bonheur, de douleur. Elle m'enleva le bâillon, me caressa le visage, m'embrassa Tout mon corps crié mon amour pour elle, je pleurais de joie, de douleur mêler, d'amour, de reconnaissance pour ce qu'elle avait eu le courage d'accomplir, de ce que cet acte représenter d'amour de ça par, pour aller contre les interdits et j'étais fier de lui prouver par les stigmates de mon corps l'amour que je n'étais pas  capable d'exprimer autrement.

Elle me prit par le bras, me détacha, m'allongea sur le lit

- Je n'ai pas finit avec toi » dit elle en m'embrassant. Je te l'ai dis je vais te rendre dépendant de moi comme on est dépendant a une boisson forte, a une potion. J'aime sentir lorsque tu es sur le point d’avoir un orgasme. Que je peux le contrôler, si je le désires. Même en continuant de te chevaucher.

Elle attacha mes poignets aux montants du lit, et me mit un gros oreiller sous la tête. Puis, elle m'escalada, approcha son cul de mon visage, et frotta son anus et sa chatte odorante contre mon nez et ma bouche, tout en taquinant doucement ma bite avec sa main. Quand elle m'eût bien excité, elle se retourna vers moi, posa ses genoux autour de ma tête, puis s'accroupit sur moi, me couvrant la bouche et le nez avec sa chatte. Son regard plongea dans le mien. Puis elle me dit malicieusement :

  • Maintenant, mon amour, c'est à toi de me faire minette. "

Elle mouillait, son odeur un peu épicée envahissait mes narines. Au début, ce n'était qu'un simple affleurement, une caresse, je sentais ses poils pubiens me chatouiller le nez, et évidemment je ne me fis pas prier pour happer et lécher les délices qui s'offraient à moi. Elle s'assit alors carrément sur mon visage, puis balança son corps d'un mouvement ample, sa chatte étroitement collée contre ma bouche, se soulevant parfois brièvement, à intervalles réguliers, pour revenir aussitôt m'étouffer de tout son poids. Et ça continua comme ça un bon moment. Bientôt elle commença à haleter, et sa pression sur mon visage se fit encore plus pesante, obstruant carrément mon nez et ma bouche. Ma respiration devint de plus en plus difficile, je devais profiter des courts instants où elle soulevait légèrement son cul pour prendre de rapides bouffées d'air. Mais en dépit de ma gêne, j'étais grisé, sans volonté, et je continuais à sucer, à lécher, à activer ma langue avec ferveur et application. Et puis ce fut un feu d'artifice !

Je fus étonné de la puissance et de la durée des orgasmes successifs de Maitresse Géraldine. Mais avec moi, il y avait bien longtemps qu'elle n'avait plus connu une telle jouissance ! Certes notre entente physique avait toujours été bonne, mais nous étions mariés depuis de nombreuses années, et l'ardeur de nos jeunes années s'était peu à peu émoussée, nos amours étaient devenus plus calmes. Quand la tension se relâcha enfin, elle recula un peu les fesses, s'assit sur ma poitrine, face à moi, et fit une pose. Elle était encore toute essoufflée. Je pus enfin prendre une longue respiration. Ses yeux brillaient d'une flamme très vive.

Mon excitation était à son comble, je bouillais intérieurement. Mais j'étais solidement attaché, et bien obligé d'attendre son bon vouloir. Sans me quitter des yeux, Sophie tendit sa main en arrière, la referma sur ma queue qui était dure comme un roc, et se mit à la caresser doucement. Elle ne se pressait pas, prenait tout son temps. Elle me dit à voix basse,

-  Hmmm, ta queue est bien raide, mon chéri, je vois que tu es en grande forme! Tu aimes ça, que je t'attache et que je te fouette ? »

Son regard restait fixé sur le mien.

- Est-ce que tu aimes ça ? », répéta-t-elle, impatiente. - Oui, oui, j'adore ça Maitresse Géraldine »

Elle reprit de nouveau sa caresse et continua, son regard plongé dans le mien :

- Bien ! Très bien mon amour !;Ça te réussit vraiment bien quand je t'attache. Il était super ce cunnilingus ! N'est-ce pas que, toi aussi, tu as envie qu'on recommence bientôt comme ça ? »

Je restai coi. J'étais sidéré, mais aussi prodigieusement excité par son audace. Je voyais ma femme au-dessus de moi, pesant de tout son poids sur mon corps. J'étais tellement ému que je n'arrivais pas à soutenir son regard. Comment ne pas me souvenir encore aujourd'hui de son visage tendu, de ses lèvres pincées et de ses yeux brillants d'excitation ? Elle s'empala sur moi et me chevaucha, , et je m'oblige de lui apporter le bonheur qu'elle m'avait donné, cette nuit la mon corps en feu me réveilla plusieurs fois et je fis tendrement l'amour a ma femme comme depuis longtemps nous ne l'avions fait. Avant de se rendormir, elle me murmura a l'oreille - Ce n'est que le début du programme que j'ai prévue pour toi mon amour. Je te demanderais de faire ce dont je sais que ne voudrait pas faire mais tu le feras néanmoins. Et tu en seras heureux, car tu me feras plaisir. Je veux te sentir, vulnérable, et effrayé, prêt a en passer par mes quatre volontés, parce que tu ne voudra pas me perdre. Et moi je t'aimerais encore plus fort car il n'y a rien de plus excitant de penser que tu puisses te comporter ainsi. Excitant, parce que j'aime être aimées, et appréciées. Parce que cela confirme mon estime de moi. Et tu m'aimeras encore plus fort. Excitant parce que se sont des moments ou les sentiments sont exacerbés ou l'on vibre a l'unissons et nous aimons cela, nous nous sentons vraiment vivre dans ces moments la.

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Mais, quel rêve !! J’ai vraiment envie de trouver une femme dominatrice comme cette super maîtresse. A quand la suite ??
Un délicieux récit
Une jolie surprise
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