Je me suis pissée dessus au cinéma

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il y a 12 ans

C'était un dimanche soir, j'étais sortie au cinéma toute seule histoire de me changer les idées, de manger ces idées noires qui trainaient au fond de ma tête. Fallait que je marche pour prendre l'air bref voir du monde sans être vue. Oui, dans la foule je suis une fille banale, une anonyme de plus que l'on ne remarque pas plus qu'une autre. Quand il s'agit de relation intime, enfin de relations sexuelles pas toujours intimes, je suis une fille extravertie en d'autres mots une furie, une salope, une petite putain dépravée sans morale mais non sans plaisirs. Mais quand il s'agit de quotidien, dans la rue, je suis une pauvre fille, une vraie mademoiselle tout le monde. D'ailleurs j'aime bien être personne ça me libère de mon image de gamine dévergondée ; sentir l'indifférence des gens me rendre normale et parfois ça fait pas de mal.

J'allais donc voir 2012 ; j'avais beaucoup entendu parler de ce film et je voulais le voir pour pas être un mouton et me faire mon propre avis. Alors un dimanche soir à la séance de 22 heures je prenais ma place pour 2012. Il y avait du monde, beaucoup de couples et des groupes d'amis. Je profitais de faire la queue pour observer les garçons voir si il y en a qui pourraient me plaire et regarder les filles en essayant d'imaginer si j'étais capable de donner plus de plaisir à leurs mecs qu'elles même. J'avais repéré un mec 25 ans, châtain, jolie barbe courte et une copine plus jeune petite robe, bas et ballerines. Au moment où je dévisageais ce couple explorant de mes fantaisies fantasmatique ce qu'ils me donnaient à voir, j'aurai aimé pouvoir lire leurs pensées et dévorer tous leurs fantasmes et leurs frustrations. Découvrir ses fantasmes à lui, je voulais ressentir ce qui le faisait bander, découvrir qu'il rêvait de toucher la seins de sa pucelle de cousine où qu'il s'imaginait entrain de sodomiser sa belle mère. Mais lire dans les pensées étant impossible je me contentais d'imaginer qu'il était du genre à éjaculer sur le visage de sa petite amie après une gâterie. Je sentais que cette fille était du genre à jouer les pimbêches et pourtant refuser à son mec une chose que je pourrais lui offrir. Je m'imaginais faisant la pute pour ce mec, moi a genoux dans la file d'attente fouillant sa braguette pour suçoter sa bite raide jusqu'à me délecter de tout son jus de mâle sur mon visage .

J'étais perdue dans mes pensées pornographiques quand j'arrivais à la caisse pour payer presque 10 euros qui font mal au portefeuille puis me dirigeant vers la salle je ne résistais pas à l'envie de pop corn et de Nestea. Me voilà avec mon demi-litre de Nestea et mon pop corn géant sucré à la recherche d'une place dans la salle bien remplie. J'étais prête à me vider la tête et me laisser transporter par le film en dévorant mon pop corn. Le film était super prenant, super impressionnant surtout. Je n'ai pas arrêté de sursauter, de trembler, planter mes doigts dans le fauteuil et d'avoir peur que l'avion s'écrase bref vous imaginez bien les réactions que peut avoir une fille devant un film effrayant ^^.

Le film est long, 2h40. Donc au bout d'un moment avec mon demi-litre de Neastea dans la vessie j'ai commencé par avoir une grosse envie de faire pipi. Mais j'étais plongée dans l'action du film je ne m'en suis pas rendue compte de suite alors quand j'ai réalisé que j'avais vraiment envie ma petite vessie était sur le point de déborder. Hors de question pourtant de quitter la salle au milieu film, c'était vers la fin quand l'action et le suspense sont au max. Je me suis dis que je pouvais tenir jusqu'à la fin du film. Pendant que les héros se battaient pour monter à bord des arches qui devaient sauver l'humanité moi je me tortillais dans mon fauteuil pour ne pas avoir un accident de pipi culotte en plein cinéma. Drôle de sensation, mon esprit était totalement prit par le film mais les signaux d'alertes de ma vessie pleine rappelaient à mon corps l'humide et pressante réalité. Je dois avouer que surprise par quelques rebondissement de l'action j'ai sursauté et j'ai senti quelques gouttes s'échapper de ma vessie à deux trois reprises. Mais j'étais bien décidée à voir la fin du film et à conserver ma culotte sèche et propre.

Le film se termine sur un immense océan, que d'eau, que d'eau et quelle envie de pisser. La salle se rallume enfin et tout le monde ce lève. Je ne me suis pas fait attendre pour sortir et me diriger vers les toilettes à petits pas pour ne pas me laisser aller dans ma culotte. Mais les filles on est toutes pareilles et quand je suis arrivée au toilette y'avais une sacrée file d'attente. L'enfer ! J'en pouvais plus de serrer les cuisses et de crisper tous les muscles de mon bas ventre pour faire barrage à cette énorme envie de faire pipi. C'était de plus en plus dur et j'ai réalisé que je n'allais pas réussir à garder ma culotte immaculée. Je ne sais pas ce qu'il s'est passé, d'abord quelques gouttes qui s'échappent sans que j'arrive à me contrôler, enfin cette fois c'était plus que des petites gouttes, ça a duré une ou deux seconde ; un petit jet d'urine assez fort pour que je le sente mouiller ma culotte. Mais je me suis vite contrôler pour arrêter ça. La première chose à la quelle j'ai pensé c'est « hummmmmm comme ça fait du bien » et juste après j'ai paniquée en pensant que ça allait se voir et que j'allais me taper la honte. Discrètement j'ai jetée un œil vers l'entrejambe de mon jeans et je n'ai rien vu, pas de tâche mouillée, pas de lumière clignotante avec une enseigne néon qui dit « cette fille a fait pipi dans sa culotte » alors ça m'a rassuré. J'ai quand même tiré sur mon manteau pour qu'il me couvre bien les fesses et je l'ai bien fermé devant et j'ai continuée d'attendre que les toilettes se libèrent.

Ca avançait doucement dans les toilettes. J'entendais distinctement le sifflement des vessies qui se vident, les soupires et les rires des filles avant de tirer la chasse d'eau et dans cette ambiance c'était vraiment difficile pour moi de ne pas faire une fixation sur mon envie de pisser. Je crois que c'est la sensation de ma culotte mouillée sur ma peau m'a fait lâcher ma vessie une deuxième fois. Cette fois le pipi entre mes cuisses était un peu plus intense. Ca a duré plus longtemps, assez longtemps pour que je puisse ressentir cet immense plaisir, cette sensation divine et chaude qui coulait dans ma culotte comme une caresse brulante. Mais soudain c'est la peur et la culpabilité qui surgissent et qui me font stopper. Je venais de fermer les vannes de ma vessie mais même une fois l'accident pipi culotte terminé je sentais pendant quelques secondes encore l'urine entrain mouiller ma peau et la chaleur moite se diffuser contre moi en irradiant le tissu de ma culotte et de mon pantalon. Je me suis sentie mouillée de mon sexe jusqu'à mon monts de vénus et sur le haut de mes cuisses. Quelques secondes après m'être arrêtée je sentais toujours couler à l'intérieur de mes cuisses cette rivière dorée et tiède. Cette fois j'ai eu envie de me lâcher pour de bon, de mouiller ma culotte, de tremper mon jeans, de soulager ma vessie et surtout de prendre plaisir à être une souillon qui ne sait pas rester propre. Mais j'avais peur qu'une fille me surprenne et se moque de moi. Alors je fais en sortie de me retenir même si maintenant ce n'était plus une envie incontrôlable que je devais réfréner mais mon envie de pisser volontairement dans ma culotte pour y prendre plaisir. Avec ces petits accidents ma vessie était mon pressante et je pouvais plus facilement la contrôler alors je me suis quand même laissé aller tout doucement, un petit jet retenu, j'ai laissé coulé un petit ruisseau d'urine pour le sentir couler le long de mes jambes et imbiber ma culotte. A partir de ce moment dès que je bougeais pour avancer je sentais distinctement ma culotte trempée et l'urine couler le long de mes cuisses ; c'était vraiment bon.

Je suis enfin arrivée dans les toilettes, j'ai bien vérifié que la porte était fermée parce que je suis un peu parano à ce niveau et j'ai commencée à déboutonner mon jeans. C'est là que j'ai réalisé l'ampleur du dégât des eaux, j'étais trempée, mon jeans à l'entrejambe, ma culotte bien sûr et ça avait coulé jusque sur mes mollets. En déboutonnant j'avais les doigts trempés, ma culotte était plein de pipi et à chaque geste c'était comme si elle débordait, c'était chaud et mouillée et vraiment agréable. Alors à ce moment j'ai plus réfléchis et j'ai fais pipi pour de bon. J'ai fais pipi sans enlever ma culotte, sans retirer mon pantalon, j'ai pissé comme ça en regardant le jet brulant déborder de ma culotte arroser mes jambes et mon jeans. C'est à la fois excitant et bienfaisant.

Une fois que ma vessie c'est vidée je me suis retrouvée comme une conne la culotte mouiller, les doigts pleins de pisse, le jeans imprégné et ma libido exacerbée par cette expérience. Il y a longtemps que l'ondinisme est dans mes fantasmes mais depuis longtemps c'est une des rares choses que je n'ai pas vraiment assumé. Et puis en parlant avec des internautes qui sont comme moi, des femmes qui m'ont fait partager leurs plaisirs j'ai commencé à explorer un peu plus cette zone humide et tiède de mon univers intimes. Mais bon là je ne pouvais pas rester dans les chiote et attendre que toutes les filles sortent. Alors avec du pq je me suis essuyé comme j'ai pu les cuisses, le sexe, la culotte et le jeans et je me suis rhabillée. Cette fois on voyait nettement les marques de mon accident urinaire, des zones sombres bien mouillées à l'entrejambe, sur les fesses et qui descendent le long de mes cuisses. J'ai ajusté mon manteau du mieux possible pour cacher ça et je suis sortie sans regarder personne, le regard bas et traçant vite hors du cinéma. Mes mouvements faisaient coller mes fringues mouillées. Je n'ai pas osé prendre le tram pour rentrer chez moi, donc j'ai marché, je sentais bien ma culotte imprégnée et chaude dont le tissu moite se collait à ma fleur intime. Dans ma tête je me sentais libre, oui je sais c'est con de se sentir libre parce que j'ai pissé dans ma culotte, mais la sensation de faire une chose que les autres n'osent pas faire, la sensation de me retrouver comme quand j'étais petite sans contraintes et sans le jugement du regard des autres ça me fait sentir un souffle frais dans la tête et puis le fait d'être excitée comme une chienne d'avoir souillée ma culotte ça me donne la sensation d'avoir franchi un cap dans ma tête. J'avais qu'une envie c'était de me caresser à m'en faire exploser le désir charnel. Mais bon chaque soir ça première fois, ça sera donc pour une autre fois que je m'offrirai une séance de masturbation en pleine rue, c'est ce que je me disais quand je suis arrivée chez moi.

Magnifique ! Merci
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