Francine

Catégories : TV trans travesti sissy
il y a 12 ans
Je suis habillé en belle petite bonniche et j'attends le retour de mon Maître vénéré.

Les odeurs de cuisine remplissent le hall où j'attends à genoux devant la porte d'entrée. Comme ordonné, j'ai mon visage à dix centimètres du sol et je tremble en l'entendant marcher vers moi. Sans dire un mot, il glisse sa chaussure en dessous de mon visage et comme il me l'a appris pendant mon entraînement, j'embrasse le bout de son pied en signe d'adoration et respect. Il place ensuite son pied gauche de la même manière et je fais la même marque de vénération.

Il relève alors mon visage en levant son pied positionné en dessous de mon menton. Me regardant avec un air cruel il dit : « debout ma petite chienne de sissy et sers moi un verre ».

Sans hésiter, je me lève et me déplace rapidement vers le bar où je prépare à mon Maître son cocktail favori. Je le place sur un petit plateau et retourne près de lui confortablement installé. A genou devant lui, je lui présente le plateau en disant : « votre verre, Maître. Sissy espère que vous l'apprécierez, admirable Maître ». Il prend son verre d'une main et il lève mon menton avec l'autre de sorte que son regard dur rencontre directement le mien, son coup d'œil dominant rend toute résistance impossible. Je me sens devenir de plus en plus faible car ce regard m'ôte toute fierté et il crée en moi un profond désir de le servir et de lui obéir.

"Tu as l'air toute belle ce soir, ma petite souillon. Oui, si belle et soumise dans ton uniforme de satin noir. Et bien, servir tu va le faire, ma petite salope. Tu vas m'aider à me mettre à l'aise avant le diner. Viens par ici, ma petite chatte suceuse ». Et ce faisant il va vers sa spacieuse chambre à coucher, moi le suivant sur mes hauts talons de 8 cm. Il enlève son veston et le laisse tomber sur le sol car il sait que je vais le ramasser et le pendre proprement dans son armoire. Il s'assied dans un fauteuil et lève sa jambe gauche tout en sirotant son verre.

Etant une esclave bien entraînée, il ne doit pas donner d'instruction. Je lui ôte sa chaussure et après l'avoir déposée sur le sol, il lève sa jambe droite afin que j'en ôte sa chaussure également. Ensuite, je passe mes deux mains en dessous de son pantalon et j'enlève ses chaussettes. Il croise ses jambes et avec un petit sourire vicieux : « suce les pieds de ton Maître pour lui montrer combien tu l'adores. Suce mes orteils pour qu'ils brillent de propreté. Imagine que ce sont dix petites queues et fais ton boulot de suceuse. Ouah, c'est bon... » Dès que le premier pied est sucé et léché à son goût, mon Maître croise ses jambes dans l'autre sens : nouvelle séance de léchage.

"OK salope, c'est tout pour l'instant. Tu pourras continuer à vénérer mes pieds après le diner. Déboutonne ma chemise et enlève-la ». Me plaçant entre les genoux de mon Maître et je déboutonne les manchettes, ensuite commence à défaire les autres boutons. Arrivé à moitié, il se penche et prend chacun de mes seins dans ses larges mains. Il les presse doucement puis plus fermement en disant : « mmm, il semble que les injections d'hormone et les pilules que mon ami médecin a prescrites sont bien efficaces. Tu développes de beaux petits seins. Je ferai de toi une petite pute présentable. Ha, ha, ha. Je sens même tes tétons à travers ta robe et ton soutien. Comment te sens-tu, chérie ? » me dit-il en pinçant chaque téton entre son pouce et index.

« Oh, Maître, vous me faites mal ! Ils sont si mous que mon soutien les gratte. S'il vous plait, Maître, arrêtez, ça fait trop mal ». Mais ma demande tombe comme chez un sourd et il continue à pincer mes tétons et écraser mes seins en les tirants. De mal, je fais l'erreur de me retirer des mains torturantes de mon Maître. « Stupide vache », me crie-t-il en me cravachant plusieurs fois. « Comment oses-tu t'écarter de moi quand je joue avec tes tétons ? Quand vas-tu admettre que tu m'appartiens, que c'est moi qui donne les ordres ici et que je fais ce que je veux de toi ». Tête baissée, je réponds : « oui Maître, pardonnez-moi. Je ne voulais pas vous désobéir. SVP pardonnez-moi. SVP jouez avec mes nichons tant qu'il vous plaira, Maître ». Et je me replace tout près de lui.

« Oh non, tu ne vas pas t'en tirer avec quelques excuse, miss bb néné . J'ai justement l'outil de punition que tu mérites pour ton incorrection » dit-il en attrapant deux pinces alligator dans un sac à côté du fauteuil. « Pitié, Maître, svp ne mettez pas ces choses horribles à mes seins. SVP Maitre, je ne vous défierai plus. SV... » « Ferme ta petite gueule de suceuse ou tu vas le sentir passer. Descend ta robe et ton soutien que je puisse attacher ces petites jolies pinces à tes petits seins ».

J'étire le corsage de mon uniforme de bonne vers le bas et abaisse les bonnets de mon soutien-gorge jusqu'à ce qu'ils soient sous mes petits seins. Se penchant en avant, j'offre mes seins nus à mon maître qui les prends dans les paumes de ses mains tout en frottant ses pouces contre chaque mamelon. « Oui en effet, tu développes vraiment bien, ma salope. Ils sont si doux et fermes et regarde ces mamelons rouges, attendant juste de sentir ces pinces les mordant ", dit-il pendant qu'il écarte les mâchoires en métal et les place autour de chaque téton. Je ne peux pas m'empêcher de gémir pendant qu'ils mordent violemment dans ma chair. Je ne peux pas m'empêcher de crier de douleur pendant qu'il replace les bonnets de mon soutien-gorge au-dessus de mes seins, ajoutant la pression additionnelle à mes tétons en feu. « Ceci devrait t'apprendre une leçon que tu n'oublieras pas de si tôt », dit-il comme il encore enroule ses mains autour de chaque sein et les serre doucement, heureusement.

« Maintenant finis de me déshabiller et arrêtons de perdre notre temps avec tes non-sens, chienne ». « Oui Maître ». Je continue à déboutonner sa chemise et à déboucler sa ceinture aussi bien que le bouton supérieur de son pantalon. Je retire doucement sa chemise hors du pantalon et puis ses bras et corps, la plaçant d'une manière ordonnée sur le plancher près de moi. Faisant face au pantalon de mon Maître, je tire soigneusement la tirette de sa braguette laissant apparaître son caleçon en soie brillamment coloré que j'avais lessivé et repassé seulement trois jours avant. Comme il lève ses hanches, je tire son pantalon en bas de ses jambes.

Après, en tremblant, je passe mes pouces dans l'élastique de son caleçon en soie et l'abaisse doucement jusqu'à ce qu'il se retrouve à ses pieds sur le plancher. Toujours à genoux devant son corps nu, je ne peux pas m'empêcher de regarder fixement la belle queue et les boules de mon maître. Presque inconsciemment ma langue lèche mes lèvres rouges brillantes, oh, comme j'ai une forte envie de sucer la fierté virile de mon maître en signe de soumission à lui. Le silence est interrompu par sa voix disant, « pas maintenant, ma petite suceuse de bites.

J'ai faim – range mes vêtements et finis de préparer mon dîner. Sinon je pourrais ne pas te permettre de me sucer plus tard et ce serait dommage pour nous deux ». Pendant qu'il se rend à la salle de bains, mes yeux le suivent et fixent sur son dos et jambes musclées et particulièrement ses fesses dures et rondes qu'il me permet d'embrasser et de lécher comme récompense si je l'ai satisfait d'une manière quelconque. Je prends à la hâte ses vêtements et les accroche dans l'armoire. Avant de mettre son caleçon dans le panier de vêtements sales, pour être par la suite lessivé et repassé, j'y enfonce mon visage. J'inhale profondément le parfum viril que mon maître y a laissé et l'embrasse avec respect là où posaient sa queue et ses boules tout au long de la journée.

Retournant à la cuisine, je commence les préparations finales du dîner de mon maître, quand soudain je l'entends m'appeler et me précipite de nouveau à la chambre à coucher. « Viens ici, sissy. J'ai besoin de ton assistance experte ", crie-t-il de la salle de bains. Me hâtant, je le vois se tenir nu devant la toilette ouverte. « J'ai besoin de pisser et j'ai pensé te donner le grand honneur de tenir mon pénis pendant que je le fais. A genoux et dirige-le vers la cuvette ! Que rien ne tombe à côté sinon tu devras lécher le plancher toute la nuit. Mets maintenant ton visage de côté ». Me rendant compte de l'aspect déshumanisant d'un tel acte, je me suis senti dégradée et je savais que c'était juste pour l'amusement de mon maître. Me mettant à genoux près de lui, je saisis sa queue de mâle et en la tenant doucement, je la soulève lentement.

Déplaçant mon visage vers lui, je la repose contre ma joue. Bientôt je le sens trembler et un gros jet d'urine vient éclabousser la cuvette de toilette. Après avoir vidé son réservoir, il s'est tourné légèrement vers moi et dit, « et maintenant soit une gentille salope et lèche mon trou à pisse et fais-le bien propre. » Je commence à le lécher. Soudain je sens ses deux mains tenant ma tête en position pendant qu'il m'envoie plusieurs jets d'urine dans la bouche. « Vois comme je suis un maître attentionné. J'ai même économisé un peu de mon nectar doré pour toi ! Ha, ha, ha... Maintenant, retourne au travail. Je serai bientôt prêt pour manger et mon diner doit être top qualité ou tu vas certainement le regretter ! »

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