L'histoire de Véro soumise

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il y a 7 ans

L'histoire de Véro soumise

Je me dois d'abord de vous dire que j'habite une maison dans laquelle on retrouve trois logements. Le mien ainsi que celui de ma voisine se situe au premier plancher et nous avons en commun une cave pour faire le rangement de choses peu utiles. Sa salle de lavage se situe aussi dans la cave dans une petite pièce fermée. En haut habite un jeune couple avec un petit bébé. Nous sommes situés un peu a la sortie de la ville alors ma porte patio du salon donne sur un petit terrain qui m'appartient et sur une partie du stationnement très rarement utilisé.

Je ne vois aucun voisin de cette porte.

Alors voici ce qui m'est arrive. Vendredi comme j'en ai pris l'habitude, je me faisais une joie de souffrir de vos exercices. J'ai commencé par me mettre complètement nue et couchée sur mon lit j'ai posé 6 épingles à linge sur chacune de mes grosses lèvres, épingles que j'ai maintenu couchée par une ficelle attachée à ma cuisse. Je suis restée comme cela jambes bien écartées une heure comme demandé. C'était un exercice très douloureux qui faisait ressortir mon clito de salope et lorsque j'ai retiré les épingles après une heure la chatte me faisait très mal mais cela valait la peine puisque je souffrais pour vous maîtresse. Par la suite je suis restée nue pour souper. La chatte me faisait toujours très mal mais j'avais hâte de fabriquer l'étau et de le mettre sur mes seins.

Après souper vers 19 heures, je me suis mise dans le salon nue afin de fabriquer l'étau en question. Comme il n'y a pas de voisin je n'ai pas de rideau afin de permettre une meilleur luminosité dans l'appartement. Pour fabriquer l'étau, j'ai pris deux bouts de bois un peu plus large que sur votre dessin afin de faire tenir les vis papillon mais pas trop large de façon a ce que mes mamelons et qu'une partie de mon sein ressortent bien un peu comme sur le dessin. Une fois le travail terminé j'aurais dû aller essayer l'étau dans ma chambre mais j'avais trop hâte de l'essayer alors c'est dans le salon que j'ai fait mes premiers essais. J'ai bien entendu une voiture arriver mais je n'y ai pas prêté attention.

C'est donc assise sur mon divan pratiquement en face de ma porte patio que je me suis amusé à serrer les vis afin d'emprisonner mes gros seins dans cette étau en pensant à vous et à la puissance avec laquelle vous les serreriez. Je regardais mes seins comprimés et mes mamelons grossir de plaisir et prenais plaisir à garder l'étau afin de m'habituer comme demandé de votre part.

Et c'est la que tout a changé dans ma vie je pense bien (du moins pour l'instant) et dans notre relation aussi je pense. Pendant que j'avais l'étau le téléphone a sonné. Me sentant pas menacée je suis allée répondre comme cela. Au bout du fil il y avait ma voisine. Elle me demandait d'aller la rejoindre dans la cave peu importe comment j'étais accoutrée. Elle m'a dit m'avoir vu par ma porte patio et qu'elle voulait me voir en personne afin de bien s'amuser. Elle m'a affirmée être seule et qu'elle me donnait 2 minutes pour venir sinon j'allais y goûter puis elle a raccroché. Je ne savais quoi faire comment ma voisine avait pu me voir (J'ai appris plus tard que les voisins d'en haut avait de la visite et qu'elle avait été obligée d'aller se stationne dans cette partie du stationnement qui donne sur ma porte c'est ainsi qu'elle m'avait surprise) mais en même temps j'étais excitée de souffrir entre les mains d'une femme. Depuis ma première expérience il y avait de cela longtemps maintenant jamais une femme m'a fait souffrir en personne.

Il y a bien vous mais vous êtes loin et ici personne d'intéressant n'a répondu a mon message ;

Alors ce téléphone de ma voisine me faisait vibrer et c'est finalement après avoir pris une grande respiration et avoir pesé le pour et le contre que j'ai ouvert la porte de la cave pour descendre. Ma voisine qui se nomme Josée était déjà présente et m'a accueilli en me disant qu'elle savait que j'allais descendre et qu'elle avait préparée quelques petits trucs pour la salope que j'étais.

J'étais toute confuse de me retrouver ainsi devant cette femme un peu plus jeune que moi. Elle m'a alors tirée par un mamelon sous un tuyau autour duquel pendant une corde elle a attaché mes mains puis a tiré sur la corde afin de m'étirer les bras vers le haut pour finalement attaché la corde a mon vélo qui est barre après une poutre. Elle m'a dit qu'elle allait se changer et que lorsqu'elle allait revenir nous aurions une conversation. Elle est partie comme ça. Au début, j'avais peur qu'elle ne revienne pas mais finalement je me suis reprise et me suis répété qu'elle allait revenir. Puis je me suis mise à penser à ma situation. Je venais de me jeter tête baisse les seins serrés dans un étau vers une femme que je ne connaissais pas. Mais en même temps cette situation m'excitait au possible. Ma chatte mouillait à l'idée qu'elle allait revenir. Finalement elle est revenue environ 10 minutes plus tard. Elle portait un déshabillé deux pièces rouge semi transparent qui laissait voir ses mamelons foncés et sa chatte blonde et une cravache.

Elle m'a alors dit qu'il y a un an elle avait participé a une soirée bdsm chez des amis, soirée où il y avait des belles soumises comme moi à qui on pouvait faire ce que l'on veut. C'est d'ailleurs là qu'un ami lui a donné la cravache. Elle m'a aussi dit qu'elle n'avait aucun respect pour ces femmes qui selon elle méritaient amplement leur sort de salope qu'elle avait un cerveau pas plus développé qu'une chienne et qu'on devait les traiter comme telle et qu'elle ne pensait jamais tomber par hasard sur une femme de ce type encore moi sa voisine. Elle m'a alors demandé ce que je faisais là à punir mes seins sous l'ordre de qui je le faisais. Je lui donc tout dis sur nous maîtresse. Que vous m'écriviez quoi faire et je le faisais puis je vous donnais un compte rendu de ma punition. Elle a trouve cela très intéressant et m'a demande de lui montrer les ordres que vous me donnez. C'est pour cela qu'elle est intervenue dans mon supplice du rangement mais je vais vous en parler plus tard.

J'espère que je ne vous ennuie pas avec mon récit mais je me dois de vous l'écrire.

Après avoir parle c'est sans m'avertir qu'elle a commencé à fouetter mes seins avec la cravache. Après m'avoir donné 20 de coups sur chaque elle a détaché mes mains puis m'a demandée de me pencher vers l'avant, bras dans le dos et elle a recommencer à frapper mes gros seins pendant un autre 20 coups environ. Elle me disait de lui dire que j'aimais qu'elle me frappe et que je méritais ma punition puisque j'étais une chienne. Et moi j'obéissais et lui disait ce qu'elle voulait entendre.

Et effectivement j'aimais me faire fouetter par cette belle voisine et lui dire ces choses. Je me sentais comme une grosse chienne qu'on puni. Mes seins même serres dans l'étau valsaient a chaque coup il me faisaient mal mais j'aimais cette douleur qui mettait le feu a ma chatte. Tout mon corps me faisait mal mais surtout les seins quel soulagement lorsqu'elle a décidé de retirer l'étau. Mes seins étaient rouges et on voyait très bien la marque laissée par les bouts de bois.

Une fois l'étau enlevé, elle est parti vers sa salle de lavage pour revenir avec des épingles a linges. Elle a mis cinq épingles autour de chaque mamelon et elle c'est amusée a tirer dessus en me disant qu'a cette soirée à laquelle elle avait participé, il y avait une jeune fille qui comme moi avait des grosses boules et qu'elle c'était bien amusée à les martyriser. Elle aimait sentir le gros mamelon des femmes entre ses doigts et tirer dessus pour la faire crier de douleur. Ce que je faisait d'ailleurs puisqu'elle tirait avec une puissance peu commune. Je me sentais toute chose d'être entre ses mains qui semblaient être experte dans le domaine. Ma chatte dégouttait de mouille tellement j'étais excite. Mes mamelons étaient long et gros d'excitation. J'aurais aimé que cela sois vous qui soyez a la place de cette Josee. Je pensais a vous et cela m'excitait encore plus. Je me voyais prisonnière entre vos deux qui me disiez quoi faire et qui faisiez souffrir mes grosses mamelles comme elles le méritent.

Elle m'a demandé de me coucher par terre et pendant que je m'exécutais, elle a retiré son slip puis une fois bien couchée c'est assise la chatte devant ma bouche et m'a demande de la sucer pendant qu'elle jouait avec les épingles que j'avais toujours aux seins. Je me suis donc appliquée à la sucer du mieux que je pouvais. Cela faisait très longtemps que je n'ai pas eu d'aventure avec une femme ou que j'ai eu une copine. Je vis mon homosexualité de façon plutôt solitaire alors de sentir cette chatte humide dans ma bouche m'a excite et m'a rendue femme. Je me suis donc appliquée à lui sucer sa belle chatte et un peu l'anus.

Plus elle était sur le bord de jouir plus elle tirait sur les épingles augmentant ma douleur mais aussi mon excitation. Elle a finalement jouis et se penchant le plus possible vers l'arrière en tirant de tout son poids sur les épingles me faisant lâcher un long cri de douleur. je croyais que mes seins allaient s'arracher tellement la douleur était vive. Elle s'est relevée et m'a dit qu'elle retournait chez elle que je me devais de lui montrer les ordres que vous alliez me faire parvenir et qu'elle et vous alliez me faire souffrir elle en y mettant un peu de son imagination.

Lorsque j'allais venir lui montrer je devais avant l'appeler et lui dire que j'avais reçu des ordres alors elle me dirait si elle et libre et si oui, je me devais d'aller la chercher chez elle nue en passant par la cave.

Une fois qu'elle fut partie, j'ai retiré les épingles et suis allée directement dans ma chambre où couchée je me suis masturbée et tirant sur mes mamelon et là j'ai eu un orgasme comme rarement j'en ai eu. Je revoyais les scènes et me masturbais de nouveau pour jouir une deuxième fois. J'ai eu beaucoup de mal a dormir. Je me voyais en rêve entrain de souffrir et le lendemain matin au lit je me suis mise a penser a ma soirée et à ce que j'allais faire maintenant. J'hésitais entre la honte de me faire martyriser par Josée ou la petite vie tranquille que je mène ponctuée d'épisode de soumission pour vous maîtresse. C'est finalement la honte qui a gagné puisque je le sais maintenant, je suis faite pour souffrir

""" fin de ce compte rendu

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