Rencontre avec une femme fontaine

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il y a 12 ans

Rencontre avec une femme fontaine. Une réelle aventure de TSM

Ce texte relate une aventure bien réelle, il ne s'agit en aucun cas une histoire fantasmagorique d'internaute ou d'une histoire romancée comme il m'arrive d'en écrire. Seuls les lieux, les identités et quelques détails pouvant permettre identifier les personnages sont changés pour préserver le couple adorable qui m'a reçu.


Etant l'un des modestes acteurs de cette aventure, je vais donc me présenter en quelques lignes. Qui suis-je ?

TSM, 43 ans, auteur de nombreux textes et fondateur de quelques groupes sur le net. La vie m'a donné la chance de vivre de nombreuses expériences mais il est vrai que de ne pas avoir de tabou ou presque, être autant S que M et bi favorise les rencontres. A cela, il faut rajouter que je suis animé par une curiosité maladive pour les choses du sexe, certains appelleront peut-être cette attitude de l'inconscience mais peu importe, le principal est de vivre heureux en ne nuisant à personne.


L'idée de rencontrer dans un lieu neutre les internautes avec qui vous échangez sur le net vous a peut-être séduit, moi, je me suis carrément invité chez eux et le pire, c'est qu'ils ont accepté ! Je vais donc vous parler précisément de deux d'entre eux.

Sophie et Henri m'attendaient dans une gare du nord de la France. Nous avons dîné chez des amis communs, apprécié très largement les apéritifs et le vin sauf Henri (45 ans) puisqu'il conduisait la voiture. N'allez pas penser que ce pauvre homme sacrifié ne s'est pas amusé pour autant, sa finesse d'esprit et son humour incessant lui permettent de se divertir et de nous divertir sans qu'il soit « alcoolisé ».

Sophie (41 ans) est blonde aux yeux bleus. Ne me dites pas que c'est comme dans beaucoup d'histoire. C'est vrai point fin ! Elle ne sera peut-être pas miss France, mais elle est mignonne, adorable, intelligente et géniale. Son regard peut vous percer et fait fondre votre âme si elle le désire. Si un jour vous la croisez, ne lui marchez pas sur le pied, car elle n'a rien d'une soumise.

A la fin de la soirée, les filles se sont volontiers prêtées à nos turpitudes, leurs charmantes rondeurs fessées se sont colorées mais nous pouvons dire que les jeux et petites exhibitions masculines et féminines sont restés softs et amicales. C'est la suite qui est plus « chaude » mais il me fallait bien planter le décor de cette histoire.

Arrivé chez Sophie et Henri, nos conversations se sont centrées sur la femme fontaine. Je leur ai clairement avoué que j'en avais entendu parler mais qu'à 43 ans et malgré mes multiples expériences, je n'en avais jamais rencontrée. (Lors de nos échanges ils m'avaient dit que Sophie était une femme fontaine).

Vers deux ou trois heures du matin, ils m'ont proposé de monter pour nous « coucher ». A ce moment là, les choses n'étaient pas clairement formulées. Je ne savais pas réellement si échangisme il y aurait. L'ambiance n'était pas tendue mais électrique ou magnétique, je ne saurai dire quel mot convient. Henri était nu, Sophie portait une micro chemise de nuit très plaisante et moi torse-nu ne sachant pas vraiment si je pouvais entrer dans le jeu. Même si je ne suis ni pudique, ni prude, il m'a fallu un petit moment pour être à l'aise. Allaient-ils me faire une simple exhibition ou serai-je invité à participer ? Rien ne me permettait de le définir clairement. A cela, se rajoutait ma grande fatigue, une peu due à l'alcool (quel con), et au fait que Sophie râlait en disant qu'elle était fatiguée. Cette attitude ne pouvait donc me permettre de me décontracter totalement et encore moins de chercher à m'immiscer surtout que c'était « et plus si affinité » oui mais plus jusqu'où et plus ?

Henri est très persuasif sans jamais user d'autorité ni avoir besoin de s'affirmer. Il a mené d'une main de maître la suite des évènements en entreprenant de câliner madame devant moi. Les réfutations de Sophie s'écroulèrent très rapidement mais je sais maintenant pourquoi.

Henri est un expert pour faire jouir Sophie et elle ne semble pas pouvoir lui résister dès qu'il s'attaque entre autre à sa zone nommée point G. La métamorphose est quasi immédiate. (Impressionnant et dur pour mon égo sur le moment car quand une femme râle je ne suis jamais parvenu à un tel retournement de situation et surtout aussi rapidement)

En moins de cinq minutes, Sophie se pâmait sous les deux doigts insinués en elle qui « astiquaient » ardemment une zone par moi méconnue je l'avoue. Et là, j'ai pu découvrir le sens des mots « femme fontaine » et comprendre pourquoi ils s'étaient munis d'une serviette de toilette. Si lors de nos discussions précédentes Sophie ne m'avait pas prévenu, j'aurai cru qu'elle urinait sur le lit et sur la main d'Henri ! C'est réellement impressionnant.

Côté anatomique

J'ai donc personnellement constaté qu'une femme fontaine en jouissance expulse autant qu'un homme si ce n'est deux ou trois fois plus. Je peux également confirmer que ce n'est pas de l'urine, il n'y a ni l'odeur ni le goût mais j'anticipe sur la suite.

Sans être « sèche », pour le confort de Sophie l'usage d'huile lubrifiante était nécessaire.

Ce qui m'a également impressionné, lors de cette première « étape » du séjour chez eux, c'est la capacité à « redémarrer » et la résistance ou la puissance d'une femme fontaine.

Côté humain et affectif

Dans ces instants, la complicité, l'amour et le magnétisme de Sophie et Henri dépassaient tout ce que j'ai pu voir ou vivre jusqu'à ce jour. La fusion de ces deux êtres dépasse l'entendement « conventionnel » et pourtant j'ai vécu croyez-moi. C'est magique, c'est beau, c'est exceptionnel, c'est ...... les mots me manquent pour décrire l'instant.

Sophie n'a rien d'une soumise (mais alors rien de rien), elle est généreuse d'esprit et de corps mais doit également l'être si elle joue le rôle d'une dominatrice car je puis vous dire, suite à quelques amusements, que les coups qu'elles donnent ne sont pas de simples petits soufflets. (Comme l'éventualité d'une rencontre DS ultérieure a été envisagée, il me faudra prévoir deux litres de pommade pour soins de rugbymans professionnels).

---------------------------------*****************--------------------------------- Confidence (Snif)

J'étais tellement impressionné que lorsque j'ai rejoint ma chambre après cette exhibition très particulière et privée, mon petit self-service intime fut long et laborieux. Comme j'adore donner du plaisir avec ma bouche, dès lors, mon souhait est devenu de « déguster » l'intimité de Sophie au moment de sa jouissance. Pour la première fois de ma vie, une inconnue minait mes pensées : Serai-je à la hauteur ? Avec une telle question, vous comprenez pourquoi la « veuve poignet » solitaire était... délicate.

LE LENDEMAIN

Torride de chez torridement sublissimo !

Je sais qu'en débutant un chapitre ce cette façon je bafoue toutes les règles de l'écriture, mais vous allez comprendre pourquoi je persiste et signe en publiant le texte ainsi.

Après un petit déjeuner copieux (vers 10 heures) et quelques soucis informatiques non résolus, ils m'ont tous deux invité à participer à leurs échanges câlins. A cet instant, ce n'était plus comme la veille, c'était comme si la maison était sous une bulle coupée du reste du monde. N'arrivant pas à la cheville d'Henri pour donner du plaisir à Sophie, je leur ai donc proposé après quelques câlins à la belle, de faire des photos avec mon appareil numérique. Ils aiment les photos, je pouvais donc à mon tour leur faire plaisir à tous les deux.

La confiance s'étant installée, me voilà mitraillant comme un photographe professionnel, sauf que je ne suis pas un pro et que 30 % des prises étaient loupées mais comme excuse VALABLE, je peux vous affirmer que leurs ébats troubleraient les plus avertis. Ce n'était plus la jouissance d'une femme fontaine, ni la séance de fist, (main à l'intérieur du vagin) ni l'énorme bougie introduite dans son puits des plaisirs ou autres jeux qui m'ont troublé, mais leur magnétisme exceptionnel.

Je ne suis pas branché magnétisme ni spiritualité mais là, il s'est passé quelque chose que je ne suis pas capable d'expliquer.

Après les photos, nous avons eu l'occasion d'échanger quelques câlins, pendant lesquels j'ai pu contribuer un peu à la jouissance de Madame qui, chose exceptionnelle, éprouva du plaisir pendant 5 heures ! (Impressionnant) Lors de ces moments forts agréables, j'ai essayé de pratiquer comme Henri après un « cours » par lui donné. Et là, Sophie avec son naturel spontané déclara tout de go que j'avais compris mais encore besoin de leçon. OUPS ! Dur pour l'égo d'un mâle sauf si comme moi il a suffisamment de recul pour ne pas en prendre ombrage. Comment rivaliser avec un homme qui connait à merveille sa douce moitié et la localisation de son point G ?

Dans ses multiples moments de jouissance, Sophie vogue très très largement au-dessus du paradis pour ne pas dire au-delà de la stratosphère et ses jouissances sont toujours généreuses en termes d'éjaculation. Quel plaisir que de l'entendre feuler, râler, soupirer...Quelle force, quelle puissance, quelle résistance !

Lors d'une pause coca au rez-de-chaussée, les jeux reprirent de plus belle. Sophie s'est assise à ma demande sur mes genoux pendant qu'Henri lui donnait du plaisir de ses phalanges « magiques ». La sentir vibrer sur et contre moi était fabuleux, sa tête roulait dans le creux de mon épaule, ses doux cheveux blonds fouettaient mon épiderme transformé en capteurs sensoriels, mes mains émues participaient activement au ravissement de cette femme exceptionnelle. J'ai bu le calice de la volupté psychique lorsqu'elle est partie en jouissance dans un grand râle. J'étais particulièrement heureux de pouvoir partager un peu de son plaisir de par ses contorsions et ses tremblements tout en étant troublé par les liquides ruisselant sur mes jambes. (Je n'exagère pas, « ruisselant » est tout à fait adapté).

Comme ils me l'avaient demandé lors de nos échanges précédents notre rencontre, mon sac de voyage était pourvu de quelques uns de mes accessoires érotiques BDSM et/ou moyennement conventionnels. Après le énième coca, nous sommes remontés dans leur chambre et les avons finalement utilisés. Je me suis enfin senti moins « jeunot » et pouvais à mon tour leur faire découvrir quelques plaisirs comme le cockring à chaînes et à pinces. J'ai aidé Henri à le passer puis soudain, les deux tourtereaux (infatigables) décidèrent de se les partager. J'ai aidé Sophie à poser les pinces sur ses seins puis ce fut l'éclosion des émotions pendant que la belle insatiable accordait un hommage buccal en logeant en son puits des plaisirs une bougie grand et gros modèle. (J'ai bien écrit grand et gros)

Ma patience masculine fut récompensée par un face setting généreux (j'adore). Assise sur mon visage Sophie s'est alors donnée sans limite comme à son habitude, non sans entreprendre une discussion plutôt ferme avec mes tétons comblés de ses attentions. Délaissant mes seins, elle entreprit ensuite de me rendre la pareille par une fellation boulimique pendant qu'Henri tyrannisait mes orphelines. Ces échanges me conduisirent à une conclusion humide monstrueusement agréable.

Une véritable pause s'est imposée à nous, et surtout à Sophie qui pendant près de cinq heures a jouis mainte et mainte fois. Histoire de changer d'air, nous nous sommes accordé une étape gastronomique (vers 16 heures) et une ballade historique sous la direction d'Henri un monstre de savoir.

Après le dîner, j'ai du utiliser le PC installé dans leur chambre afin de réserver mes billets de train pour le retour. Et là, encore une fois, le lit nous a tendu les bras. Nous n'avons pas résisté à son appel. Blotti les uns contre les autres comme dans la chanson, nous avons regardé le début d'un DVD en échangeant quelques caresses préliminaires puis d'autres nettement plus « actives » en écoutant sans écouter les conseils du DVD pédagogique sur les choses de la vie érotique ce qui nous fit bien rire pendant encore deux heures savamment «comblées ».

Passant d'un à l'autre, j'ai pu à mon tour leur donner du plaisir, les gros plugs de mon sac à « jouet » sont réapparus pour une joute complice dans laquelle je me suis trouvé très « investi » et aspiré.

Ceux qui ont l'habitude de lire mes textes doivent être surpris de mon style nettement moins fécond en images, métaphores et émotions que d'habitude, mais je peux vous dire qu'une aura particulière tourne autour de Sophie et Henri. Peut-être est-ce cette aura qui ne me permet pas de me laisser aller à une narration romancée.

J'ai déjà eu l'occasion de vivre de multiples aventures échangistes, des plans « baise » et une foule d'autres choses. Avoir pu partager un peu de leur amour si particulier de par sa force et son intensité, est pour moi une expérience inoubliable. Je n'arrive pas à définir si c'est l'extraordinaire femme fontaine ou le magnétisme de leur couple qui m'a marqué le plus.

Quoi qu'il en soit et indépendamment des réflexions ou analyses psy de cette aventure, je persiste à dire que j'ai rencontré des êtres d'exception.

TSM

Si vous êtes une femme fontaine isolée et souhaitez en parler entre vous, écrivez-moi en perso car je peux faire un lien discret. Cette proposition émane de la dame nommée dans le texte.

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