Lorsque l'on est à Rome

Catégories : Femmes fessées
il y a 9 ans

Hillary avait travaillé pour le professeur GALLUP depuis deux ans, en fait depuis qu'elle était à l'université. Elle avait vingt ans, capitaine de l'équipe de football et une excellente étudiante. Une partie de ses nombreux devoirs était de s'occuper des deux enfants du professeur, Joy 13 ans et Timmy, onze ans. Elle aimait vraiment les enfants et se sentait un membre de la famille.

Hillary attendait devant la porte du bureau du professeur GALLUP, se souvenant de la première fois qu'elle l'avait rencontré ....


Il recevait des étudiantes pour une place de jeune fille au pair. " L'interview " se passait bien alors qu'il décrivait toutes les responsabilités. Il dit que bien que ses enfants soient bien éduqués, c'étaient toujours des enfants, et qu'ils avaient parfois besoin d'une bonne fessée. Ceci surprit Hillary car elle n'avait jamais été fessée et pensait que la fessée n'était plus vraiment populaire à notre époque. Le professeur GALLUP continua en disant qu'elle devrait les fesser lorsqu'ils en auraient besoin lorsque lui et sa femme seraient absents.

Hillary, surprise, répondit, " Et bien, je n'ai jamais fessé personne auparavant, je ne connais d'ailleurs personne qui le fasse ".

" Je vois. Donc je suppose que vous n'avez jamais été fessée vous même, n'est ce pas ? "

" Et bien non, mes parents ne croyaient pas à cela. Non que je ne l'ai pas mérité parfois. " ajouta t'elle avec un sourire. Le professeur GALLUP lui retourna son sourire et dit, " Peut être pourrons nous arranger cela. Je vous apprécie Hillary, et je voudrai que vous rencontriez ma femme. Si elle vous apprécie également, et je suis certain qu'elle le fera, vous pourrez rencontrer les e n f a n t s. Pouvez vous venir chez moi à 20h00 ce soir ? Les e n f a n t s seront chez leur grand mère. "

" Bien sur, je peux venir, j'ai hâte de connaître votre famille. "

" Très bien Hillary, nous nous reverrons là bas, et ne soyez pas en retard. " Le regard du professeur lui disait ce qu'il pensait.

Hillary était dans sa chambre tachant de déterminer comment s'habiller. Elle choisit finalement une chemise, avec une petite jupe noire, et un grand sweat-shirt beige. Elle passa des collants noirs. Soudainement, elle réalisa qu'il était déjà 19h55, et qu'il lui fallait dix minutes pour rejoindre le domicile du professeur !

Il était effectivement 20h05 lorsqu'elle arriva à la porte d'entrée. A l'intérieur, elle entendit le son de vives répliques et quelqu'un qui pleurait au même rythme. Peut être que les e n f a n t s étaient à la maison. Elle sonna et attendit. Quelques instants plus tard, la porte s'ouvrit.

" Bonsoir Hillary. Vous êtes en retard. Entrez, nous parlerons ce cela plus tard. Et s'il vous plaît asseyez vous, j'ai quelque chose à terminer ici "

Hillary fut choquée par ce qu'elle vit. Une femme, qu'elle présuma être la femme du professeur, était appuyée contre le manteau de la cheminée, sur le mur opposé de la pièce, nue à partir de la taille. Ses pieds étaient écartés par rapport à ses épaules, et éloignés d'environ dix centimètres de la cheminée. Son cul était rouge écarlate.

" Voici ma femme, Janice. Elle est rentrée tard pour dîner et n'avait pas prévenue. Cela ne prendra plus très longtemps. " Le professeur se saisit d'une raquette qui traînait sur la table à café. Il la ramena en arrière et délivra une sèche claque sur le cul en attente. Janice laissa échapper un gémissement de douleur. Rapidement, il administra une autre claque avec la raquette sur l'autre fesse et Janice commença à pleurer. Le professeur GALLUP attendait quelques secondes entre chaque claque, fessant de chaque côté, couvrant la plus grande partie du joli derrière rond. Les hanches de Janice tournaient alors qu'elle recevait les coups. Il semblait à Hillary qu'elle tendait son cul pour les recevoir. Des ampoules se formaient sur son derrière rouge brillant. C'est alors qu'elle remarqua l'humidité entre les jambes de Janice et prit conscience de sa réaction entre ses propres jambes.

Le professeur GALLUP termina sa fessée à la raquette en fessant à plusieurs reprises Janice sur le haut des cuisses, ce qui la fit gémir et pleurer plus fort. Janice s'écarta du manteau de la cheminée, se retourna, et saisissant son punisseur en même temps, lui donna un profond et amoureux baiser, pressant ses hanches contre lui. Après un moment ils se séparèrent et Janice finalement remarqua la présence d'Hillary, lui adressa un petit sourire en quittant la pièce.

" Vous voyez, nous prenons la discipline très au sérieux ici. " Le professeur sourit en disant cela. Ce n'était pas effrayant, c'était rassurant dans un sens auquel Hillary n'avait jamais pensé auparavant. " Voulez vous boire quelque chose ? Un soda ? Janice sera de retour dans quelques minutes. "

" Ouais, je veux dire, oui, s'il vous plaît, un soda serait parfait. " Hillary était encore un peu agitée.

Le professeur GALLUP alla dans la cuisine. Quelques minutes plus tard, Janice revint. Elle avait l'air heureuse en dépit de ses yeux rouges et gonflés. Elle se présenta elle même. " Bonsoir, vous devez être Hillary. je suis Janice. Je suppose que vous avez un peu surprise de ce qui s'est passé mais Bill est intraitable pour les horaires et d'autres choses. "

" Ceci arrive souvent ? " Hillary était pleine de questions.

" Aussi souvent que je le veux . " Répliqua Janice.

Hillary était vraiment désorientée maintenant. Janice aimait être fessée ? Elle devait, elle semblait si heureuse à ce propos. Hillary devait admettre que la vue du derrière rougi de Janice était intrigante. Elle s'émerveillait de la façon dont Janice pouvait aimer ce genre de chose, mais d'après les réactions de son propre corps, elle savait que c'était quelque chose qu'elle devrait comprendre.

Le professeur GALLUP revint avec les boissons. " Je vois que vous avez rencontré ma femme. Et maintenant vous savez ce que nous pensons de la discipline ici. Qu'en pensez vous ? "

L'esprit d'Hillary tourbillonnait de pensées. Qu'en pensait elle ? Elle essaya de le leur dire, " Je pense que si vous croyez en cela, alors je pense que cela doit avoir un sens. Mme GALLUP semble être vraiment heureuse. "

" S'il vous plaît, appelez moi Janice. Mais, Hillary, ce que Bill vous demande en fait c'est si éventuellement vous pourriez vous aussi vivre avec ces règles ? Nous fessons aussi les enfants, vous aurez à les fesser également, et, ainsi que vous l'avez réalisé maintenant, vous devrez aussi être fessée quand ce sera nécessaire. "

" Je suppose qu'à Rome il faut faire comme les romains ... comme on dit. " Hillary fit un petit sourire.

" Je suis heureux de vous voir dans cette état d'esprit Hillary. " dit le professeur GALLUP, " Et maintenant, à propos de l'heure où vous êtes arrivée, 20h05 n'est ce pas ? "

Hillary savait qu'elle était allé trop loin pour reculer. Elle avait scellé son propre destin. Aussi, réalisant ce qu'elle devait faire, elle répondit simplement, " je suppose que je doit être fessée. "

Janice se leva et prit les mains d'Hillary dans les siennes. " Nous sommes si content que vous compreniez. Ce n'est pas si terrible. C'est moi qui vais vous fesser cette fois et en privé. Plus tard, Bill aura cet honneur. "

Serrant toujours la main d'Hillary, Janice la tira hors du salon et monta les escaliers vers la chambre.

" Je sais que vous n'avez jamais été fessée auparavant, Hillary, aussi je vais vous dire ce que je vais faire. Je vais vous donner une vraie fessée, et vous allez pleurer. J'espère que vous trouverez que c'est déstressant, comme moi. Mais avant tout, vous devez accepter d'être fessée chaque fois que nous déciderons que c'est nécessaire, est ce bien entendu ? "

" Oui, je l'accepte. Je veux que vous me fessiez. Je ne peux croire que je dis cela, mais je suis là, et je veux être fessée. "

" Garde cela à l'esprit Hillary, une fois que j'aurais commencé, tu ne pourras plus stopper la punition. Est ce clair ? "

" Oui madame. J'essaierai de bien me comporter. "

" Bien, tu es une chouette fille. Maintenant je veux voir ton derrière nu. "

Hillary savait que cela devait arriver, et sentit une crispation dans son estomac alors qu'elle fouillait sous sa jupe et passait ses doigts sous l'élastique de s on slip et de ses collants, et les descendait à ses genoux. " Ainsi ? C'est bien ? " demanda t'elle. Elle se sentait comme une petite fille, embarrassée d'être debout devant une femme avec sa culotte descendue aux genoux. Elle ne pouvait croire qu'elle allait être fessée, c'était un rêve.

" Oui ma chère, c'est bien. maintenant avance, prend la chaise devant la table a maquillage et donne moi cette brosse à cheveux. "

Hillary bougea avec difficulté, sa culotte lui rendant la démarche malaisée. Lorsqu'elle eut bougé la chaise, Janice s'assit dessus. Puis elle prit la brosse à cheveux. C'était une grande brosse ovale en ébène. Elle savait que cela n'allait pas être un jeux. Nerveusement, elle la tendit à Janice.

" Maintenant Hillary, sur mes genoux. Cela ne va pas être facile, mais tu le mérites vraiment. "

Hillary fit ce qu'on lui avait dit, et s'allongea sur les genoux de Janice. Janice ne perdit pas de temps à relever la jupe d'Hillary et à exposer le cul nu et ferme. " Tu ferais mieux de me donner tes poignets, ainsi ils ne se mettront pas sur le chemin de la brosse ".

Hillary plaça ses poignets dans son dos, Janice les saisit et les maintient dans le creux du dos. Puis al fessée commença. La première fessée fut un choc pour Hillary comme elle n'en avait jamais ressenti. Elle laissa échapper un gémissement. Janice la maintînt serrée et lui administra rapidement des coups sur chaque fesse. Hillary se tortillait et tachait d'éviter les claques.

" Non, stop, vous me tuez ! S'il vous plaît, assez, cela fait trop mal ! " criait Hillary.

" Je t'avais dit que tu serais fessée durement tu te souviens. Maintenant tiens toi bien, sois une bonne fille ". Janice la fessa de nouveau, ignorant les plaintes d'Hillary.

Hillary pleurait de façon incontrôlée pendant que la fessée continuait. Elle cessa de demander son arrêt et à la place s'excusa pour le retard, s a n g l o t a n t alors que la brosse frappait encore et encore. C'est seulement lorsque de petites cloques apparurent que Janice s'arrêta. Hillary continua à pleurer. Janice gentiment caressa son cul. " Maintenant chérie c'est fini. Tu ne seras plus vilaine de sitôt. Tu es une bonne fille mais même les bonnes filles son fessées. "

Hillary aimait la sensation de la main douce de Janice sur son derrière à vif. Elle aimait tout spécialement la sensation profonde entre ses jambes. Elle savait qu'elle aimerait travailler pour eux, et alors que la chaleur était toujours sur son cul, elle songea à ce qu'une fessée donnée par le professeur pouvait procurer comme sensation. Et comment elle se sentirait la première fois qu'elle dirait aux e n f a n t s de baisser leurs culottes.


La porte s'ouvrit sur le bureau du professeur GALLUP. " Entre Hillary. Mais ne te met pas à l'aise, je suis certain que tu sais pourquoi tu es là. je te veux contre le dossier de la chaise maintenant et fais vite. Je ne veux pas être en retard pour mon cours. "

Hillary savait effectivement pourquoi elle était là. Et alors qu'elle déboutonnait son jean, elle était reconnaissante d'avoir rencontré les GALLUP. Elle savait qu'elle avait besoin de discipline. Elle baissa son jean et sa culotte à ses genoux et se plaça contre le dossier de la chaise. Elle avait séché un entraînement et allait maintenant être punie pour cela, avant le prochain cours, ainsi toutes les filles pourraient voir, son derrière rougi sous la douche. Le professeur GALLUP ouvrit le tiroir de son bureau et prit la maintenant familière raquette. Et alors que la raquette faisait son office encore et encore sur son derrière nu et que les larmes remplissaient ses yeux, elle s a n g l o t a un s a n g l o t de joie, quelle chance elle avait ...

Auteur : inconnu

QUELQUES LIENS

Le forum fessée

Une boutique avec du matériel pour la fessée et les punitions

15400 personnes du réseau fessestivites sont intéressées par la fessée Le critère de tri est déjà fait

400 histoires érotiques femmes fessées

150 histoires érotiques d'hommes fessés

1100 vidéos de femmes fessées SANS PUB

Plus de 300 vidéos d'hommes fessés SANS PUB

SANS PUB = pas de redirection vers des sites d'arnaque
Et oui, il y en a qui aiment la fessée
Et même qui les cherchent
Effectivement, les adeptes de la fessée les cherchent parfois un peu tout en les redoutant, c'est plus fort qu'eux
Un très beau récit, cette histoire m'a énormément plu et je vous en remercie
Merci pour vos commentaires, cela fait plaisir
Publicité en cours de chargement