SELFBONDAGE ET SURPRISES DANS LA GRANGE

Catégories : FANTASME Selfbondage auto bondage
il y a 8 ans

Les risques en selfbondage sont d'être piégée ou surprise par quelqu'un une fois le bondage réalisé. Si les risques rendent l'auto bondage excitant et même grisant, il y a des fois où cela devient terriblement angoissant.

C'est arrivé un de ces jours d'été, je m'étais rendue dans la campagne pour visiter une vieille grange déserte que j'avais trouvée un jour lors d'une excursion. J'étais déjà venue là plusieurs fois avant et c'était le lieu idéal pour mes explorations de selfbondage, loin de la vue de la route qui passait derrière la forêt, car je ne voulais pas être dérangée pendant que je serais attachée agréablement et solidement.

J'aimais m'attacher moi-même à l'extérieur pour sentir le vent sur mon corps, les grands espaces tout autour de moi pendant que j'étais dans mon propre petit espace de liens, cela était excitant ainsi que le danger qui en découle, il y avait plus de chance d'être découverte et je crois que c'était ce frisson que j'appréciais le plus.

Je commençai cette session en cachant ma voiture dans les bois et en revenant à pied pendant 600 mètres le long d'une vieille route boueuse vers la vieille grange déserte, c'était la seule construction à des kilomètres à la ronde et elle semblait faire partie d'une ancienne ferme, les propriétaires ayant disparu depuis longtemps. Pour débuter, je déchargeai mon sac d'équipement de bondage sur le sol poussiéreux de la grange et commençai à me préparer pour un après-midi de selfbondage.

Après m'être déshabillée, je plaçai tous mes vêtements dans le sac et le cachai dans un coin de la grange. Maintenant complètement nue, je marchais vers ma pile d'instruments étalés sur le sol. Prenant quelques cordes je commençai à attacher mes chevilles ensembles les entourant avec la corde plusieurs fois, la passant entre mes jambes et tirant sur la corde pour rendre tout ça très serré. Mmmm ! Ca semblait bon, je pouvais sentir mon corps tout entier commencer à réagir à la corde, une chaude et agréable sensation irriguait mes veines. Puis j'attachai mes cuisses ensembles, juste au-dessus des genoux, de la même façon, tirant sur la corde pour rendre les liens agréables et serrés.

Ensuite je plaçai solidement le bâillon dans ma bouche, c'était un nouveau bâillon que j'avais acheté récemment, le propriétaire du magasin m'avait fait une démonstration en me le passant, et cela m'avait envoyé des fourmillements sur la peau lorsqu'il me toucha quand il fixa les lanières, je fondis lorsqu'il le sécurisa sur ma tête, "S'il vous plaît faites de moi votre esclave" pensais-je alors que mon corps devenait chaud me tenant debout là dans le magasin avec le bâillon dans la bouche.

Faisant pénétrer la grosse boule dans ma bouche, je commençai à fixer les lanières en place derrière ma tête avec les lanières de harnais courant tout autour de ma tête et sous mon menton, cela était parfaite¬ment serré et verrouillé en place avec un petit cadenas sur le derrière de ma tête. Comme je jetai la clef vers le côté opposé de la grange, je savais que je ne pourrai pas enlever le bâillon tant que je n'aurai pas retrouvé la clef.

Récupérant le bandeau, je le plaçai autour de mon cou pendant que je préparai mes mains. Verrouillant étroitement un anneau de cuir autour de mon poignet gauche et un autre autour de mon poignet droit, tout ce qu'il me restait à faire maintenant était de placer un cadenas dans leurs crochets pour les réunir ensembles.

Les clefs de ces cadenas avaient été jetées à l'autre bout de la grange, ainsi une fois attachée fermement en "hogtie" je devrai ramper sur mon sexe nu à même le sol poussiéreux, autour des gravats et des vieux matériels de ferme qui étaient éparpillés sur le sol pour retrouver les clefs et délivrer mon corps attaché, les sensations délicieuses qui m'envahissaient à la pensée que quoi qu'il arrive la pression m'envahissait.

Maintenant plaçant le bandeau autour de mes yeux, je verrouillais les lanières derrière ma tête avec un cadenas et attachais deux cadenas de chaque côté de ma tête à travers le harnais du bâillon permettant de fixer le bandeau au bâillon, ôtant toute possibilité de retirer le bandeau pendant mes luttes, et puis je jetais les clefs en l'air. Elles retombèrent les unes à côté des autres avec un tintement de métal contre métal. Je jugeai qu'elles étaient tombées sur une vieille machine et qu'elles seraient maintenant difficiles à trouver, spécialement aveuglée !

M'allongeant sur le sol, la poussière s'envola lorsque mon corps entra en contact avec le sol. Je plaçais mes mains derrière mon dos et fermais le crochet du cadenas qui maintenait les deux anneaux ensembles. M'étendant sur le dos, je mis mes jambes à la verticale puis les pliais afin que mes chevilles touchent mes poignets, puis je passai une petite chaîne entre les chevilles attachées et la tirais vers mes poignets. Verrouillant la chaîne contre mes anneaux de poignets avec le dernier petit cadenas j'étais maintenant fermement attachée en "hogtie" et la dernière clef fut jetée aussi loin que je pus la lancer alors que j'étais maintenant allongée attachée.

Maintenant complètement impuissante, je ne pouvais rien faire d'autre que de rester là attachée, et me réjouir de mon bondage, quelques heures pendant lesquelles je chercherai les clefs de tous les cadenas que j'avais jetées à travers la grange, le bandeau allait rendre la tache un peu plus difficile et plus excitante.

Je venais juste de prendre possession de mon selfbondage, mon corps était maintenant agréable et chaud, mon sexe devenait très chaud et les jus commençaient à sortir lorsqu'un bruit imprévu me glaça dans mon mouvement sur le sol. J'entendis la vieille porte de la grange grincer en s'ouvrant à cause de ses vieilles charnières rouillées. Qui était en train de pénétrer dans la grange et pourquoi ?

L'angoisse

Qui que ce soit, la personne marcha dans la grange et alla rapidement vers les endroits où les clefs avaient atterri, prenant chacune d'elle puis revenant vers mon corps nu attaché allongé face contre le sol. Le type parla et me dit qu'il m'avait suivie ici, en fait il m'avait suivie autour du campus pendant les deux dernières semaines observant chacun de mes mouvements et le week-end dernier il m'avait observée en train de m'attacher dans cette grange puis de me tortiller pour récupérer les clefs de ma liberté. Il vit tout ce que je fis et compta mes orgasmes alors que je rampai étroitement attachée sur le sol, il décida alors de planifier ce week-end dans l'espoir que je revienne m'attacher de nouveau.

Maintenant il avait les clefs de ma liberté. J'étais fermement attachée, bâillonnée, aveuglée et incapable de me libérer sans les clefs qu'il détenait maintenant. Il souleva mon corps, plaça un sac sur ma tête et le tira sur le reste de mon corps. J'étais complètement enfermée dans le sac et soulevée sur ses épaules. Il me transporta hors de la grange dans la forêt, il marcha quelque distance dans les bois avant de me déposer parterre quand il eut rejoint son campement. Il me dit que nous étions à des kilomètres de nulle part, que personne ne pourrait entendre les bruits que je ferais, que nous ne serions pas dérangés et que je ne devais pas essayer de m'échapper parce que je ne pourrais que me perdre dans la forêt sans que personne ne me retrouve vivante.

Mon esprit se glaça lorsqu'il me raconta cela !

Il me laissa allongée et attachée là dans ce sac alors qu'il retourna à ma voiture et la conduisit plus loin dans la forêt, la cachant derrière des fourrés. Quand il revint, il me raconta ce qu'il venait de faire et me dit que je serai maintenant son esclave, utilisée pour son bon plaisir. Il me dit qu'il avait voulu mon corps la première fois qu'il avait posé ses yeux sur moi et qu'il m'avait espionnée dans l'espoir de pouvoir être plus proche de moi. Puis il détacha le haut du sac et me versa sur le sol. Il déverrouilla la chaîne qui reliait mes poignets et mes chevilles dans mon dos et m'aida à me relever. Il détacha ensuite la corde qui entourait mes cuisses, puis commença à détacher mes chevilles mais avant que je pus faire un mouvement il glissa des cordes à nœud coulant autour de chaque cheville et les tira très serrées, les autres bouts étaient attachés à des pieux qu'il avait plantés dans la terre.

Puis il me fit asseoir et m'enleva les anneaux de mes poignets, me renversa brutalement vers l'arrière sur le sol et maintint mes bras au-dessus de ma tête où il avait placé deux cordes à nœud coulant supplémentaire pour bloquer mes bras contre les pieux au-delà de ma tête, maintenant attachée en croix sur le sol, il commença à tendre les cordes étirant mon corps nu, portant toujours le bâillon et le bandeau qui étaient verrouillés autour de ma tête. Totalement exposée à son regard et incapable de me libérer, j'étais allongée là alors qu'il commença à faire courir ses mains sur mes formes disponibles, incapable de bouger lorsque ses mains continuaient à explorer toutes les parties de mon corps nu, ouverte à ses attouchements, il avait accès à mon être tout entier.

Sa bouche commença alors à encercler mes tétons alors qu'il était en train de les sucer les faisant venir en érection. Son souffle et la pression de ses lèvres sur mes tétons déclencha mon excitation sexuelle. Je ne pouvais pas résister à quelqu'un me suçant les seins, l'intensité des impressions obligeait mon corps à réagir et commençait à me trahir alors que mon sexe devenait moite. Sa langue donnait des pichenettes sur mon téton et courrait autour des parties les plus sensibles de mon sein. L'électricité qui envahissait mon corps était allumée par le contact de sa bouche contre mon téton, émettant de délicieuses ondes de choc à travers tout mon corps.

Il commença à tester mon sexe avec ses doigts et trouva qu'il devenait humide de ses touches, il inséra son doigt dans mon trou, j'entendis sa respiration devenir plus forte lorsqu'il devint plus excité en obligeant mon corps à réagir encore plus aux touches de sa langue et de ses doigts.

Ma respiration devint plus rapide alors qu'il continua à explorer mon corps attaché, ensuite sa bouche commença à bouger vers mon estomac et travailla dans ce chemin vers ma chatte. Il sembla hésiter et je sentis son souffle chaud contre mon sexe, déjà il abaissa sa tête et ses lèvres chaudes entrèrent en contact avec les miennes. Il commença à balader sa langue sur et sous mes lèvres externes. Bougeant sa langue dans la niche intime de mon trou mouillé, cela commença à me procurer encore plus de chocs électriques sur ma peau. Les ondes de plaisir commençaient à déferler à travers mon corps.

J'étais perdue dans ce moment, mon esprit ne sachant pas s'il fallait rejeter ces avances ou continuer avec les sensations merveilleuses que sa langue me procurait. Sa langue ferme commençait à travailler réellement mon petit morceau, l'entourant puis lui envoyant des pichenettes de haut en bas m'amenant au bord de l'orgasme. Je ne pouvais croire ce qui m'arrivait, ici je gisais maintenue captive par cet homme, kidnappée, quel destin inconnu m'attendait, et mon corps réagissait comme si cela n'était pas arrivé, comme si cela était normal mon corps s'amusait à chaque minute des touches de cette langue.

Maintenant il grimpa sur moi et je sentis son membre en érection frôler mes jambes, puis appuyer sur les lèvres de ma chatte, frayant son chemin dans mon tunnel moite, s'enfonçant profondément en moi, il commença à avancer et reculer, poussant en moi son pénis, le bougeant dans une lente onde rythmique, prenant son temps avec mon corps. En fin de compte il vint en moi, après m'avoir donné un autre orgasme plein, il déversa son sperme en moi, son pénis palpitant contre mes murs comme il pouvait, il resta allongé sur moi pendant un certain temps, retrouvant ses esprits, puis me laissa là attachée en croix sur le sol.

Plus tard il revint sur mon corps attaché et m'utilisa de nouveau mais cette fois il monta seulement sur mon corps et prit son plaisir sans remplir le mien. Après quoi, il détacha mes jambes et y mit une corde d'entrave, un morceau de corde attaché à chaque cheville avec un morceau détendu me permettant de faire des petits pas mais pas de courir. Ensuite il détacha mes bras mais les rattacha devant moi reliant mes poignets ensembles et entourant ma taille avec le reste de la corde, derrière mon dos il fixa solidement l'ensemble avec un couple de nœuds.

Puis il me conduisit sous sa tente, enlevant mon bâillon une fois à l'intérieur, il me nourrit et me fit boire de l'eau, me disant qu'il me laisserait sans mon bâillon si je promettais de ne pas hurler. Etant donné que ma bouche commençait à être très douloureuse, je promis et pensai que si je pouvais parler avec lui j'aurai une meilleure chance d'être libérée sans mal s'il apprenait à me connaître. Mais il ne parla plus après cela, restant seulement assis là, contemplant mon corps et occasionnellement étendant mes mains pour me toucher, me faisant sursauter lors de ce contact inattendu.

Il commença à faire froid et je devinais que la nuit tombait, derrière le bandeau tout était complètement noir mais j'avais commencé à entendre les animaux de la nuit lançant leurs appels dans la forêt. Peu de temps plus tard il me dit qu'il était l'heure de dormir. Il m'aida à me relever et m'amena dans les bois pour me soulager. Puis nous revinrent au campement où il m'assit et plaça mes pieds dans un sac de couchage.

Il saisit ensuite mon corps et me maintint debout, il continua de glisser dans le sac de couchage sur mon corps nu m'enfermant dans le sac. Il dit qu'il avait apporté ce sac spécialement pour moi à cause de la ficelle autour de l'ouverture qui était maintenant serrée autour de mon cou, me bloquant dans le sac. Momifiée dans le sac de couchage, je commençai à me sentir en sécurité, vu qu'il ne pouvait plus voir mon corps nu et toucher ma peau.

Il commença à appliquer des cordes autour du sac, le rendant plus serré qu'avant, maintenant incapable de bouger ni de m'échapper, j'étais attachée pour la nuit. Il m'aida à m'allonger sur le tapis de sol, attachant encore une corde autour de mes chevilles, l'autre bout étant relié au poteau de la tente pour éviter que je puisse me tortiller jusque dehors pendant la nuit. Je tombai très vite dans un sommeil profond avant qu'il put faire quoi que ce soit avec moi.

Je restai là sans bouger tout au long de la nuit, même quand je me réveillai pendant la nuit, car je ne voulais pas qu'un mouvement de ma part le réveille, ne sachant pas ce qu'il aurait bien pu encore me faire.

Le lendemain matin il ouvrit ses yeux et me regarda allongée là toujours ligotée dans le sac de couchage, il se leva du lit et m'attrapa par le sac de couchage et m'emporta dehors pour me poser debout pendant qu'il détachait les cordes. Après m'avoir dégagée du sac de couchage, il me porta sur ses épaules vers les arbres. Il marcha sur une courte distance mais je pouvais entendre la rivière approcher, il me hissa plus haut et me lança dans l'eau toujours ligotée par mes poignets fermement maintenus contre ma taille et mes jambes dans l'entrave de corde.

L'eau était froide et je paniquai lorsqu'elle recouvrit ma tête, mais il sauta rapidement dans l'eau derrière moi et tira ma tête hors de l'eau. Il commença à frotter tout mon corps avec ses mains, me nettoyant tout le corps en étant sur que j'étais propre partout.

Il me sortit de l'eau dès qu'il fut sur que j'étais propre, disant que j'avais maintenant besoin d'être suspendue pour sécher. Il détacha la corde qui reliait mes poignets à mon corps en défaisant les nœuds derrière mon dos, puis il attacha une autre corde à mes poignets ligotés et les hissa vers le haut sur ma tête, mes jambes quittèrent le sol alors qu'il continuait à tirer sur la corde et il me laissa pendue par les poignets dans les arbres à deux mètres au-dessus du sol pendant qu'il s'assit là pour me regarder me balancer dans la brise.

Mes poignets commencèrent à souffrir de la douleur causée par les cordes mordant ma peau à cause de la suspension. Je tentai d'éviter autant que possible de bouger pour diminuer le stress sur mes poignets, mais mon corps était toujours balancé par la brise. Après environ une trentaine de minutes il me descendit sur le sol, mes poignets étaient sensibles et endoloris d'avoir supporté mon poids sur la corde. Puis il me poussa par terre sur le sol, me mit à plat ventre dans la poussière et tira la corde de mes poignets (celle qui avait permit de me suspendre dans les arbres) vers mes chevilles ligotées par l'entrave entre mes jambes, m'obligeant à relever mes fesses en l'air, mon sexe étant alors exposé à son regard et lui étant complètement disponible.

Attachée étroitement dans cette position, je ne pouvais pas bouger lorsqu'il entra dans mon intimité par derrière, poussant son membre durcit très profondément en moi, plus profond que personne avant, me coupant la respiration quand il plongea encore plus profondément dans mon trou, les sensations douloureuses me firent sangloter alors qu'il continuait son exploration de mon intimité jusqu'à ce qu'il se retire par la suite, grognant de plaisir.

Ensuite il se releva et défit la corde qui maintenait mes poignets contre mes chevilles et me ramena à sa tente, où il me fit déjeuner et me permit de nouveau de me soulager toujours sous son regard vigilant.

Lorsque j'eus fini, il me conduisit vers un hamac fait avec un filet qu'il avait tendu entre deux arbres et me posa dedans. Me poussant contre la corde rugueuse du filet, il commença à coudre une corde à travers les deux bords du hamac fermant le filet autour de mon corps, me maintenant étroitement dans son étreinte. Il ferma complètement le hamac autour de mon corps et tira plus étroitement la corde qui tenait les côtés ensembles accentuant la pression sur ma chair, ma peau se gonfla à toutes les petites ouvertures du filet.

Il me laissa fermement ligotée dans le hamac, balançant légèrement pendant qu'il quitta le camp pour aller pécher. Je restai là me demandant ce qui arriverait ensuite, ce qu'il pourrait bien me faire ? Et si je pouvais être relâchée un jour ?

Je m'étais assoupie allongée et ficelée là comme un saucisson dans le hamac qui me berçait doucement vers le sommeil, ligotée agréablement et étroitement dans son étreinte. Plus tard dans l'après-midi il revint et me libéra. Il m'assit devant le feu pendant qu'il faisait cuire le poisson qu'il avait attrapé.

Il couvrit doucement mon corps dénudé avec une couverture pour le protéger du froid et, pour la première fois, libéra mes poignets de leurs liens. Il était en train de montrer quelques signes de compassion envers moi, là où auparavant il avait juste utilisé mon corps, maintenant il commençait à prendre soin de moi.

Alors que nous étions assis là en train de manger, il me parla de la manière dont il m'avait aperçue au collège mais qu'il n'avait pas pu m'approcher à cause de sa timidité et de ma beauté. Il avait pensé que je ne voudrais pas sortir avec lui, . Je lui répondis que tout ce qu'il avait à faire était de me demander et que j'aurai probablement fait ce qu'il voulait. Mais maintenant il dit qu'il avait tout gâché en me retenant captive pour le week-end.

Je lui répondis que non puisque, comme il avait pu le constater dans la grange, j'aimai les jeux de bondage et que si ce jeu-ci pouvait se terminer sur une fin agréable avec ma liberté retrouvée, il n'y aurait pas de raison de dire que ses chances étaient gâchées, mais il aurait une meilleure chance si je ne connaissais pas son visage. Il convint que je devais garder mon bandeau et dit qu'il voulait maintenant me ramener dans la grange.

Me rattachant de la même façon que lorsqu'il m'avait trouvée dans la grange, verrouillant mes membres avec les mêmes cadenas, j'étais de nouveau fermement ligotée en "hogtie" avec le bâillon et le bandeau en place. Il me remit dans le sac, me porta vers la grange et me posa là, toujours dans le sac. Il me dit qu'il allait récupérer ma voiture avant de me permettre de me libérer.

Je restai donc là me tortillant dans le sac, me réjouissant de ce confinement clos et pensant que je devrai inclure un sac dans mes prochaines sessions de bondage. J'entendis la voiture s'arrêter dehors, puis ses pas alors qu'il revenait dans la grange. Puis il me libéra du sac et lança les clefs de l'autre côté de la grange, m'expliquant qu'avant que je ne réussisse à me libérer, il serait déjà très loin, de retour au campus.

Je restai là allongée dans mes liens jusqu'à ce qu'il parte puis commençai à tortiller mon corps étroitement ligoté sur le sol poussiéreux pour ramper vers le lieu où je pensai que les clefs avaient atterri. Cela me prit un long moment pour atteindre l'endroit mais les clefs n'étaient pas là.

Après encore environ une trentaine de minutes de reptation dans la poussière je trouvai les clefs et commençai à retirer mon bondage : en premier mes poignets, puis le bâillon suivi du bandeau. Je restai là sans bouger le temps que mes yeux s'accommodent à la faible lumière du soir. C'était la première fois que je pouvais voir de tout le week-end. Détachant mes chevilles j'étais maintenant libre de mes liens et précautionneusement me mis debout pour chercher mes vêtements. Je les trouvai dans le coin de la grange où je les avais placés plus tôt. Rapidement revêtue, je me précipitai dehors dans l'atmosphère fraîche de la nuit.

J'ouvris la porte de ma voiture et trouvai mon petit ami assis sur le siège du passager. Il me parla avec la même voix que mon ravisseur. Il avait réussi à déguiser sa voix pendant tout le week-end et il était la seule personne qui s'était amusée de moi pendant que j'étais ligotée et bâillonnée. Il me dit qu'il espérait que j'avais apprécié le week-end autant que lui.

Je lui donnais une grande claque, mais lui répondis que je voulais revenir la semaine suivante pour m'attacher dans la grange comme ce week-end..

QUELQUES LIENS

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