La honte d’être délivrée d’un selfbondage par ma copine

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il y a 3 ans
Contrairement à ce que pensent les mecs, les filles ont aussi des fantasmes et des envies coquines. Les miens portent sur le bondage et le sexe sous la contrainte. Je fais du selfbondage et fantasme sur l’idée que mon Maître me livrerait attachée à des hommes. Ils seraient évidement beaux, bien monté sans excès et mettraient tous un préservatif.

J’ai commencé à 18 ans quand j’étais à la fac où, dans ma chambre d’étudiante, je surfais le soir sur Fessestivites. Les fameux gang bang BDSM ont toujours été la priorité de mes surfs, ceux qui déclenchaient ce petit truc qui faisait qu’en un rien de temps, je montais dans les tours..... Fantasmer sur ce sujet ne signifie pas vouloir le vivre ni être une salope. Pour preuve, en deux ans de fac j’ai eu que deux copains, et avec le dernier, cela n’a duré qu’une semaine. Autant dire que si je suis portée sur le sexe, je ne suis pas une fille facile.

A 21 ans, avec mon diplôme en poche, j’ai eu la chance de trouver un emploi rapidement et en plus bien payé. Mille huit cent euros net pour commencer, il y a pire ! Dès que j’ai eu mon chez moi, une partie de mon salaire est passé en sextoys et accessoires BDSM. J’ai même du m’acheter une petite cantine en métal pour les cacher quand ma soeur venait pendant les vacances. Autant dire que j’ai fait des folies et que je suis un peu connue sur ABCplaisir.

Le premier mec à qui j’ai dévoilé mes fantasmes, ne m’a pas traitée de folle mais presque.

Le deuxième m’avait dit être un Maître. En réalité, il m’a mis deux claque sur le cul avant de se faire tailler une pipe et de jouir en moins d’une minute. Décevant !

Le troisième était plus âgé, je l’ai viré avant même que l’on joue autrement qu’en virtuel. Ce connard m’avait mentie, il était marié !

Alors j’ai décidé d’arrêter de me chercher un mec branché BDSM pour revenir à mes premiers amours, le selfbondage. Là au moins je ne prends pas le risque d’être déçue ou d’une mauvaise rencontre OU que mon coeur saigne car je suis un peu fleur bleue. Cela peut surprendre qu’une fille fantasme sur un gang bang BDSM et qu’elle rêve de son prince charmant..... Et bien messieurs, les deux ne sont pas incompatibles !

Lors de mes selfbondages, je serai en couple avec un Maître. En son absence, je me ferai un petit délire toute seule avec mes menottes, mes sextoys et il arriverait par surprise à la maison avec deux copains pour prendre l’apéro. A poil et entravée en mauvaise posture, j’aurai très honte et, pour me punir, mon Maître ne me délivrerai pas. Après m’avoir un peu martyrisée, il m’offrirait à ses copains et là, bien souvent, je jouis toute seule. Bon tout ça, c’est du fantasme et c’est tout. Cela m’arrivera peut-être un jour, qui sait ?

La semaine dernière, je me suis fait un plan tordu devant être très jouissif. Je me suis faite un string de corde très serré avec mon plug anal et mon vibro Rabbi Jacob dans la choune avec sa pointe extérieure bien placée sur mon clitoris. J’ai mis un soutien-gorge pour que les pinces à linge posées sur mes tétons ne s’arrachent pas quand j’essayerai de fuir les méchants jouant avec mes seins. En clair, quand je ramperai vers le ice-timer contenant les clés.

J’ai attaché mes chevilles et jambes avec deux cordes. A chaque fois, le noeud à l’extrémité des cordes se terminait dans mon dos. J’étais donc à genoux avec l’impossibilité de me lever car j’avais vraiment tendu les entraves et mes pieds touchaient mes fesses. Comme une conne, j’ai perdu les clés des menottes. J’utilise donc une chaîne que j’enroule plein de fois autour de mes poignets et un cadenas. Cette fois, je me suis entravée mains devant au niveau de la choune, quasiment entre mes cuisses. J’ai vraiment galéré pour y arriver.

ET PUIS, j’ai fermé le cadenas.

ET PUIS je me suis rendue compte que je n’avais pas sorti le ice-timer du congélateur.

Je subodore sans trop de risque d’erreur que vous imaginer les mots crus que j’ai utilisés pour parler de la modeste conne que je suis. Mon congélateur se situant au dessus du réfrigérateur, il m’était impossible de le récupérer.

L’envie de jouer n’était plus et je n’ai pas allumé mon vibro Rabbi Jacob ! ! ! Après une heure de sport intensif, je suis parvenue à la conclusion que j’avais été excellente pour les entraves et me mettre dans la merde. J’étais belle et bien piégée. Il me fallait appeler à l’aide et ça, cela signifiait dévoiler à quelqu’un mes petits, gros délires de détraquée mentale.

Quand je fais du selfbondage, je mets toujours mon téléphone mobile à côté de moi. Si j’appelais les pompiers, mes voisins allaient s’affoler et, en curieux, essayer de savoir ce qu’il était arrivé à la petite du troisième. Autant dire que je voyais mal les choses...... J’ai fini par me résoudre à adresser un texto à Elodie, une amie de la fac.

« Viens vite chez moi s’il te plait, c’est ultra urgent ».

Réponse : je peux pas, je vais à la plage

Mon deuxième texto : « je t’en supplie, c’est une question de vie ou de mort »

Réponse : Tu veux que j’appelle tes parents ou les flics ?

Mon troisième texto : « je t’en supplie, c’est une question de vie ou de mort mais viens seule»

Réponse horrible : ok mais j’en ai pour plus d’une heure, ma caisse est en panne.

Mon quatrième texto : « je t’en supplie, ne tarde pas »

Si j’étais soulagée je n’étais pas au bout de mes peines. En effet, j’étais assise sur mon lit et j’allais devoir aller lui ouvrir la porte ! ! !

Ce fut compliqué pour arriver à m’approcher du bord du lit et d’en descendre sans trop me fracasser. Je me suis « niqué » les genoux à l’arrivée sur le carrelage et mon vibro Rabbi Jacob s’est enfoncé d’un seul coup très profondément en moi. Ensuite, j’ai du ramper comme un asticot car sur les genoux et fesses, cela me faisait trop mal. Une fois devant la porte, j’ai joué les équilibristes pour parvenir à faire tourner la clé dans la serrure. Sur cette opération, j’ai du perdre trois kilos !

La patience, la patience..... Là, j’ai vraiment eu l’impression qu’Elodie faisait les boutiques avant d’arriver. J’étais nue par terre, appuyée contre la porte dans une position très inconfortable après avoir rampé et m’être massacrée les genoux.

J’ai commencé par avoir la peur de ma vie quand elle a tapé à la porte ! Quelle conne, c’est moi qui lui avait demandé de venir. Désolée mais on ne contrôle pas ce réflexe quand on se bran... et là, encore moins ! Elle sonnait et m’appelait et quand je lui ai dit d’entrer, j’ai pris la porte dans la gueule ! Complètement affolée, Elodie f o r ç a i t et moi je lui criais « doucement, « attend ». Vous voyez la scène débile de la fille attachée derrière la porte que quelqu’un essaye d’ouvrir?

Une fois entrée, elle a commencé par s’affoler, j’ai du la rassurer, on ne m’avait pas agressée et c’est là que j’ai du tout lui avouer. Au plus j’avais honte, au plus elle riait. Elle riait tellement qu’elle a du aller aux toilettes se soulager pendant que moi, je me morfondais. A son retour, elle n’a rien trouvé de mieux que de faire des photos avec son Smartphone.

  • Bon arrête tes conneries, attrape le ice-timer qui est dans le congélateur.

  • Le quoi ?

Et là, j’ai aussi du lui expliquer ce qu’est un ice-timer. La honte..... Totalement rassurée, elle a pris tout son temps pour aller le chercher.

  • Et on fait quoi maintenant, il faut attendre qu’il fonde ? C’est ça ? M’a demandée Elodie

  • Non banane, tu vas le passer sous l’eau chaude.

  • Attend là, tu me plantes ma première sortie à la plage, me fais faire une heure de bus pour venir chez toi et me traite de banane ? J’ai bien envie de le remettre au congel ton putain de glaçon !

  • Non, s’il te plait, excuse-moi, c’est que je suis mal là.... et que je m’énerve connement désolée.

  • Je préfère ça !

Elodie est donc allée à la cuisine faire fondre le glaçon. A son retour, elle a voulu ouvrir le cadenas et c’est là qu’elle a découvert mon vibro Rabbi Jacob. Au lieu de me libérer, elle a voulu savoir ce que c’était et s’est transformée en inquisitrice. En clair, elle m’a soumise à la question, ou plutôt aux questions dérangeantes. Et puis, elle a appuyé sur les boutons du Rabbi Jacob. J’ai essayé de lutter mais avec les poignets enchaînés je ne faisais pas le poids. Dans la bagarre, elle a aperçu mon plug, et..... elle a continué de se foutre de ma gueule.

Malgré mon caractère de colérique qui réfléchit après, je suis parvenue à rester calme ô miracle. Cette espèce de salope s’est avérée être quasiment lesbienne. Elle a commencé à négocier ma libération en échange de bisous. Et.... pendant ce bisou elle a touché mes seins et a commencé à jouer avec les pinces à linge avant de me dire que je l’excitais ! ! !

Elodie a ouvert mon soutien-gorge et trouvé que j’étais vraiment folle mais que, même compressés par ma position, mes seins étaient jolis. Quand elle a retiré une des pinces sans prévenir, à mon cri elle a compris que cela faisait mal. J’ai encore du lui expliquer qu’il faut les retirer lentement. Ma pudeur était déjà au plus mal mais elle n’en avait rien à faire. Comme je lui ai mal parlé, elle a recommencé à jouer avec mon Rabbi Jacob en me disant que la salope c’était moi. Une vraie furie. J’ai découvert que Elodie pouvait être une sacrée garce que rien n’arrête, quand elle commence à s’amuser avec une fille. De but en blanc elle s’est levée, a retiré sa jupe avant de s’allonger sur le dos et de mettre les clés de mon cadenas dans sa culotte.

  • Si tu les veux, il faut venir les chercher !

  • Mais je peux pas avec les mains entre mes cuisses !

  • Avec la bouche tu dois pouvoir y arriver !

Mes tentatives de négociation ont été vaine, j’ai du me ridiculiser en rampant sous ses yeux et, m’acharner à essayer de baisser sa culotte avec les dents, action très difficile quand on est entravée. Celle salope mouillait, sa culotte commençait à se tacher et ce n’était pas ma salive. Ne pouvant contenir plus longtemps mon caractère colérique, je l’ai incendiée. Elle s’est levée, s’est assise sur mon dos pour me donner une fessée. Heureusement que j’avais les bras devant ou je serai morte d’étouffement car Elodie, elle fait son poids...

Pour l’avoir traitée de « grosse femme qui arrondit ses fins de mois le soir », elle m’a ensuite giflée en me disant que soit je la léchais, soit elle balançait les photos sur son facebook. Pour m’aider, elle a mis le Rabbi Jacob à fond. Elodie s’est installée le dos au mur en écartant bien les cuisses en plaquant ma tête à la porte du temple, initialement dédiée à la fécondité.

J’ai compris qu’elle ne cèderait pas, j’étais allée trop loin dans mes insultes. Ma langue s’est donc mise à son service.

  • Tu vois petite salope, je pourrai aussi bien inviter des copains à profiter de la situation. Tu les imagines en train de te sauter pendant que tu me lèches ? Allez, avoue que cela te plairait d’être une bonne petite esclave sexuelle ! Je suis sûre que tu te fais ce genre de film quand tu t’attaches avec des trucs dans ta chatte et dans ton petit cul. Allez lèche bien, concentre-toi, applique-toi un peu si tu ne veux pas être punie.

Elodie s’éclatait toute seule dans son délire et sous ma langue. En même temps elle rentrait dans mes fantasmes, sauf que les miens étaient avec des hommes. Le vibro toujours réglé à son maximum avec ses pointes souples travaillant sans cesse mon clitoris, a fini par me faire de l’effet. Je suis aussi montée dans les tours en lui bouffant la chatte. Elle m’a vue jouir même si j’essayais d’être discrète, une femme sait voir ce genre de chose. Encore une foi,s elle ne m’a pas épargnée de ses commentaires graveleux. Et puis elle a joui à son tour en écrasant mes oreilles de ses grosses cuisses finalement très musclées.

Après m’avoir repoussée comme un Kleenex, elle est venue sur moi et m’a embrassée comme une malade. Je lui rendais son baiser en même temps que ses mains caressaient mes seins, mon corps, j’étais sa proie, incapable de fuir. Le vibro continuant son office, j’ai encore joui sans le voir venir, c’est quasiment venu tout seul pendant que je lui rendais son bisou d’affamée.

  • Ça me plairait bien moi que tu sois ma soumise ! A murmurée Elodie comme si on pouvait nous entendre.

EPILOGUE

Depuis cette mésaventure, Elodie a les clés de mon appartement. De plus en plus régulièrement, je dois m’attacher pour m’offrir à elle. Quand elle entre dans l’appartement, elle dit qu’elle vient chercher son petit cadeau, ou des choses bien pire comme, demain je viendrai avec des clients. Ce ne sont que des expressions mais aussi des images qui défilent dans ma tête dans ces moments là.

Et dire que j’étais hétéro !

Fin

TSM

Cette histoire érotique est totalement fictive et une pure fiction. Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existées ou n’existant pas encore est purement fortuite.

QUELQUES LIENS

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