Jour 1 – Matin : L’Arrivée et la Mise en Condition La sonnette n’a pas retenti. La porte s’est ouverte sur Rimon, vêtue d'un simple jean noir et d'un débardeur en cuir qui moulait sa carrure dominante. Loïc était à quatre pattes dans l'entrée, nu à l'exception de la cage en métal froid qui enserrait ses testicules et sa verge. Un collier de cuir épais cerclait son cou, une laisse y était attachée et reposait sur le carrelage. Rimon ne dit rien. Elle s'accroupit, passa sa main dans ses cheveux et tira sa tête en arrière pour vérifier le verrou de la cage. Il était bien en place. Parfait. Elle donna une petite tape sur le métal, un son clair et sourd qui fit frissonner Loïc. Neiva arriva dix minutes plus tard. L'ambiance changea instantanément. Si Rimon était une autorité silencieuse et absolue, Neiva était une étincelle chaotique. Elle entra en riant, un grand sac en toile sur l'épaule. Elle ignora Rimon un instant, s'approchant de Loïc comme on approche un nouveau chiot. « Alors,...

Léo passe la supérieure. Passant entre mes cuisses il a soulevé mes pieds et je bandais comme un fou. Il a approché le visage et je ne l’ai plus vu. C’est sa langue que j’ai senti passer sur ma rondelle la saliver et même pénétrer mon anus de la pointe. Tu es serré un vrai puceau et je vais ouvrir ce trou avec ma queue. Il est réapparu et cette fois j’ai senti son sexe, son gland a appuyé sur moi il me fixait, tenant mes poignets pour que je ne me touche pas et forcé. J’ai poussé un cri quand son engin est entré. Il a attendu, souriant. Ce sera ton nouveau sexe et il a poussé. J’ai senti ses poils pubiens contre mon trou et doucement il m’a limé. J’aurais voulu me branler mais il me tenait les poignets et je voyais qu’il souriait en me labourant de sa hampe. J’ai eu un soubresaut ne pouvant éviter une giclée sur mon ventre mais lui continuait. Il avait accéléré la cadence. Je l’ai senti tressaillir et s’appuyer sur moi en se retirant. Il avait encore des gouttes de sperme sur le...

La Sexonie est un petit pays discret où, une démocratie relative, permet à la population de vivre sans trop de souci pour certains et de survivre pour d’autres. Son gouvernement comprend un président et des ministres, rien de plus classique dans ce bas monde. Muriel est une jeune femme âgé de 26 ans, elle a eu la chance d’être embauchée sans piston comme secrétaire au ministère des affaires étrangères. Il est vrai que d’être trilingue et surtout très jolie a bien contribué à son recrutement... Avoir un corps parfaitement dessiné, un visage d’ange, de longs cheveux blonds et les yeux bleues aide parfois dans la vie même si ce n’est pas toujours un cadeau du ciel. En effet, si il est agréable de se sentir désirée, cela a parfois d’ennuyeux revers. Âgé de 45 ans, toujours précédé de son gros ventre, le ministre Chocon règne plus qu’il ne dirige les affaires étrangères, les affaires étranges comme se plaisent à murmurer en secret les employés. Souvent vulgaire, il est aussi irre...

Maëva était en larmes. - Le salaud ! Non, mais quel salaud ! - Qui ça ? - Teissier, tiens ! Qui tu veux ? - Il t’a… - Coincée contre la photocopieuse. Et tripotée. Comme un gros porc qu’il est. Manon a explosé. - Y en a marre, à force. Y en a vraiment marre. Ça peut plus durer. Faut porter plainte. Léa a abondé dans son sens. - Oui. Toutes ensemble. Faut qu’il paye. Elles nous suivront, toutes celles qu’ont déjà eu affaire à lui. Et nombreuses, on serait. Camille a fait la grimace. - Ouais, vous savez pas ce que c’est, vous, les filles, de porter plainte pour ce genre de trucs. Les flics vous cuisinent tant et plus. T’étais habillée comment ? T’es sûre que tu l’as pas provoqué ? Que tu cherches pas à te venger de lui ? Parce qu’une employée… son patron, elle a toujours des raisons de lui en vouloir. Etc. Etc. Et ça remet ça au procès. Les mêmes questions. Tu finirais presque par te sentir coupable. Sans compter que tous les projecteurs sont braqués sur...

10 Je me suis placé comme Monica me l'avait indiqué, à quatre pattes et en posant ma poitrine sur la table basse. Monica s'est assise sur mon dos et, avec ses jambes, a ouvert les miennes, m'obligeant à les écarter largement. Ses mains étaient menottées le long de mon dos et placées sous ses belles fesses. Je me sentais complètement exposé, mais aussi excité d'être ainsi à la merci d'une fille que je connaissais à peine, puis j'ai senti la chaleur des fesses de Monica sur mon dos. Emanuela : Alors Alby, es-tu prêt ? Je pense que quelques coups de pied suffiront comme punition. Moi : Prêt ? Je ne dirais pas cela Emanuela : Mauvaise réponse BAM, premier coup de pied Je n'ai rien compris, la douleur était insupportable. J'ai voulu fermer les jambes, mais Monica les a maintenues grandes ouvertes pour moi. Je manquais d'air et je ne pouvais même pas parler. Emanuela : C'était gratuit, ça ne compte pas pour les deux coups de pied. C'était pour que tu apprennes à répondre...

Bonjour à tous, j'aimerais vous raconter une aventure qu'il m'est arrivé il y a quelque mois, ce post fait aussi office de prévention sur le sujet de la domination sur les réseaux sociaux. Pour ceux qui ne le savent pas, je suis soumis 100%, pas de switch et j'ai un compte secondaire du instagram où j'affiche clairement cette tendance. Je reçois donc régulièrement des messages de femmes dominantes qu voudrait savoir si nos profils sont compatibles. Ce jour là, j'ai donc été contacté par une maîtresse que je trouvais non seulement magnifique mais qui en plus était attirée par les mêmes choses que moi, seul élément suspect, son compte semblait tout nouveau sur les réseaux, mais je me suis dis qu'on commence tous quelque part. On a donc échangé sur les informations nécessaires sur nous, par rapport à nos kinks, elle rentrait parfaitement dans mes critères, plus vieille que moi, fan de pet-play et de féminisation, enfin la maîtresse parfaite quoi, peut être un peu trop d'ailleurs, j'au...

Je ne sais pas combien de temps j’ai dormi, mais je fus réveillé par Maitresse Aurora qui caressait ma queue. Jolie blonde platine vêtue d’une robe courte en vinyle rouge vif comme son rouge à lèvres et hauts talons rouges également. Quel beau réveil. Elle me détacha, me fit relever et dit : « Va te laver bien à fonds. » en me claquant les fesses « Je dois te préparer pour la soirée ». Puis elle ajouta : « Alors comme ça il parait que tu es une vraie bonne petite chienne, une belle salope ? » « Oui » Maitresse dit-je avec un léger sourire en mettant un doigt dans ma bouche. « Je vois ça » dit-elle « Et bien je vais te préparer pour que tu sois une bonne petite pute ce soir ». « Bien Maitresse, merci Maitresse » répondis-je. Lorsque je revins de la douche tout nu, elle avait préparé tout un tas de matériel et de vêtement sur le canapé. Je restais debout. Elle me donna un corset noir avec des bonnets demi-seins blanc tétons apparent terminé en bas par une très courte ba...

Lorsque j’ai découvert le site du manoir avec toutes ces maitresses, je me suis dit qu’il était fait pour moi. Mais lorsque j’ai vu qu’on pouvait se faire filmer avec elles, et que j’ai lu leurs spécialités respectives, je me suis mis à bander comme un âne. En voyant toutes ces belles femmes dominatrices, je n’ai pu m’empêcher d’éjaculer. J’ai pris mon temps à étudier tout le site, puis j’ai fini par écrire afin de connaitre les modalités. J’ai donc commencé par choisir les maitresses que je voulais suivant leurs spécialités et mes fantasmes. J’allais pouvoir les réaliser. Puis, j’envoyais ma liste avec quelques questions subsidiaires. La réponse fut assez rapide. Aussi, après quelques échanges supplémentaires, je réservais pour 24 h. Je pris soin de faire une épilation totale avant d’y aller. J’arrivais tard après diner. Une belle hôtesse, très sexy, m’emmena directement dans ma chambre. Elle était très bien équipée avec un certain nombre de sex-toys et décoré de ph...

Oui Madame. Elle marchait comme une Déesse, féline, gracieuse, arrogante, regardant autour d’elle comme si elle cherchait ses disciples. Elle planta son regard noir dans le mien, comme ça, comme un matador plante son épée dans le dos du taureau. Je l’imaginais s’approcher de moi et me demander de me mettre à genoux et lui prêter allégeance. Je l’aurais fait. « Oui Madame. » Ses cheveux noirs légèrement ondulés tombaient en cascade sur ses épaules mates, mises en valeur par les bretelles fines de sa robe rouge sang. - Yann ? Yann, tu m’as entendu ? Je clignais des yeux. Un homme aussi brun que ma belle inconnue, l’embrassait à pleine bouche. Il suivit son regard et tomba sur le mien. Il grommela quelque chose dans son Espagnol natal, amorçant un mouvement agressif dans ma direction. La Belle l’arrêta en le retenant par le bras, lui murmura certainement les mots qu’il attendait à l’oreille avant de déposer un baiser léger dans le creux de son cou. Un sourire carnassi...

Les punitions d’Abby s’étaient révélées bien plus sévères que celle de Kassandra. Et pourtant, Kassandra était déjà une redoutable fesseuse. Mieux valait obéir que de se retrouver attaché sur sa croix de Saint-André. Durant la semaine, j’avais eu le droit à des cours particuliers et intensifs. Coiffure, même si pour le moment mes cheveux étaient encore trop courts pour cela, maquillage, serrage de corset et habillement, maintien évidemment, mais surtout, marche en talons hauts. J’avais même eu les oreilles percées. Inutile de vous dire que Lilian, enfin Lily, puisque nous n’étions plus de jeunes garçons, mais bel et bien des sissy, avait reçu le même traitement. Le samedi arriva trop vite à mon goût. Et en cet instant, j’aurais préféré ne pas savoir ce qui m’attendait. Ce qui nous attendait à Lily et moi. Je pouvais entendre le bruit des discussions à travers le rideau. La salle devait être bondée. Bondé de femmes qui n’attendaient qu’une chose. Nous voir souffrir. J’étais à genoux, tê...

Chapitre 116 : Après la pause Le sourire qui élargissait l’ensemble du visage de Christian me fit frissonner malgré la température de la pièce que les deux projecteurs avaient élevée aux alentours, sans conteste, de trente degrés. J’essayai de dégager la chaîne du crochet, alors que Vlad fouillait toujours dans le coffre. Christian avait enlevé sa chemise et ses chaussettes, ne gardant que son survêt taché. Ses yeux sombres et sa barbe le faisaient ressembler maintenant plus à un personnage d’une période mégalithique soulevant des pierres pour assembler des dolmens, qu’à un dominateur tel que Basile, Lucifer ou même Vlad, plus sophistiqué. Il alluma le plug et me souleva en prenant uniquement appui sur le socle de celui-ci. Le malade, pensai-je. Il allait me l’enfoncer, si loin, comme un suppositoire, que je ne pourrai plus le ressortir. Vlad prit ses photos, tandis que le gorille, content de sa prestation physique, poursuivait sur autre chose. Il s’agissait maintenant de c...

Chapitre 115 : Les photos - J’aurais dû monter avec des habits, répondis-je faussement embêté, sachant l’inutilité, voire le sarcasme de ma réponse. - Des photos de nus, reprit Christian, hermétique à mon humour. - J’espère qu’au moins il vous fait bien l’amour, plaignis-je Vlad, devant ce manque évident d’intelligence. Ce dernier sourit. Christian ne comprenait même pas ma remarque. Ils me conduisirent dans la chambre à coucher. Tout y avait déjà été préparé. Deux lampes, des projecteurs au vu de l’intensité lumineuse qu’ils dégageaient, dirigeaient leur éclairage vers le lit couvert d’un drap de satin noir. Il insisterait judicieusement sur la blancheur de mon corps, pensai-je en connaisseur. - Tu n’as jamais fait de photos ? - Des nus ? répondis-je. - En général. - Non. Aurai-je raté une carrière de top-model ? dis-je ahuri. Vlad rit de ma blague. Christian ne fit aucun mouvement. C’était étrange comme impression. J’étais mal à l’aise, pire que lorsque je...