Récits
Colonie de vacances
il y a 5 jours

Colo année 1970

Joëlle ma voisine de tout comme moi étions partis en colonie dans l'Aveyron cet été 1970 . Au départ les parents avaient précisé aux deux monitrices de ne pas hésiter à nous punir si on faisait des bêtises et qu'elles avaient leurs accord quelque soit la punition envisagé. Béatrice une des deux à annoncé qu'elle avait l'habitude de régler cela avec ces 2 petits frères et sœurs. Joëlle et moi on c'était dis qu'on risquait pas grand chose en vue de leur jeune âge grosse erreur de notre part. Après de multiples recommandations concernant notre séjour on a vite déchanté quand Béatrice a attrapé une fille de notre âge qui avait lancé un cailloux vers une voiture elle l'a attrapé par les cheveux et la traîné sur un banc à proximité et l'a immédiatement couché en travers de ses cuisses la malheureuse c'est mis à pleurer et essayer de protège ses fesses protégé par une courte jupette mais rien n'y fit la fessée commença et je vous garantis que ça claquait très fort quand d'un seul coup e...
Phase 2 (Une voisine... très... particulière.)
il y a 1 semaine

Clarisse et Julie s'étaient joué de moi. Mais une fois que mon homme avait tourné le dos, elles avait monté la pression d'un cran... Non, deux crans... Ma vie était devenue un enfer.

Dans la salle de jeux, une dizaine de bébés jouaient ou pleuraient selon s’ils avaient été contraints ou pas d’être ici, bien que j’ai beaucoup de mal à penser qu’on puisse être volontaire pour s’abandonner de la sorte. Un tapis de mousse multicolore en forme de puzzle géant qu’on utilisait pour les bébés, amortissait la dureté et la froideur du carrelage sur lequel il était posé. Oui, les bébés, les vrais. Ceux qui mesurent entre cinquante centimètres et pas grand ! Ceux que je voyais ici étaient, à la base du moins, tous des adultes. A voir cette jeune femme pleurer en se débattant avec ses gants sans doigt, une ceinture de chasteté verrouillée sur sa couche XXL, devait faire partie de la catégorie des volontaires à l’insu de leur plein gré. Le harnais qui laissait ses petits seins à la vue de tous la maintenait assise par une chaîne très courte fixée au mur dans un anneau qui aurait pu retenir le TITANIC à quai. Cet homme d’une quarantaine d’années, un body imprimé de mini...
Une voisine... très... particulière.
il y a 1 mois

Comment un simple jeu est devenu un challenge ou d'un défi, peu importe son nom, dont l'unique objet était de me faire régresser ?

- Mais punaise ! Quelle andouille ! - m’écriais-je en colère contre moi même. Debout devant ma fenêtre de cuisine en faisant la vaisselle, je venais de voir Clarisse passer dans l’allée de la résidence. Clarisse, c’est ma voisine du rez de chaussée. Cheveux courts, yeux bleus, très douce, discrète, mais je serais plutôt tentée de dire que c’est elle qui m’avait vue… avec ma tétine dans la bouche et mon body clairement typé bébé. Passé l’effet de surprise, qu’elle ne put dissimuler, un large sourire se dessina sur son visage, à tel point que je crus qu’elle allait faire demi tour aussitôt pour venir sonner à ma porte. Mais non. Elle me lança un dernier un regard avant de passer le portillon et disparaître dans la rue. Mon Homme rentra comme d’habitude à 17 heures, mais je m’étais changée. Il savait pour mon petit délire de little puisque c’est lui qui me donne les consignes. Comme lorsque je suis soumise, il me donne ses instructions et j’obéis. Plus ou moins. Sinon, j’aime p...
Une belle-mère compatissante
il y a 2 mois

On commet de grosses erreurs à tout âge

J’avais vingt-quatre ans et je venais d’épouser Baptiste qui, lui, en avait vingt-six. En attendant d’avoir trouvé notre chez-nous, on vivait chez ses parents. Il faudrait plutôt dire que JE vivais chez ses parents, parce que lui, représentant en vins de Bordeaux, très souvent à l’étranger, passait le plus clair de son temps sur la route et ne rentrait que tous les quinze jours. Quand ce n’était pas toutes les trois semaines. Mon beau-père était plutôt du genre taciturne. Il vivait immergé dans ses bouquins, dans la mise à jour permanente d’une impressionnante collection de timbres et ne se souciait guère de moi. Avec ma belle-mère, je m’entendais plutôt bien, même si elle me reprochait parfois d’être brouillonne, impulsive et de ne pas avoir la moindre suite dans les idées. - Tu n’es pas du tout structurée. On t’a manifestement trop laissé la bride sur le cou à un moment où il aurait fallu, au contraire, te canaliser. Je ne l’écoutais que d’une oreille. J’avais toujours cons...
Classe de cm2
il y a 2 mois

Fessée devant toute la classe.

Dans une école d'Alsace une nouvelle maîtresse venait d'arriver en cm2 nous la trouvions très jolie et très jeune par rapport à notre ancienne institutrice. Au bout du deuxième jour du haut de nos 10 ans on faisait pas mal les malins face à cette jeune et jolie demoiselle qui finit par craquer en nous promettant de sévère punition. On se disait qu'à part copier des lignes ou se faire sermonner que voulait telle dire par sévère on se disait tranquille. Quelque jours plus tard alors que la classe étais particulièrement agité elle a précisé que dorénavant le premier ou la première qui chahuterait aurait droit à une fessée devant toute la classe. Alors là on c'est tous regardé mais le mal a repris le dessus et quand elle a appelé Damien sur l'estrade, après l'avoir coincé contre elle penché en avant elle lui a claqué les fesses par dessus le pantalon. Pendant un moment le pauvre c'est mis à pleurer tellement ça claquait puis elle l'a autorisé à aller s'asseoir en disant que le prochain...
Alien(ée)
il y a 2 mois

Quand je compris que la lumière qui s'était posée devant moi en pleine nuit n'était pas un hélico, il était déjà trop tard.

Une puissante lumière me brûlait les yeux à travers mes paupières clauses. J’avais un mal de tête à la taper contre les murs. Où pouvais je bien être ? Pas chez moi en tout cas ! La dernière chose dont je me souvienne c’est d’avoir été en voiture sur la route pour rentrer chez moi après le mariage de ma sœur. Et dans mes souvenirs il me restait au moins deux cent kilomètres à faire. A l’hôpital ? J’avais eu un accident ? Je n’avais pourtant mal nul part. Mais si j’étais shootée à la morphine, ça pouvait aussi être une explication. Mes paupières pesaient des tonnes, les ouvrir était un supplice. Lorsque j’y parvins, je vis des silhouettes immenses s’agiter autour de moi. Mais ces gens étaient immenses ! Un quart de seconde l’histoire de Gulliver où il se retrouve à Brobdingnag, le pays des géants me revint à l’esprit. Mais c’était impossible, f o r c é ment. J’étais en pleine hallucination, f o r c é ment. Mon mal de tête était d’une telle v i o l ence que je fermais les...
Une fessée régressive
il y a 4 mois

La régression peut être un moyen de se découvrir

La régression peut être un moyen de se découvrir Jean commençait à s’impatienter. Sophie aurait du rentrer depuis deux heure et elle n’était toujours pas là. Pas un SMS, rien. Enfin la porte s’ouvrit et Sophie entra toute pimpante. C’était une jolie femme de 30 ans, bien faites, élégante, et charmeuse. Elle était vêtue d’un corsage blanc dont les boutons relâchés laissaient apparaître le sillon naissant de sa poitrine. Une petite jupe plissée bleu marine, des bas noirs et ses escarpin à talons. Elle posa son sac et ses clés, allât ranger son manteau dans la penderie et revint vers Jean. A son air renfrogné elle vit que l’humeur n’était pas rose - Tout va bien mon chéri ? - Tu rentres avec 2 heurs de retard et tu me demandes s tout va bien. Qu’as tu fait de tout ce temps - Rien de spécial - 2 heures et rien, tu te moques de moi - Enfin pas grand-chose - 2 heures à faire pas grand-chose au lieu de rentrer, c’est un peu bizarre. Sophie commençait à se sentir mal à l’a...
Une fessée ... très participative
il y a 4 mois

Dans une soirée Fessée une dame va subir les pires humiliations sous les acclamation des spectateurs trés émoustillés

Je m'étais laissé entraîner par un ami à une soirée fessée organisée par son cousin Pierre. A l'arrivée on entrait dans une vaste pièce, des tables étaient rangées le long des murs laissant une place centrale libre qui pouvait être une piste de danse. A l'entrée vous pouviez vous déclarer « Fesseur » (badge rouge), « Fessée » (badge vert) ou simple « voyeur » (badge blanc) Les invités arrivaient par petits groupes et s'installaient autour des tables. On pouvait déjà distinguer, à leurs badges, les fesseurs, les fessées, et les voyeurs les plus nombreux. Pierre entra dans la salle et déclara la soirée ouverte. Les participants s'observaient, personne ne voulant prendre l'initiative de démarrer les « fesse tivités ». Pierre entra dans la salle et s'assit près du bar. Il scrutait les participants et tout particulièrement une jeune femme (badge vert) vêtue d'une robe légère au tissu fleuri qui tout en regardant ses chaussures jetait des coups d'œil furtifs dans sa direction. Dès que l...
Fessées déculottée
il y a 4 mois

Classe de cm2

Dans un petit village de l'est de la France en classe de cm2 nous avions une jeune maîtresse melle berland qui était très jolie mais aussi très sévère. En début d'année elle nous avait prévenu qu'en cas de chahut elle n'hésiterait pas à sévir. Nous n'avons pas trop relevé jusqu'au jour où la classe faisait le pitre on l'a entendue hurler après Brigitte et lui a demandé de la rejoindre sur l'estrade. On c'est dit qu'elle allait se prendre une soufflante mais on a vue la maîtresse prendre sa chaise et la placer au milieu face à toute la classe. On ne comprenait toujours pas jusqu'à qu'elle prenne la pauvre Brigitte par le bras et la traîne sur ces genoux en s'asseyant sur la chaise. Un calme plat régnait d'un seul coup jusqu'à ce que la maîtresse nous annonce que comme on ne tenait pas compte de son avertissement en début d'année elle allait nous montrer comment on punit les élèves récalcitrant en flanquant une bonne fessée à Brigitte pour l'exemple et que ce serait comme ça dor...
Entre belles-mères
il y a 5 mois

Carine s'est vraiment mise en très mauvaise posture en couchant avec son gendre...

- Vous vouliez me voir ? Elle m’a fait la bise, tout sourire. - Oui. Qu’on parle un peu de nos enfants. Entre belles-mères, ça s’impose. Nos enfants. Sa fille. Mon fils. Qui formaient un si charmant petit couple. Que c’en était un vrai plaisir de les voir si amoureux. Si heureux. - Ah, ils se sont bien trouvés, ces deux-là, on peut pas dire ! - Oui. Et puis jamais un mot plus haut que l’autre. Jamais une dispute. Rien. On s’est félicitées. On s’est attendries. On s’est rengorgées. Et puis, d’un seul coup, sans que rien le lui laisse présager, j’ai lâché ma bombe. - Mon fils ne me cache rien. Absolument rien. Jamais. Dans ses yeux, la panique. Une fraction de seconde. Elle s’est immédiatement reprise. S’est voulue impassible. A même souri. - C’est une chance. Pour lui comme pour vous. - Mais sans doute pas pour vous… Cette fois, elle a blêmi. - Comment ça ? - Vous savez très bien ce que je veux dire. - Pas du tout, non. - Allons, Carine, a...
Fessée au bureau
il y a 5 mois

Quand on cherche la fessée, on la trouve même au bureau

J'avais rencontré Xavier au bureau. C'était un grand maigre, parfaitement maître de lui, psychorigide, aussi peu démonstratif que possible, mais que je croyais sensible. Nous avions tout de suite été amenés à travailler ensemble sur les mêmes dossiers, ce qui avait été un succès. Nous nous comprenions bien malgré notre différence de caractère (je suis plutôt expansive) et notre amitié grandit. Que cet homme-là s'ennuyât dans son ménage, qui était d'une morosité plon-plon exemplaire, cela sautait évidemment aux yeux. N'ayant point d'amant, et commençant à souffrir pas mal de ne point en avoir, je ne tardais pas à lui proposer une fois par semaine la récréation d'une après-midi de plaisir. Il refusa, horrifié. Je fus cruellement déçue, et je décidais de mener dès lors, au travail, une vie d'enfer au malheureux. Ennuyé de ma méprise, tenant à mon amitié et surtout, sans doute, à la paix sur le lieu de travail, il ne savait comment parer mes attaques, qui se multipliaient. C'était, là,...
Une fessée de mon Papounet
il y a 6 mois

Quand maman a demandé à papa de me fesser

Lorsque Stéphanie et moi étions à l’école primaire, les fessées de notre Papounet furent très rares, mais il s’est bien rattrapé par la suite lors du collège puis du lycée ! C’était surtout Maman qui suivait notre scolarité et s’occupait de nos fesses pour punir notre indiscipline en classe. Il y eut cependant quelques exceptions comme celle-ci. J’étais au CM2 et si mes résultats scolaires étaient très corrects depuis le CP, j’avais une fâcheuse tendance à être dissipée en classe. Bien sûr, chaque doléance des maîtresses ou chaque mot sur le carnet étaient l’assurance d’une bonne fessée déculottée de Maman, mais à force de m’en donner sans constater de véritable amélioration, elle envisagea une solution bien plus difficile et radicale pour moi. Un vendredi soir, une semaine avant les vacances de Noël, elle reçut une nouvelle doléance de la maîtresse et, devant toute l’assistance, annonça que j’allais recevoir une bonne fessée déculottée sans donner plus de précisions, ce qui ét...
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