Récits
Au bord de la piscine
il y a 3 jours

Qui cherche finit par trouver

Cette année-là, j’avais treize ans ans, mes parents avaient loué, pour toute la durée du mois d’août, une villa avec piscine dans les environs de Saint-Raphaël. Tante Sophie, la sœur de ma mère, nous y avait rejoints. Elle avait vingt-cinq ans, aimait sortir, s’amuser et était belle comme un cœur. Je m’en sentais secrètement éperdument amoureux. Elle avait, dès le début des vacances, rencontré deux jeunes femmes de son âge, Liliane et Véronique, avec lesquelles elle s’était liée d’amitié. Elles passaient, toutes les trois, presque toutes leurs après-midis au bord de la piscine. Et moi, bien sûr, je n’avais rien de plus pressé que d’aller les y rejoindre. Ce jeudi-là, c’était le 11 août, je m’efforçais désespérément d’attirer leur attention. En vain. Elles étaient en pleine discussion toutes les trois et m’ignoraient superbement. Je me suis alors mis à courir tout autour de la piscine, dans l’espoir qu’elles allaient finir par s’intéresser à moi. Sans plus de succès. J’ai continué...
Résultat de la contre-proposition
il y a 1 semaine

Il faut parfois prendre des risques

Je viens de m'apercevoir que je n'ai pas fini de raconter l'histoire de proposition et contre proposition. Petit rappel de l'épisode précédent... mon ex épouse ayant besoin d'une aide financière temporaire pour obtenir la location de son nouveau logement a sollicité mon aide. J'ai cru que j'allais pouvoir en profiter pour qu'elle me donne une nouvelle fessée... Elle m'a fait la proposition suivante : si tu m'aides tu auras une bonne fessée mais ce n'est pas moi qui vais te la donner. J'ai voulu savoir qui c'était, elle m'a répondu tu acceptes où pas ? La suite maintenant... Après une nuit de réflexion mon envie étant plus forte que mon appréhension j'ai accepté le deal. Elle m'a dit : c'est mon nouveau compagnon qui va t'administrer la fessée que tu réclames... J'étais surpris, un peu gêné, et j'appréhendais beaucoup. Le jour j, c'était un 14 février, nous avons discuté toute la journée, mon ex épouse m'a demandé de lui montrer mes culottes féminines afin qu'il choisisse cel...
Madame & o : La rencontre pour de vrai... 2ème partie
il y a 2 semaines

voici la suite du récit de ma 1ère rencontre avec Madame. Cette dernière a supervisé l'écriture de ce texte, Elle y a aussi apporté des modifications et précisions importantes, afin que celui-ci corresponde à 100% à la réalité de ce qui s'est passé entre nous...

J'étais nue, habillée simplement de ma cage et du collier relié à sa cheville par la laisse. Le nez dans ma gamelle, je finissais les restes qu'Elle avait bien voulu me donner. Je ne la connaissais que depuis quelques heures et j'étais déjà sa chienne, à ses pieds, à ma place. Après avoir vérifié que j'avais correctement fini mon repas, Madame a décidé de me punir pour une faute de langage commise dans nos échanges par mails. Cette erreur allait me valoir ma toute première punition. Elle a tiré sur ma laisse et j'ai marché, à quatre pattes, jusque dans la chambre. Elle s’est assise au bord du lit, a mis ma tête sur ses cuisses et, tout en me caressant le visage, Elle m’a calmement dit « Ne m’appelle plus jamais "Maîtresse". Pour toi, et jusqu’à nouvel ordre, je suis "Madame", juste "Madame". Et si tu me satisfais assez, si tu deviens une bonne chienne, alors peut-être qu’un jour, tu pourras m’appeler Maîtresse, mais ça sera quand Moi je l’aurai décidé. Pour faire rentrer cette le...
Les nouveautés
il y a 3 semaines

Une femme réalise avec son mari et sans l'avoir informer, quelque chose dont elle avait très envie.

Sur le bord du lit, des coussins empilés doivent être en nombre suffisant. Pour vérifier je m’assois dessus, tant que mes pieds touchent le tapis au sol cela n’ira pas. Encore trois autres que je récupère discrètement dans la deuxième chambre. Lény qui prépare un repas rapide ne doit pas savoir, enfin pas avant le dernier moment. Ce soir nous allons nous divertir, une partie de sexe version sport et exaltation. Et c’est moi qui ai gagné la main, le rôle de meneuse. Je dissimule les coussins dans le placard, laissant les deux seuls habituels du lit, et descends dans la cuisine. Face à mon compagnon je ne cache pas mon plaisir d’avoir prévu une nouveauté, il a forcément observé un sourire en coin allumant mon visage. Je m’installe à la table où le couvert est déjà prêt, Lény finit de cuisiner. Même si le leader du jour ne régit pas de tout durant nos abats, il propose les lignes principales, les jeux, quand cela débute et se termine. Il doit s’assurer de satisfaire les désirs des deux...
Nuit d'ivresse
il y a 3 semaines

Il a tenu 19 ans. Et puis...

Quand mon père est décédé, emporté par l’abus d’alcool, j’avais quatre ans. Et ma mère n’a plus dès lors vécu que dans la hantise que je ne finisse par suivre le même chemin. Si bien qu’à compter de ce jour plus la moindre goutte d’alcool n’est entrée dans la maison et qu’elle s’est employée, chaque fois que se présentait l’occasion de le faire, à me mettre systématiquement en garde contre les dangers de ce qu’elle considérait, ce qu’on peut comprendre, comme un poison mortel. En sorte qu’à dix-neuf ans, je n’avais jamais touché ni bière ni vin et encore moins whisky ou vodka. Et puis il y a eu ce soir-là. Il faisait un temps magnifique. C’était l’été. Les vacances. Une foule de touristes avait envahi le petit village ordinairement paisiblement endormi que j’habitais. Il y avait des guitares. Un bal s’est improvisé. L’excitation. L’euphorie. On m’a tendu une canette. Je l’ai machinalement saisie, portée à mes lèvres, bue. J’ai apprécié. Une autre. Encore une autre. Ma tête s’est mise...
Fessé par la belle-mère
il y a 1 mois

Un coup de canif qui coûte cher...

- Alors comme ça, t’as trompé ma fille ! Je me suis figé sur place. - Comment vous le savez ? Réponse idiote. On ne peut plus idiote. Parce qu’elle constituait un aveu. - C’est pas la question comment je l’ai su ! La question, c’est qu’il suffit qu’elle ait le dos tourné trois jours pour que t’en profites ! Ça avait été une véritable idiotie, cette fille, la veille au soir ! Elle me plaisait pas vraiment en plus. Elle m’avait chauffé. J’avais saisi l’opportunité. Et maintenant… - À un mois du mariage ! S’il a lieu, parce que connaissant ma fille, si elle apprend une chose pareille… J’ai balbutié. Bredouillé. - Je regrette… J’aurais pas dû… C’était idiot. - Il est temps de t’en apercevoir. J’ai timidement tenté ma chance. - Peut-être que… - Que quoi ? Que je cautionne ? Que je fasse comme si de rien n’était ? Et puis quoi encore ? Elle a soupiré. - Non, le problème, c’est que ça va recommencer. J’ai voulu protester. Elle m’a fait taire, d’un...
Séance découverte
il y a 1 mois

L'emprise d'une Maîtresse sur l'esprit.

Quel que soit son degré de pratique BDSM il existe des moments où la libido prend le dessus, où la masturbation et l'auto punition ne suffisent plus. Il devient impérieux de passer à l'acte et de s'en remettre à un dominant, quitte à prendre des risques. C'est mon cas. Surf sur un site spécialisé, contact avec une Maîtresse dont l'annonce et les photos me séduisent. Après m'être présenté, homme soixantaine adepte d'éducation anglaise, et l'avoir convaincu de ma motivation et de ma pratique réelle je suis tombé en son pouvoir de persuasion. Nous convenons d'un rdv pour lequel je dois arriver rasé et porteur d'une cage de chasteté depuis trois jours. Jamais je n'avais été au-delà de quelques heures, jamais je ne l'avais portée au boulot...quelles sensations toute la journée ! Pour être franc j'ai peur. Cette Maîtresse me rend fou tout autant qu'elle m'inquiète par sa posture et ses pratiques qui vont bien sûr bien au-delà de mon goût pour l'éducation anglaise, aux hu...
Ménage à trois
il y a 1 mois

De cage en cage

Théo, Jean et moi, on fait ménage à trois. Enfin, ménage, façon de parler. Parce qu’on vit le quotidien ensemble, oui, mais c’est pratiquement tout. Théo s’occupe de l’entretien de la maison : intérieur et extérieur. Jean, lui, gère tout ce qui relève de l’administratif : courrier, impôts, banque, etc. Quant à moi, je supervise. On s’entend à merveille tous les trois. Jamais un heurt. Jamais un mot plus haut que l’autre. Peut-être est-ce dû, au moins en partie, à ce que je leur ai mis leurs petits oiseaux en cage. Si bien qu’elles me fichent une paix royale, leurs bébêtes ! Eux, ça les rend plus paisibles. Plus sereins. Oh, je ne leur interdis pas de s’occuper de moi, bien au contraire. Mais c’est uniquement quand moi, je l’ai décidé. Et seulement avec leurs mains et leurs bouches. Dont ils se servent pour me donner du plaisir. À tour de rôle ou ensemble. C’est comme je veux. Ils adorent. Ils sont ravis. Pas question, par contre, qu’ils me pénètrent. C’est totalement exclu. Pour ça, j’...
Une petite amie très déterminée
il y a 1 mois

Daphné est bien décidée à prendre les choses en mains.

On s’était connus, Daphné et moi, à la fac de droit, en première année. On s’était tourné un bon moment autour et puis, finalement, ça « l’avait fait ». Dans la journée, entre deux cours, on se retrouvait chez elle, un petit studio que lui louaient ses parents, à quelques centaines de mètres de la fac. J’avais aussi fini par y passer la nuit. Au lit, elle était très ardente et, au fil du temps, se laissait de plus en plus aller. Au point de se mettre à m’expédier sur les fesses, au cours de nos ébats, un certain mardi de novembre, une salve de claques extrêmement énergiques. Une fois la ferveur retombée, elle a voulu s’en excuser. - Désolée, je suis désolée, mais prise dans le feu de l’action… - Oh, mais ça fait rien. Ça fait rien. Je n’allais pas me plaindre : elle avait joui de façon beaucoup plus expansive encore que les fois précédentes, ce que j’avais, pour ma part, énormément apprécié. Forte de cette première expérience, que je n’avais pas réprouvée, elle a recommenc...
Souvenirs cuisants (2)
il y a 1 mois

On ne s'arrête pas en si bon chemin.

Comme elle me l’avait demandé, je me suis rendu dans sa chambre pour me dessiner. Nu. De dos: mes fesses, mes cuisses, le bas de mon dos, striés de longues zébrures rougeâtres qui commençaient déjà, pour certaines d’entre elles, à boursoufler. Et de face: en pied, le visage baigné de larmes. Je faisais d’incessants va-et-vient entre la glace, dans laquelle je me regardais pour être au plus près de la « vérité » et son secrétaire sur lequel j’avais posé crayons et papier à dessin. Je travaillais à genoux. J’avais bien essayé de m’asseoir, mais j’avais le derrière littéralement en feu. Et la douleur était bien trop insupportable.  De temps en temps, elle venait me voir à l’œuvre. Elle s’attardait quelques instants. - Oui, c’est ressemblant. Et elle repartait sans un mot. Devoir me fixer sur le papier dans l’état pitoyable où elle m’avait mis, avait quelque chose de profondément mortifiant, mais en même temps, paradoxalement, j'éprouvais une sorte de volupté trouble à le faire. Je...
Souvenirs cuisants
il y a 1 mois

Elle a attendu longtemps, mais elle est parvenue à ses fins.

En 1939, mon père s’était fiancé à Blanche. Des fiançailles qui, à cause de la guerre, s’étaient éternisées. Il avait été fait prisonnier, transféré en Pologne où il avait rencontré ma mère, Anna, dans des conditions sur lesquelles il n’a jamais, par la suite, voulu vraiment s’étendre. Toujours est-il qu’à la Libération, c’est avec elle qu’il est rentré en France. Où il s’est empressé de rompre ses fiançailles. Au grand dam de Blanche qui, ce qu’on peut comprendre, lui en a infiniment voulu. Avec Anna, ma mère, il a vécu des mois de pur bonheur. Je ne l’ai malheureusement pas connue : elle est morte en 1946, en me mettant au monde. C’est ma grand-mère paternelle qui m’a alors élevé. Jusqu’en 1954, date à laquelle elle est à son tour décédée et où Blanche a surgi dans ma vie. Mon père et elle s’étaient revus, expliqués. Ils avaient décidé de reprendre leur relation et, le 9 juin de cette année-là, elle est venue s’installer définitivement à la maison avec nous. 2- Il m’est tout de...
Fessée par ma tante
il y a 1 mois

A force de vouloir baisser le pantalon de mon cousin, ma tante décida de me faire subir le même sort.

Je devais avoir 11 ans, ou peut-être 12 je ne sais plus trop, toujours est il que j'étais un garnement à cette époque et que mon passe temps favoris était de déculotter les amis ou cousins devant les filles. Un jour que j'étais chez ma tante avec mes 2 cousines Émilie et Christine, et mon cousin David, il pleuvait, on était à l'intérieur à jouer dans le salon avec tout pleins de jeux différents. Un moment ou je m'ennuyais j'ai décidé de baisser le pantalon de David qui avait mon âge, devait sa sœur Émilie qui en avait 10 et notre cousine Christine qui en avait 13. Il est parti le pantalon baissé se plaindre à sa mère qui était dans la cuisine. MA tante le rhabilla et vient me sermonner en disant que c'était pas bien. Ho ça je le savais que c'était pas bien, mais ça avait beaucoup plu aux filles, alors quitte à me refaire engueuler, j'ai recommencé un peu plus tard. Sauf que cette fois j'ai tiré très fort et baissé le slip en même temps, en disant "regardez les filles le zizi...
Publicité en cours de chargement