Récits
L’étudiante fille au pair en Angleterre découvre l'éducation dite anglaise
il y a 1 mois

Education anglaise et plaisir entre filles

J'ai 20 ans, je suis étudiante, et cette année je suis allée en Angleterre comme jeune fille au pair. J'ai perfectionné mon anglais, mais surtout j'ai appris ce qu'était l'éducation dite anglaise et aussi ce qu'était l'amour entre filles. Voici comment les choses se sont passées. J'étais dans une famille de 4 personnes : Ian et Jane, les parents, la quarantaine, et 2 filles, Anabel, 18 ans, et Susan, 21 ans. Tous très gentils et je me suis aussitôt sentie à l'aise. Très vite j'ai remarqué que les parents étaient très sévères avec les filles qui avaient droit à de nombreuses réprimandes. A chaque fois elles étaient gênées, comme si elles allaient être punies. Mais il ne se passait rien. Je demandais des explications à Susan, qui me dit que je verrais ça samedi. C'est comme ça que j'ai été invitée à assister à la séance hebdomadaire de punition des filles, le samedi après-midi, dans le salon. Les filles parurent devant nous complètement nues, les mains sur la tête. Je ne pouvai...
Entrée 5 : Le lac des larmes
il y a 2 mois

La vraie entrée 5 parce que l’autre d’avant c’était l’entrée 4 mais en soit on s’en fiche personne ne lis les description non ?

« À genoux » Mon regard de feu se perdait dans ses iris de glace. Sa voix aussi posée que directive m’ôtait tout désir de rébellion ou de jeu insolent. Ainsi, je laissais mon corps descendre petit à petit le long de ses jambes, une fois à genoux, la flamme vacillante de mon regard était meurtrie par le vent glacial de son expression. « En seiza… Paume vers le haut. » Je laissais mes fesses s’appuyer contre mes talons avant d’exécuter son dernier ordre aussi mordant qu’un courant d’air. Mon regard suivait ses déplacements avec attention vers le buffet où toutes ses armes étaient posées. « Regarde devant toi, le mur. » La clarté de son déplacement fut assombrie. Mes yeux captaient le mouvement, mes oreilles accrochaient le son de ses pas, de sa façon méticuleuse de récupérer une chaîne claquante. Pour autant, tout cela restait flou. Flou de ne pouvoir suivre avec attention ce qu’elle préparait. Pour la première fois, je n’avais absolument aucune idée de ce qu’elle avait...
Entrée 4 : Les démons du temps et du contrôle
il y a 2 mois

Cinquième entrée de mon journal. Revenant rapidement sur une semaine ou le temps se distord, où mon esprit s'accroche au contrôle.

C’est l’esprit embrumé que j’écris ces lignes que je n’arrête pas de supprimer. Alors que tout était clair quelques secondes plus tôt, je me perds dans un flot. Flot de pensée parasite et, j’hésite, ou je peine à me souvenir. Mon esprit s’emballe, et me replonge dans mes démons. Ceux que je fuis quand nous dormons et qui réapparaissent le matin et me font front. Alors que je retombais sur ma première annonce, j’observe celle, qui, malgré elle en est devenue l’actrice principale. L’ironique ces premières lignes écrites, j’en souris. Cette reine, cette impératrice de mes peurs qui sommeil dans son cœur. Je relis alors la fin de mon annonce, pas par nostalgie, mais en réponse. Réponse à cet esprit parfois trop perfectionniste, refusant de s’abandonner, de profiter, cet esprit rationaliste qui analyse sans cesse. Il cherche. Quoi ? Me direz-vous, et je vous répondrais que c’est tout l’intérêt de ces entrées. Je crois qu’il est temps, temps de hausser le niveau de jeu. De perdre réellement...
Entrée 02 : Dualité des sens
il y a 4 mois

Deuxième entrée de mon journal de soumission et ma première séance avec ma maîtresse R. Tout est réel bien qu'un peu résumé.

La lumière dansait sur les murs comme le ballet d’une flamme de bougie vacillante. Plongée dans la pseudo-obscurité rougeâtre imposé par le lustre, je faisais bouger les pièces de l’échiquier pour parfaire mon Gambit Dame. Les pièces prenaient leur emplacement de façon répétée comme pouvait le faire des acteurs de théâtre. Le temps se perdait dans un flot aussi grand que l’insolence qui grandissait en moi. Mes yeux se posèrent rapidement sur la porte fermée après que l’ordinateur m’ait fessé d’un échec et mat difficile à digérer. Soit… Cela faisait quarante minutes qu’elle attendait dehors… Elle était bien plus disciplinée que je ne l’étais. « Je viendrais te chercher quand je serais prête » lui avais-je dit plus tôt. Je l’avais plongé plusieurs fois dans l’obscurité pour la faire réagir, mais jamais elle n’avait franchi la porte de la chambre. J’avais même par moments laissé échappé quelques mécontentements quand je perdais bêtement des pièces, et j’avais même monté le son… Rien…...
Regarder mon mari se faire sodomiser SUITE
il y a 5 mois

Va t'elle concrétiser sont envie de faire sodomiser son mari par un homme ?

Chapitre 2 Son idée était de passer par le bondage pour obliger nos hommes, et surtout mon mari, à avoir un contact physique. Nous sommes allés chez eux pour une petite soirée d’initiation au bondage. Après leur avoir demandé de se mettre en slip, elle a commencé par réaliser un bondage sur son mari qui était debout en lui faisant une sorte de harnais bloquant ses mains et bras dans le dos. En même temps, je devais faire de même sur mon chéri. C’était un véritable cours de shibari. Une fois qu’ils se sont retrouvés entravés, elle leur a demandé se s’asseoir puis de se coucher sur le sol. Et là, les choses ont changé très vite, elle les a lié l’un contre l’autre en « chien de fusil ». Mon mari avait le sexe d’un homme collé contre ses fesses. Je voyais bien son regard désespérés mais je n’ai pas réagi. Lydia s’est ensuite occupée de moi en attachant mes bras et mes mains dans mon dos. Elle a murmuré à mon oreille que nous allions les rendre fous et nous amuser toutes les deux. L...
Émoi dans la vaste cabine d'essayage
il y a 8 mois

Quand une lesbienne s’émeut avec un corset

Dans la vaste cabine d'essayage, voici face à moi ce vêtement qui s'est déjà emparé de mon esprit, intimidée à l'idée de lui confier mon corps, comme s'il était un amant prêt à me prendre. En douceur, les reflets du satin l'annoncent, mais sans faiblesse, vingt et un oeillets de chaque côté du dos, un long réseau de lacet noir me le démontrent. Je caresse l'étoffe d'une main hésitante, je sens la ferme élasticité des baleines, l'extérieur lisse et moiré. Comment vais-je tenir là dedans ? L'amicale vendeuse m'a laissée seule, s'offrant à venir m'aider à tout moment, tout sourire et complicité. Je crois que j'aimerais mieux qu'elle me dirige fermement et sévèrement, mon angoisse céderait au désir de lui plaire. Mais non, ce sera pour plus tard, pour Hélène qui attend. Allons-y. Je déboutonne ma blouse, je défais mon soutien-gorge. Ces gestes familiers, je les accomplis un peu solennellement, face au grand miroir doucement éclairé. Malgré la température idéale, l'ambiance de tranqu...
L'importance des mots entre une soumise et sa maîtresse
il y a 8 mois

Dans une journée qui se voulait banale une soumise s’abandonne totalement à sa maîtresse.

Baignée dans un mélange de lumière bleuté et vermillon, j’ouvre lentement mes paupières alors que les premiers rayons de soleil traversent la baie vitrée qui donne sur le jardin luxuriant. Mon corps s’étire lentement, et à chaque battement de paupière, je reprends peu à peu conscience. La nuit a été courte, les sévices pour mon insolence lourdes. Alors que je redresse mon corps sur le sofa, mes yeux se posent sur la lettre sous le magnolia. La fleur est posée sur cette table basse, mais la lavande me menace. La lavande, ce brin, je sais ce qu’il signifie et elle le sait aussi. Symbole de la défiance, ma bouche pâteuse déglutie tandis que mes orteils se tortillent. D’un geste lent, mais élégant - Elle y tient - j’avance sans prudence ma main vers la lettre. Le sceau fait de cire serti d’un majestueux « M » est un indice qui m’échappe sur le moment. Je l’ouvre et y découvre un mot, ou plutôt une liste. Les yeux parcourent les lignes finement écrites, je me vois même jalouser cette callig...
Perversions maximums
il y a 9 mois

L’initiation d’une jeune fille aux plaisirs saphiques par le fétichisme médical avec un kiné aussi dominant que pervers.

J'ai maintenant 28 ans, mais je voudrais raconter une aventure qui m'est arrivée il y a bien longtemps. À l’époque j'avais tout juste 18 ans ; après une chute dans un escalier, je me relevai avec pas mal de bleus et très mal au bas du dos et aux fesses. maman me conduisit chez notre médecin de famille, qui après un examen rapide, m'assura que je n'avais rien de cassé, et me prescrivit une série de séances de massages. Maman téléphona donc à un cabinet de la ville voisine et obtint un rendez-vous très rapidement. Elle m'accompagnait lors de la première séance. Le kiné nous reçu très aimablement et nous fit bonne impression : assez jeune, dans les 25 ans, grand, beau garçon, souriant, assuré... Il nous fit asseoir, lut l'ordonnance, rédigea les papiers nécessaires et m'interrogea longuement sur ma chute et le siège des douleurs, et je lui répondis aussi précisément que possible, pendant qu'il prenait des notes. Ensuite, il se leva et m'invita à le suivre dans une autre pièce. Maman...
L'initiation d’une lesbienne à la soumission
il y a 10 mois

La Maîtresse use d’un moyen peu commun d’un grande perversité

J’étais dans le train, proche de l’arrivée. Une fois de plus, les instructions de Béatrice avaient été claires, mais j’avais été surprise de ne pas avoir d’instructions vestimentaires pour le voyage. Il était simplement dit : " LN-27. Vous devez vous rendre ce week-end au lieu habituel pour une initiation. B. " J’avais trouvé une excuse, rassemblé quelques affaires, et j’étais partie. Soucieuse toutefois du plaisir de ma maîtresse, je portais un porte-jarretelles blanc et des bas noirs sous mon tailleur strict... Au cas où. Dominique me retrouva à la gare. Prévenant, il porta mes bagages, m’installa à l’arrière. Il me tendit l’habituel masque de cuir et les menottes : Béatrice gardait le goût du secret quant à ses résidences... Je m’aveuglais, m’entravais, et m’allongeais pour le voyage. Une petite heure plus tard, les pneus crissèrent dans une allée caillouteuse. Je fus sortie de la voiture, et guidée le long des marches. Mon masque fut ôté, mes mains libérées. Elle était...
La discipline au pensionnat des jeunes filles
il y a 11 mois

La directrice lesbienne et ses deux sous-maîtresses adorent quand il y a des fessées.

Le pensionnat comptait environ 80 élèves. La règle dans la maison était de châtier les écolières indisciplinées, par la fessée manuelle, ou par le martinet, quelquefois par les deux. Les verges ne servaient que rarement, pour les délits graves et les fautes, nécessitant une correction très sévère. Ce qu’il est tenu au secret, c’est ce qu’il se passe dans le cabinet de la directrice, toujours accompagnée de ses deux surveillantes aussi perverses que la directrice. Initialement, ces deux sous-maîtresses sont là pour aider en cas de résistance des élèves punies, puis pour témoigner que les punitions sont respectueuses des nobles traditions scolaires. L’une a tout juste 23 ans et promet de grands plaisirs à qui saura dompter, la tigresse dont le corps à peine potelé est si bien dessiné. Avec une poitrine généreuse, dont la vallée large et profonde attire le regard, lorsqu’elle plonge ses yeux noir dans ceux des élèves, elle ne génère pas que la peur mais plutôt une sorte de craint...
Soumise d’une domina saphique 4 et fin
il y a 11 mois

Recadrage et formation BDSM d’une soumise par une lesbienne amoureuse

[LE DEBUT DE CETTE HISTOIRE EST ICI](/recit/202901) Laurie m’a indiquée que je la frustrais et même que je l’ennuyais de plus en plus, avec ma timidité un peu exagérée et pudeur déplacée. Cette remarque fit mouiller mes yeux et me gêna beaucoup. Elle m’expliqua que les Maîtresses aiment montrer leur soumise ou leur soumis, dans certains lieux adaptés. Elle précisa pour que les choses soient bien claires, que cela ne pouvait évidement se faire n’importe où et que le but de ces petites exhibitions de partage, ne devaient jamais mettre en péril la vie sociale des personnes dites soumises. La discussion, presque un monologue tant ma gorge était serrée, dura un moment - De quoi as-tu peur ? D’être jugée ? C’est une erreur ! Dans des soirées privées ou lieux comme ici au gîte fétichistes, le regard des personnes extérieures est justement l’inverse de ce que tu penses. Prenons pour exemple, une fille nue à quatre pattes en train de manger dans une gamelle comme une chienne. Si cela pe...
Soumise d’une domina saphique 3
il y a 11 mois

Quand deux lesbiennes partent en vacances au gîte fétichiste, il y a du BDSM dans l'air et plus encore...

[LE DEBUT DE CETTE HISTOIRE EST ICI](/recit/202901) C’est après six heures de route, que nous sommes arrivées au gîte fétichiste, situé en ESpagne près de Saragosse. Laurie ne m’ayant dévoilée la destination finale que 10 minutes avant, j’étais très intimidée lorsque le monsieur tout souriant nous a accueillies. Elle le connaissait pour être allée à une de ses soirées BDSM, quand ils étaient en France. Ils se sont fait la bise et semblait ravis de se revoir. Cela sentait l’embrouille pour la grande timide que je suis, car leur complicité était palpable lors de la visite des lieux. Oh ce n’est pas la visite de l’appartement qui m’a perturbée, mais celle du donjon où il lui donnait quelques pistes pour utiliser le matériel, comme si ma Maîtresse avait besoin d’idées perverses... Pour la suite de la visite, il nous a faites passer par la salle aux secrets, une pièce remplie d’accessoires et de vêtements aussi originaux que particuliers tout comme la camisole de f o r c e et autres.....
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