Récits
Histoire vécue (6)
il y a 1 mois

Suite et fin des cinq épisodes précédents

Or, il advint que les choses ne tournèrent pas comme l'avait prévu et voulu mon infernale subalterne. En dépit de "mon" dithyrambique rapport de stage, il fut décidé en haut lieu de ne point reconduire le contrat de Mlle Svetlana S...... . Certainement les comptables de la société n'avaient t-ils pas estimé son renfort suffisamment productif pour le service que, jusqu'à sa venue, j'assurai seul. Toujours est-il qu'elle apprit la nouvelle seulement quelques jours avant le fin du mois, et exactement au même moment, car de la même façon, que moi : par courriel. Je levai les yeux, affolé à l'idée qu'elle puisse penser que j'y étais pour quelque chose : cette furie aurait bien été capable de ma masturber par force jusqu'à épuisement, ou de m'arracher mes habits pour me pousser nu dans l'ascenseur, ou me laisser ligoté toute la nuit jusqu'à l'arrivée des techniciennes de surface, au petit matin... Je vis ses yeux devenir deux puits noirs insondables. Puis elle leva la main droite,...
Histoire vécue (5)
il y a 1 mois

Suite des quatre chapitres précédents

En arrivant au travail le lendemain, je trouvais ma subalterne assise dans mon fauteuil directorial, ses pieds nus sur mon bureau. "Bonjour Svetlana" lui dis-je "veuillez avoir l'obligeance de regagner votre place, s'il vous plaît", et je vins me planter tout près d'elle pour l'inciter à déguerpir. Mais elle se contenta de lever les yeux vers moi en faisant la moue, avant de dire "Tourne-toi et baisse ton pantalon" Serrant les dents de rage impuissante, je m'exécutai : cette garce voulait voir si le Propriété de Svetlana qu'elle m'avait la veille écrit sur les fesses au feutre indélébile était toujours là, conformément à ses ordres. Il y était. "C'est bien" me dit-elle en m'octroyant une tape sur le postérieur "tu mérites une récompense. Fais-moi face" Je pivotai sur moi-même et, me gratifiant d'un regard langoureux de ses yeux noisettes, elle commença à me branler. Puis elle se rassit et me prit en bouche. Je n'avais jamais été sucé ainsi : sa langue virevoltait tout...
Histoire vécue (4)
il y a 1 mois

Suite des histoires vécues 1, 2 et 3

En arrivant au travail le lendemain, je trouvais Svetlana déjà à son ordinateur, et les clés du local étincelant sur mon bureau. Je la saluai et elle leva la tête pour me dire, de son air le plus nunuche "Bonjour chef, comment ça va?" en se payant le luxe de papillonner des cils, par-dessus le marché ! "Comme un homme vaincu et humilié par une fille" songeai-je par devers moi - mais je me contentai de lui signifier assez sèchement que les fantaisies des deux soirs précédents étaient terminées et n'auraient plus jamais lieu. Emme m'adressa son petit sourire en coin caractéristique pour toute réponse. Je remis les clés dans ma poche, accrochai ma veste et me mis au travail. Dix heures venaient de sonner lorsqu'une culotte écarlate atterrit sur mon clavier. Interloqué, je levai la tête et vis que Svetlana, vêtue d'une robe très échancrée, s'était subrepticement approchée. Elle était déchaussée - ce qui explique que je ne l'avais pas entendue venir - et son téléphone dépassa...
Histoire vécue (3)
il y a 2 mois

Suite des "Histoires vécues" 1 & 2

De l'autre côté des deux bureaux, disposés face à face, qui nous séparaient, Svetlana levait parfois la tête de son clavier pour m'adresser ce petit sourire légèrement asymétrique qui était un des nombreux éléments constitutifs de son charme. Elle pouvait se montrer narquoise, après ce qu'elle m'avait infligé la veille ! Je bouillais intérieurement d'une honte furieuse. Comment avais-je pu être défait par cette fille de 20 ans, 20 kg et 20 centimètres de moins que moi ? Je finis par me persuader que c'est parce qu'elle m'avait traîtreusement pris par surprise - parce que je ne croyais pas vraiment qu'il y aurait lutte, que c'était juste un prétexte pour s'envoyer son chef de service. Mais quand-bien même : quel besoin avait-elle eu, sa perfide victoire remportée, d'ainsi m'humilier ? Hier soir j'avais jeté au vide-ordure le slip qu'elle m'avait forcé à gorger de mon sperme, tant sa vue me rappelait la honte endurée. Et petit à petit, il m'apparut non seulement légitime, mais sus...
L'importance des mots entre une soumise et sa maîtresse
il y a 2 mois

Dans une journée qui se voulait banale une soumise s’abandonne totalement à sa maîtresse.

Baignée dans un mélange de lumière bleuté et vermillon, j’ouvre lentement mes paupières alors que les premiers rayons de soleil traversent la baie vitrée qui donne sur le jardin luxuriant. Mon corps s’étire lentement, et à chaque battement de paupière, je reprends peu à peu conscience. La nuit a été courte, les sévices pour mon insolence lourdes. Alors que je redresse mon corps sur le sofa, mes yeux se posent sur la lettre sous le magnolia. La fleur est posée sur cette table basse, mais la lavande me menace. La lavande, ce brin, je sais ce qu’il signifie et elle le sait aussi. Symbole de la défiance, ma bouche pâteuse déglutie tandis que mes orteils se tortillent. D’un geste lent, mais élégant - Elle y tient - j’avance sans prudence ma main vers la lettre. Le sceau fait de cire serti d’un majestueux « M » est un indice qui m’échappe sur le moment. Je l’ouvre et y découvre un mot, ou plutôt une liste. Les yeux parcourent les lignes finement écrites, je me vois même jalouser cette callig...
Histoire vécue (2)
il y a 2 mois

Suite de mon "Histoire vécue"

Il y avait, au sous-sol de cet immeuble de la rue de Miromesnil, une salle de gymnastique abondamment pourvue de machines et accessoires concernant tous les muscles du corps. J'y allai quelquefois entre 13h et 14h, et ma subordonnée aussi. Il advint qu'un jour, j'étais si occupé sur le banc de musculation que je ne pris pas garde que l'endroit s'était vidé... à l'exception de Svetlana qui entretenait sa musculature, dont elle avait grand besoin pour me vaincre, en faisant des tractions à la barre fixe. C'est donc ruisselante de sueur qu'elle s'approcha de moi - qui étais toujours allongé sur mon appareil - avec son sourire oblique et son abondante chevelure châtain ramenée sur le vertex. Avant que j'ai pu dire un mot, elle s'agenouilla à ma portée et plaça son aisselle sur mon visage. "Sens" ordonna-t-elle "inspire bien, je veux entendre" Tremblant d'épuisement et de rage impuissante, je n'eus guère d'autre choix que d'obtempérer en inhalant son âcre mélange de transpiration...
La suite 4
il y a 2 mois

La Suite 4 :)

Jeudi , la journée est calme mais je suis excité depuis notre amusement d’hier soir. Ce matin au réveil ma maîtresse m’annonce par message que ce soir j’aurais droit à ma surprise , que je rougirais mais que mon plaisir sera doublé. A ma pose déjeuner je rentre tranquillement chez moi , je reçois un sms sur la route de ma maîtresse me disant d’enfiler une paire de bas sous mon pantalon de costume ainsi que la cage de chasteté. Petite parenthèse , j’adore la sensation des bas dans les chaussures et le frottement contre mon pantalon ! Bref je suis fétichiste du nylon. Mon après midi ce passe dans le plus grand calme , mais je réfléchis sans cesse à ce qui pourrais m’arriver ce soir. 18h45 , je fonce chez mon petit caviste pour la soirée. Une bonne bouteille de champagne et c’est partie. Devant la porte de ma maîtresse mon coeur bat très très fort je suis assez excité. Elle m’ouvre , je rentre , m’embrasse , baisse mon pantalon pour contrôler bas et cage. Une fois la douane pas...
La suite 3
il y a 2 mois

La suite 3

Nous sommes mi janvier , après un grand nombre de jeux divers avec ma "cliente Dominatrice " voici une autre histoire qui c’est une nouvelle fois réellement passé. Mercredi 15h30 Sagement installez à mon bureau avec des clients , ma standardiste m’appelle en me disant que madame ... m’attendait à l’accueil. Une fois fini avec mes clients je vais recevoir cette cliente, qui s’avère être ma domina qui se présente sous un autre nom pour me faire la surprise. Nous discutons un long moment et m’invite chez elle le soir même pour une surprise de "taille". Me voici tout excité en voulant avoir cette surprise , entre temps mes collègues me sautent dessus en me disant que ma cliente est trop belle et qu’ils rêveraient de s’en occuper ! Au fond de moi je rigole, car il ne s’imagine pas ce qu’elle peut leur faire subir... 19h débauche et direction maison Grosse douche je saute dans un chino une chemise et des Stan pour être un peu décontracté. Elle ouvre la porte , perchée sur de...
La féminisation de Nicolas: un samedi riche en événements
il y a 2 mois

Nicolas fait connaissance d'une voisine mystérieuse et revoit Catherine.

Samedi matin Nicolas se réveilla plus tôt que d’habitude. Il aimait faire la grasse matinée pourtant il ne pouvait plus dormir. Les rayons de soleil qui pénétraient joyeusement son appartement le mirent de bonne humeur. Après la toilette et le petit-déjeuner il avait toute la journée pour lui. Il regardait se vêtements de femme, ses maquillages, sa perruque, il voulait s’habiller en fille et continuer sa recherche sur internet mais l’idée de passer tout le weekend devant son ordi le fit changer d’avis, d’autant plus qu’il le faisait trente cinq heures par semaine. Un coup d‘œil rapide par la fenêtre et il prit la décision de faire une promenade. Juste avant de sortir il mit un collant sous son pantalon. Il se promenait sans but dans les rues de la capitale, en passant devant un salon de beauté il eut un frisson et enviait les clientes qui se faisaient maquiller. Un peu plus loin sur la vitrine d’un bazar il aperçut un écriteau ,,Tout à 1 euro’‘. Il entra dans le magasin, la jolie vende...
La féminisation de Nicolas: Les brunes comptent pas pour des prunes
il y a 3 mois

Maîtresse Elvira découvre le plus grand secret de Nicolas quant à Marie...

Après son retour à Paris Nicolas éprouvait du chagrin. Rien ne lui faisait plaisir. De plus ses main et ses pieds étaient constamment froids. Il prit un rendez-vous chez son médecin qui était une dame de cinquante-cinq ans environ. - Vous avez un problème de circulation, constata-t-elle. - C’est grave docteur? s’inquiéta le travesti. - Il suffit de faire un peu de sport. - Et vous pouvez pas me prescrire des cachets? - Des cachets! Mais ils abîment le foie, l’estomac, les reins. Si vous n’aimez pas le sport il existe un moyen médiéval. - Lequel? s’intéressa le fétichiste. - La flagellation, dit la femme lentement en regardant son patient dans les yeux en espérant qu‘il préférera faire du sport. - La flagellation?! s’étonna-t-il. - Oh, ne vous faites pas d‘espoir, je la pratique plus, ajouta-t-elle. - Vous ... vous... étiez une..., Nicolas la prit au sérieux mais ne trouva pas le mot exact. - Faites du sport, jeune homme, au moins une demi-heure par jour, c’est un conseil d’...
La féminisation de Nicolas: L'aventure québécoise.
il y a 3 mois

Nicolas trouve son bonheur outre-océan.

Les sanglots longs des violons de l’automne blessent mon cœur d’un langueur monotonne, Nicolas se souvint de ce poème, or on n’était pas en automne. Le mois de janvier touchait à sa fin et pourtant la grisaille et la pluie n’avaient aucune envie de quitter les Parisiens. Nicolas devenait dépressif et voulait changer d’air. Il se maquillait avec des couleurs vives et intenses pour égayer l’ambiance qui régnait dans la capitale, mais quelques heures par soir, ne faisaient qu’augmenter sa frustration. Un jour en rentrant du travail il s’arrêta devant une agence de voyage, une affiche attira son attention. Le paysage blanc de Québec lui rappella son rêve d‘enfance de visiter le Canada. Il entra pour se renseigner, le circuit proposé était intéressant et le prix abordable. Il ne lui restait plus qu‘à demander deux semaines de congé. Son supérieur hiérarchique était une femme attirante de quarante ans qui, sans que Nicolas le sache, avait le béguin pour lui. - Vous partez au ski? demanda...
Au lycée ce sont les filles qui font la loi.
il y a 3 mois

Un poème anodin déclenche une avalanche d'événements.

Valérie, la sœur de Nicolas, arriva au lycée de bonne humeur. Le nouveau rouge à lèvres qu’elle venait de s’acheter, en outre sa belle et séduisante couleur de carmin était très hydratant et avait un goût vraiment agréable. Vêtue de robe rouge qui s’arrêtait juste au dessus de ses genoux, elle portait des escarpins talon aiguille de la même couleur que la robe, le rouge et le vernis à ongles. Aux yeux elle ne mit que du mascara pour que tout le monde ne remarque que son nouveau rouge et lui fasse des compliments, car elle aimait les entendre. Lorsqu’elle entra en salle des profs tous les yeux se fixèrent sur elle. - Et toi qui disait que les anges n’existaient pas, Marc le prof de sport s’adressa au mathématicien. - Pour les anges, je n’sais pas, par contre j’ai la preuve que les déesses sont parmi nous, répliqua le dernier. - T’es sublime, lui dit Aurélie la prof d’anglais, c’est un nouveau rouge à lèvres? - Et oui, il te plaît?, Valérie était ravie. - Et comment, fais attention...
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