Récits
fessé pour cause de chomage de Max Horber ( suite)
il y a 2 semaines

encore un petit extrait

- Allons ! allons ! cessez de vous montrer ridicule. Montrez moi plutôt votre derrière que l'on en finisse et vous pourrez partir. La malheureuse ne bougea toujours pas et l'infirmière renchérit. - Rechercheriez vous une fessée, Mademoiselle ? Y prendriez vous goût en mon cabinet ? - Je crois que c'est ça, Laissez moi m'occuper d'elle. Je prévoyais un peu son insolence et j'ai pris ce qu'il faut pour la mâter. fit la mère… Progressivement, sa mère cessa de la fustiger et lui demanda : - Mademoiselle a-t-elle été bien servie ? - Oh ! oui maman… - Mademoiselle sera-t-elle bien sage et se prêtera t'elle à ce que demande l'infirmière ? - Oui maman… oui… Oh ! mon derrière… - Et bien, tends le, ton derrière. Et écarte bien tes cuisses que ton sexe apparaisse. C'est pour ton bien et ta santé que l'infirmière va t'examiner. Pour examiner, elle examina et, en même temps, comme elle l'avait annoncé, lui reprit sa température, 37°5. Elle sonda et inventoria mêm...
A l'orphelinat
il y a 2 semaines

Des années difficiles...

Quand mes parents sont décédés, juste avant la guerre, j’avais à peine deux ans et je n’ai évidemment pas le moindre souvenir d’eux. Ni des années qui ont suivi. Tout y est flou. Il me revient parfois des images… Une cour. La façade d’un immeuble. Des soldats, peut-être allemands. Un grand pré. Sans que je puisse vraiment faire le lien entre elles. Mon histoire m’échappe. Mes premiers vrais souvenirs datent de l’année de mes dix ans. Je suis reclus dans un orphelinat, au nord de Lyon. Tout y est gris. Les locaux. Les journées. Les surveillants. Les repas. Heureusement, je vais à l’école. Ce sont mes meilleurs moments. Et de loin. Regagner le centre, chaque soir, est un véritable crève-cœur. Les dimanches, eux, s’éternisent. Les vacances aussi. Quand j’ai quatorze ans, on m’envoie en apprentissage. Chez un boulanger. J’y resterai six mois : il s’avérera que je suis allergique à la farine. S’enchaîneront alors cinq ou six patrons. Dans toutes sortes de domaines. Je serai initié au...
fessee pour cause de chomage
il y a 2 semaines

le titre veut tout dire ; ici c est la première version de 1960 notre héroïne ,sans travail accepte un emploi chez une infirmière . bien sur le livre n est pas écrit par moi la suite si ca vous plait

La soubrette ne répondit point et gagna l'office. Je sentis le regard de Gwladys se poser sur mes fesses, - avant de lire mon courrier, je me propose de vous soumettre à un autre test que vous devez connaître, venez vous allonger sur mes genoux. Je n'osais pas discuter et inquiète je me disposais comme elle me le recommandait ; je l'entendis ouvrir un tiroir et la crainte d'une nouvelle fessée me dissuada de tourner la tête. Un léger tintement de verre m'alerta, un thermomètre ! Gwladys se préparait à me prendre la température et ma position par elle-même me laissait deviner où. - noooon madame, je vous en supplie, je ne suis plus une petite fille, je n'ai plus reçu le thermomètre là depuis mes douze ans ! - mais si Sandrine, vous venez bien de recevoir la fessée et je vous assure que votre petit orifice s'ouvrira à la pénétration du thermomètre ; c'est fréquent ici, alors tenez vous Lorsque je sentis qu'elle écartait mes deux globes et que son doigt mouillé se posait su...
Alpha et Oméga Partie 2, chapitre 3
il y a 3 semaines

La suite des aventures de Cassandra et sa petite bande

Une semaine plus tard, je recevais un coup de téléphone de Liz, me suppliant de venir avec eux au club, le samedi. Comme d’habitude, je me suis laissé convaincre… Sauf, que je ne faisais que jouer les accompagnatrices. En aucun cas, je ne participerai au show. Je portais donc une petite robe rouge dos nu, cintrée à la taille et des escarpins noirs. Mes mèches de devant étaient retenues par une pince et le reste de ma chevelure était libre. J’étais sagement assise à une table, pendant que Liz et Fitg, étaient partis se préparer pour leur représentation. Enfin sagement... Mes yeux suivaient avec un intérêt certain, l’homme en train de libérer son modèle des cordes, sur la scène. Pourquoi cet intérêt me direz-vous ? Parce qu’il ne s’agit de nul autre que de Luc. Surpris ?? Alors imaginez-moi, quand je l’ai vu monter sur scène sous le pseudonyme de Maître Attila ! Je suis tellement plongée dans ma contemplation, que je ne sens pas la personne arriver à ma table. Je la vois uniquement,...
La vilaine petite camarade (2)
il y a 3 semaines

Quand le souvenir de la fessée reçue devient envahissante...

Quand ça m’était arrivé, quand je l’avais reçue, cette fessée dans les vestiaires du stade, je m’étais efforcée de ne voir personne, tant j’avais honte. Ça avait été un bloc compact de visages indifférenciés, face à moi, quand je m’étais relevée. Tout juste en avais-je identifié deux ou trois devant lesquels j’avais très vite baissé les yeux en rougissant. Mais maintenant que je m’y étais accoutumée à cette honte, que je prenais infiniment de plaisir à la câliner voluptueusement, la donne avait changé. J’aurais voulu la nourrir de tous ces visages, ma mortification. Savoir à qui ils appartenaient, comment ils avaient réagi, ce qu’ils avaient pensé. Savoir tout sur eux. Absolument tout. Quand je croisais un garçon dans la cour, quand je parlais avec lui, quand mes yeux s’attardaient, en classe, sur la nuque de l’un ou l’autre d’entre eux, je ne pouvais pas m’empêcher de me poser la question. Et celui-là ? Est-ce qu’il avait été là ? Est-ce qu’il avait vu ? Et celui-là ? Et celui-l...
La vilaine petite camarade
il y a 1 mois

C'est pas beau de rapporter

Quelle idiote j’avais été de les dénoncer, ces trois filles, pour avoir fait le mur et être allées retrouver des garçons en pleine nuit ! Non, mais qu’est-ce qui m’avait pris ? C’était pas mes oignons. Et, de toute façon, elles étaient majeures. Elles faisaient bien ce qu’elles voulaient. Sauf que, majeures ou pas, elles étaient internes, il y avait le sacro-saint règlement qui valait pour tout le monde et, au final, elles avaient écopé de huit jours de renvoi. Elles m’en avaient évidemment voulu à mort et la “moucharde”, la “cafarde”, comme on s’était mis à m’appeler, avait été mise en quarantaine. On ne m’adressait plus la parole. Personne. Ni internes ni externes. Ni en classe. Ni au dortoir. Ni au réfectoire. Ni dans la cour. Nulle part. J’étais une pestiférée. Et c’était l’enfer. Vous imaginez ce que c’est, vous, de devoir passer toutes ses journées sans jamais pouvoir échanger le moindre mot avec qui que ce soit ? De se sentir en permanence en but à l’hostilité générale ? J’av...
Seul aux mains de ma cousine Sarah
il y a 1 mois

La grande sœur donne la fessée

Peu après l’épisode de la fessée magistrale au martinet que notre mère administra à ma sœur pour avoir négligé de mettre des bretelles à sa jupe, je ne fus pas moi-même en reste ! Mon tour n’allait pas tarder. Nous avions une cousine, Sarah, âgée de 14 ans, en qui notre mère voyait une jeune fille modèle . « Elle qui savait si bien s’occuper de ses jeunes frères ! ». Elle l’invita à venir passer les vacances chez nous. Il est vrai que notre chère cousine paraissait nettement plus que son âge car, plus grande et plus forte que nous et dotée d’une poitrine déjà bien développée, elle avait l’allure d’une belle et grande jeune fille. De plus, notre mère la complimentait pour ses jolies blouses à double boutonnage qu’elle portait constamment sur elle. il est non moins vrai que le frêle petit blondinet d’angelot en culotte courte de 13 ans que j’étais alors ne pouvait pas faire le poids face à elle. Quelque chose me gênait un peu chez Sarah. En effet, elle aimait à se vanter...
L'importance des mots entre une soumise et sa maîtresse
il y a 2 mois

Dans une journée qui se voulait banale une soumise s’abandonne totalement à sa maîtresse.

Baignée dans un mélange de lumière bleuté et vermillon, j’ouvre lentement mes paupières alors que les premiers rayons de soleil traversent la baie vitrée qui donne sur le jardin luxuriant. Mon corps s’étire lentement, et à chaque battement de paupière, je reprends peu à peu conscience. La nuit a été courte, les sévices pour mon insolence lourdes. Alors que je redresse mon corps sur le sofa, mes yeux se posent sur la lettre sous le magnolia. La fleur est posée sur cette table basse, mais la lavande me menace. La lavande, ce brin, je sais ce qu’il signifie et elle le sait aussi. Symbole de la défiance, ma bouche pâteuse déglutie tandis que mes orteils se tortillent. D’un geste lent, mais élégant - Elle y tient - j’avance sans prudence ma main vers la lettre. Le sceau fait de cire serti d’un majestueux « M » est un indice qui m’échappe sur le moment. Je l’ouvre et y découvre un mot, ou plutôt une liste. Les yeux parcourent les lignes finement écrites, je me vois même jalouser cette callig...
Mon incontinence imposée
il y a 2 mois

Tout avait commencé par un jeu. Un délire de mon mari. Un délire ou un fantasme ? Parce que ce qui était jeu est devenu réalité.

Il était à peine 17 heures et je changeais à nouveau ma couche… Oui, j’ai bien dit, je changeais à nouveau ma couche. Celle de la nuit étant saturée au réveil, je l’ai changée jetée avant de prendre ma douche pour en mettre une neuve, que j’ai remplacée vers midi… et celle ci… que je remplacerai vers 21 heures par un modèle plus épais, renf o r c é de couches droites pour limiter les fuites. Personne au boulot n’est au courant, à part ma collègue et Amie Marie. Je vais avoir 50 ans et je suis incontinente totale depuis quoi ? 6 mois ? Un an ? Je ne sais même plus !? Ce que je sais en revanche, c’est la façon dont ça s’est passé. Contrairement à ce que mon Homme explique à nos proches, non, ça ne s’est pas fait comme ça. J’ai été un peu aidée… conditionnée, serait plus juste.   C’était un vendredi, mon Homme me dit être sur un site qui s’appelle Festivités. Je me dis chouette, il doit y avoir plein de sorties et de trucs sympas pour faire la fête. Il se mit à rire....
Perversions maximums
il y a 2 mois

L’initiation d’une jeune fille aux plaisirs saphiques par le fétichisme médical avec un kiné aussi dominant que pervers.

J'ai maintenant 28 ans, mais je voudrais raconter une aventure qui m'est arrivée il y a bien longtemps. À l’époque j'avais tout juste 18 ans ; après une chute dans un escalier, je me relevai avec pas mal de bleus et très mal au bas du dos et aux fesses. maman me conduisit chez notre médecin de famille, qui après un examen rapide, m'assura que je n'avais rien de cassé, et me prescrivit une série de séances de massages. Maman téléphona donc à un cabinet de la ville voisine et obtint un rendez-vous très rapidement. Elle m'accompagnait lors de la première séance. Le kiné nous reçu très aimablement et nous fit bonne impression : assez jeune, dans les 25 ans, grand, beau garçon, souriant, assuré... Il nous fit asseoir, lut l'ordonnance, rédigea les papiers nécessaires et m'interrogea longuement sur ma chute et le siège des douleurs, et je lui répondis aussi précisément que possible, pendant qu'il prenait des notes. Ensuite, il se leva et m'invita à le suivre dans une autre pièce. Maman...
Première année de collège
il y a 3 mois

La solidarité entre soeur ne protège pas les fesses

Ma petite sœur aborda le collège à un peu moins de 11 ans, étant née en Octobre. Particulièrement douée pour l’apprentissage, à l’inverse de moi qui devait travailler davantage pour obtenir de bons résultats, elle intégra l’établissement après une journée d’épreuves, pour évaluer son niveau, comme d’autres filles et garçons de son âge, voire un peu plus jeunes de quelques mois! Elle se retrouva en 6èmeA, qui regroupait des gamines et des gamins de son âge avec d’autres d’un âge normal. Elle se fit vite remarquer par les Profs, tant par ses capacités à travailler et à apprendre, que par celle à foutre le bordel, pour parler clairement! En cela, elle suivait l’exemple de sa grande sœur… A peine un mois après la rentrée, elle ramena une première colle, ce qui n’était pas du genre à plaire à Maman, qui avait déjà usé sa main, la brosse et sa ceinture sur les fesses de l’aînée pour les mêmes raisons d’indiscipline… Ça allait donc f o r c é ment barder le soir même pour ma Steph chérie, q...
La proprio (2)
il y a 3 mois

Une proprio qui étend son emprise sur ce jeune couple qu'elle héberge si gentiment...

Nous avons passé, Clotilde et moi, le dimanche au lit. À baiser. Encore et encore. À l’évidence, se faire cingler le derrière par notre logeuse l’avait excitée au plus haut point. J’y trouvais incontestablement également mon compte: elle se montrait enfin passionnément ardente au lit, ce qui, il faut bien le dire, n’avait pratiquement jamais été jusque-là le cas. Et jamais à ce point-là. Je me sentais toutefois, en arrière-fond, quelque peu inquiet: si elle appréciait autant le martinet, elle allait faire en sorte de se le faire administrer aussi fréquemment que possible. Et, dans la foulée, je le recevrais également. Aussi souvent qu’elle. Et aussi fort. Sinon plus. Et c’était une perspective qui ne m’enthousiasmait guère. Qui m'épouvantait au contraire. Le soir, sur le coup de huit heures, notre proprio est passée. On venait tout juste de finir de dîner. - Vous êtes contents de vous ? On l’a regardée sans comprendre. - Hein ? Vous êtes contents de vous ? Vous croyez pas q...
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