Le vent pour fouetter
Par Johana
Quand nous avons acheté notre maison en Normandie, mon mari faisait souvent des régates de planche à voile le week-end. Un jour il était revenu l'air maussade. Alors qu'il était en tête de la course, le vent déjà très fort le matin, s'était amplifié et l'épreuve avait été annulée.
Après s'être changé, il avait attaché le milieu du mat au poteau de l'étendoir à linge dans le jardin, il avait arrosé la voile au jet pour enlever le sel, et l'avait laissée claquer au vent pour la sécher.
Le bout d'écoute était resté attaché et volait comme la traîne d'un cerf volant. Quand des rafales plus fortes secouaient la voile dans tous les sens, la corde frappait le pommier en face avec le bruit sec d'un fouet claquant sur le sol. Il alla la dénouer de peur d'abîmer le tronc de l'arbre.
Pendant que nous mangions sous la véranda, je vis que son attitude changeait et une lueur lubrique que je connaissais bien s'alluma dans son regard : Je crois qu'il avait envie d'un autre sport.
Après le déjeuner, il me plaça un bandeau sur les yeux et me déshabilla lentement. Délicieusement, je me laissais faire. Il me mit des bracelets de cuir fermés par des cadenas et reliés par une chaîne. Il me tira dans le jardin jusqu'au pommier et m'attacha les mains au-dessus de ma tête, à l'une des branches maîtresse, face à la voile. Il faisait chaud mais le vent et surtout les gouttelettes d'eau que me projetait la voile en claquant par instant, me faisaient frissonner.
Il caressa la pointe de mes seins, y posa ses lèvres et doucement descendit plus bas. Mon corps était tendu autant par le plaisir qui grandissait que par mes liens qui me suspendaient presque. Mes talons touchaient à peine le sol. Quand je voulais écarter mes jambes pour favoriser ses caresses, je me retrouvais pendu sur la pointe des pieds. Il s'acharna longtemps sur mon petit bouton rose puis lentement enfonça un doigt dans mon sexe. J'étais trempée, je le savais et terriblement excitée par cette situation.
Aveuglée par le bandeau, suspendue à l'arbre, soumise à ses caresses, je me laissais totalement aller au plaisir. Il enfonça un autre doigt, toujours très doucement, mais de l'autre coté. Sa bouche colée à mon clito, il les fit aller et venir dans mes orifices avides de sensations, ouverts à tous ses caprices.
Je sentais que l'orgasme arrivait, qu'il allait déferler en moi comme une tornade. Je tirais sur mes bras au point de ne plus toucher terre pour écarter mes jambes au maximum. J'espérais qu'ainsi la pénétration serait plus profonde, mais au contraire, il arrêta soudain toute caresse et me laissa dans un état de frustration sans nom.
Il partit quelque instant et je crains qu'il ne me laissa seule. J'entendis du bruit du coté du garage et des pas qui revenaient. Il m'ôtât mon bandeau. Il tenait dans sa main le martinet que nous avions acheté plusieurs mois auparavant, mais dont il ne s'était jamais servi. Je lui avais avoué des fantasmes de fessée, mais je pense qu'il avait peur de me faire mal et n'osait pas porter la main sur moi. J'étais étonnée et très excitée. Je fermais les yeux : je m'attendais à sentir les coups sur mon corps ; J'avais les nerfs à fleur de peau. Mais rien : Je rouvris les yeux.
Il fixait le martinet au bout de la voile à l'aide d'un morceau de corde et d'un crochet qu'il avait vissé à l'extrémité du manche. Quand il relâcha la corde, la voile balaya l'air et un premier coup frappa mon ventre avec une force qui me fit crier. Il alla installer l'arroseur automatique derrière le mat. Il régla le jet d'eau en un fin brouillard, qu'il dirigea vers le haut, puis il me remit le bandeau sur les yeux. D'abord l'air fraîchit agréablement, puis l'humidité me fit frémir. Le vent soufflait fort, la toile n'arrêtait pas de claquer et m'envoyait de temps en temps une averse glacée. Le martinet s'envolait à la suite frappant mon corps tour à tour mon ventre, mes seins, mes cuisses. Les coups n'étaient pas très douloureux mais leur succession était très rapide et totalement incontrôlée. Je ne pouvais ni les prévoir, ni m'y préparer. Des gouttelettes d'eau ruisselaient maintenant sur tout mon corps et ma peau mouillée devenait de plus en plus sensible. J'essayais de me tourner pour présenter mes fesses que je pensais moins fragiles. Je me hissais sur la pointe des pieds mais je ne réussis qu'à me placer de coté. Trois coups successifs sous les aisselles et sur les seins me firent regretter immédiatement cette initiative. Je savais que toute tentative d'échapper au fouet était totalement vaine mais je ne pouvais m'empêcher de bouger. Je me doutais que mon mari me regardait. Sans doute avait-il trouvé cette danse forcée très érotique car il s'était déshabillé, se plaça dans mon dos et je sentis contre moi la preuve qu'il était très excité. Il me tenait les fesses en me poussant en avant, et regardait par-dessus mon épaule, les rougeurs qui se dessinaient sur ma peau. A présent les lanières de cuir étaient trempées, plus lourdes, plus compactes, et ma peau durcit par le froid supportait moins les coups. Je tressaillais à chaque fois et la douleur devenait presque intolérable.
J'allais crier quand il me retourna face contre lui, en me soulevant les jambes sur ses deux avant bras. Il me fis redescendre lentement sur son sexe tendu, jusqu'à ce que je sois de nouveau pendue par les poignets. Mes sens étaient tellement exacerbés, que cette pénétration fût presque douloureuse. Mes fesses se trouvaient à présent du coté du fouet : les coups pleuvaient à m'en faire perdre la tête, et plus les lanières de cuir meurtrissaient ma peau, plus le plaisir montait en moi. Il ne bougeait pas, se contentait de me maintenir les jambes bien écartées.
Je sentais ma peau brûler, mais je ne pensais qu'à faire aller et venir sa queue dans mon sexe, et je tirais sur mes bras pour me soulever. Il me laissait faire tous les efforts. J'avais mal, j'avais chaud, j'avais le cul en feu. Je fermais les yeux, et je me hissais encore, péniblement. Quand je retombais, le plaisir m'envahissait. Avec tout ce qu'il me restait de force, j'accélérais le rythme : A chaque meurtrissure, tous mes muscles se contactaient et mon sexe palpitait sans arrêt. J'allais gagner cette bataille entre la douleur et le plaisir. J'allais jouir......
il y a 11 ans
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