Ajustement d'attitude par la fessée
Auteur: Ronald Mcingle
Dave parqua sa voiture, coupa le moteur et sortit. C'était bon d'être de retour à la maison. Finalement, après une journée pourrie, dans une semaine pourrie, et après avoir affronté les embouteillages durant une heure, il était de retour chez lui. Maintenant il pouvait se relaxer.
Les problèmes de sa journée de travail étaient repoussés au fin fond de son esprit lorsqu'il entra chez lui, son domaine, son château. Il n'avait plus à être perforant, à prendre de décision ou à faire quoi que ce soit. Du moins il le pensait.
L'odeur du dîner, cuisant dans le four, assaillit immédiatement ses narines, et l'attira directement dans la cuisine. " Chérie, je suis là, " dit-il en entrant.
Dans ses fantasmes, il serait accueilli par une séductrice en négligé de soie avec de hauts talons aiguilles. Avec un peu de chance, il retrouverait une belle femme sexy. Généralement il était accueilli par une dame légèrement échevelée en robe de bain et pantoufles. Il se contenterait d'une femme pressée en blue-jeans et chaussures de tennis.
La femme qu'il trouva portait un uniforme de lycée privé catholique : une jupe rayée verte, une chemise blanche (qui semblait un peu trop petite), des chaussettes blanches montant jusqu'aux genoux et des sandales blanches. Ses yeux montraient de la peur et de l'appréhension, son attitude indiquant de la gêne.
" Jenny, que se passe t'il ? " demanda Dave.
Jenny mordit ses lèvres, tourna ses yeux vers le sol et tendit le papier qu'elle avait en main.
" Cher Dave, " La lettre était écrite de la main de sa femme. Les lettres qui commencent ainsi sont souvent de bonnes nouvelles.
" Veux-tu prendre soin de cette méchante fille. Elle a vraiment besoin d'un changement d'attitude. "
Dave continua à lire la lettre que sa femme avait laissée, qui détaillait toutes les fautes pour lesquelles Jenny devait être punie. La liste était longue.
" Jenny as-tu quelque chose à dire ? "
" Non monsieur, " répondit elle.
" Tu sais que tout cela est très sérieux n'est ce pas ? " Une légère inclination de la tête, à peine perceptible, indiqua qu'elle était d'accord. " Ce n'est pas exactement ainsi que j'entendais passer ma soirée tu sais. " Un autre hochement de tête. " Je n'aime vraiment pas faire cela, mais tu sais que c'est pour ton bien. " Encore un hochement de tête, un peu plus accentué.
" Oh, Jenny ! Bon allons y. " Dave tira une chaise au centre de la cuisine et demanda à Jenny de prendre position sur ses genoux. Elle hésita, tout en sachant qu'elle n'y échapperait pas et que perdre du temps ne ferait qu'ajouter à sa punition. Dave ajusta sa position, puis releva la jupe sur ses fesses, exposant la culotte de coton blanc. Il hésita à la descendre mais décida de ne pas le faire. Cette culotte ne protégerait pas grand chose.
Jenny hoqueta lorsque la main atterrit sur ses fesses, envoyant une onde de choc jusqu'à son cerveau. Alors que les coups continuaient, elle serra les fesses étroitement, dans une vaine tentative pour diminuer la douleur et pour rester stoïque. Mais alors que le torrent de claques continuait et que de nombreux endroits de ses fesses étaient frappés pour la troisième, quatrième voire même cinquième fois, la douleur devint intolérable et elle commença à gigoter.
Dave n'eut aucune peine à la maîtriser, la maintenant fermement en place en dépit des coups de pieds qu'elle donnait. Sentant que ses efforts pour s'échapper étaient futiles, elle changea de tactique.
" Owwwwwww, Stooooopppp, s'il vous plait ! ! ! " pleurnicha Jenny.
" Nous sommes loin d'avoir terminé " répondit-il en lui donnant une série de claques supplémentaires. " Mais je vais te donner du temps pour réfléchir à la fessée que tu viens de recevoir et à celle que tu vas avoir après que j'ai fini de dîner. "
" Oh non, s'il vous plait, je ne peux pas en recevoir plus ! ! "
" Oh si, tu vas en avoir plus, tu peux me croire, " dit Dave en l'aidant à se remettre sur pieds, puis en la propulsant au coin de la pièce. " Tu vas rester ici, dans ce coin, à y réfléchir. "
Pendant que Jenny frottait ses fesses en une tentative d'atténuer la morsure des claques, Dave se prépara à se servir lui-même le dîner. Au moins sa femme n'avait pas oublié de cuisiner, ainsi que le montrait le rôti dans le four. Dommage que Jenny ne puisse le partager avec lui
Il n'y eu pas longtemps à attendre avant que les pensées de Jenny ne se tournent vers autre chose que la brûlure de ses fesses. Le temps semblait se dilater, et faire face au coin du mur très ennuyeux. Elle savait qu'elle ferait mieux de s'y tenir, et ce n'était pas comme si c'était la première fois qu'elle devait faire face à ce mur, à peu près dans les mêmes conditions. Mais elle ne put s'empêcher de tourner la tête et de regarder derrière elle.
" Jenny ! ! " cria Dave en sautant de sa chaise.
Jenny remit sa tête face au mur, mais il était trop tard. Son c?ur battait la chamade et elle était prête à fondre en larmes lorsqu'elle entendit les pas dans la cuisine, puis le " shwink " lorsque la cuillère de bois glissa hors du tiroir. Elle savait ce qui allait arriver ensuite, et se colla au mur comme si en faisant cela elle pouvait échapper à son sort.
Les pas s'approchaient d'elle maintenant, puis il y eu une main saisissant son bras, la tirant hors du coin et la couchant sur le comptoir. Jenny savait, en raison de ses expériences passées, qu'aucune excuse ou plainte ne pourrait empêcher la fessée avec cette cuillère en bois " mortelle ". Mais peut être qu'en coopérant elle pourrait diminuer la durée de ce qui allait survenir.
Dave la poussa contre le haut comptoir de service, forçant le haut de son corps contre le carrelage froid. Puis il releva le bas de sa jupe jusqu'à la taille. Il se saisit de l'élastique de la culotte.
" Nooonn, S'il vous plaît ! ! ". Jenny cria en sentant cela. Elle essaya de presser ses hanches contre le comptoir pour garder le vêtement en place. Mais il n'y eu rien à faire, et la culotte se retrouva bientôt autour de ses genoux.
Elle espérait qu'il allait la ramener au coin, lui faire la morale en lui expliquant qu'elle devait suivre les ordres, faire ce qu'elle avait à faire et ne pas agir de façon si irresponsable. Elle aurait apprécié n'importe quoi qui aurait évité l'inévitable. Mais cela n'aurai servi à rien de répéter les mêmes choses qui ont déjà été dites de nombreuses fois auparavant. Ce n'était pas comme si elle avait vraiment oublié.
" IIIEEEEE ! " Jenny cria alors que le plat de la cuillère de bois claqua contre ses fesses nues. Toutes les parties oubliées des leçons précédentes lui revinrent en mémoire. Encore et encore la cuillère s'abattit, provoquant une sourde complainte verbale de la part de la receveuse. La culotte de jenny était maintenant descendue aux chevilles, la bridant et l'empêchant de bouger les jambes. La main de Dave dans son dos l'empêchait de quitter la position. La main de jenny se libéra, et en dépit du bon sens, elle l'utilisa pour se couvrir les fesses après une douzaine de coups supplémentaires. Dave choisit simplement un autre endroit, un peu plus bas, laissant s'abattre la cuillère dans l'espace entre fesses et cuisses. Jenny bougea sa main pour couvrir cette partie encore plus sensible, ce qui eu pour effet de découvrir de nouveau ses fesses. Lorsqu'il apparut que ses mains ne pourraient empêcher la fessée, elle revint à un meilleur état d'esprit et les laissa simplement pendre à ses côtés. Dave renouvela ses efforts. La douleur altéra de nouveau le jugement de Jenny et elle remit ses mains en protection. Cette fois ci la cible ne changea pas. Après trois coups dans la paume des mains, jenny décida que ce n'était peut être pas une si bonne idée finalement. Elle décida qu'il était temps de se plaindre.
" OW, OW, OWWWWWW, S'IL VOUS PLAIT STOP ! " cria Jenny. " S'il vous plait, s'il vous plait ! "
" Maintenant retourne au coin ! " dit Dave en la relâchant.
Jenny retourna en place en faisant attention de ne pas perdre sa culotte. Peut être réussirait elle à la remonter à un moment mais seulement si elle la gardait avec elle ! !
" Ici ! " dit Dave en plaçant un petit morceau de papier devant elle au coin du mur. " Ton nez va servir à tenir ce morceau de papier en place. Si tu le touches avec tes mains ou si tu le laisses tomber, tu recevras dix fois ce que u viens d'avoir ! ! "
Jenny pressa son nez contre le mur avec plus de force que nécessaire, elle était effrayée à l'idée que ses reniflements involontaires ne fassent choir le papier. Elle avait failli une fois à cet exercice auparavant et elle savait que la menace était réelle.
Le temps semblait vraiment s'écouler lentement maintenant. Une fois que sa respiration fut mieux contrôlée, Jenny relâcha la pression qui maintenait le papier en place, diminuant l'inconfort de son nez. Ses yeux étaient complètement inutiles puisque sa vision était limitée au morceau de papier peint en face d'elle. Alors que la douleur subsistait sur ses fesses, elle devint plus attentive aux sons autour d'elle. Le tic-tac de l'horloge, le ronflement du réfrigérateur, et les crissements occasionnels d'une fourchette sur l'assiette.
Dave prit son dîner à sa place, gardant un ?il vigilant sur le coin. Pour que la punition soit effective elle devait être absolue. Il était nécessaire d'infliger non seulement un avertissement mais également de briser toute résistance. Il pouvait dire que Jenny n'était pas prête. Son esprit rebelle causerait sa chute, il lui avait juste laissé assez de corde pour se " pendre " elle même. Jenny savait qu'elle était observée. Elle pensait qu'il appréciait probablement de ses fesses nues. Il avait probablement une érection pensa t'elle. Jenny s'aperçut qu'elle devenait sexuellement excitée à cette idée, et elle commença à mouvoir doucement ses mains de ses côtés vers le centre. Elle pensait que son corps cacherait ses mouvements, et que si elle agissait lentement il ne s'en apercevrait pas.
Il sembla s'écouler une éternité avant qu'elle n'ait pu placer ses mains en position sur son sexe. Au moins elle pouvait écarter ses lèvres avec une main et plonger un doigt de l'autre dans cette région humide. Avec précautions, Jenny caressa son clitoris, oubliant l'ennui et tournant ses pensées vers de plus plaisantes choses.
" Que crois-tu faire ? ! " demanda Dave doucement.
Jenny se figea. Priant pour qu'il n'ai pas réellement vu. " Euh, rien ! ". Jenny mentait. Elle écarta ses mains lentement de son sexe, espérant n'avoir aucun geste brusque qui puisse attirer son attention. Dave se leva rapidement de table et rejoint le coin. Il attrapa son avant bras et le tordit dans son dos, amenant sa main au milieu de son dos, puis il se pencha et renifla ses doigts.
" C'est bien ce que je pensais : ! ! " s'exclama Dave en lançant une solide claque sur les fesses nues de Jenny. " Tu étais supposée réfléchir à toutes les mauvaises choses que tu as faites, et de quelle façon tu pourrais t'améliorer dans le futur, pas jouer avec toi-même. Je vois donc que tu as besoin d'un peu plus d'aide pour ta concentration ! "
" Non, s'il vous plait ! Je serai plus gentille je vous le promets ! " plaida Jenny, tout en gardant son nez étroitement pressé contre le mur.
" Trop tard pour cela ! " répliqua Dave. " Maintenant tu vas courir jusqu'à la salle de bain et prendre la brosse à cheveux. Et pour chaque seconde qu'il te faudra pour revenir tu auras un coup de plus avec la ceinture. Maintenant GO ! Une âE¦. Deux âE¦ "
Jenny se détourna précipitamment du coin et tomba immédiatement au sol, piégée par sa culotte toujours autour de ses chevilles. Dans sa hâte à retrouver sa liberté, elle réussit juste à enchevêtrer le tissu autour du talon de l'une de ses chaussures. Après quelques frénétiques coups de pieds elle réussit à se libérer, sauta sur ses pieds et couru jusqu'à la salle de bain avec la culotte drape autour d'une cheville. Par ironie, le petit bout de papier qu'elle avait eu si peur de faire tomber, resta collé à son nez.
" ONZE, DOUZE, " Dave continuait à compter, parlant assez fort pour que Jenny entende. Tout en comptant, il plaça une chaise au centre de la pièce, et s'y assit, attendant son retour.
" DIX-SEPT, DIX-HUIT ! " annonça Dave lorsque Jenny arriva en glissant en face de lui, porteuse de la brosse à cheveux au manche en bois. " Ok, sur mes genoux. "
Jenny s'arrêta seulement brièvement, sachant qu'une sévère pénalité résulterait de toute forme de résistance. Elle savait que cela allait être mauvais, mais il n'y avait aucune façon de faire que ce soit mieux. Elle attendit, anxieuse, pendant que sa jupe était ajustée, laissant libre accès à ses fesses.
" IIIEEEEEE, " cria Jenny lorsqu le premier coup tomba. Les neuf suivants amenèrent des protestation semblables, jenny se battant pour résister et Dave se battant tout autant pour la briser.
" Non, s'il vous plait, stop ! " demanda Jenny avant le onzième coup, adoptant une tactique qui avait porté ses fruits dans le passé. Cette fois ci, cela ne marcha pas. Dave donna dix autres coups mordants pendant que Jenny le suppliait d'arrêter. Après le vingtième coup, Jenny était désespérée. Elle alternait entre les cris de douleurs et les supplications. Elle battait des jambes et tapait le sol avec ses poignets, et gigotait tellement sur ses genoux qu'il avait beaucoup de mal à la maintenir en place. Après trente coups, Jenny commença à pleurer. Au début cela fut juste quelques larmes, mais avec le quarantième coup c'était devenu un torrent de larmes. C'est à ce point que Dave voulait l'amener. Il devait briser ses défenses, détruire sa bravoure et son esprit de résistance.
Après que Dave eut délivré le cinquantième coup, Jenny resta allongée sur ses genoux et pleura. Pas les fausses larmes du départ mais les grosses larmes, les profonds sanglots, les pleurs de relâchement émotionnel. Dave posa la brosse et frotta ses fesses jusqu'à ce q'elle retrouve une respiration normale.
" C'est pour ton bien tu le sais. "
" Oui monsieur, " approuva Jenny, " je suis désolée, "
" Ok, c'est bon maintenant, " la rassura Dave
" Je serai gentille, je le promet, je le serai ! " dit Jenny.
" Je sais que tu le seras. " Il savait qu'elle le voudrait. Au moins pour un temps. Il doutait que cela soit la dernière fois qu'un " ajustement d'attitude " serait nécessaire, mais cela la garderait " sur la ligne " durant un moment.
" Maintenant lève toi et va te pencher sur le comptoir. "
" Oh non, pas la ceinture, je vous en prie ! "
" Non, tu as mis 18 secondes à revenir, tu vas recevoir tes 18 coups de ceinture maintenant. Maintenant compte les et ne bouge pas sinon nous recommencerons à zéro. " Dave savait que cela était une étape importante de la punition. Les derniers restes de résistance devaient être évacués.
Jenny se pencha sur le comptoir et attendit le premier coup. Elle put entendre Dave déboucler sa ceinture. Puis un " clink " alors que Dave prenait la boucle en main. Puis le " swich ", un instant avant que ses fesses n'explosent en flammes.
" IIIEEEE ! " cria Jenny. Elle dans un moment avant de dire : " Cela fait un. "
Swich ! Une autre éruption de chaleur et douleur, un autre cri, un peu plus de danse puis : " Cela fait deux. "
Swich ! " IEEEEE ! Mon dieu, non, assez s'il vous plait. " Jenny gémit en différant le compte aussi longtemps qu'elle pensait pouvoir le faire. En ne comptant pas elle différait le prochain coup, obtenant plus de temps pour récuperer. Mais attendre trop longtemps eu pour résultat un coup non compté. " Oh, cela fait trois ! " Swich ! " ARRRRGHHH ! Cela fait quatre. S'il vous plait, non, attendez ! ARRRRRRGHHHH ! Cela fait cinq ! "
Encore et encore la ceinture s'abattit. Après le dixième coup, Jenny dissimula son visage dans ses bras, ce qui étouffa ses cris d'agonie et rendit son compte moins perceptible.
Dave était sur le point de délivrer le quinzième coup de ceinture, mais il stoppa soudainement. " Chut, " dit il.
Jenny tut ses pleurs du mieux qu'elle put, et elle entendit également. Un bruit sourd provenant de la porte d'entrée puis le bruit inimitable d'une clé dans la serrure. Dave rabaissa rapidement la jupe de Jenny sur ses fesses et se hâta de remettre sa ceinture. Jenny se releva et chercha autour d'elle un torchon pour sécher ses larmes.
Dave avait juste terminé de remettre sa ceinture et Jenny de se rajuster lorsque la porte s'ouvrit.
" Mary ! Nous ne t'attendions pas ! "
" Salut papa ! " La jeune étudiante laissa tomber ses bagages dans l'entrée. " Je n'avais rien à faire et un ami venait par ici, alors j'ai pensé que je pouvais rentrer pour le week end. "
Mary donna un gros baiser à son père, puis répéta ce show d'affection avec sa mère, puis recula, un air interloqué sur le visage.
" Maman, pourquoi est-ce que tu portes mon vieil uniforme ?
il y a 11 ans
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