La femme cheval ou la Pony-girl

La femme cheval ou la Pony-girl

Cette histoire a été diffusée sur des groupes d'écriture qui ont tous été détruits par yahoo.

Vendue !

Louise avait été sélectionnée pour être pony-girl. Pour 50 000 dollars ! C´était le prix que le Comte ( c´est tout ce qu´elle savait de lui) avait mis pour l´acheter. Le vieillard n´avait pas été prolixe après la présentation. Il avait quitté la salle de vente après avoir simplement flatté la croupe de Louise et lui avoir jeté un " à bientôt " sans autre commentaire.

Louise ne savait pas trop ce qu´était une pony-girl, mais elle ne pensait qu´à la somme qu´elle percevrait au bout des cinq ans qu´elle aurait à passer avec cet homme. 50 000 dollars !

Que n´accepterait-elle pas pour cette somme, elle, qui n´avait même pas connu ses parents, avait été élevée au couvent et ignorait tout de la vie.

C´est sans hésiter qu´elle se résolut à donner son consentement et sans angoisse qu´elle s´était endormie.

Le lendemain elle fut conduite chez la mère supérieure. Comme à l´habitude à l´institution, elle allait nue.

La mère supérieure l´attendait, dans une attitude solennelle.

Ma fille, le comte Lansquenet t´a choisi afin être pony-girl. Je vais te demander ton consentement formel, mais avant, je veux t´expliquer la situation pour que tu puisses choisir en connaissance de cause.
Il veut faire de toi une pony-girl, c´est à dire une femme cheval, ou, comme on dit parfois une " femme-cavale ". Le comte est passionné de chevaux et il veut conjuguer en toi, la beauté de la jeune fille et l´allure d´une jument. Tu devras te plier à ses ordres car tu lui appartiendras totalement et sans réserve. Il sera libre de faire de toi ce qu´il voudra et de te punir s´il le juge utile, ou même, simplement s´il en a envie. Au bout de cinq ans tu pourras récupérer tes 50 000 dollars, qui auront été capitalisés d´ici là et quitter le comte si tu le souhaites.

Acceptes-tu sans réserves ?

Oui, ma mère.
Alors répète après moi en jurant sur cette bible !
Louise répéta alors, et à voix haute :

Je jure d´appartenir en tous points au comte de Lansquenet pendant une durée de cinq ans à partir de ce jour, de lui obéir, de le servir quels que soient ses ordres et de tout subir venant de lui. J´accepte d´être marquée, battue ou vendue. J´accepte les transformations physiques qu´il lui semblera bon de m´administrer pour tenir mon rôle de femme-cavale.
Signe ici. Attention, n´oublie pas qu´en cas de rupture de tes engagements, tu devras débourser une indemnité de rupture d´un montant de 50 000 dollars, égal à ce que tu toucherais à ta sortie !
Louise aurait signé n´importe quoi pour ne plus s´appartenir et remettre son destin entre d´autres mains que les siennes, tant sa peur de la vie était grande. Elle signa donc son engagement comme une délivrance.

C´était tout le contraire, elle n´allait pas tarder à s´en apercevoir et le regretter amèrement.

Très bien, ton entraînement va donc commencer dès aujourd´hui, il faut à tout prix que tu sois débourrée et dressée dans les deux mois qui viennent pour un évènement important que prépare Monsieur le Comte, ce ne sera pas de trop. Maintenant file !
Soeur Aline la raccompagna dans un boudoir ou un homme l´attendait. Grand, brun, l´air bourru, entièrement vêtu de cuir fauve, il la laissa nue en plein milieu de la pièce et la jaugea. Son regard s´attarda sur chaque partie de son corps, en connaisseur. Il s´approcha d´elle, lui ouvrit la bouche, examina sa dentition, lui enfonçant un doigt au point qu´elle manqua de s´étouffer. Il tâta ses seins, les soupesa, tira sur les bouts entraînant un gémissement de la fille.

Sa main descendit le long de son ventre glabre et, du doigt, vérifia la fermeture de son sexe dont les lèvres avaient été infibulées. Il fit jouer le petit médaillon de certification qui ornait la couture et émit un grognement satisfait. Il la fit retourner, tâta les fesses, jaugea son anus et d´une tape sur la croupe conclut son examen.

Ma fille, voici monsieur Blaise. C´est le palefrenier de monsieur le comte, il est chargé de ta préparation et de ton dressage. Tu devras lui obéir en tous points. Je te laisse, bonne chance !
L´homme émit un ricanement et sortit de son grand sac un collier de cuir qu´il passa autour du cou de Louise. Il y assujettit une laisse, puis après avoir tiré d´un coup sec, il entraîna la fille vers l´extérieur.

Dans la cour stationnait un van. Il y fit pénétrer Louise, fixa sa laisse à une des parois, et s´installant au volant démarra. A travers la vitre Louise voyait l´institut Sainte-Ursule s´éloigner. Elle y avait passé des jours heureux, elle le regrettait déjà.

Ils roulèrent longtemps. Louise était fatiguée. Sa laisse était attachée court et ne lui permettait pas de s´asseoir ou de s´étendre sur la paille qui recouvrait le plancher du véhicule. Aussi fut-elle soulagée quand le van s´arrêta sur une aire d´autoroute.

Blaise la fit descendre tira un coup sur sa laisse et lui dit simplement :

Pisser !
Elle avait du mal à comprendre. Il allait la sortir devant toute ces personnes qui faisaient une pause : femmes, enfants, famille qui pique-niquaient ...

Il n´en avait cure. Il tira de nouveau sur la laisse et l´entraîna au bord d´un bosquet sous les regards ahuris et atterrés des voyageurs. Arrivés au bord du bosquet, il lui réitéra l´ordre :

Pisser !
Son regard ne laissait pas d´alternative à Louise.

Elle s´accroupit mais, aussitôt tirant d´un coup sec sur la laisse il lui dit :

Pisser ! Debout ! Comme une jument !
Elle écarta alors les jambes. Il l´orienta de manière à ce qu´elle fit face aux gens qui étaient sur le parking, entièrement nue, sexe exposé. Elle les regarda alors, des larmes d´humiliation coulant sur ses joues, suppliant du regard. Aucun ne bougeait, tous la regardaient.

Il la gifla :

Pisser !
Elle n´y parvenait pas, elle était bloquée. Jamais elle n´avait uriné de cette façon, debout, cuisses grandes ouvertes, devant un homme, devant des gens....

Puis, doucement son sexe infibulé suinta, un liquide chaud commença à s´écouler puis jaillit abondamment. Elle était morte de honte. Le flot n´en finissait plus.

Quand elle eut fini, il arracha une poignée d´herbe et l´essuya. Puis, toujours sous les regards des voyageurs de plus en plus méprisants pour la fille, il la raccompagna au van et la fixa de nouveau à sa place. Avant de reprendre le volant, il la regarda durement et lui dit :

Maintenant, toujours pisser debout ! Comme une jument !
Et le voyage reprit. Bientôt le trajet devint plus chaotique, ils arrivaient...

La femme cheval 2

L´arrivée à la ferme

Quand le van pénétra dans la grande propriété, et lorsqu´il eut parcouru plusieurs centaines de mètres d´une route boisée, ce n´est pas devant le château qu´il s´arrêta mais devant les communs qui abritaient plusieurs écuries.

Blaise, toujours sans un mot, la fit descendre en tirant sur sa laisse et la fit pénétrer dans ce qui allait être sa nouvelle demeure, à savoir, un box d´écurie, agrémenté pour toute décoration d´un anneau scellé dans le mur à mi-hauteur et d´une écuelle posée par terre.

Après l´avoir attachée à l´anneau, le valet, s´emparant d´une étrille se mit à la brosser sans ménagement. Il la frottait à grands coups de brosse, à tel point qu´en quelques minutes, son corps fut entièrement écarlate, spécialement ses seins et son ventre, sur lesquels le valet s´était particulièrement attardé.

Il n´avait pas fini qu´un couple entra.

Lui, c´était le comte. Vieil homme portant beau toutefois, vêtu d´un blazer, un foulard de soie recouvrant son cou maigre et décharné.

Par contre, la femme qui l´accompagnait éclatait de beauté. Blonde maquillée avec soin, habillée d´un chemisier largement échancré sur une poitrine généreuse et portant pantalon et bottes de cheval, elle faisait grand effet.

Chantal, ma chérie, regardez ma nouvelle acquisition, c´est pour vous ! Elle est jeune et pleine de santé, et l´institut me l´a garantie comme robuste et résistante. Voilà la pouliche que je vous avais promise.
La femme écarquillait les yeux de bonheur. Elle embrassa fougueusement et langoureusement le vieillard et s´approcha de Louise pour mieux l´examiner.

Bien sur, il faudra la préparer et la dresser. Blaise est la pour ça. Il va d´abord falloir lui percer les narines et les seins, la marquer au fer, l´habituer à la longe, puis ensuite lui faire tracter le sulky lesté pour lui développer les jarrets et les muscles fessiers. Tout cela prendra bien deux mois. Mais votre patience sera récompensée. Alors, vous plait elle ? Du bout de sa cravache, Chantal de Roquemaure, caressait le corps de Louise, titillant les seins. Elle ne disait rien, mais ses yeux exprimaient pleinement sa satisfaction.

- Quant à toi ma fille, à partir d´aujourd´hui, nul ne t´adressera plus la parole ! Tu dois être, tu es une jument. Tu es là pour ça, tu as accepté, et tu es payée pour cela. On te traitera comme une pouliche, on te dressera et tu vivras ici. Blaise s´occupera de toi.

N´oublie pas : tu as interdiction formelle de te servir de la parole. Blaise t´apprendra bientôt comment t´exprimer, en frappant du sabot, en hochant la tête...D´ailleurs, tu n´auras pas besoin de t´exprimer, mais si jamais tu le faisais, je serais obligé de te faire suturer les lèvres de la bouche, comme on t´a suturé les lèvres du ventre ! Hoche la tête gentiment pour me dire que tu as compris.

Terrorisée, Louise obéit. Tremblante, agitée de soubresauts, elle baissa lentement la tête en signe de soumission.

Blaise ! Quel est le programme ?
Aujourd´hui, je vais m´occuper de son harnachement, car il faudra plusieurs jours pour le faire fabriquer. Je vais la tondre et la faire vacciner. Le vétérinaire passe à cinq heures. Demain nous avons prévu les percements. Madame a-t-elle des souhaits particuliers ?
Chantal réfléchissait.

Les naseaux bien sur. Je veux qu´on puisse y passer un gros anneau pour pouvoir l´attacher. Quant aux bouts de seins, il s´agira de pouvoir y fixer les rênes, donc il faudra que l´attache soit solide.
Blaise saisit un sein de la fille, il le pinça pour le faire durcir :

Voyez madame, les bouts son gros. Si je perce un peu en retrait du bout j´aurai une bonne prise. Aucun risque de déchirement.
Très bien. Faites la marquer également au-dessus de son pubis : la marque habituelle, mes initiales. Ah ! Et puis son nom, bien sur, sur la fesse !
Bien madame, je ferai cela demain également, puis j´entreprendrai l´entraînement proprement dit. J´espère faire en sorte qu´elle soit au point pour votre garden party...

Ils s´éloignèrent en discutant. Autant Chantal semblait excitée, autant Louise était terrorisée.

La femme cheval 3

La préparation

Quand Blaise revint, il était armé d´une énorme tondeuse. Il fixa Louise sur une table en bois, la tête pendant dans le vide.

Louise était fière de sa chevelure auparavant. D´un blond très clair, ses cheveux, qu´elle portait longs, frisaient naturellement en boucles ondulantes.

Blaise, empoignant la chevelure et la tirant vers lui mit en marche l´énorme tondeuse. Il commença par la nuque, puis rasa tout autour du crâne, de manière à essayer de conserver en une poignée l´abondante toison de Louise. Il rasa sur les deux tempes d´avant en arrière, remontant progressivement vers le sommet du crâne, pour finalement ne laisser qu´une bande de trois à quatre centimètres de large, du front jusqu´à la nuque. Il ne laissait ainsi à Louise qu´une crinière, qu´il coupa assez court sur le dessus du crâne mais qui devenait de plus en plus longue pour finir comme...une queue de cheval, blonde et ondulante à souhaits. Il récupéra les longs cheveux tombés à terre, les regroupa et les lissa et considéra la chevelure qu´il brandissait en une seule poignée. L´ayant liée à une extrémité, il la rangea soigneusement dans une boite, puis entreprit de terminer le rasage afin d´éliminer les dernières touffes. En quelques minutes, Louis avait perdu, avec sa chevelure, ce qui lui restait de dignité humaine. Il la fit se dresser et la regarda : hormis sa crinière qui était magnifique, seule le sexe possédait encore un peu de poils, soigneusement taillés comme on avait l´habitude à l´institution. Impitoyablement, en deux passages de tondeuse, il élimina ce qu´il restait de poils et le ventre apparu ainsi dans sa nudité totale, mettant en relief ce léger bombement qui caractérise les jeunes femmes pré pubères.

Il prit ensuite un certain nombre de dimensions sur le corps de Louise et s´en fut, non sans l´avoir fixée à l´anneau de son box. Il ne revint que vers le soir, quand il lui apporta un bol de soupe épaisse. Affamée, Louise s´empara de l´écuelle qu´il avait posée par terre, quand une douleur terrible la fit se cabrer : la cravache venait de cingler ses fesses, y laissant immédiatement une trace rouge foncé. Il dit simplement :

Laper !
Louise comprit. Elle était docile. C´était d´ailleurs un des caractères qui l´avaient fait choisir afin d'être femme-cheval. Elle s´agenouilla et se mit à laper l´écuelle.

C´était difficile. Chaque coup de langue ne ramenait que peu de liquide dans sa bouche. Elle mit plus d´un quart d´heure pour terminer sa ration, et son visage était maculé.

Blaise la conduisit alors dans la petite prairie qui longeait le paddock et l´attacha à un pieu.

Quand il revint une heure plus tard, elle avait fait ses besoins. Il examina ses déjections, émit un grognement de satisfaction et la ramena à son box. Il la fixa dans la cour, s´arma d´un tuyau d´arrosage et la nettoya au jet.

Puis il la rentra dans son box, l´attacha de nouveau et sortit après avoir tiré le verrou de la porte. Louise comprit qu´elle devait maintenant dormir et, toujours docilement, se recroquevilla sur la paille et chercha le sommeil.

Ce long rituel s´accomplirait désormais ainsi chaque soir.

Elle dormit mal. Son esprit était dévasté de visions de percement de seins, de couture de sexe, de brûlures sadiques...Elle dormait mal sur la paille, elle avait froid, elle aurait voulu bouger, se lever, mais son collier était attaché trop court.

Elle sentit qu´on défaisait sa laisse. C´était l´aube, le soleil pénétrait par la porte de son box que Blaise avait laissé ouverte. Il avait l´air joyeux, et c´est en sifflotant qu´il la détacha et la tira dehors.

Il la passa au jet et la laissa sécher au soleil, debout, dans la cour du château, seulement attaché par sa laisse à l´anneau.

Autour d´elle, plusieurs employés passèrent.

Elle avait encore des réflexes de pudeur liés à son éducation sévère. Elle essayait de dissimuler aux regards ses seins avec ses bras, serrant les cuisses pour tenter de cacher son sexe glabre exposé à la vue de tous. Sans succès. Un jeune jardinier s´approcha pour l´examiner de près. Il caressa son crâne chauve, lissa sa crinière et flatta sa croupe avant de s´éloigner en riant.

Blaise la conduisit à nouveau dans le van qui, bientôt, quitta la propriété.

La femme cheval 4

Chez le vétérinaire

Le vétérinaire habitait un peu à l´écart.

Pendant que Blaise discutait avec lui, ils la laissèrent dans une salle où plusieurs chiens attendaient dans des cages.

Puis Blaise la conduisit dans le cabinet médical à proprement parler. C´était une grande salle, entièrement carrelée de blanc et équipée de nombreux appareils. Un jeune homme en blouse blanche également, probablement un assistant, se tenait silencieusement à l´écart.

Le vétérinaire, après l´avoir placée au centre de la pièce, considéra la fille chauve et nue qu´on lui amenait:

Belle bête ! Le comte a fait un choix avisé. Pour une femme, elle n´est pas très jolie, ses formes sont trop lourdes (il soupesait les seins, flattait les hanches de la grosse fille), mais cela constitue autant de qualité pour une pony-girl. Elle est bonne pour être attelée.
De plus, elle est très docile, je pense que je la dresserai rapidement, rétorqua Blaise.
Bon, allons-y ! Je vais quand même l´entraver. Car, même si elle est docile, c´est assez douloureux et je ne voudrais pas la rater en raison d´un mouvement malencontreux ! Je vais l´attacher sur cette chaise, car j´ai besoin, pour l´opération que les seins soient verticaux
Aidé du jeune assistant, il la fixa donc en position assise, les bras attachés aux montants de la chaise. Louise était terrorisée. Sa voix tremblait lorsqu´elle essaya d´articuler en regardant l´homme.

Je vous en p...
Elle n´eut pas le temps de terminer. La cravache de Blaise venait de cingler ses seins, laissant instantanément une trace rouge sombre.

Pas parler ! Jamais !
Ne vous inquiétez pas, elle apprendra. C´est normal qu´elle ait un peu peur...Bon, d´abord les naseaux !
Oui, M. le comte souhaite lui fixer un anneau aux naseaux pour pouvoir plus facilement l´attacher ou la mener. Il doit être solide afin qu´on puisse tirer dessus.
Bien sur, je comprends ! Le nez est bien développé, on doit pouvoir y passer un anneau de 5 mm.
Il avait écarté les narines de la fille et tâtait la cloison intérieure.

Puis il alla fourrager dans ses ustensiles et revint armé d´une pince dont les deux mâchoires formaient emporte-piece. Il s´approcha de la fille qui se mit à beugler.

Ayant fait un geste en en direction de Blaise qui s´apprêtait à frapper, il posa sa main gauche sur le front de la fille et introduisit les mâchoires de la pince dans chacune des narines de la fille. Celle ci ne cessait de hurler et de pleurer à chaudes larmes, terrorisée qu´elle était à l´idée d´être percée.

Le vétérinaire n´en avait cure et était visiblement habitué à travailler avec des bêtes beuglantes. Il ajusta soigneusement la pince afin que les deux bouts se trouve face à face, uniquement séparés, à la base du nez par la cloison nasale.

Il regarda la grosse fille pour vérifier que tout était bien en place puis serra brusquement et de toutes ses forces sur la pince. On entendit un léger craquement comme les deux mâchoires venaient brutalement de percer le cartilage.

La fille hurla d´un cri aigu, lorsqu´elle sentit ce sinistre craquement qui retentit dans tout son crâne.

Mais, l´homme avait déjà retiré l´instrument et, sans s´émouvoir, triturait le nez de Louise. Un trou bien rond de 5mm apparaissait entre les deux narines.

C´est bon, non ?
Blaise approuvait.

Le vétérinaire alla alors chercher un gros anneau d´acier et l´enfila dans le trou qu´il venait de percer à la base du nez.

Il se recula pour juger de l´effet et prendre Blaise à témoin. Le gros anneau traversait la cloison nasale et tombait sur les lèvres. A coup sur, l´ensemble était solide et permettrait l´amarrage de la femme-cheval.

Pas mal ! Je le souderai tout à l´heure avec ceux des mamelles.
Louise prit alors conscience que son calvaire venait à peine de commencer.

Je vais la bâillonner, car le bout des mamelles est la partie la plus sensible de ces femelles. Sinon elle va nous casser la tête avec ses beuglements ! Il enfila une grosse boule de caoutchouc dans la bouche de la fille qui maintint à l´aide d´un large adhésif.

Je ne vais pas utiliser la pince pour les seins car j´enlèverais trop de chair et je fragiliserai l´ensemble car, si j´ai bien compris vous compter y fixer les rênes bien sur ?
Il prit alors un gros poinçon très pointu mais qui allait en s´élargissant.

Avec un coton imbibé d´alcool, il frotta vivement le bout de sein droit de la fille pour le forcer à s´ériger, ce qui ne tarda pas. Puis, ayant saisit le bout de sein tout simplement entre deux doigts et le tirant fortement il approcha la pointe du poinçon.

La fille avait brusquement cessé de gémir et même d´essayer de se soustraire à l´opération, de peur de causer un faux mouvement à l´homme.

Il posa la pointe du poinçon sur le téton, à la base du petit mamelon érigé et, après s´être assuré qu´il était bien positionné, l´enfonça lentement, en le faisant tourner sur lui-même pour assurer la pénétration.

La fille hurlait sous son bâillon, sans que le vétérinaire s´émeuve le moins du monde. Il continua à enfoncer le poinçon jusqu´à ce que l´extrémité émerge de l `autre côté. Dès lors il poussa de manière à bien élargir le trou, et, se saisissant d´un gros anneau ouvert, il le fit passer dans le trou du sein au fur et à mesure qu´il retirait le poinçon.

Quand il l´eut complètement extrait, l´anneau était entièrement passé et ornait le sein de la fille.

Il tira dessus pour s´assurer de sa bonne fixation. La fille hurla de plus belle, mais le bâillon faisait son office, et le cri était largement assourdit.

L´ouvrage était bien fait, Blaise avait également l´air satisfait, par contre la fille était en piteux état. Elle était en sueur, sa peau avait pris une pâleur extrême, son corps était agité de tremblements et elle semblait à la limite de perdre conscience.

Il faut la laisser se reposer un peu avant de faire l´autre sein.
Il désinfecta le tout à l´alcool, ce qui eut pour effet de relancer les hurlements de la fille puis l´aspergea d´eau pour lui permettre de se calmer. Il ouvrit la fenêtre, et un vent frais envahit la pièce. Peu à peu elle se calma et reprit des couleurs plus naturelles.

Il se tourna alors vers son assistant.

C´était un jeune gaillard encore boutonneux qui, jusque là s´était montré d´une discrétion extrême.

C´est Julien. Il apprend le métier avec moi. Il est très sérieux et prometteur. Je lui apprends également à travailler sur les femmes mais jusqu´ici il n´a pas eu beaucoup l´occasion. Julien, qu´as-tu fait sur des femmes jusqu´à présent ?
Juste des saillies, docteur.
Bon, tu vas apprendre à faire un percement de sein comme celui auquel tu viens d´assister. C´est de plus en plus demandé, non seulement pour les femmes pouliches, mais aussi pour beaucoup d´autres utilisations ? Tu m´as vu faire ? Tu te sens d´attaque ? Il ne faut pas la rater n´est-ce pas ?
Je crois que j´y arriverai, docteur.
Bien, alors, vas-y. Elle a pu se détendre un peu.
Le jeune s´approcha alors de Louise. Il considéra le sein gauche, encore vierge de toute opération. Les seins de la fille étaient particulièrement développés. De la main gauche, il le prit dans la main et attrapa le téton entre les doigts. Il tira vivement. La fille rugit sous le bâillon.

J´ai peur qu´il ne glisse...
A ce moment là, prends une pince, dit le vétérinaire.
L´assistant alla alors chercher une pince à mâchoires crantées avec lesquels il put aisément saisir le bout de sein. Il serra, écrasant ainsi le bout de sein et affermit sa prise en exerçant quelques tiraillements. La fille glapissait de plus belle. Il se saisit alors du poinçon de la main droite, le positionna sur le coté du mamelon, puis, brutalement l´enfonça. Un cri de bête emplit la pièce.

Le poinçon était profondément enfoncé dans le bout de sein et le traversait de part en part, beaucoup plus qu´il n´aurait du. Le jeune assistant, navré de sa maladresse, craignait la réprimande.

Ce n´est pas grave, dit le vétérinaire. Mais la prochaine fois, il te faudra procéder plus délicatement, en tournant légèrement le poinçon sur lui-même. Cela facilite la pénétration et évite de l´enfoncer de trop.
La fille ne cessait de pleurnicher, ce qui visiblement agaçait le jeune assistant. Aussi ne prit-il aucune précaution particulière pour enfiler l´anneau et désinfecter le bout de sein.

Le vétérinaire procéda alors à la soudure des anneaux avec une grande dextérité.

Quelques minutes plus tard, la pouliche était prête.

Elle fut alors détachée et placée devant le mur blanc, pour que l´assistant put prendre quelques photos.

La grosse fille était maintenant ornée d´anneaux au bout de ses gros seins et au nez. Ce dernier, incontestablement, lui donnait une allure beaucoup plus animale, qui satisfit fort Blaise.

Attendez demain que ce soit un peu cicatrisé avant de tirer sur les anneaux, recommanda le vétérinaire lorsque Blaise l´emmena.

La femme cheval 5

Dressage

Lorsque le van la déposa devant son box et que Blaise la rattacha à son emplacement, la fille, épuisée s´endormit et ne se réveilla pas avant le lendemain.

C´est la douleur aux bouts de seins qui la réveilla le lendemain.

Bien sur, il n´y avait aucun miroir et elle du passer ses mains sur sa poitrine et sentir les anneaux des seins et du nez sous ses doigts pour se convaincre de leur réalité.

Elle était ravalée au rang de bête : on ne lui parlait pas, on la traînait au bout d´une laisse, on la traitait comme un animal, on l´amenait chez un vétérinaire...et aujourd´hui elle se trouvait ferrée comme une bête de trait.

Elle en était à ces considérations quand Blaise entra.

Il examina la cicatrisation de ses trous aux seins et au nez. Il fut visiblement satisfait car, sans attendre, c´est à l´anneau de son nez qu´il fixa la laisse pour la sortir.

Comme à l´accoutumée, matin et soir, il l´emmena au pré adjacent pour faire ses besoins. Louise était maintenant habituée. Dès qu´elle arrivait à l´emplacement dédié, et même sans attendre qu´il la laisse, elle écartait les jambes et se soulageait.

Alors il la ramenait à la cour et la passait au jet.

Une fois qu´elle fut propre il sortit un certain nombre d´équipement et appela un palefrenier pour l´aider.

Voilà qui va faire d´elle une vraie pouliche !
Il sortit une paire de bottine souple de cuir noir, lacées, qu´il lui enfila au pied. Ces bottines serraient fortement le pied et la cheville de Louise et les maintenaient fortement cambrés. Mais elles avaient avant tout, deux particularités :

Tout d´abord si elles étaient en tous points semblable à des escarpins à talons hauts, elle n´avait pas de talon ! Le pied était maintenu fortement cambré sans que le talon puisse s´appuyer sur le sol. Ensuite le bout des bottines s´élargissait pour se terminer en une sorte de sabot de cheval à bout ferré.

Ainsi lorsque la fille les avait chaussées, elle était obligée de pencher le corps en avant et de fléchir un peu les genoux afin de maintenir l´équilibre sur le bout du pied, son sabot. Cette position était inconfortable au départ mais les filles s´y habituaient vite car la largeur du sabot faisait que l´assise du pied était bonne, et, pourvu que la fille adopta la position adéquate, garantissait un bon équilibre. De plus, cette position penchée en avant sur la pointe du pied faisait que toute la puissance musculaire était concentrée sur le sabot et permettait une bonne allure au trot, voire au galop.

Attachant une longue à l´anneau nasal de Louise, Blaise la fit marcher à coté de lui ;

Tu vois, elle éprouve un peu de difficulté à trouver son équilibre mais on va faire de l´exercice et tu verras que ce soir, elle sera déjà habituée.
Il l´amena alors au manège.

Il faut que je lui apprenne les ordres fondamentaux. On va voir si elle apprend vite.
Il plaça la fille à la périphérie du manège et se tint lui-même au centre, assurant la bonne distance à l´aide de la longe fixée aux naseaux de Louise. Il prit alors un long fouet qu´il fit claquer à plusieurs reprise au-dessus de la tête de la fille. Celle-ci était aux aguets, comprenant qu´on attendait quelque chose d´elle. Puis soudain le fouet claqua sur ses fesses et Blaise cria " Hue ! ". La fille hurla et se mit à courir pour s´arrêter trois mètres plus loin. Blaise cria à nouveau, en même temps que le fouet cinglait de nouveau la croupe de la fille. Elle repartit de plus belle et se mit à courir, cette fois ci sans s´arrêter, tout autour du manège, d´une allure rendue chaotique par son manque d´accoutumance à ses nouveaux sabots . Néanmoins, Blaise lui fit ainsi faire deux tours et cria " Ho ! " En même temps que le fouet cinglait les seins, la fille ralentit mais continua toutefois, un peu perturbée. Le cri à nouveau et le fouet sur la poitrine...Elle s´arrêta, hors d´haleine. Blaise sortit alors un petit bout de carotte qu´il lui fourra dans la bouche en guise de récompense. Puis il cria. La fille comprit et se mit à trotter. Il l´arrêta. Puis repris. Rapidement la fille avait assimilé les ordres.

Il poursuivit ainsi l´exercice, laissant la fille s´adapter au trot. Il lui appris également la différence entre le pas (" va" ) et le trot (" hue ").

Blaise jugeait du travail à faire :Elle n´avait pas fière allure. Penchée en avant et les bras s´agitant pour conserver l´équilibre, ses gros seins ballottant, elle avait encore beaucoup à apprendre avant d´être produite en public.

Il la fit ainsi trotter en rond pendant une dizaine de minutes, afin qu´elle s´accoutumât .

Puis il la laissa un peu reprendre son souffle pendant qu´il allait chercher deux autres longes.

Lorsqu´il revint, il accrocha les longes supplémentaires aux anneaux de ses seins puis la fit marcher au pas. Il tenait d´une main la longue centrale, accrochée aux naseaux, et de l´autre les longes reliées aux seins.

Alors qu´elle marchait, il tira d´un coup sec sur le sein gauche : la fille poussa un cri de douleur et, naturellement obliqua à gauche. Un nouveau coup sec sur le sein droit, nouveau cri et la fille s´orienta à droite. Il tira ainsi successivement sur l´un et l´autre sein, entraînant à chaque fois un cri de la fille car la cicatrisation de la fixation des anneaux aux mamelons était encore fraîche, mais rapidement la fille apprit à manoeuvrer, une brève traction sur les deux seins en même temps provoquant la remise en ligne droite.

L´entraînement dura près de trois heures, entrecoupé, toutes les demi-heures, d´une brève pause, pour que la fille puisse se reposer et se détendre. Néanmoins à la fin de la matinée, elle était dressée aux fondamentaux d´une pony girl.

Chantal passa s´assurer du bon déroulement de l´éducation et apprécia d´un oeil connaisseur les progrès de la fille.

Blaise était satisfait. Il le signifia à Louise en la gratifiant d´une nouvelle friandise et en flattant son flanc.

Puis il la passa au jet pour la nettoyer de sa suer et la rafraîchir. Il passa également un baume sur ses seins dont les mamelons avaient enflé et rougis autour des points de percement et de fixation des anneaux sous l´effet des tractions renouvelées. Enfin, après l´avoir attachée à son piquet dans la prairie adjacente au manège, il la laissa se reposer.

L´après midi devait être consacrée à son marquage.

La femme cheval 6

Marquée !

Louise n´était évidemment au courant à l´avance de ce qui allait lui arriver, car ni Blaise ni personne ne lui adressait la parole, il lui était elle-même interdit de prononcer un seul mot, et elle avait rapidement perdu le réflexe de parler. Mais dès qu´elle fut amenée dans l´atelier qui jouxtait l´écurie, elle comprit ce qui l´attendait. Au centre de la pièce, un brasero alimenté de charbon de bois rougeoyait. Plusieurs fers étaient plongés dans les hautes braises pour être amenés à bonne température et la chaleur envahissait la pièce.

L´apercevant Louise s´immobilisa de frayeur. Blaise exerça alors une douce pression sur sa laisse de naseaux pour la faire entrer et la rassura en lui flattant le flanc.

Il n´était pas brutal avec elle et bien souvent savait comprendre et anticiper ses sentiments. Il la considérait comme un animal certes, mais n´en éprouvait pas moins pour elle une certaine affection et, de plus en plus, de la fierté en raison de sa docilité et des progrès visibles qu´elle montrait dans son dressage. C´est donc fermement mais sans violence qu´il l´amena vers le chevalet.

C´était une sorte de haut tabouret carré, recouvert de cuir, dont les pieds étaient suffisamment écartés pour assurer une bonne stabilité. Il la courba et la fit reposer dessus sur le ventre, faisant pendre jambes et bras de part et d´autres. Puis, à l´aide de courroies en cuir, il fixa ses membres bien tendus à chacun des pieds, de manière à ce que ses fesses soient bien exposées sur la partie plate du chevalet.

Louise tremblait de tous ses membres et émettait de petits couinements qu´il fallait comprendre comme autant de supplications.

Il massa sa croupe pour enlever tout brin de paille qui y subsisterait et la désinfecta avec un linge imbibé d´alcool.

Puis il de saisit d´un des deux fers. Celui qu´il brandit avait été forgé spécialement et reproduisait le nom de la fille. Les lettres étaient portées au rouge mais peut-être pas suffisamment car Blaise replongea le fer dans le brasero et fit fonctionner la forge pour accélérer le feu. Quand, quelques minutes plus tard il ressortit le fer, ce dernier était d´un rouge tirant sur le blanc et semblait à point. Blaise posa alors sa main sur les hanches de la fille pour la maintenir bien immobile et approcha le fer rougeoyant de la fesse gauche de Louise. Celle-ci, sentant la forte chaleur approcher de sa peau se mit à glapir. D´une manière très professionnelle, sans se laisser troubler, Blaise posa alors le fer sur le gras de la fesse et compta lentement : " un....Deux......trois.......Quatre ". En même temps qu´un beuglement envahissait la pièce, une fumée s´échappait du corps meurtris et une odeur de cochon brûlé se répandait. A " quatre ", Blaise retira rapidement le fer et le replongea dans le brasero.

En lettres noires, d´environ trois centimètres de haut, autour desquelles le rouge envahissait la peau de la fesse apparaissait le mot " LOUISE ".

Blaise éventa la brûlure, essuyant les grains carbonisés qui y restaient collés et admira son travail. L´inscription était nette et très visible, même de loin. Sa maîtresse serait contente.

Il fallait maintenant, conformément aux consignes de Chantal de Roquemaure, inscrire le chiffre de sa maîtresse au-dessus du pubis de Louise ;

Blaise détacha la fille afin de la retourner. Louise se laissait faire. Elle souffrait certes, mais l´abandon total de son corps et de sa destinée à un maître lui procurait une sorte de réconfort, à elle qui avait du mal à assumer sa vie. Elle savait qu´elle avait maintenant une vocation : elle une pouliche de luxe, qu´on montrerait, dont on serait fier. Elle serait peut-être unique en son genre. Et si ce n´était pas le cas (elle soupçonnait qu´il y eut d´autres filles dressées comme elle) elle s´attacherait à être la plus belle et la plus soumise, à arracher l´étonnement par la façon dont elle s´était totalement livrée. La douleur qu´on lui infligeait parfois frisait l´insupportable, mais elle l´acceptait, cherchant, de plus en plus consciemment à se dépasser dans l´acceptation et dans l´abandon.

C´est ainsi qu´elle se retrouva retournée sur le chevalet, bras et jambes attachés aux pieds de l´engin, cuisses ouvertes, ventre offert.

Elle va être superbe !
La voix venait de derrière elle. C´était celle de Chantal de Roquemaure. Elle était venue assister au marquage et y prenait un certain plaisir.

Elle s´approcha de Louise et sa main s´égara sur le corps offert de la jeune femme. Elle caressa le ventre à la peau fine et glabre, s´attarda sur le sexe lisse et infibulée, seulement souligné par la fine fente dessinée par les lèvres.

Un doigt parcourut la fente de bas en haut, doux et caressant, remonta sur la peau de trois à quatre centimètres, se fixa :

Ici !
Blaise sorti le fer rougi à l´extrême. Il était plus petit que le précédent. Louise sentit à la chaleur qu´il dégageait qu´il s´approchait de sa peau. Elle se remit à gémir.

Calmement, sans appuyer, Blaise posa le fer sur le ventre plat de la fille. De nouveau

Ce bruit de frétillement, cette odeur et cette fumée qui se dégage, de nouveau ce cri de bête et de nouveau la voix calme qui compte : " un...deux...trois...quatre ".

Une minute plus tard, Louise était debout au centre de la pièce, seins pendant, tête basse, le corps encore agité de tremblements, la peau nue, la crinière en bataille, dépourvue de tout autre poil, luisante de sueur, marquée en lettres noires, auréolées de rouge, sur la fesse de son nom et, au-dessus du sexe des deux lettres " CR ".

Chantal tournait autour, visiblement satisfaite, imaginant de qu´elle pourrait faire de cette pouliche lorsqu´elle serait à point, la jalousie de ses amies, l´excitation envahissant son ventre sous la forme d´une douce chaleur.

Elle ne put s´empêcher de caresser la fille, accompagnant de la main la courbe de sa croupe, appréciant les mamelles, passant un doigt léger sur les brûlures du marquage, causant à chaque fois une vive réaction de douleur chez la fille et une onde de plaisir au plus profond d´elle-même.

Elle est fatiguée, madame. La journée a été dure pour elle . Permettez que je la fasse manger et faire ses besoins avant de la raccompagner à son box.
Emmenée par sa laisse nasale, Louise, dont le ventre et les fesses se rappelaient en permanence à elle par une vive douleur, ne pouvait s´empêcher d´être fière de ce qu´elle avait su endurer et reconnaissante à l´homme qui avait su l´emmener jusqu´à ce point d´abandon.

La femme cheval 7

Louise attelée !

Le lendemain, l´entraînement reprit. Les matinées devaient être consacrées à l´endurance, les après midi au dressage proprement dit, c´est à dire apprendre la tenue, la manoeuvre, saluer, se tenir en équilibre sur une patte etc...

C´est ce jour la qu´elle fut attelée pour la première fois. Pour cela, Blaise lui enfila le harnais de cuir qu´il avait fait fabriquer spécialement. C´était une sorte de corset de cuir qui se laçait par des sangles dans le dos, creusait la taille, laissait libre les mamelles et dégageait la croupe.

Sur les côtés dessangles permettait de plaquer les bras le long du corps et de les immobiliser, seuls les avant bras prenant une position horizontale permettant à la pouliche de tenir les brancards de l´attelage.

Blaise enfila la tenue à la fille et l´ajusta, n´hésitant pas à serre au maximum pour assurer le bon maintien de l´ensemble. Puis il alla chercher une sorte de têtière faite de cuir également, composée de lanières laissant libre la crinière et les oreilles mais pourvues de deux petits volets en cuir positionnés de chaque côté des yeux et servant d´oeillères, afin que la fille ne fut pas distraite pendant sa course. Juste en dessous, de chaque côté du menton se trouvaient deux gros anneaux dont Louise ignorait la destination.

La fille étant ainsi équipée, Blaise la mena jusqu´au garage. Outre les automobiles, celui-ci abritait un certain nombre de voitures à cheval, du léger sulky de course en fibre de carbone à la voiture de transport deux chevaux, prévue pour le transport d´un cocher et de deux passagers.

Blaise choisit un fin sulky de bois, aux brancard assez longs, sans capote, et prévu pour une personne. Il attela aisément la fille.

Les brancards vinrent se positionner naturellement à hauteur des avant bras de Louise qui agrippa les poignées que, pour plus de sécurité, Blaise fixa à l´aide de lanières.

Ensuite il ramena les longes qu´il passa par les anneaux de chaque côté de la tête avant d´en accrocher chaque extrémité à l´anneau de chaque seins, l´anneau de la têtière servant à faire coulisser la longe. Ainsi était assurée la direction.

Puis, s´étant armé d´un long fouet fin, il monta sur le siège du sulky.

Sur le coup, Louise ne se rendit pas compte du poids de l´homme et c´est avec aisance qu´elle maintint les anses du sulky.

Un claquement du fouet contre sa fesse accompagné d´un cri sourd et bourru lui ordonna de démarrer. L´homme n´était pas léger, et mettre en mouvement le sulky demandait un effort particulier. Par contre une fois la voiture en branle, elle roulait facilement sans grand effort de la part de la fille pouliche. Il la fit sortir de la cour au pas pour se diriger vers la piste, la dirigeant en tirant par petits à-coups sur les anneaux de ses seins, réveillant par là une douleur qui ne s´était pas complètement calmée depuis le percement de ses tétons, mais entraînant par la même une grande réactivité de la pouliche.

Arrivés sur la piste il lui fit prendre le trot. La fille, habituée désormais à ses sabots, accéléra naturellement le rythme et prit son allure. Blaise par de petits coups de fouets la fit progressivement accélérer et bientôt le convoi roula à bonne vitesse. Louise semblait à l´aise. Elle souffrait un peu du ballottement de ses seins, qui avaient tendance à virevolter de droite et de gauche. Mais elle prenait garde de rester bien droite pour éviter ces mouvements incontrôlables et douloureux. Il lui fit faire ainsi deux tours de la grande piste, terminant à vive allure, la fille à la limite du galop.

Il tira puissamment sur les rênes des seins, ce qui eut pour effet immédiat de la stopper.

Il descendit, la considéra : même si elle était essoufflée, il était fière d´elle, la caressa longuement avant de reprendre l´entraînement à un rythme plus raisonnable.

Il était content : cette pouliche était exceptionnelle. Docile, puissante endurante, mais aussi élégante, elle aurait beaucoup de succès. Sa maîtresse serait ravie et probablement lui ferait-elle faire des compétitions.

Louise aussi se sentait bien. Fière d´elle, utile. Elle aussi attendait le jour où elle serait montrée en public. Mais il restait encore beaucoup à faire.

Les jours s´écoulèrent ainsi paisiblement, entièrement consacrés au dressage et à l´entraînement de Louise. Ainsi, au bout de deux semaines avait-elle complètement changé.

Physiquement d´abord. Elle s´était musclée. Ses jarrets s´étaient développés ainsi que ses cuisses. Son alimentation étant bien étudiée, elle n´avait pas pris un gramme de graisse et l´ensemble de son corps était plus ferme. Ses anneaux de seins étaient désormais bien ancrés dans la chair du mamelon et supportaient les tractions importantes dues parfois aux nécessités de la course ou de la manoeuvre.

Dans son comportement aussi. Tout chez elle était réflexe. Il suffisait d´un léger claquement de fouet, que la mèche caresse une fesse ou la pointe d´un sein et la pouliche obéissait au doigt et à l´oeil. Son cocher parvenait ainsi à lui faire opérer des manoeuvres difficiles, à réagir au quart de tour, à donner des accélérations fulgurantes et néanmoins souple. Son port était magnifique. Elle trottait maintenant avec élégance, le torse bien droit, la poitrine bien ferme, les reins bien cambrés. Elle était profilée aussi bien pour la parade que pour la course. Elle était magnifique et faisait la fierté de son maître.

La femme cheval 8

Femme-cheval en cadeau


Le grand jour arriva.

Ce matin là, l´aube n´était pas encore levée que Blaise entra dans le box pour réveiller la pouliche. Mais celle-ci ne dormait . Lovée en rond dans un coin de son box, attachée par son anneaux de nez, elle était tout à l´excitation de cette grande journée qui allait faire d´elle une vedette.

Blaise la sortit, lui fit faire ses besoins puis la passa au jet comme chaque matin. Par contre, il passa beaucoup de temps à frotter sa peau à l´étrille pour lui donner une vigueur rosâtre, et à lisser sa longue crinière qui descendait maintenant dans le dos. En fin il la parfuma longuement, signe que c´était un grand jour.

Elle allait porter son harnachement des grands jours. Le harnais de cuir était le même mais la têtière ornée de pierreries et de rubans.

Blaise la fit se courber vers l´avant et écarter les cuisses. Il enfila alors son doigt garni de vaseline dans son anus et le travailla longuement pour le distendre. Puis Louise sentit qu´il voulait enfoncer quelque chose de dur et de fort diamètre qui heurtait l´entrée de son fondement. Il tourna, il força puis, brutalement, provoquant un beuglement de douleur de la pouliche il enfonça le manche dur au fond de son ventre.

Louise ne pouvait voir, mais sentait , outre sa douleur anale, comme une caresse le long de ses cuisses. En fait, Blaise avait recueilli ses longs cheveux lorsqu´il l´avait tondue pour ne laisser que la crinière, et en avait fait une longue queue, pourvu d´un manche extensible qu´il avait enchâssé dans son fondement. A l´aide d´une petite vis qu´il actionna, il augmenta le volume du manche de manière à ce que, même au galop, celui-ci ne s´extirpe pas de l´anus de la fille.

Ainsi harnachée, elle était magnifique. Les fesses musclées et rebondies émergeaient du corset exposant les marques brunes incrustées dans la peau blanche, de même que les seins fermes, pourvus de gros anneaux en leur bout. Sa haute taille, accrue par ses sabots lui donnait une allure élancée, les genoux légèrement pliés, les reins creusés, les seins arrogants, le ventre marqué du sceau de sa maîtresse affichant d´emblée sa condition et son appartenance.

Le tout était rehaussé de sa longue crinière blonde assortie à sa queue soyeuse.

Blaise la fit trotter à la longe pour lui permettre de s´échauffer et la laissa à son piquet en attendant sa présentation.

Pendant ce temps, les invités arrivaient. Le long de la piste avaient été placés des gradins, capable d´accueillir une centaine de personnes invitées ce jour là pour les 30 ans de Chantal.

Le comte les accueillait et les accompagnait sous les grandes tentes blanches et vertes qui avaient été dressées pour abriter le buffet.

Le cocktail était magnifique, le champagne coulait à flots et des serveurs en habits blancs circulaient parmi les convives au son d´un orchestre qui animait la réception.

Quand les convives furent arrivés, Blaise alla chercher la pouliche pour l´atteler.

Le sulky qu´il avait choisi était un petit tilbury du début du siècle en bois clair, permettant d´accueillir deux passagers sur des sièges suspendus par des ressorts. Blaise fixa les attaches passa les longes dans les anneaux des seins, mais ne monta pas dans la voiture. Il brossa une dernière fois Louise, s´assura qu´elle était parfaite et attendit qu´on l´appelle.

Pendant ce temps, Chantal de Roquemaure avait fait une entrée remarquée. Sa tenue tranchait avec celle de ses invitées. Elle était vêtue en cavalière. Mais une cavalière un peu particulière.

Elle portait en effet au dessus de ses bottes de cuir fauve, un pantalon d´un beige très clair qui moulait à l´extrême ses formes parfaites. Le fin tissu élastique reproduit presque le moindre grain de peau et même le léger renflement de son pubis apparaissait.

Elle portait également un chemisier de soie de la même couleur, dont la finesse accentuait la transparence. L´encolure largement ouverte jusqu´au nombril le disputait à la transparence du chemisier pour laisser apparaître ses seins menus mais fermes, libres de tout soutien.

Quand elle apparut ainsi vêtue, les hommes pâlirent d´envie et les femme ne purent s´empêcher d´éprouver un sentiment de jalousie devant cette femme à demi nue, aussi belle, et aussi gâtée par la vie.

Le comte, lui, jubilait en voyant les regards des une et des autres.

Il s´adressa à ses convives qu´il invita à s´installer sur les gradins. L´assistance était des plus huppée : hommes en costume d´alpaga, femme avec capelines...Toute la bonne société était réunie pour fêter l´anniversaire de Chantal et assister aux fameuses démonstrations équestres dont le comte était régulièrement l´organisateur. Passionné de chevaux, il possédait une des plus belles écuries de course d´Europe et prenait plaisir à faire partager sa passion à ses amis. C´est d´ailleurs sur un champ de course qu´il avait fait connaissance de Chantal de Roquemaure, de trente ans sa cadette mais qui avait été éblouie par le faste des réunions hippiques qu´organisait le vieil homme.

Grâce à lui, elle montait les plus beaux étalons, drivait les plus beaux attelages. Sa passion trouvait son sommet aujourd´hui avec Louise.

Le comte introduisit successivement les présentations d´étalons et les démonstrations dignes du Cadre Noir de Saumur, quelques courses permirent à l´assistance fascinée de voir galoper des pur-sang venus d´écuries lointaines.

Enfin le comte se leva et pris le micro :

Mes amis, je voulais aujourd´hui vous associer à ma joie de fêter les 30 ans de ma compagne. Pour cette anniversaire, j´ai voulu lui faire un cadeau exceptionnel, un cadeau dont elle rêvait depuis longtemps, et dont, je pense, beaucoup d´entre vous rêvent. Un animal qu´on ne trouve plus aujourd´hui que dans quelques rares cheptels africains, que j´ai acquis et fait dresser à l´ancienne pour Chantal : une femme-cavale !
A ce moment, l´assistance vit apparaître du fond de la piste un étrange équipage.

Blaise marchait à côté de Louise attelée au tilbury, la guidant à partir des rênes accrochées aux seins, se tenant le plus éloigné possible de la pouliche pour lui laisser la vedette.

Louise avançait au pas, buste bien droit, seins pointant sous les anneaux et tendus vers l´avant par les rênes, reins cambrés faisant jaillir la queue, tractant aisément la voiture légère.

Elle était aussi fière que consciente de l´importance de l´évènement.

L´assistance était éberluée, mais aussi un peu indignée, par cette femme ravalée aussi complètement au rang d´animal, ayant parfaitement assimilé sa condition, paradant en exhibant sa nudité harnachée, sa peau marquée au fer rouge, rappelant son appartenance totale et sans limite à sa maîtresse. Louise progressait vers les gradins, ondulant de la croupe et de la queue comme on lui avait appris à le faire, secouant sa crinière à mesure qu´elle marchait.

Quant elle fut parvenue au pied des gradins, Blaise effleura sa croupe de son fouet et la fille pliant un genoux et baissant la tête salua l´assistance, frappant de son sabot droit la terre battue.

Ma chérie, c´est pour vous. Prenez-en possession.
Chantal exultait. Elle descendit lentement les gradins, s´approcha de la pouliche et en fit le tour, admirant l´allure racée de la fille qui piaffait et le degré de perfection de son équipement.

Puis lentement, elle grimpa dans le tilbury, qui s´affaissa un peu sous son poids, rassembla les rênes de seins, saisit le fouet qui l´attendait accrochée au siège, et d´un mouvement ample cingla la croupe de la fille dans un claquement sec. Louise poussa un cri, elle ne s´attendait pas à une telle vigueur, elle qui avait été dressée à obéir sur un simple geste du cocher. Elle rugit et mais aussitôt démarra au galop droit devant elle. Chantal s´accrocha au rênes pour tenter de maîtriser la fille et y parvint assez rapidement.

Elle la fit galoper sur un tour de piste la ramena vers le centre, lui fit accomplir quelques virages en tirant sèchement sur les seins, manoeuvrant avec aisance la fille docile.

La qualité du dressage qui avait été infligé à la fille a créé chez elle des réactions réflexes.

Les changements de direction résultant de la traction sur l´un ou l´autre sein étaient immédiats, la légère morsure du fouet sur une fesse induisait une réponse instantanée de l´animal.

Blaise, modestement retiré à l´ombre des gradins éprouvait un juste sentiment de fierté et de tendresse pour la fille dont il avait su si bien exploiter le caractère et l´amener à donner le meilleur de ses capacités.

Louise, elle-même, bien que souffrant dans ses chairs de la sauvagerie de Chantal, exultait de pouvoir ainsi se valoriser et de se sentir ainsi le centre des regards de l´assistance.

Chantal s´arrêta alors et invita une de ses meilleures amies à la rejoindre.

C´était une grosse femme, robe à fleur et capeline, qui se précipita, ravie de faire cette singulière promenade. Elle s'approcha donc de Louise, lui caressa le museau et s´attarda sur ses seins, impressionnée par la taille des anneaux qui traversaient et incrustaient la chair.

Oh là là ! Quand je pense qu´on aurait pu me faire ça !
Cà ne tient qu´à toi ma chère, répondit Chantal. Allez, en attendant monte avec moi, je te fais faire un petit tour.
La grosse femme monta avec difficulté dans le tilbury, qui s´affaissa fortement quand elle se fut enfin installée. Un cinglement de fouet et l´étrange équipage s´ébranla.

Louise avait maintenant à tracter un poids énorme. Sous la morsure du fouet, elle s´élança mais ne parvint à mettre la voiture en branle que péniblement pour lui faire prendre un rythme assez lent. Chantal s´énerva, tirant sur les seins, fouettant la croupe. La fille forçait , ahanait, faisait de son mieux pour tracter le poids énorme des deux personnes sur le tilbury, seins bringuebalant, muscles des jarrets tendus. Chantal stimula avec violence la croupe et le dos de la pauvre fille jusqu´au moment où celle-ci put enfin prendre une allure plus soutenue.

Parvenue au début de la ligne droite, Chantal tenta de lui faire prendre le galop. Malheureusement, le tilbury était trop chargé et la fille ne pouvait prendre de la vitesse. Plus sagement toutefois, après avoir pris en compte les conseils de modération de Blaise, dont les regards soutenus traduisaient l´inquiétude, elle se contenta de mener la fille au trot pendant un tour de piste et la ramena au pied des gradins, sous les applaudissements de la foule.

Elle attacha alors Louise, toujours attelée, à un piquet et la garden-party reprit. La foule se pressa autour d´elle, curieuse et horrifiée. Une grosse dame accompagnée de son mari tourna autour d´elle :

- Mais ce n´est plus une femme ! Comment une femme aurait-elle pu accepter cela. Regarde cet anneaux à son mufle : elle est attachée comme une bête ! Regarde ces rênes ! (Elle tirait vivement sur les rênes accrochées aux anneaux qui transperçaient les bouts de seins de Louise, lui tirant des gémissements de douleur, mais elle ne se rebellait pas). Regarde ce sexe cousu ! C´est horrible ! le mari ne disait rien, regardant la femme-pouliche d´un air rêveur...

Seul Blaise s´approcha d´elle, sécha sa peau luisante de sueur, lui massa le bout des seins meurtris avec des glaçons et la fit boire.

Chantal vint à son tour la voir vers le soir. Elle lui caressa longuement l´échine et flattant sa croupe que la fille ondula de plaisir. Sa maîtresse l´aimait...

La femme cheval 9

La course

Désormais, Chantal eut du mal à se passer d´elle. Le matin de bonne heure, elle aimait à faire de longues promenade sur le sulky léger tiré par Louise. Après quelques kilomètres d´échauffement, elle lui faisait faire des pointes de vitesse sur la piste sous l´oeil satisfait de Blaise. La fille était désormais très endurante. Son fessier avait pris de l´ampleur, ses jarrets s´étaient élargis sous le développement des muscles, dans son corps alourdit, il ne subsistait toutefois pas un gramme de graisse. Elle était profilée pour la course.

Chantal l´engagea d´ailleurs dans une compétition.

Ce jour-là, une fois qu´elle fut harnachée par Blaise elle fut conduite devant les gradins pour la présentation des pouliches.

Il y avait ce jour là quatre attelages et, curieusement, elle était la seule blanche. Les autres filles, comme elle, étaient tondues, seulement pourvues d´une crinière qui tombait sur les épaules. Comme Louise, elles portaient un harnachement de gros cuir, pourvu d´oeillères , une queue et des lanières laissant libres les seins infibulés, à l´exception d´une seule pouliche, dont l´extraordinaire développement des seins n´aurait pas permis la course dans de bonnes conditions si ceux-ci n´avaient été enserrés dans une cage métallique, laissant les bouts apparent, mais qui maintenaient néanmoins stables ces masses susceptibles de gêner la course.

Louise pénétra la dernière sur la piste. L´apparition d´une blanche suscita une vague de satisfaction qui se matérialisa par des applaudissements nourris. La transparence de sa peau claire lui donnait une impression de fragilité que le développement de sa carrure ne parvenait pas à amoindrir.

Louise entra au petit trot, tête haute et fière, seins tressautant au même rythme, agitant la queue incrustée dans son fondement et destinée à écarter les mouches attirées par les sécrétions que la fille ne pouvait retenir en pleine course et qui l´auraient gênée. Louise avait appris qu´il convenait de se présenter ainsi afin d´attiser l´excitation des spectateurs.

Rapidement, les filles furent placées dans les box de départ et, au coup de feu du starter, elles s´élancèrent.

Louise d´emblée s´efforça de donner le maximum d´elle-même. Et Chantal qui la drivait et la cravachait le savait. Aussi ne se montrait-elle pas brutale avec elle, contrairement aux autres jockey qui n´hésitaient pas à utiliser un long aiguillon qu´ils faisaient pénétrer dans les fessiers des filles ce qui avait pour effet de les stimuler en leur faisant pousser de longs cris de douleur.

Dans la dernière ligne droite, Chantal la lança à fond et crut bien l´emporter. Louise trottait rapidement, lançant ses pattes en avant pour effectuer de longues foulées, légère et puissante. Elle trottait probablement à près de vingt kilomètres à l´heure et garda son avance pendant plusieurs centaines de mètres. Toutefois, une longue pouliche noire, très élancée, la rattrapa bientôt. C´était une fille fine, mince et très profilée, à la poitrine menue même si les tétons tiraillés et rougis par les rênes étaient proéminents. Son jockey la cravachait sans relâche, si ce n´est pour l´aiguillonner aux fesses ce qui, à chaque fois générait un cri aigu de la fille aussitôt accompagné d´une brusque accélération. C´est ainsi que, dans un dernier effort, amenée de force au maximum de ses capacités, criant de douleur et la bave aux lèvres, elle finit par gagner d´une courte poitrine. Notre pouliche blanche, en dépit de ses efforts n´avait pu résister à cette fille poussée à fond.

Plus encore que sa maîtresse, Louise était déçue : peut-être que si, elle aussi, avait été aiguillonnée, elle aurait pu finir plus vite que la noire. Mais elle savait que sa maîtresse tenait à préserver sa peau, contrairement à sa concurrente dont le fessier était littéralement labouré. Néanmoins pour sa première course, elle avait fait merveille et, pour le retour, Chantal la gratifia de friandises.

Louise fut ainsi régulièrement engagée dans des courses. Elle était généralement guidée par Chantal elle-même. Elle se révéla être une pouliche bien adaptée au trot attelé et gagna régulièrement des courses. Quelle n´était pas sa fierté quand elle faisait un tour d´honneur, le cou cerclé d´un collier de fleur, conduite par le palefrenier sous les applaudissements de la foule !

Un jour sa maîtresse la prêta pour courir au sein d´un attelage de six.

Ce jour là, dès la sortie du van, elle fut conduite dans une cour et attachée, comme les autres par les naseaux, le long d´une barre.

Il y avait là quatre mâles et une autre femelle. Cette dernière était la jeune noire qui l´avait battue à la course quelques semaines auparavant. C´était une fille longue et mince, au fessier rebondi et musclé et au seins menus, bien que pourvus de bouts proéminents, auxquels étaient fixés des anneaux. Comme Louise l´avait déjà remarqué, ses flancs étaient striés de cicatrices, preuve que son maître la menait avec dureté et ne lésinait pas sur la cravache durant les courses.

Les mâles étaient composés de trois noirs et un blanc. Il étaient tous tondus et très musclées.

Lorsqu´il aperçurent la pouliche, deux noirs montrèrent leur envie autant que leur frustration en tirant sur leurs naseaux pour s´approcher d´elle. Louise eut un mouvement de recul mais la longe qui reliait ses naseaux à la barre ne lui laissait que peu de liberté de mouvement. L´un d´eux parvint si près d´elle qu´il entreprit de la monter en dépit des cris de frayeur de la fille, et ce n´est que l´arrivée de Blaise et de la pluie de coup de cravache qu´il asséna aux deux hommes qui put les calmer. Le palefrenier qui s´approcha alors rassura cependant Blaise.

Ne t´inquiète pas ! Ta précieuse pouliche ne risque rien, ils sont castrés !


Effectivement, les quatre hommes, en dépit de l´excitation qui les tenaillaient n´étaient pas bien dangereux : leur queue demeurait désespérément molle et flasque. De plus, on constatait que rien d´autre ne pendait de leur ventre que cet appendice mort. Leurs testicules avaient disparu, il n´en restaient rien. Le palefrenier expliqua que dans son haras, ils avaient pour habitude de castrer les mâles à la pince à clamper, dès leur arrivée, afin d´éviter tout problème et réduire leur agressivité naturelle, surtout lorsqu´ils devaient courir avec des femelles.

Blaise rassuré, il laissa donc Louise en compagnie des cinq autres montures, en attendant que les préparatifs de la course commencent.

Les deux mâles noirs continuèrent à tourner autour de Louise, mais rapidement, ils se calmèrent et le petit groupe attendit sagement qu´on vint les chercher. Louise essaya bien de s´approcher de la jeune pouliche noire, mais celle-ci se montra distante et un peu sauvage. Elle était de tempérament nerveux, piétinait sur ses sabots en permanence, dans l´attente de la course.

Des palefreniers vinrent les préparer. Louise fut sanglée dans son harnais habituels qui serrait sa taille en bloquant en même temps les poignets à hauteur des brancards qu´elle avait à tirer et qui dégageait les seins incrustés des deux anneaux qui permettaient de la guider. On lui avait enfilé sa têtière et les oeullières étaient plus que jamais utiles. Sur le haut de sa têtière, on avait fixé un toupet rouge comme aux cinq autres montures. On lui avait également enfilé sa queue dans son anus afin de chasser les mouches et autres insectes qui ne manquaient pas, la sueur et l´excitation aidant, d´être attirées par les sécrétions de la femelle.

L´autre femelle, dont Louise découvrit qu´elle était affublée du nom de " gazelle II " incrustée au fer rouge sur sa fesse, portait le même équipement. Comme toutes les noires, elle avait la taille fine et les fesses rebondies. Ses petits seins étaient infibulés de gros anneaux qui permettaient de la tracter.

Les hommes étaient également décorés, y compris la queue incrustée dans l´anus. Les femelles furent attelées devant, les hommes derrière. Les rênes du cocher étaient fixées uniquement aux seins des deux filles, les hommes servant à tracter, les femelles étant placées là non seulement pour la décoration, mais aussi pour tracter et guider l´équipage.

Ainsi organisé celui-ci avait fière allure, et quand le cocher fit claquer son fouet, les hommes et les femmes ainsi attelés démarrèrent au petit trot comme on leur avait appris à le faire.

Ils furent ainsi conduits devant la tribune ou stationnaient également deux autres équipages de six. Louise nota que si la composition de chacun d´entre eux comprenait mâles et femelles, ces dernière étant néanmoins minoritaires, elle était la seule femelle de race blanche. De ce fait elle attira tous les regards et c´est avec d´autant plus de fierté qu´elle se mit à caracoler, tendant bien son buste en avant et s´attachant à onduler de la tête et de la croupe pour faire onduler sa crinière et sa queue.

Très rapidement, les équipages furent alignés, le départ donné et la course démarra.

Le début du parcours étant plat, les cochers donnèrent vigoureusement du fouet sur les fesses et les dos des pauvres créatures attelées pour tenter de prendre l´avantage avant d´aborder le terrain accidenté.

Comme ses concurrentes, la voiture tirée par Louise et ses compagnons d´infortune était occupées par le cocher et trois passagers dont Chantal, ce qui alourdissait considérablement l´équipage. Les hommes et les femmes cavales peinaient et le cocher dut les man?uvrer durement pour les faire avancer et accomplir le parcours. Parvenus en tête à l´issue de la ligne droite, l´équipage sut néanmoins maintenir une allure vive même dans les passage difficile car il était talonné par les concurrents. Les hommes étaient en sueur, les filles avaient les seins en sang, vers la fin le cocher du redoubler d´encouragements et de coup de fouet pour ne pas se laisser rattraper. Mais à l´arrivée l´équipage était en tête et c´est dans l´enthousiasme général que les poitrines des deux filles franchirent la ligne d´arrivée en vainqueur.

Le maître d´équipage était fort satisfait de ses montures et tout particulièrement de Louise qu´il caressa longuement sur la croupe et qui ondulait de plaisir en dépit de la douleur qui taraudait ses seins en sang.
il y a 11 ans

Publicité en cours de chargement