Soumis voulait voir le sexe de Maîtresse Carla

Soumis voulait voir le sexe de Maîtresse Carla

Auteur : Ecrivaillon membre du réseau Fessestivites

Résumé : cette histoire BDSM aborde la punition d’un soumis par une sévère Maîtresse.

Maîtresse Carla est d’une humeur massacrante aujourd’hui, son soumis va en subir les conséquences. Non pas qu’il soit son souffre douleur mais parce qu’il mérite une punition.

- Soumis, la semaine dernière, tu as profité de mon inattention pour mater mes fesses par la porte de la salle de bain, ce n’est pas bien.

- Ah non Maîtresse, je n’aurai pas osé !

- Tu mens, je t’ai vu dans le miroir ! Lui répond Maîtresse Carla en lui donnant une gifle dès plus appuyée. Je t’ai vu. Au lieu de faire le ménage tu as profité que la porte ne ferme plus pour venir mater mes fesses. Ah cela se rajoute le mensonge et le mot « non » que tu viens de dire.

Soumis reconnaît ses fautes aussitôt et se confond en excuses, promet qu’il ne le fera plus mais il est trop tard, Maîtresse Carla va le punir sévèrement et il le sait. Soumis étant maso, elle lui concocte une punition qu’il n’est pas près d’oublier.

- Allez, avoue que cela te plairait de voir ma chatte ! Lui demande Carla en l’obligeant à la regarder dans les yeux.

- J’avoue que j’aimerai apprécier du regard votre corps de reine. Lui répond soumis qui ne sait plus où se mettre. Ses mains sont moites, il regarde le sol en se demandant ce qu’il va lui arriver.

- Puisque tu veux voir ma chatte, tu vas la voir, va au donjon, déshabille-toi et attend moi en position 6.

Lorsque Maîtresse Carla entre dans le donjon, soumis est nu en position 6, la fameuse position connue exposant si bien sa soumission. Elle lui pose un bandeau sur les yeux sans dire le moindre mot, soumis ne réagit pas, sa Maîtresse peut lui faire ce qu’elle veut. Elle lui pose ensuite un bâillon particulier muni d’un trou en son centre avant de l’obliger à s’étendre sur le dos près d’un solide carcan où elle fixe ses poignets à l’aide de solide bracelet de cuir. Maîtresse Carla pose ensuite une barre d’écartement aux chevilles de soumis avant de passer une cordelette autour de ses bijoux de famille.

Dans sa panoplie d’instruments de supplice, elle choisit une paire de très sévère pinces à sein reliées par une chaînette à laquelle elle rajoute une deuxième cordelette. Ces pinces ne s’arrachent pas, plus on tire, plus elles serrent et si le pauvre soumis savait ce qu’il l’attend, son sexe n’afficherait pas un début d’érection.

Maîtresse Carla fait descendre son treuil à télécommande sans fil pour y fixer au crochet la cordelette des couilles et des pinces à seins. Ce crochet se situant juste au-dessus de son soumis, lorsqu’elle enclenchera le treuil, la traction générera irrémédiablement son lot de douleur. Sous la tête de soumis, elle glisse son cube destiné au facesitting puis en actionne les molettes qui lui bloque la tête.

Convaincu qu’elle va lui imposer de lécher l’intimité dont il a tant rêvé, soumis affiche maintenant une belle et fière érection, s’il savait…. Maîtresse Carla libère les yeux de son soumis, afin qu’il puisse la voir retirer son string qu’elle vient lui faire sentir. Le parfum du corps de sa Maîtresse est un arome qu’il savoure comme un précieux cadeau. Maîtresse Carla dépose une cravache sur le carcan.

- Alors comme ça, tu veux voir ma chatte, et bien tu vas la voir, mais il y a un prix à payer pour ça. Dit-elle en actionnant la télécommande du treuil.

Soumis bombe le torse et se cambre pour essayer de limiter les effets des cordelettes. Ses tétons sont horriblement pincés, ses couilles monstrueusement étirées génèrent une douleur jusque dans ses reins.

- Regarde bien et rince-toi l’œil petite merde de voyeur et de menteur. Lui dit Maîtresse Carla en soulevant sa robe en cuir pour lui dévoiler ses trésors. Profite, le prix à payer arrive de suite, vas-y reluque bien la chatte et le cul de ta Maîtresse, profites-en tu vas pouvoir goutter son nectar.

Soumis n’a d’yeux que pour sa Maîtresse, il ose à peine regarder son anatomie, ces sont regard méchant qui l’affole. Quand elle attrape un entonnoir, il comprend aussitôt ce qu’il l’attend. Dans une main, elle tient la télécommande, dans l’autre, l’entonnoir dont elle dirige le tube dans le trou du bâillon ouvert en son centre.

- A chaque goutte que tu perds, j’appuierai sur la télécommande, tu n’aimes pas ça mais je m’en moque, une punition est une punition et là, tu en mérites trois. Une pour avoir reluqué mon intimité au lieu de faire ton travail, une pour m’avoir menti, une pour m’avoir dit le mot « non », je vais te faire une compil de punition petite merde !

Maîtresse Carla appuie une fois sur la télécommande, le crochet monte de quelques centimètres arrachant des gémissements réels et sérieux.

- Ca c’est pour avoir dit « non »

Elle se saisit de la cravache et lui en porte un coup appuyé sur ses testicules déjà bien tendus, par le bâillon s’échappe aussitôt un véritable cri d’agonie.

- Ca c’est pour m’avoir menti.

Maîtresse Carla retire le string du nez de son soumis pour le placer sous sa nuque avant de se prendre place juste au dessus de l’entonnoir en lui rappelant qu’à chaque goutte perdue, elle appuiera sur la télécommande. Soumis est réellement affolé, jamais sa Maîtresse n’est allée aussi loin dans la douleur et une punition. La douleur de ses seins et de ses tétons est telle qu’il en a les yeux qui mouillent et le pire, c’est qu’il sait que quand Maîtresse annonce quelque chose, elle le fait toujours. S’il perd une goûte de son champagne doré, Maîtresse Carla est réellement capable de le suspendre par les couilles et les tétons.

Lorsqu’il perçoit le bruit du pipi de l’enfer pour lui, soumis se concentre aussitôt. Le liquide chaud et salé parvient à sa bouche, il s’efforce d’avaler le premier jet mais n’y parvient pas totalement. Maîtresse Carla lui fait voir la télécommande avec un sourire sadique posé sur ses lèvres avant d’effleurer le bouton de l’enfer. Le treuil n’a bougé que de quelques millimètres mais suffisamment pour qu’il en sente les effets.

- On continue, tu as intérêt à boire tout ce champagne que j’ai gardé pour toi, sans quoi je te suspends par les couilles et je te chasse ensuite pour m’avoir mentie.

Maîtresse Carla libère sa vessie par petits jets, soumis cette fois ne se laisse pas surprendre et avale consciencieusement malgré son dégoût la totalité de ce que l’on appelle le champagne doré.

Maîtresse Carla satisfaite de l’effort de son soumis, agite la télécommande devant ses yeux en déposant l’entonnoir sur le sol. Soumis est mort de trouille car la douleur des pinces sur ses tétons est insupportable tout comme ses couilles qu’il regrette presque d’avoir. Quand sa Maîtresse appuie sur la télécommande il ferme les yeux de peur mais au lieu de monter, le crochet du treuil redescend doucement diminuant de fait la pression sur ses couilles et ses seins. Une fois son soumis posé sur le sol, elle retire le bâillon qu’elle dépose à côté de l’entonnoir.

Soumis fait alors un gros effort pour dire « merci Maîtresse » car il est agité par une très sérieuse envie de rébellion.

- Puisque tu as encaissé ta punition comme un bon soumis et que tu m’as remerciée de t’avoir puni, je vais t’accorder une récompense exceptionnelle, le droit de me lécher. Lui indique Maîtresse Carla en prenant place sur son cube facesitting.

Malgré les monstrueuses douleurs qui accompagnent le retrait des pinces à seins et son horrible punition, soumis fond de bonheur en léchant l’intimité salée de sa Maîtresse. Glissant de plus en plus dans les abîmes creusés par ses fantasmes, il se plairait soudain à déguster quelques gouttes de plus du nectar de sa Maîtresse. Le nez sur la délicieuse rondelle étoilée de sa Maîtresse, la langue au plus profond de son initimité, il plonge dans un océan de plaisir agité par les flux et les reflux de son masochisme quand elle entreprend de masser ses tétons.

Une cacophonie de sentiments et un camaïeu d’étoiles lui emplissent la tête quand quelques minutes plus tard elle libère ses couilles devenant bleues. Il ne comprend pas ce qui lui arrive, outre le dégoût qui l’a submergé, ce mélange de souffrances extrêmes et de plaisirs étranges malgré ce qu’elle vient de lui faire vivre le perturbe au plus haut point. Une pulsion plus forte que sa volonté le pousse à embrasser les pieds de sa Maîtresse lorsqu’elle le libère.

Il ne l’a décevra plus c’est une certitude mais est-ce parce qu’elle l’a maté ou est-ce à cause de ce sentiment d’appartenance encore plus fort que l’amour qu’il lui porte ?

Ecrivaillon
il y a 11 ans

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