Helene

Helene est une jeune femme de 24 ans. Sans être un canon de beauté, elle est
plutôt jolie, brune, assez grande du haut de son mètre 75, fière de sa poitrine
qu’elle affectionne tout particulièrement. Elle est actuellement étudiante en
fac de droit, étant fille unique, ses parents ont le privilège de pouvoir lui louer
un coquet studio proche de son lieu d’étude. Elle reconnait bien volontiers
d’avoir la chance d’avoir les parents qu’elle a et cerise sur le gâteau, elle profite
de pouvoir faire ses études dans une région qu’elle adore. Elle a toujours
apprécié l’Hérault ainsi que la ville où elle vit à savoir Montpellier. Bien sur, elle
a déjà eu quelques copains et même si ces derniers ont toujours été tendres
avec elle, cela ne l’a pas empêché de quitter son dernier amoureux. Assidu
dans ses études, et estimant que sa dernière aventure amoureuse n’avait rien
de fascinant, elle avait préféré lui signaler qu’elle préférait être seule plutôt
que d’avoir une vie de couple qui ne la faisait pas rêver. En réalité,
inconsciemment, elle savait qu’elle recherchait autre chose. En fait, tout a dû
commencer alors qu’elle n’était qu’une adolescente. Vivant à cette époque
avec ses chers parents, un soir, ces derniers se couchant un peu plus tôt que
d’habitude, Helene, restant seul éveillée, regardait la télévision. Zappant, elle
tomba par hasard sur une rediffusion du film érotique « Histoire d’O ». Elle
plongea immédiatement dans cette étrange atmosphère où l’héroïne avait
prêté serment d’obéissance et de soumission à son amant et Maître. L’épisode
où O était prêté à l’ami de son amoureux, avait tout particulièrement troublé la
jeune fille. Le film terminé, Helene avait eu beaucoup de mal à trouver le
sommeil. Ce n’est que quelques années plus tard, qu’Helene se décidât à
acheter le roman de Pauline Réage dont avait été tiré le film. Etant seul dans
son studio, en possession du précieux livre, elle le dévora en un week-end. Elle
préféra la lecture des aventures d’O plutôt que la vision du film qu’elle avait vu
précédemment. Pour la première fois de sa vie, elle se masturba
frénétiquement. Elle venait d’avoir 22ans. N’osant plus repenser à cette
mystérieuse aventure, elle devait bien reconnaitre qu’elle fantasmait de plus
en plus souvent sur le fait qu’elle aussi pourrait peut être un jour devenir une
soumise. Cette pensée la faisait frissonner. Sur internet elle commandait une
quantité impressionnante de livres dont le sujet commun était toujours lié au
sm. Ses temps libres étaient à présent la lecture toujours suivi de longues et
délicieuses masturbations. Elle possédait à présent une belle collection de
romans érotiques. Parallèlement à cela, lors des vacances d’été, ayant plus de
temps à se consacrer à sa passion si particulière, après la bronzette
quotidienne à la plage, elle surfe sur des sites internet où histoires et images
sm pleuvent. Devant son écran d’ordinateur, elle a de plus en plus de mal à se
décider de rejoindre son lit et se couche bien souvent au petit matin. Une nuit
alors qu’elle était déterminée à aller dormir, au gré des liens, elle arriva par
hasard sur le site ‘Fessestivité’. Ce dernier avait plusieurs chats dont la
particularité permettait de communiquer avec ses différents membres. Elle fit
alors la connaissance d’une certaine Sophie. S’enchainèrent d’interminables
dialogues. La barrière de l’écran, la virtualité de ces discussions rassuraient
Helene. Tout cela ressemblait à un jeu sans risque. A mi aout, Sophie travaillant
à Montpellier, expliqua qu’il pourrait être sympathique d’envisager une
rencontre. Helene en eut le souffle coupé. Jusqu’à présent, c’était surtout son
imaginaire qui lui apportait ses voluptés érotiques. A présent, elle atterrissait
dans la cour des grandes. Fallait il franchir le pas ou rester seulement dans ses
solitaires délires cérébrales ? Après réflexion, Helene décida non sans se faire
violence d’accepter de boire un verre le lendemain soir, place de la Comédie.
Se suivit alors une journée d’inquiétude, d’interrogations. Avait elle fait le bon
choix ? L’heure de la rencontre approchait. Elle allait faire connaissance de
cette femme dont elle ne connaissait absolument rien, hormis le fait qu’elle
aussi allait régulièrement sur un chat bdsm. Chez elle, Helene ne savait
comment s’habiller pour se rendre à son rendez vous. Sobrement, en ce chaud
mois d’août, elle se vêtit d’un simple short, t shirt, et tongues. Puis, les jambes
tremblantes, se dirigeât vers la terrasse du café indiquée la veille. Pris place
dans un confortable siège, scrutant plus que d’habitude les allées et venues des
passants. Une femme de 35ans environ, très belle blonde, vêtue d’une jupe de
cuire noir et d’un chemise blanche occupa précipitamment le fauteuil libre en
face de la jeune étudiante.
- Tu dois être Helene, n’est ce pas ?
Le tutoiement de son interlocutrice surpris.
- Oui, en effet, balbutia t’elle.
Sophie sourit de son trouble, un silence de plomb s’installa. Aucune d’entre
elles ne semblait engageait la discussion.
- Surprenant de se voir en ‘réel’ après ces longues nuits de chat. Je te
trouve très jolie. Peut être pourrions nous faire à présent plus ample
connaissance.
Le ton était rassurant, accueillant, réconfortant.
- Bien volontiers, je suis Hélene, étudiante en droit.
- J’ai cru comprendre que tu n’étudies pas que des livres de droit. Suivit
d’un petit clin d’oeil malicieux.
- Oui, je l’avoue. Rouge de honte, Helene aurait tout donné pour pouvoir
se cacher des yeux inquisiteurs de Sophie.
- Pour ma part, je suis Sophie, secrétaire dans un cabinet médical, mon
mari, lui est chirurgien et n’a hélas que peu de temps de libre. Peut être
le rencontreras tu prochainement.
Helene n’avait encore pas envisagé que Sophie pouvait avoir un conjoint.
- Malgré ton évidente timidité, je suis ravie de faire ta connaissance. J’ai
une villa dans un proche village de Montpellier. Comme je sais que tu vis
non loin d’ici et afin d’être plus tranquille, je te propose de boire un
rapide café ici puis, si tu le souhaites, nous pourrions aller acheter une
bouteille de champagne et ensuite aller la déguster dans ton studio.
Qu’en penses tu Helene ?
Décidément, cette femme était surprenante. Il était évident que lors des
dialogues sur le chat, Helene s’était dévoilée et ainsi Sophie connaissait déjà
beaucoup de chose. Après cette autoritaire invitation, Helene n’osa pas
décliner cette offre.
- J’adore moi aussi le champagne, si vous le souhaitez, il y a un monoprix
proche de mon appartement.
Sans s’en rendre compte, Helene avait opté naturellement pour le
vouvoiement.
- Non, nous irons dans une épicerie fine que je connais. Le vin risque de
n’en être que meilleur. Fini ton café rapidement et suis moi.
Helene accompagna donc Sophie dans un dédale de petites ruelles qui fait
le charme du vieux Montpellier. Elle remarqua aussi les escarpins de Sophie
et se demanda, elle habituée à n’être chaussée que de baskets ou de
ballerines, comment on pouvait marcher aussi rapidement et avec autant de
grâce avec de tels talons.
Arrivées dans le magasin qui respirait un luxe étouffant, une bouteille de
grand cru fut choisi et payé par Sophie.
- Voilà, cela fait, emmène moi à présent chez toi.
Le studio d’Helene bien que petit était ravissant. La seule et unique pièce
faisait à la fois office de salon, chambre, cuisine. Après avoir mis une jolie
nappe sur la table basse, deux coupes de champagne fut servies.
- Trinquons à notre rencontre. Dis Sophie.
- Ainsi, c’est donc ici que tu passes tes longues nuits à discuter avec moi.
Ici, c’est charmant. Par contre, tu ne m’as pas montré où se cachent tes
livres que te font tant vibrer.
Comme une enfant prise en faute, Helene se résignât à ouvrir le tiroir fermé
à clé où était dissimulée sa collection.
- He bien, je vois que tu aimes la lecture. Les sujets ne sont guères bien
variées, il est fort facile de déterminer le sujet de tes fantasmes, n’est ce
pas ?
- C’est mon jardin secret, vous êtes la seule à le connaitre.
- Pas tout à fait juste, j’ai parlé de toi à mon époux. Et celui-ci connait tout
des révélations que tu as pu me faire. N’en sois pas contrarié, nous
sommes un couple se connaissant depuis fort longtemps. De plus, nous
avons les mêmes gouts. Et à mon tour de te faire des confidences. Nous
cherchons déjà depuis quelques temps une femme qui nous serait
obéissante et soumise.
Helene n’en crut pas ses oreilles, il est clair que cela ressemblait à une
invitation et il se pourrait ainsi que ses fantasmes pourraient devenir bien
réel.
- Si un jour, nous trouvons la perle rare, cette dernière devra alors suivre
nos règles, nos obligations. Il se pourrait que nous approchions du but. Et
toi, aurais tu également une recherche particulière ?
L’alcool aidant, Helene, se remémorant ses soirées solitaires s’imaginant devoir
obéir à une tiers personne osa dire timidement
- Pour ma part, j’ai toujours fantasmé sur le fait que je serais un jour une
soumise devant obéir à ses Maitres.
Ca y est, les dés étaient joués. Helene avait avoué ses plus intimes envies.
- Dans ce cas, je te propose une chose, je vais télécharger sur ton
ordinateur un programme. Une fois cela fait, son installation sera
programmée dans 24h. Jusque là, tu auras la possibilité d’annuler le
processus via le bouton ‘cancel’. Si tu n’actives pas cette option, le
programme sera définitivement configurer sur ton pc. Il ne te sera plus
possible d’éteindre ton ordinateur et la webcam sera en permanence
activée. Je pourrais alors à tout moment voir ce que tu fais chez toi et
éventuellement t’envoyer des messages. Après ces 24h, je recevrais un
mail confirmant l’activation du logiciel et j’aurais ainsi ton accord sur le
fait que désormais tu as décidé d’obéir à moi mais aussi à mon époux.
Helene n’en crut pas ses oreilles. Tout était allé si vite. Les chats, son entrevue
place de la Comedie, et à présent chez elle, elle devait accepter cette indécente
proposition. Son envie d’accepter était si forte et puis cette proposition lui
permettait encore 24h de répit et de réflexion. Elle accepta. Sophie prit alors
dans son sac à main une clé Usb et téléchargea le soft. Sur l’écran, un compte à
rebours apparu, un énorme bouton ‘cancel’ trônait au centre de l’écran. Une
fois cela fait, Sophie se leva et dit.
- Et bien, j’espère à très bien bientôt, ma petite fantasmeuse, d’ici moins
de 24h, nous saurons ce que l’avenir nous prédira. Sur ce, je te souhaite
une douce nuit. Laisse ton ordinateur allumé…
Sophie quitta le petit appartement, et avant de partir, fit un bisou tendre sur la
bouche d’Helene. Le décompte sur l’écran d’ordinateur affichait un compte à
rebours 23h42.
Helene, un peu saoul, regardait ce satané écran. La décision d’accepter l’offre
n’allait donc pas prendre plus d’une journée. L’offre lui semblait à la fois
alléchante mais aussi risqué. Après tout elle ne connaissait que très peu cette
femme qui lui promettait le bonheur dans l’obéissance. Elle décida donc d’aller
se coucher, après tout, ne dit on pas que la nuit porte conseil ? Cependant,
s’endormir avec la lumière du moniteur allumé, ce compte rebours sans cesse
visible et l’excitation d’enfin pouvoir vivre ses fantasmes ne lui permit pas de
fermer les yeux. C’est ainsi, épuisée, qu’elle décida de se lever au petit matin,
constatant que son ordinateur affichait toujours ce satané chrono. Elle
envisagea d’annuler processus après sa douche puis décida du contraire. Elle
partit faire ses courses le matin, alla comme à son habitude à la plage l’après
midi et s’offrit même au retour avant de manger chez elle un apéro au bistrot
en face de chez elle. Ainsi elle évita son ordinateur toute la journée. Après le
diner, il apparaissait évident qu’il ne restait plus qu’une demi heure pour
éventuellement cliquer sur le bouton ‘cancel’ permettant d’annuler
l’installation du programme fatidique. Tournant chez elle, Helene semblait
devenir folle. Que faire ? Accepter cette insensée proposition ou rejeter peut
être de façon définitive ses pulsions. Plus que quinze minutes avant
l’inéluctable. Cinq avant toute marche arrière. Ca y est le bouton ‘cancel’
s’effaçait au bénéfice de la barre d’installation qui montrait sa progression.
Cela mit environ un quart d’heure avant que le programme ne soit configuré
sur l’ordinateur d’Helene. Puis l’écran se figeât, le pc redémarra, Windows,
comme à son habitude présenta le bureau d’Helene, à la différence que la
diode de sa webcam était désormais allumé et sa live box présentait tout les
symptômes d’une diffusion continu de données numériques. Après vérification,
il était désormais impossible d’éteindre l’ordinateur et le programme ‘virus’
était invisible par le système d’exploitation. Helene semblait paniqué au
constat que son propre ordinateur n’était plus sous ses ordres. Elle prit vite un
verre d’eau, et n’osait pas croire à ce qui arrivait. Ce n’est que vers 23h, peu de
temps avant d’aller se coucher qu’Helene reçut un message.
- Bonsoir Helene, je suis ravi de ta décision. Sois sage cette nuit, désormais
tu es sous ma surveillance.
Il était à présent parfaitement clair qu’Helene était sous la dépendance de
cette mystérieuse femme. Elle se savait épiée, peut être même était elle en ce
moment maté par Sophie. La nuit approchant, se sachant désormais
vulnérable, n’osant pas se déshabiller dans l’axe de sa webcam, elle décida
d’aller passer son sage pyjama dans sa salle de bain. Fatiguée, anéantie par ses
fantasmes, elle s’endormit comme une masse. Ce n’est qu’au petit matin,
qu’elle se rendit compte qu’un message trônait sur son ordinateur.
- Dernière fois que tu te changes dans ta salle de bain. Dernière fois
également que tu portes ce détestable pyjama. A ton réveil, tu te mets
entièrement nue, face caméra, à genoux, jambes écartées, paumes de
tes mains sur tes cuisses. Tu resteras ainsi jusqu’à nouvel ordre !
A la lecture de ce message, Helene ne put s’empêcher de déglutir. Obéir à
un tel ordre était inimaginable et fit semblant de ne pas en avoir pris
connaissance. Elle préféra aller se faire un bon café, confortablement
installé dans le pyjama que lui avaient offert auparavant ses parents. La
cafetière n’avait pas encore terminé son travail qu’un bip provenant de
l’ordinateur remémora à Helene les consignes précédentes.
- Au cas où tu ne l’aurais pas encore compris, je peux à présent suivre tous
tes faits et gestes. Je trouve très déplaisant de devoir renouveler mes
ordres. Tu as eu, il me semble, un délai suffisant de réflexion. Par
conséquent, je te laisse encore une ultime chance, sois tu obéis
immédiatement et tu prends conscience qu’à présent tu me dois
obéissance soit l’aventure se termine maintenant et définitivement.
A la lecture de ce message, Helene eut le coeur qui s’emballait. Après toutes
ces années de rêveries, se sentant si proche du but, elle prit alors la décision
d’obéir en tout point à cette femme. Elle quitta son pyjama et prit
honteusement la position réclamée. Cependant, après un sentiment de
gène, c’est l’excitation qui prit le dessus. Mais se sachant observée, elle
n’osa évidement pas se caresser. C’est ainsi, sans même avoir prit le temps
d’ingurgiter un petit déjeuner qu’elle resta ainsi dans le plus simple appareil.
Après un temps qui lui parut interminable, Helene se demandait si elle était
encore au prise de la webcam. Cependant, elle resta encore ainsi, n’osant
pas bouger d’un simple cil. Les crampes commençaient à la tourmenter.
Puis, de nouveau, le signal sonore se fit entendre.
- Tu peux t’habiller, il est près de midi. Je passerais te prendre en début
d’après midi.
Enfin la délivrance. Helene eut du mal à se lever. Ravi de pouvoir prendre
une douche, elle se précipita sous la douche. Elle avait envi de se sentir
propre et belle. Elle enfila culotte et soutien gorge, mis une de ces rares
jupes, et pour compléter le tout s’ajusta d’un très joli corsage. Bip !!!
- Tu ne peux pas t’habiller dans ta salle de bain, mais à ma vue, dans ta
chambre. Tu es très mignonne ainsi. Hélas je n’ai pas pu voir ce qui se
cache sous cette ravissante jupe. Soulève la que je puisse admirer.
Décidément, Helene n’avait plus de liberté mais étant chez elle. Le
compliment de Sophie la touchait et c’est donc tout naturellement qu’elle
obéit.
- Première règle, à présent il t’est formellement interdit de porter la
moindre culotte ou string. C’est cul nu que tu devras être.
Helene n’avait encore jamais porté de jupe sans dessous. Elle retira le fin
tissu et constata un certain trouble de devoir se sentir presque nue. Après
son déjeuner, en début d’après midi son interphone rappela à son souvenir
que Sophie devait passer la prendre.
A peine Sophie était rentrée chez elle, qu’elle passa une main sous la jupe
d’Helene, sans doute afin de vérifier que cette dernière avait bien obéi. Etait
ce bien nécessaire avec la camera espion ?
- Je vois que tu es prête. Dépêche toi, nous n’avons que peu de temps.
Helene, une fois de plus suivait Sophie dans sa démarche rapide et élégante.
Sophie possédait une grosse berline allemande. Il allait de soi que la voiture
avait toutes les options possibles, le cuir sentait bon.
- Il me semble que tu as lu ‘Histoire d’O’. Par conséquent, tu trouveras
donc normal de t’assoir convenablement.
Rouge écarlate, Helene souleva sa jupe et dut s’assoir directement sur le
fauteuil de l’automobile. Le cuir frais ne put lui empêcher d’échapper un
soupir de surprise. La route fut courte. Sophie se gara dans un parking privé.
Un institut de beauté était juste devant la voiture garée.
- J’ai du travail, je te dépose juste, la patronne de cet établissement
connait le but de ta visite. Une fois le travail terminé, tu as une station de
tramway tout près de là. Tu rentreras alors directement chez toi. Une
fois à ton domicile, tu reprendras la tenue et position de ce matin. Va.
il y a 11 ans

Très sympa une suite ?
il y a 11 ans

Compte anonymisé
Magnifique recit ! Tres allechant :3

Existe t il réellement un programme comme celui de sophie ?
il y a 11 ans

Oui, vivement la suite de cette histoire car j'imagine déjà la prestation de l'Institut de beauté ...
il y a 11 ans

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