La fessée aux cartes
Je m'appelle Bernadette, j'ai 28 ans. Je suis assez étourdie et mon mauvais caractère me pousse parfois à être insolente lorsque mon mari me fait une remarque. Aussi a-t-il décidé de me punir, dans ces cas là, par une bonne fessée.
En général je reçois ma punition le soir, et j'attends souvent de longues heures, dans l'inquiétude de ce qui va m'arriver. J'ai revêtu la tenue qu'il m'a ordonnée de porter, une tenue spéciale pour les fessées. Courte jupette plissée bleu marine, chemisier blanc, socquettes de coton blanc, pas de soutien-gorge, et une culotte de coton blanc style " petit-bâteau ". Une vraie tenue de gamine !
La fessée cane-stroke
Après le repas du soir, je me lève de table et mon mari me dit "Bernadette, tu as été vilaine. Tu mérites la fessée, comme une gamine mal élevée. Va te préparer."
Je me rends dans notre chambre et j'attends mon mari les bras croisés derrière le dos, à la fois anxieuse et excitée.
Il entre, tenant dans ses mains un paquet de cartes à jouer. En effet, ma punition est tirée au sort. C'est mon mari qui a fabriqué le jeu de cartes, à partir de photos de fessée recueillies sur Internet sur le site " clubfessée ". Chaque carte représente une scène de fessée : à la main, au martinet ou à la cravache, à la règle ou à la ceinture. La carte tirée détermine aussi la position : couchée en travers de ses genoux, en levrette, attachée sur le banc à fessée, ou debout, les bras levés et les mains croisées derrière la nuque.
Je lance d'abord deux dés qui décident du nombre de coups que je vais devoir subir.
On ajoute vingt au total affiché par les dés. Ainsi le quatre me vaudra vingt-quatre coups, et le douze trente deux coups. C'est le pire, et selon l'instrument qui les applique c'est assez dur à supporter.
L'imprévu de l'instrument de supplice et du nombre de coups subis me procurent une excitation incroyable. Lorsque je commence à me déshabiller, lentement pour faire durer le plaisir, je sens mon sexe devenir moite, et je serre inconsciemment les cuisses.
En petite culotte, je lance les dés : 8. Je vais devoir endurer vingt huit coups. Puis je tire une carte : c'est le martinet, fesses nues ! Un instrument que je redoute tout particulièrement. Je vais être fouettée debout, les mains croisées sur ma tête, bien cambrée et toute nue.
Je subis courageusement les volées des lanières sur mon derrière dénudé. Mon mari est expert pour lancer les fins serpents de cuir sur mes fesses sans défense, pour les y étaler, pour bien leur faire mordre la chair tendre.
J'essaie de ne pas bouger, mais rapidement j'entame une sorte de danse, d'ondulations du bassin, comme pour me soustraire à ces caresses brûlantes.
Des larmes perlent à mes yeux, tandis que je me mords les lèvres pour ne pas crier sous un coup plus cinglant que les autres.
La fessée se poursuivant je me mets à gémir, d'abord doucement, puis de plus en plus fort.
Mon mari cesse alors de me fouetter. Il me dit combien de coups je dois encore subir, et vient frotter délicatement mes pauvres fesses déjà bien rougies. C'est bon, ces caresses après le supplice du fouet. Je recommence à gémir, mais cette fois c'est de plaisir. Un plaisir que je sens monter dans mon ventre, brûler mon sexe, irradier du clitoris à l'anus. Je voudrais qu'il me prenne, vite, fort, brutalement.
Mais le moment n'est pas encore venu ! La fessée reprend, plus dure à supporter sur mon derrière déjà irrité. Chaque volée du martinet m'arrache des plaintes aiguës, et j'ai des soubresauts incontrôlés, creusant mes fesses en avant, après chaque coup, puis les cambrant de nouveau, comme pour appeler la volée suivante.
Enfin l'interminable fessée cesse sur un dernier coup particulièrement bien asséné.
Rituellement, après la punition, je monte sur le lit le derrière en feu et me présente en levrette, les cuisses bien écartées, la fente trempée, la chatte béante, pour que mon mari me pénètre. Pendant qu'il me pilonne avec une belle énergie il me donne de petites tapes sur les fesses, des claques légères mais douloureuses après ce qu'elles ont déjà subi, et cette dernière fessée porte mon plaisir à son paroxysme. Je jouis si fort que je me promets de mériter rapidement une autre punition, pour retrouver ce plaisir extrême.
Il existe une variante, où, pour recevoir le martinet, je suis couchée sur le divan, un coussin glissé sous le ventre pour bien offrir mes fesses aux lanières.
Mon mari a confectionné un banc à fessée à partir d'un tréteau du commerce, qu'il a aménagé. En fonction de la carte tirée j'y suis attachée soit en long, le buste couché sur la barre supérieure du tréteau qui a été rembourrée, soit liée en travers, le buste penché en avant et les cuisses très écartées. Mon mari m'attache bras et jambes à l'aide de chaînes qui sont reliées aux bracelets de cuir que je porte aux poignets et aux chevilles. J'adore entendre le cliquetis des chaînes au moindre mouvement que je fais. Je trouve ces sons métalliques très excitants et lui aussi. Enchaînée, totalement offerte à ses coups, impuissante à y échapper, je trouve que c'est une des positions les plus érotiques. Tellement que je supporte mieux les rudes cinglades du martinet, les morsures de la cravache ou les claques de ses mains puissantes. Sans parler de la redoutable règle plate !
Nous avons un jeu de trente cinq cartes, avec une grande variété de situations.
Fesses nues, culotte baissée en haut des cuisses, descendue jusqu'aux chevilles où elle joue le rôle d'entrave, tirée dans la raie des fesses jusqu'à former un string ficelle. Dans ce dernier cas j'adore sentir le tissu de coton s'incruster dans ma fente, et chacun des mouvements désordonnés que je fais, sous les coups qui martyrisent mes fesses, me procure des sensations puissantes.
Ce que je crains le plus c'est la cravache, lorsque je la subis à quatre pattes, en levrette, les jambes écartées pour bien dégager la raie des fesses. Dans cette position il n'est pas rare que le cuir s'égare sur l'intérieur de mes fesses. Parfois même sur l'anus que mon mari vise sciemment. La surprise de ce coup et la violente douleur qu'il m'occasionne me font quelque fois bondir en avant à la plus grande joie de mon tourmenteur.
En effet il m'a prévenu que toute perte de la position normale du supplice me vaudrait deux coups supplémentaires. Si je pouvais deviner le moment où il choisira de frapper mon petit trou, je réunirai tout mon courage et je tâcherai d'endurer sans broncher. Mais le diabolique fouetteur s'amuse à toujours me prendre en défaut. Il fait claquer la cravache sur le pourtour de mes fesses, puis juste à l'intérieur, ensuite au centre de chaque hémisphère, et lorsque je ne m'y attends vraiment pas, vlan ! un coup en plein dans la cible.
Pour la claquette ou la fessée à main nue, je suis en général couchée en travers de ses genoux, dans la position classique. Sous les coups je me tortille sans vergogne, par pure sensualité, car ce type de fessée est le moins douloureux à endurer. Surtout celle à main nue. Mon mari a une façon d'abattre sa main sur ma fesse, puis de l'y laisser quelques instants comme pour imprimer la marque de sa main sur ma chair, qui est une vraie jouissance pour moi.
Ces jeux de fessée pimentent notre vie amoureuse et nous ne risquons pas de nous enliser dans la routine !
En définitive c'est moi qui dirige les opérations, choisissant délibérément d'être vilaine pour être punie. Et d'être punie pour jouir comme une folle, comme une possédée, après ces préliminaires un peu particuliers mais tellement exaltants !
Vive la fessée amoureuse !
il y a 11 ans
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