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Ma Sodomie
Par Luc

Résumé : Un cadre coureur se fait piéger par un cucu libertin bisexuel et dominateur

Cette histoire est purement fictive, je l'ai imaginée après avoir lu de nombreux récits sur ce site.

Je m'appelle Luc , je suis cadre dans une grande entreprise et j'ai la fâcheuse tendance à baiser les femmes de mes collègues pendant qu'ils ont dos tourné.

J''étais au lit avec Stéphanie , la femme d'un nouvel employé , c'était un vrai canon ,une vraie salope. D'habitude, mes travaux d'approches prennent du temps , au moins quelques semaines : là en trois jours , j'étais dans son lit. Nous étions enlacée étroitement, dans un état très avancé. A chaque fois, j'aime terminer par une sodomie, la plupart de mes conquêtes sont inexpérimenté de ce coté là. Là rien n'était moins sûr, elle avait l'air d'avoir des rapports totalement débrider avec son mari, pour preuve sur sa table de chevet se trouvait un god en verre. Je décidai d'y aller sans préparation aucune, avec seulement sa cyprine sur ma bite. Je plaçai mon gland sur sa corolle et voyant son sourire perverse , je poussai lentement. Elle passa ses jambes autour de ma taille et me serra. J'étais au fond quand elle regarda par dessus mon épaule et dit :

- " Salut Eddy , tu as vu comment il me prend le saligot , c'était donc vrai , il baise la femme de chaque collègue. C'est pas sympa ça ".
Je devins tout rouge. Je m'étais fait piéger. Je voulu me retirer et me sauver mais elle me serrait trop et mon sexe était serré dans son anus. Eddy son mari répondit :
- " On pourrait le punir en s'amusant, non ? Tiens le bien, j'arrive."
Là , j'avais pris trop de risque , Eddy était sûrement un grand sportif , on voyait sa musculature même à travers ses smokings.
Je l'entendis se déshabiller et s'approcher. Il me dit
- "Tu aimes la sodomie ? Alors tu seras puni par là où tu as péché ".

Il allait me sodomiser. Je sentis très rapidement une goutte de gel sur mon anus, qu'il titilla d'un puis de deux doigts qu'il finit par enfoncer. En quelques minutes, il m'avait ouvert le cul sans que je débande. Sa femme donnait des coups de rein pour garder ma vigueur. Je sentais le lit se déformer autour de mes genoux, il se mettait en position derrière moi. Je sentis son gland entre mes fesses, il poussa lentement, je supportai sans crier : honteux , à peine quelques gémissements. Il avait sûrement un sexe plus gros que le mien , je le sentais en moi , je ressentais une drôle de sensation ; presque du plaisir. Ce plaisir me rendait encore plus honteux, j'étais un tombeur, j'avais un physique de macho , j'étais le beau mec de la boite et j'étais traité comme une femme. Son gland fendait mes entrailles. Je sentis ses couilles taper contre les miennes.

- "Tu la sens bien là? Je suis bien au fond , tu as un cul vraiment accueillant mon salop ".

Il commença à faire des mouvement de va et vient sans me ménager , j'avais le cul secouer d'avant en arrière , il faisait de profonds mouvements , ressortant presque complètement sa queue. Stéphanie pris le god en verre et embrassant le gland à pleine bouche , elle m'expliqua qu'il était la réplique exacte du sexe de son mari. Elle le fit passer sur mes lèvres, mon torse et mes joues. Soudain , Eddy ressortit complètement son sexe de mon cul. Il prit l'engin de verre et lui fixa des chaînettes à la base , j'avais peur de comprendre. Il le pointa sur mon anus et lentement l'enfonça , il me sembla plus gros que son sexe mais il l'enfonça sans difficulté. Il fixa les chaînettes autour de ma taille et les ferma avec un petit cadenas , tout contre mon ventre. Il prit deux autres chaînettes qu'il croisa sur mon torse et sur mon dos puis il les accrocha à celle autour de ma taille, le god était fixé dans mon cul , je ne pourrais m'en débarrasser sans son accord. A chacun de mes mouvements, je le sentais me déchirer les entrailles. Sa femme donna quelques coup de rein, me retourna, la bite en verre me vrilla le cul et je fus parcouru de frisson ;

Elle me tourna le dos et sautant presque sur ma bite , elle se sodomisa devant son mari en gémissant. A chaque fois qu'elle rebondissait sur mon ventre , le phallus butait dans mon anus m'excitant honteusement. Je me sentis venir , j'agrippai ses hanches et enfonçai mon sexe au plus profond et lâchai des giclées de sperme. Quand elle se retira, elle avait du liquide qui dégoulinait sur ses cuisses. Son mari me présenta sa bite , j'avais compris , je devais être très gentil avec eux pour qu'il me libère. J'ouvris donc la bouche et aussitôt son gland y pénétra et lentement commença à prendre ma bouche , lentement mais sûrement. Je jouais d'abord avec son gland puis fit glisser ma langue sur le reste de sa queue mais , il m'ordonna d'arrêter ,j'étais un orifice où il allait décharger.

Je sentais la bite de verre qui me sodomisait comme si elle avait son propre désir et là , il dit :

- "tu sens comme je te prends? par deux trous en même temps ! T'es trop bon , le meilleur coup que j'ai eu depuis longtemps , je crois que je vais te garder."
Il déchargea sans prévenir , il se maintint dans ma bouche , il déversait des flots de sperme. Puis il se retira lâchant quelques giclées puissantes sur mon visage et mon torse. Il s'écarta légèrement , sa femme revint avec un grand miroir et me le mit en face. J'étais couvert de sperme mais a un point tel que j'aurais juré qu'il si était mis à plusieurs pour m'en foutre autant. Eddy me souleva alors et me prenant dans ses bras m'emmena dans le salon où de nombreux hommes étaient réunis, il me posa par terre et annonça :
- "chacun votre tour allez-y, il est consentant ".
Et c'était vrai.