A 18 ans mon amie me jette dans un gang bang en club

A 18 ans mon amie me jette dans un gang bang en club

Mon amie est une salope de première, je ne lui pardonnerai jamais ce qu'elle m'a fait bien que j'ai été aussi piégée par les lieux, l'alcool et le plaisir.

Gang bang libertin

Il me tardait d'avoir 18 ans pour aller dans des boites pour m'éclater, draguer, danser m'amuser mais quand on habite dans un bled paumé et que l'on n'a pas de moyen de locomotion puis des parents qui vous pistent, ce n'est pas facile. Lucie est une de mes amies de fac, elle habite dans le même bled que moi et connaît tellement de chose que je l'envie. Il est vrai qu'avoir un père patron d'un club libertin ça aide.

Pour fêter mes 18 ans, elle m'a invitée chez elle un lundi soir pendant les vacances de Pâques, cela ne plaisait pas à mes parents mais ils n'ont pu que me faire des recommandations que j'aurai peut-être du écouter. Chez les parents de mon amie, le champagne est une habitude et croyez-moi c'est du bon. Après avoir fêté mes 18 ans et vidé une bouteille, j'étais moins timide si vous voyez ce que je veux dire. Lorsque Lucie m'a proposé de visiter le club j'ai répondu oui, son père a proposé de profiter des lieux avant l'ouverture pour une visite animée juste pour moi. J'étais la reine de la soirée, un peu pompette, innocente et désireuse d'enfin vivre ma vie.

La visite a commencé derrière le sublime bar illuminé ce qui m'a permis de découvrir les écrans de surveillance puis des accessoires coquins qui sont prêtés aux clients lors des soirées libertines et d'autres très SM lors des soirées SM. Tout cela m'émoustillait un peu, ma retenue habituelle s'envolait au fur et à mesure que je descendais des coupes de champagne. La visite des lieux coquins avec des salles remplies de canapés, de lits spéciaux me faisait mouiller et quand nous sommes entrées dans celles où se trouvent le matériel SM, je me suis laissée guider par Lucie. Elle m'a attaché sur la croix pour me faire voir les sensations et en a profité pour me tripoter un peu et m'embrasser. Cela ne m'a pas gênée, car nous avons déjà coquiné ensemble. Attachée jambes et bras écartés, j'avoue avoir été très réceptive à sa main s'attardant sous ma jupe, c'était magique.

Le père de Lucie est passé nous annoncer qu'il avait préparé une surprise pour moi. J'étais très gênée qu'il me voit en train de me faire tripoter par sa fille mais elle m'a rassurée en m'indiquant qu'il était très ouvert et se moquait bien de ce qu'elle pouvait faire avec les filles et les garçons. Quelques minutes plus tard, Lucie m'a conduite dans une salle où se trouve un énorme lit rond. Un plateau avec des coupes de champagne nous y attendait ainsi qu'un gâteau fait avec des choux à la crème. Avec le barman et le disque jockey nous avons donc à nouveau trinqué et fêté mes 18 ans. Un peu pompette, je me suis appuyée contre Lucie qui sans aucune gêne m'embrassait, caressait mes seins, les bras le cou en me dévorant. Lorsque des mains supplémentaires se sont posées sur mes cuisses, j'ai commencé à réagir et à m'inquiéter, Lucie m'a alors expliqué que le barman était surnommé « langue de velours » et qu'il allait me faire grimper au rideau. Je ne voulais pas mais elle a tellement insisté en me disant qu'une langue ne pouvait pas faire de mal que je me suis laissée faire.

Malgré ma gêne, c'était divin. Lucie me dévorait le haut, le barman le bas, je ne savais plus où j'étais. A un moment, il a utilisé un truc vibrant monstrueux. Sous ses mains j'étais une carpette soumise au plaisir. C'est difficile à expliquer mais j'étais emportée par une lame de fond vers un inconnu magique. L'intensité des lumières est descendue doucement, je me noyais dans des sensations si fortes que je n'avais plus aucune retenue. Lorsque j'ai senti son sexe contre le mien j'ai essayé de refuser mais Lucie m'a convaincue sans avoir besoin de trop insister de me laisser faire. C'était son cadeau d'anniversaire que je ne pouvais refuser disait-elle.

Lorsqu'il a remonté mes jambes j'ai compris que j'allais y passer mais sans être capable de refuser quoi que ce soit, j'étais si bien. Son sexe bandé jouait à me prendre sans me prendre. Il me rendait folle de désir. Avec une lenteur exaspérante il s'est enfoncé en moi ce qui fut presque un soulagement tant j'étais en attente d'encore plus de plaisir. Entre les bras de mon amie, je me suis donc laissée prendre comme une salope assoiffée de sexe en criant des mots fous que je n'aurai jamais imaginé prononcer. Lucie a tenu à poser un bandeau de tissu sur mes yeux pour que je m'envole encore plus disait-elle. Au point de non retour où j'étais, encore une fois je me suis laissée faire. Je ressentais un besoin inextinguible de sexe, rien d'autre ne comptait pour moi. Gagnée par une sorte de frénésie, ma bouche happait celle de Lucie comme si ma vie en dépendait.

D'autres mains sont venues sur mon corps mais tous ces attouchements et le va et vient soutenu en moi entretenait ma déroute émotionnelle. J'ai senti qu'un autre homme prenait la place du barman. J'ai voulu refuser mais Lucie ne m'a pas laissée le choix. Elle avait décidé et c'était plus fort que ma volonté. Sous les assauts incessants de l'autre homme, j'ai éprouvé des sensations voluptueuses étranges, si vives, si bouleversantes, que je feulais doucement, l'onde de plaisir montait dans son ventre en se disputant avec la raison. Il m'en fallait encore et encore. J'ai connu les plus longs et les plus puissants orgasmes de ma vie, entre leurs mains je n'étais plus qu'un pantin de chair.

Ils nous ont laissée toutes les deux, on m'a recouverte d'un peignoir en éponge et laissée le bandeau. Lucie m'a dit que je me suis endormie et qu'ils m'ont portée dans sa chambre. Je m'en souviens vaguement mais c'est très flou dans ma tête. Je ne suis pas capable de dire combien d'homme m'ont prise j'en ai honte mais c'était si bon. S'ilme fallait une excuse je dirai que le champagne doit y être pour quelque chose.

C'était TSM journalise du réseau Fessestivites.com

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il y a 11 ans

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